Bilbliographie accéléromètre

Bibliographie TIPE:

-« Les capteurs en instrumentation industrielle » (Georges Asch et coll.);
-Revues « Mesures » n°746 (Juin 2002) article: « Guide d’achat: Les accéléromètres »,
n°811 (Janvier 2009) article: « Accéléromètres « hautes températures: comment faire son choix. »

Sites internet:
http://docinsa.insa-lyon.fr/these/2003/millon/chapitre1.pdfhttp://iut-tice.ujf-grenoble.fr/tice-espaces/MPH/EP-gallotLava/wupload/File/Capteurs/TP-Ca-POLY-2011-01-11.pdf
http://www.mesures.com/archives/090_098_gda.pdf
http://giacintec.com/cariboost_files/Capteurs_20de_20vibrations_20pi_C3_A9zo_C3_A9lectriques.pdf
http://www.mesures.com/archives/811-Choix-Accelerometre-PCB.pdfhttp://tel.archives-ouvertes.fr/docs/00/13/35/99/PDF/These_Alex_Ivan_v4.pdfhttp://www.lcep.ens2m.fr/fr-lcep/indexfr.html
http://artur.univ-fcomte.fr/ST/ELECTRO/these/these_maisonnet.pdf

Des accéléromètres, il y en a par- tout… ou presque. On les utilise aussi bien pour évaluer le confort vibratoire d’un véhicule que pour détecter un défaut sur une machine tournan- te ou encore pour caractériser le comporte- ment dynamique d’un équipement sur un banc d’essai… Et neparlons pas de ceux qui servent à déclencher l’ouverture des airbags ou… à guider un satellite. Bref, les applications ne manquent pas. Et comme souvent dans ces cas-là, le capteur universel n’existe pas. Le choix d’un accéléromètre n’est donc guidé que par l’application à laquelle il est destiné. Une fois le
besoin clairement défini, tout n’est ensuite qu’une affaire de priorités… et de compromis.Dans certains cas (mesures en environ- nement industriel, par exemple), on privilégie plutôt la robustesse du capteur (sa tenue aux chocs, aux températures élevées, aux milieux cor- rosifs…). Dans d’autres (essais de recherche-déve- loppement), peu impor- te la robustesse ou la durée de vie, l’essentiel étant la précision de la mesure.
Et c’est ce que prouvent les sites Internet et les
mètreà l’autre, il n’y a en effet qu’une inté- gration ou une dérivation mathématique du signal : en intégrant l’accélération, on obtient la vitesse, puis le déplacement… Curieusement, la mesure de vibrations est ainsi l’application la plus courante de l’accé- léromètre. Sa légèreté (il ne pèse que quelques grammes), sa taille (au plus quelques cm3) et les larges gammes de fré- quences qu’il permet decouvrir en font même le capteur de choix. Ensuite, le para- mètre choisi pour exprimer le résultat (accé- lération, vitesse ou déplacement) dépend de l’application, ainsi que des habitudes du métier. « Les mécaniciens s’intéressent généralement au déplacement, explique Christian Delamare, directeur commercial d’AllianTech. Peut-être par- ce que par le passé, certains avaient l’habitude de placerun stylo sur la structure en vibration, et une feuille en vis-à- vis, afin de mesurer l’amplitude du mouvement ». Mais le plus souvent, c’est la vitesse qui focalise l’attention. « Dans le domaine des vibrations indus- trielles, la majorité des normes portent sur la vitesse, poursuit M. Delamare (AllianTech). Il faut dire qu’historiquement, les capteurs de vitesse ont été fabri- qués avant lescapteurs d’accélération ». On peut aus- si accéder au déplacement, mais pour que le calcul de la double intégration donne un résultat exploitable, il est préférable de tra- vailler en basse fréquence. Pour la même rai- son, quelqu’un qui s’intéresse uniquement à la mesure de déplacement emploiera rare- ment un accéléromètre…
Quatre grands types de capteurs
Côté principes de mesure, l’offre estgloba- lement divisée en quatre. Les accéléromètres piézoélectriques, piézorésistifs, capacitifs et asservis couvrent à eux quatre la grande majorité des applications.
Leur principe n’est pas si différent. Ces cap- teurs intègrent généralement une masse (dite “sismique”) suspendue par un ressort. En mesurant la force à laquelle est soumise cet- te masse, on en déduit l’accélération (tou-…