Princesse de cleves

La Princesse de Clèves – Le portrait de Mlle de Chartres

Introduction :
Le roman de Mme de Lafayette s’ouvre sur un tableau de la cour de France dans les dernières années du règne de Henri II. C’est dans un cortège d’êtres d’exception, décrits de manière superlative et abstraite, que paraît tout à coup l’héroïne, Mlle de Chartres, future princesse de Clèves. Personnage de fiction, elle estencore plus extraordinaire que les plus prestigieuses dames de la cour et sa vraisemblance se trouve garantie par le cadre historique du roman.
Cependant, si ce portrait est, comme les autres, placé sous le signe de l’excellence et de l’abstraction, il s’en distingue sur un point : la place essentielle faite à l’éducation qu’a reçu la jeune fille. C’est le passage central du texte, qui donne àcette présentation une importance décisive pour la suite.

I. L’art du portrait
II. Les conseils d’une mère
III. Une présentation décisive

I. L’art du portrait
C’est avec élégance que Mme de Lafayette introduit la belle héroïne de son roman.
A. L’effet d’attente
Mme de Lafayette ne livre pas d’emblée le nom de l’héroïne. C’est au contraire par une sorte d’énigme que débute leportrait, l’apparition d’une inconnue dans le microcosme de la cour : Il parut alors une beauté à la cour qui attira… marque un effet de rupture dû à l’irruption de la fiction dans la chronologie. Tous les regards se portent vers cette beauté parfaite qui, surpassant toutes les autres, suscite leur admiration.
Le récit marque alors un temps d’arrêt. En revenant sur le passé de la jeune fillemystérieuse, l’auteur donne les éléments de résolution de l’énigme : on apprend qu’elle était de la même maison que le vidame de Chartres, dont il a été question au début du roman, et son nom est révélé par celui de sa mère, Mme de Chartres.
La fin du texte renvoie au début, et l’image, un instant interrompue, de l’entrée de Mlle de Chartres dans ce lieu où les regards jouent un rôle essentiel, revient aupremier plan : Lorsqu’elle arriva, le vidame alla au devant d’elle.
B. Une beauté idéalisée
La première désignation de l’héroïne est une métonymie : une beauté, reprise par une beauté parfaite et la grande beauté. Elle est l’incarnation de la beauté.
Sa description physique demeure très vague. On évoque seulement la blancheur de son teint, ses cheveux blonds, la régularité de ses traits. Oninsiste également sur sa jeunesse dans sa seizième année. Il n’y a donc aucun élément vraiment pittoresque dans la présentation qui est faite de l’héroïne. C’est une description stéréotypée.
Mme de Lafayette, bien loin de tendre vers le réalisme, se plaît au contraire à accumuler les termes abstraits qui favorisent les interprétations les plus subjectives. Elle préfère suggérer ce qui émane dela jeune fille : l’éclat, la grâce, les charmes. Ces concepts malaisés à définir créent un halo de connotations positives qui font rêver le lecteur.
L’absence de description précise va de pair avec une idéalisation du personnage, à travers divers procédés :
• La narratrice suggère d’abord l’intensité de sa beauté par les effets qu’elle provoque sur son entourage : elle attira les yeuxde tout le monde, elle donna de l’admiration, le vidame fut surpris de la grande beauté… Le narrateur rapporte l’admiration dont elle fait l’objet : l’on doit croire que c’était une beauté parfaite, puisqu’elle donna de l’admiration dans un lieu où l’on était si accoutumé à voir de belles personnes, grâce à un champ lexical de la vue : parut, yeux, voir.
• Les procédés hyperboliques sontnombreux.Mlle de Chartres est présentée dans une sorte de surenchère, comme surpassant tous les autres membres d’une cour qui, elle-même, est exceptionnelle. Les superlatifs sont nombreux : tout, parfaite, une des plus grandes, extraordinaires, extrême, un des grands partis, extrêmement, la grande beauté, que l’on n’a jamais vu qu’à elle, tous.
Le caractère exceptionnel du personnage…

Rapport

Projet de fin d’étude sous le thème :
Réflexion sur le contrôle interne au sein de BULL MAROC

Entreprise : BULL MAROC

: 1963 Option : Gestion financière et comptable

Encadrant externe :: 2008-2009

Dédicace
Après louange à Dieu, j’aimerais dédier cet humble travail aux êtres qui ont été toujours présents pour moi, chaque fois que j’avais besoin d’eux, aux êtres qui sont le préludede mon être, le goût de mon existence, à mes très chers parents, mon frère, ma sœur, ma famille et à tous mes amis, des êtres exceptionnels dignes du respect que je leur porte et de l’amour que je leur ressens. Je le dédie également à mes très chers professeurs et tous ceux que j’aime et que j’apprécie énormément.

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SOMMAIRE
Introduction Première partie : BULL et le Contrôle interneSection1 : Présentation du Groupe Bull ……………………………………………….. 9 1. Le Groupe Bull : un Groupe informatique international ………………….. 9 2. Les produits et les services …………………………………………………………….. 9 3. Chiffres clés …………………………………………………………………………………. 11 4.Un portefeuille sélectif d’activités produits et services…………………… 12 5. Les valeurs de BULL ……………………………………………………………………. 14 Section 2 : Approche théorique du contrôle interne ……………………………. 16 1. Le contrôle interne dans la loi Sarbanes-Oxley ……………………………… 17 2. Définitions…………………………………………………………………………………… 18 3. Objectifs ………………………………………………………………………………………. 19 4. Périmètre …………………………………………………………………………………….. 19 5. Acteurs………………………………………………………………………………………… 19 6. Environnement de Contrôle …………………………………………………………. 20 7. L’évaluation des risques :……………………………………………………………… 21 8. Les activités de contrôle : ……………………………………………………………… 21 9. L’information et la communication :……………………………………………… 21 10. Le pilotage :………………………………………………………………………………. 22 Deuxième partie: Le contrôle interne au sein De BULL Maroc Section 1 : Audit des stocks pièces de rechange et la mise en place d’un processus d’inventaires tournants. …………………………………………………….. 26 Section 2 :Mise en conformité contractuelle de la sous-traitance ………… 44 Section 3 :AUTRES ……………………………………………………………………………. 46

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Introduction
Le mémoire de fin d’études de l’ENCG-Settat est le fruit d’un stage de deux mois. Cette activité pédagogique est une expérience professionnelle visant à immerger l’étudiant dans l’encadrement afinde prendre en charge une mission au sein de l’entreprise et d’apporter des éléments de réflexion et des solutions, de manière argumentée et structurée. L’objectif général du MFE est de rendre l’étudiant apte à résoudre un problème et de développer des habiletés comportementales requises pour l’insertion dans une fonction d’encadrement. Il démontre aussi l’habileté à faire le lien entre la théorieet la pratique. Appliquant des éléments de la démarche de recherche appropriés, ce mémoire systématise les contenus et les procédés méthodologiques abordés en cours. Mon stage de fin d’études s’est déroulé dans la société BULL Maroc à Casablanca. La prise de contact des bases et outils de la gestion d’une compagnie de telle structure m’a été bénéfique à tous points de vues, il m’a permis en fait…

La mondialisation et ses conséquences sur les économies africaines

Franc CFA

Zone franc en Afrique
Le franc CFA (franc de la communauté financière africaine) est la monnaie de plusieurs pays d’Afrique constituant en partie la Zone franc.
En Afrique, la zone franc constitue un espace monétaire et économique. Cet ensemble, formé d’États et de territoires est issu de l’évolution et des transformations de l’ancien empire colonial français et d’États quin’étaient pas des colonies françaises comme le Cameroun (d’abord allemand), la Guinée équatoriale et la Guinée-Bissau. Après l’accession à l’indépendance, la plupart des nouveaux États ont choisi de rester dans un ensemble monétaire homogène, dont le cadre institutionnel a été rénové et qui a été structuré par un système de change commun. Leurs devises sont des contrevaleurs à parité fixe avec l’euro,dont la valeur est garantie par le Trésor public français, dans le cadre du traité de Maastricht.
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La zone franc [modifier]
La zone franc rassemble quinze états africains et des territoires du Pacifique répartis en quatre groupes :
• Huit États d’Afrique de l’Ouest : le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo formant l’Unionéconomique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), dont l’institut d’émission est la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) ; pour ce groupe, franc CFA est désormais désigné par franc de la communauté financière d’Afrique ; son code ISO 4217 est XOF.
• Six États d’Afrique centrale : le Cameroun, la République centrafricaine, la République du Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale et leTchad, formant la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), dont l’institut d’émission est la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC) ; pour ce groupe, franc CFA est désigné par franc de la coopération financière d’Afrique centrale ; son code ISO 4217 est XAF.
• L’Union des Comores, utilisant le franc comorien ; son code ISO 4217 est KMF.
• L’île de La Réunion autilisé le franc CFA de 1945 à 1975, avant d’adopter le franc français.
• Les trois collectivités françaises du Pacifique : la Polynésie française, Wallis-et-Futuna et la Nouvelle-Calédonie, dont l’institut d’émission est l’Institut d’émission d’outre-mer (IEOM) utilisant le franc pacifique (ou franc CFP) ; son code ISO 4217 est XPF.
L’arrimage monétaire a permis à ces pays d’avoir une monnaieexceptionnellement stable pour l’Afrique (auparavant rattaché au franc français, maintenant l’euro) en jugulant la tentation de la « planche à billet ». La plupart des pays de ces zones ont mis en place des mécanismes de contrôle des changes afin d’éviter les fuites de devises.
Ces monnaies (XAF, XOF, KMF et CFP) représentent 3 % de la masse monétaire de l’euro.
Si CFA a désormais une significationdifférente en fonction de l’institut d’émission, il signifiait entre 1945 et 1958 colonies françaises d’Afrique, puis entre 1958 et la décolonisation communautés françaises d’Afrique (y compris en Algérie avec le franc algérien, aux Comores et à Mayotte, jusqu’à l’indépendance des premiers et le remplacement du franc CFA par le franc français à Mayotte).
Avant 1945 (mais surtout au début de lacolonisation africaine ou l’établissement de protectorats français dans d’autres États), CFA a pu signifier aussi comptoirs français d’Afrique, ou communauté financière d’Afrique, et le franc CFA était utilisée comme monnaie séparée pour les établissements financiers privés et l’administration française avant d’en devenir la monnaie commune et légale (parallèlement aux autres monnaies locales dansle cas des protectorats).
Historique du franc CFA [modifier]
Créé initialement en 1939, juste avant la Seconde Guerre mondiale, de fait le franc CFA est officiellement né le 26 décembre 1945, jour où la France ratifie les accords de Bretton Woods et procède à sa première déclaration de parité au Fonds monétaire international (FMI). Il signifie alors « franc des colonies françaises d’Afrique…

Comment établir son cv

CURRICULUM VITAE D’ÉTUDIANT

Les dix étapes de la rédaction d’un C.V.

Voici un sommaire des dix étapes de la rédaction d’un excellent Curriculum Vitae. Étape 1 : Étape 2 : Étape 3 : Étape4 : Choisis un emploi cible (aussi appelé un objectif). Renseigne-toi sur les habiletés, connaissances et expériences requises pour cet emploi. Fais une liste de tes habiletés les plus fortes (3ou 4) qui amélioreront tes chances comme candidat pour l’emploi. Pour chaque habileté que tu as choisie, pense à plusieurs accomplissements qui y seraient reliés (de tes expériences passées, danstous les domaines de ta vie). Décris chaque accomplissement dans une phrase bien écrite, qui met de l’emphase sur les points clés. Dresse une liste des emplois que tu as eus, dans l’ordrechronologique. Inclus tout travail bénévole que tu as fait. Dresse une liste de ta formation ainsi que de ton éducation qui sont reliées à l’emploi. Choisis un format de CV qui convient à ta situation.Arrange tes sections selon le format que tu as choisi. Résume tes points clés en haut de ton CV.

Étape 5 : Étape 6 : Étape 7 : Étape 8 : Étape 9 : Étape 10 :

Curriculum Vitae d’étudiantCentre de ressources en emploi de Penetanguishene, 549-5227

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MODÈLE D’ÉCHANTILLON DE CURRICULUM VITAE (Style combiné) _____________________________________________________________________ OBJECTIF:____________________________________________ SOMMAIRE DE QUALIFICATIONS • ________________________________________________________ •________________________________________________________ • ________________________________________________________ • ________________________________________________________ • ________________________________________________________ÉDUCATION Diplôme/ 1 2 Nom de l’école, lieu Date

EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE
Compétences/Expérience en rapport avec votre objectif

• ________________________________________________________ •…

Le corps

L’image du corps dans Fin de partie
Dans le théâtre de Beckett, le corps est l’objet d’une attention extrême. Il est abordé comme un véritable matériau scénique, travaillé, sculpté, informé et déformé au même titre que les autres matériaux scéniques, l’espace, les objets, les costumes, la lumière, la parole. Les personnages présentent un corps souffrant, mutilé, morcelé, étranger à lui-même. Atravers ces corps, Beckett ne vise pas seulement l’image pathétique d’une humanité mourante, mais aussi l’exploration systématique de possibilités de jeu.

I] La représentation d’un corps pathétique
Le corps des personnages de Fin de partie est un corps mutilé et souffrant. Hamm est aveugle et paralytique ; Nagg et Nell sont immobilisés dans leur poubelle après un accident de tandem. Clov, lui,ne peut pas s’asseoir et a une « démarche raide et vacillante ». Les fonctions vitales, et en particulier sensorielles, sont régulièrement inspectées presque afin de vérifier que rien n’entrave leur mouvement d’épuisement : « Comment vont tes yeux ? – Mal. Comment vont tes jambes ? – Mal. »
Le corps est aussi asexué et infantilisé. Le sexe, « quelle importance ! » dit Clov à propos de l’enfantqu’il voit apparaître à la fin. L’enfant est donc asexué, de même que le chien, parce que le sexe se met à la fin et que la fin n’arrive pas. Les personnages ne sont plus en état de désirer. Nagg ne parvient plus à atteindre Nell pour « la bagatelle » et Clov éradique la puce qui lui gratte le pubis avec une forte dose d’insecticide, histoire que le coït se tienne coi. Le corps se réduit donc à sesfonctions infantiles : « faire pipi », manger « de la bouillie », sucer des « biscuits » ou des « dragées ».
Le corps, de façon microcosmique, participe du dérèglement du monde et du chaos qui entoure les personnages. Ainsi, Hamm déclare solennellement : « Il y a une goutte d’eau dans ma tête. Un cœur, un cœur dans ma tête. » Il assiste, impuissant, à cette déformation. Pour Clov aussi, le corpsparait déréglé : « J’ai mal aux jambes, c’est pas croyable. Je ne pourrai bientôt plus penser. » Le cœur est dans la tête, la tête est dans les jambes. Le corps des personnages est gagné par la désagrégation des choses : « Tu te crois un morceau ? » demande Hamm à Clov. « Mille », répond Clov. Le corps n’est plus pensé dans son unité, mais comme un assemblage de morceaux prêts à retourner à leurchaos premier. Le corps mutilé, souffrant, asexué, étrange, ouvre surtout à de nouvelles possibilités de jeu.

II] Le corps travaillé comme objet scénique
Le corps des personnages n’est pas entièrement visible. De Nagg et de Nell, on ne voit que la tête et le buste, et parfois les « moignons » accrochés aux rebords de la poubelle. Les yeux de Hamm, aveugles, se dérobent constamment à la vue duspectateur comme de Clov, qui n’a jamais osé soulever ses lunettes noires pour les contempler.
Les corps, dans Fin de partie, font l’objet d’un dévoilement. Clov, le seul personnage mobile et entièrement visible, a pour rôle de faire apparaitre ses partenaires, au sens fort du terme. C’est lui qui, dans sa longue pantomime du début, enlève les draps qui dérobaient à la vue du spectateur lespoubelles d’une part, le fauteuil de Hamm d’autre part. Mais l’apparition est encore retardée, car le drap ne recouvre qu’une surface derrière laquelle les personnages sont encore cachés : Nagg et Nell dans leur poubelle dont il faudra soulever le couvercle pour les voir apparaitre ; Hamm derrière un mouchoir, ce « vieux linge », miniature du drap qui lui recouvre le visage et à qui il s’adresse à lafin, comme à son ultime compagnon. On voit bien là que Beckett traite le corps de ses personnages comme des objets, des meubles, qui disparaissent derrière des draps. Pour le spectateur, les corps cachés derrière ces voiles ne sont autres que des meubles occupant une scène qui, autrement, serait vide.
Le corps n’est pas seulement fragmenté dans sa visibilité, rejeté dans l’ombre, recouvert ou…

Site web

Les dossiers du e-commerce

n°1 : Les fiches produits
Pour ce premier dossier, nous allons essayer de voir ensemble comment présenter son produit pour que le taux de transformation (le pourcentage de visiteurs qui auront poursuivi la visite jusqu’à l’achat) soit maximum. Il faut savoir que ce taux est compris dans la grande majorité des cas entre 1 et 5%. Il dépend de votre produit ou service,il n’y a donc pas réellement de norme. Cependant, améliorer ce taux est l’un des plus importants objectifs à vous fixer. La construction d’une fiche produit efficace vous permettra également d’atteindre deux autres objectifs de la plus grande importance :
• •

Un meilleur référencement (et donc plus de visites) Une augmentation du panier moyen (et donc plus de profits)

Voici les 6 étapes àsuivre pour réussir ses fiches produits : 1. Bien rédiger sa fiche produit 2. Réussir les photos de ses produits 3. Intégrer une vidéo de présentation de son produit 4. Présenter son produit en 3D 5. Les pièges à éviter 6. Les options à envisager

« Les fiches produits » – Dossiers du e-commerce (http://www.wizishop.com)

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Etape 1 : Bien rédiger sa fiche produit
La première étapelors de la création d’une fiche produit est de collecter et rédiger des informations sur le produit que vous allez vendre. Ces informations sont destinées à votre client et ont deux buts : lui donner confiance (enlever les freins, répondre aux questions qu’il se pose…) et lui donner envie (susciter son intérêt, créer un besoin…).

Quelles informations doit comporter ma fiche produit ? Avant derépondre à cette question, il faut savoir quel type de produit vous vendez. Le ton sera différent si vous vous adressez à un professionnel (language technique, plus tourné sur la marge ou les avantages clients) ou au grand public (ton plus léger, explications plus détaillées et plus simples). Ensuite les informations données seront différentes si il s’agit d’un produit fini ou semi-fini. Pour unproduit fini, la description du produit tournera autour de son utilisation (par exemple, on va décrire les différents usages et modes du robot mixeur Xbemol 3000). Pour un produit semi-fini (exemple, un profilé en aluminium), on va rester très large car son utilisation peut être multiple, il vaut mieux dans ce cas donner un maximum de caractéristiques générales. Enfin, les informations vont variers’il s’agit d’un produit unique dont vous êtes l’auteur ou le fabricant (vous aurez plus tendance à en parler comme de votre enfant) ou s’il s’agit d’un produit provenant d’un fournisseur (il faudra alors étudier ce que vos concurrents disent sur le produit…). Après toutes ces petites variations, je vais m’attarder sur des principes plus généraux. Tout d’abord, il ne faut pas hésiter à mettrebeaucoup de contenu. A l’inverse d’une page web classique où il est recommandé de ne pas mettre trop d’informations car l’internaute a tendance à zapper les pages de texte, dans le cadre d’une fiche produit, plus vous en mettrez, mieux ce sera. Si il s’agit d’un acheteur potentiel, il n’aura aucune difficulté à lire la fiche ou à chercher l’information qui l’intéresse. Et c’est là toute laproblématique, si votre visiteur cherche une information précise (par exemple la largeur d’un téléviseur) et qu’il ne la trouve pas sur votre site… il ira sur celui de votre concurrent ! D’un point de vue général il faut donc lui apporter toutes les précisions possibles : description, caractéristiques, cas client, références techniques, fichiers joints (notice de montage, présentation fournisseur…). Il peutêtre nécessaire d’ajouter un tableau de caractéristiques. Cela permettra de comparer plusieurs produits facilement et de n’oublier aucune information importante. Par exemple, pour un supermarché en ligne, on pourrait imaginer un tableau similaire pour tous les produits frais. On noterait ainsi la composition du produit, sa date de péremption, le contenu du sachet (ex : 6 cônes de glace), etc….

Jean anouilh (le théâtre)

« À partir de 19426, Jean Anouilh a classé la majeure partie de son œuvre dramatique par qualificatifs : Pièces roses, Pièces noires, Pièces brillantes, Piècesgrinçantes, Pièces costumées, Pièces baroques, Pièces secrètes et Pièces farceuses.
L’auteur traite presque toujours les mêmes thèmes : la révolte contre larichesse et contre le privilège de la naissance, le refus d’un monde fondé sur l’hypocrisie et le mensonge, le désir d’absolu, la nostalgie du paradis perdu del’enfance, l’impossibilité de l’amour, l’aboutissement dans la mort.
Anouilh ne verse pas dans la pièce à thèse, mais diversifie ses créations depuis lafresque jusqu’à la satire en passant par la tragédie. Il place avant toute chose le jeu théâtral.[réf. nécessaire]
Pièces roses (1942)
Humulus le muet (1929), LeBal des voleurs (1932), Le Rendez-vous de Senlis (1937) et Léocadia (1939)10.
À partir de 1942, Anouilh étrenne ses séries « thématiques » avec les Piècesroses qu’il fait alterner avec les Pièces noires. Ce sont des comédies savoureuses, où l’auteur se laisse aller à sa fantaisie.
Dans l’univers « rose »d’Anouilh, il y a deux catégories de personnages : « les marionnettes », qui sont pour la plupart des vieux ridicules et inconsistants et « les amoureux », des jeunesgens sincères qui croient à leur amour.
Pièces noires (1942)
L’Hermine (1931), La Sauvage (1934), Le Voyageur sans bagage (1937) et Eurydice (1942).Nouvelles pièces noires (1946)
Jézabel (1932), Antigone (1944), Roméo et Jeannette (1946), Médée (1946). »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Anouilh#Th.C3.A9.C3.A2tre

Mirage

Outils et Techniques d’Expression

LES MIRAGES

Outils et techniques d’expression

LES MIRAGES

Introduction

I) UN PEU D’OPTIQUE

a) Notion de rayon lumineux et d’indice de réfraction

b) Caractéristiques de certains milieux

c) La réfraction

d) Loi de Descartes concernant la réfraction

e) Les milieux stratifiés

II) LES MIRAGES

a) Un peud’histoire

b) Loi de gladstone

c) Les mirages chauds

d) Les mirages froids

e) Les fatas moraganas

Conclusion

INTRODUCTION

Beaucoup de témoignages datant des siècles derniers rapportent des éléments presque divins ou surnaturels. Il s’agit en effet pour la plupart de phénomènes optiques, mal interprétés à l’époque car leurs connaissances dans ce domaine étaientencore très vagues. Heureusement, de nos jours, grâce à de nombreuses découvertes, nous pouvons expliquer ces phénomènes : il s’agit des mirages.
Mais qu’est-ce qu’un mirage ?
Voir un mirage c’est voir un objet réel à un endroit où il ne devrait pas être du au phénomène de réfraction. La réfraction est la déviation de la lumière entre deux milieux de nature physique différente et elle nouspermettra de donner une interprétation scientifique du mirage.
Ainsi, afin de pouvoir étudier les mirages, quelques connaissances en optique sont nécessaires.
C’est pourquoi nous consacrerons la première partie de cet exposé à l’énoncé de quelques lois d’optique.
Puis nous nous orienterons vers une explication approfondie des différents types de mirages.

I/ UN PEU D’OPTIQUEComme nous l’avons vu précédemment, pour pouvoir étudier les mirages il faut comprendre le phénomène physique qui en est à l’origine : la réfraction.
Nous allons donc dans cette première partie nous intéresser à ce phénomène.

a) Notion de rayon lumineux et d’indice de réfraction

On appelle rayon lumineux la courbe suivit par la lumière quand elle traverse un milieu.Or, la vitesse de la lumière dépend du milieu dans lequel elle se déplace et pour être plus précis, elle dépend de l’indice de réfraction du milieu considéré.
La vitesse de la lumière dans le vide (appelée également célérité) sert de référence pour calculer les indices des réfractions des autres milieux.

La vitesse de la lumière, dans un milieu quelconque, est reliée à la célérité et àl’indice de réfraction du milieu considéré par la relation suivante :

V=C/n

Avec : V la vitesse dans le milieu considéré (exprimée en m.s-1),
C la célérité qui est égale à 3.108 m.s-1
n l’indice de réfraction dans le milieu considéré (sans unité)
Pour avoir une idée des indices de réfraction des principaux milieux connus,voici un tableau associant chaque indice à son milieu :

|MILIEU |INDICE |
|vide |n=1 |
|air|n=1,33 |
|verre courant |n=1,5 |
|eau|n=1,33 |
|Verre à fort indice |1,6 ( n ( 1,8 |

De plus, les rayons lumineux ne réagissent pas de la même manière selon le milieu étudié. On peut les classer selon deux grandes classes :…

Wikipédia

Wikipédia (phonétique : /wi.ki.pe.dja/) est une encyclopédie multilingue, universelle, librement diffusable, disponible sur le Web et écrite par les internautes grâce à la technologie wiki. Elle aété créée en janvier 2001 et est devenue un des sites Web les plus consultés au monde[2]. Elle est hébergée par une fondation américaine, la Wikimedia Foundation. Les mêmes principes fondateurs sontpartagés par toutes les différentes versions linguistiques, mais les pratiques d’écriture sont convenues indépendamment par les internautes pour chacune d’elles.

Lors du 5e Symposium international surle journalisme en ligne, Jonathan Dee, du New York Times[3], et Andrew Lih[4] ont mentionné l’importance de Wikipédia, non seulement comme une encyclopédie de référence mais aussi comme une ressourced’actualités très fréquemment mise à jour. L’attention a cependant été attirée à de nombreuses reprises sur des problèmes éditoriaux internes à l’encyclopédie[5].

Lorsque le magazine Time a reconnu« Vous » (You) comme personnalité de l’année 2006, en reconnaissant l’accélération de la collaboration en ligne et l’interaction de millions d’utilisateurs dans le monde, il a cité Wikipédia comme l’undes trois exemples de services Web 2.0, avec YouTube et Myspace[6].En mars 2000, Jimmy Wales crée Nupedia, une encyclopédie libre en ligne. Il bénéficie pour cela du soutien de la société Bomis, dontil est l’actionnaire majoritaire[W 1]. Larry Sanger est engagé dans cette société au titre de rédacteur en chef. Nupedia fonctionnant avec un comité scientifique, la progression du nombre d’articlesest très lente. Le matin du 2 janvier 2001, Larry Sanger a une conversation avec le programmeur Ben Kovitz, qui lui explique le concept du wiki. À cause de la frustration occasionnée par la lenteur dela progression de Nupedia, Larry Sanger propose à Jimmy Wales la création d’un wiki afin d’accroître la vitesse de développement des articles, ce qui donne lieu à la création de Wikipédia le 15…

L’art est il un luxe?

Art et nature
L’art s’oppose à la nature comme l’élaboré s’oppose au donné. L’objet naturel est produit par une cause naturelle. Celle-ci peut être physique et/ou chimique, biologique ; l’objetélaboré est donc différent de l’instinct.

Caractère de l’instinct :

il est inné, transmis biologiquement ;
il est inconscient, comme un automatisme.
L’instinct est donc une force innée etinconsciente, qui détermine les mouvements de l’animal. Cette force amène l’animal à répéter les mêmes gestes, répétitions qui s’oppose à l’art. Cette répétition ne fait apparaître aucun progrès. L’instinctest sûr : une araignée ne rate jamais sa toile. L’instinct met en œuvre une causalité nécessaire, mécanique, un enchaînement de causes et d’effets : le déterminisme. Toutes les actions animales sontdéterminées, s’opposant ainsi à la liberté de l’artiste (prévisibilité, absence de liberté).

L’objet de l’art doit donc être produit par un être conscient (différent d’instinct), intelligent etlibre.

L’homme se représente l’objet de l’art avant de la produire. Il n’y a pas d’art sans cette faculté d’anticipation. L’objet existe d’abord dans la conscience, sous forme idéale (conscience del’artisan par exemple). Ces formes idéales déclenchent une action volontaire. La causalité est finale (différente de mécanique, d’instinctive). Il s’agit de trouver les moyens les plus efficaces pourréaliser l’objet dont on a l’idée : ce sont les moyens techniques :

un ensemble de règles, de procédés permettant d’élaborer l’objet. La pratique s’apprend (dans le temps) par la maîtrise (différentd’innée). C’est une astreinte à des exercices répétés et qui permettent de progresser (différent d’instinct, de sûreté).
On peut donc distinguer :

Animal > instinct > causalité mécanique > instinctréalisé
Homme > intention > causalité finale > volonté > causalité mécanique > objet
Chez l’homme, l’objet précède la cause, l’action ; chez l’animal, l’objet suit la cause.

1.Première…