Dossier sur la guerre d’algérie

LA GUERRE D’ALGERIE
(1954 – 1962 )

SOMMAIRESOMMAIRE
1.Les origines du conflit2
a)Contexte socio – économique2
b)Contexte politique2
a)Émeutes de Sétif et radicalisation indépendantiste3
2.La guerre d’ Algérie3
a)Du terrorisme à la guerre3
b)Congrès de la Soummam et bataille d’Alger4
c) l’année du tournant5
d)1960-1962 : de la crise politique aux accords d’Évian6introduction : La guerre d’Algérie se déroule de 1954 à 1962 et débouche sur l’indépendance de l’Algérie ( qui fut une colonie française de 1832 à 1848, puis une partie intégrante du territoire de la République ).
Cette guerre oppose l’armée française à un groupe révolutionnaire . Ce conflit se double d’une guerre civile donnant lieu à des vagues successives d’attentats, assassinats et massacres enFrance comme en Algérie . Côté algérien, elle se traduit par une lutte de pouvoir qui se conclue par la victoire du FLN sur les autres partis algériens et par une campagne de répression contre les harkis qui soutiennent le rattachement de l’Algérie à la République française. En France, cette guerre suscite l’affrontement entre une première minorité active et hostile à la poursuite des hostilités(mouvement pacifiste), une seconde favorable à la révolution ( “Porteur de valise” )et une troisième ralliée au slogan de l’« Algérie française ».
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_d%27Alg%C3%A9rie]
Les origines du conflitContexte socio – économique Depuis 1930, 1,5 million de « pieds-noirs » ( nom donné aux européens venus s’installer en Algérie ) d’origine française y sont installés depuis déjàplusieurs générations. Ils sont les seules à avoir accès aux droits civiques et politiques nationaux ; ils sont également les principaux propriétaires fonciers ( il possède un quart des terres agricoles ) et occupent la plus grande partie des postes de pouvoir.
Les « pieds-noirs » sont profondément attachés à l’Algérie et comprennent mal la montée de revendications nationalistes dans algériensd’origine arabes et berbères qui, en raison d’une forte expansion démographique, se trouvent dans une situation de misère croissante.

[http://fr.encarta.msn.com/text_741527755___10/Alg%C3%A9rie_guerre_d%27.html]
Contexte politique Au cours des années trente, trois grandes tendances apparaissent dans les milieux arabes en Algérie :

la première défend l’idée d’une Algérie musulmane,la deuxième est pour l’indépendance et la révolution sociale,
tandis que la troisième, celle de l’élite musulmane, revendique une « assimilation » totale des Algériens l’ obtention la citoyenneté française ,et l’égalité des droits (les habitants de l’Algérie française musulmans sont à l’époque considérés comme des citoyens de seconde zone ).

Cette dernière tendance disparaît après ledébarquement allié en Afrique du Nord, en 1942 ; elle est catégoriquement rejetée par Ferhat Abbas , jusqu’alors l’un de ses plus farouches partisans, qui publie, en février 1943, le Manifeste du peuple algérien, qualifiant l’assimilation de « machinerie dangereuse au service de la colonisation ».

Le gouvernement provisoire du général de Gaulle octroie la citoyenneté française à plusieursdizaines de milliers de musulmans, le 12 décembre 1943 , et promet des réformes. Cependant, cela n’ empêche pas la progression dans le pays de l’idée selon laquelle il faut soustraire l’Algérie à la souveraineté française.
La participation exemplaire des troupes algériennes à la libération de la France conduit le général de Gaulle, lors de son discours à la conférence de Brazzaville en 1944, àévoquer la possibilité d’accorder une autonomie nouvelle à l’Algérie, suscitant un espoir rapidement déçu dans les milieux indépendantistes.

[http://fr.encarta.msn.com/text_741527755___10/Alg%C3%A9rie_guerre_d%27.html]

Émeutes de Sétif et radicalisation indépendantiste
Les célébrations de la victoire du 8 mai 1945 se transforment en des émeutes violentes à Sétif et à Guelma ; plus d’une…

Mareting relationel bancaire

1. Définition
2. Les missions de la force de vente
3. Le profil pour assurer ces missions
4. Organisation de la force de vente
5. La gestion de la force de vente
6. Les objectifs commerciaux1.
Définition

La force de vente d’une entreprise est l’ensemble des personnes ayant pour mission de vendre les produits de l’entreprise.

2. Les missions de la force de vente

La force devente exerce plusieurs fonctions.
| La vente : négocier et conclure des contrats de vente avec les clients.
|
| La prospection : rechercher de nouveaux clients, analyser les besoins desclients.
|
| La fidélisation : entretenir le portefeuille clients et assurer le suivi des ventes.
|
| La communication :
| vers les clients : assistance avant et après vente,
|
| versl’entreprise : la force de vente permet l’étude du marché permanente en faisant remonter les informations.
|
|
| La force de vente est le véhicule de l’image de marque de l’entreprise : en effet levendeur représente son entreprise sur le terrain. |

3. Le profil pour assurer ces missions

Les qualités requises pour occuper ce poste dans une équipe, commerciale :
| Personnelles :
|Bonne présentation. |
| Confiance en soi. |
| Optimisme. |
| Résistance physique. |
| Dynamisme. |
| Adaptabilité aux situations diverses. |
| Ambition. |
| Autonomie.

|
|| Commerciales :

| Aptitude au contact humain et à la négociation. |
| Sens de l’initiative. |
| Tenace, persévérant. |
| Disponible. |
| Aptitude à s’affirmer.

|
|

|Techniques :

| Bonne culture générale. |
| Bonne organisation. |
| Bonne connaissance du marché et du produit. |
| Maîtrise des outils de gestion commerciale. |
| Être capable detravailler dans des conditions difficiles. |
| Avoir le sens de l’organisation. |
| Savoir gérer. |
|

4. Organisation de la force de vente

Les équipes sont organisées dans les…

Commentaire candide chapitre 30

Plan commentaire Candide chapitre 30

Introduction :
Candide est un conte philosophique de Voltaire, dans lequel l’auteur se sert des péripéties du jeune Candide et de son précepteur Panglosspour ridiculiser la philosophie optimiste d’une part, pour promouvoir certaines valeurs chères à l’auteur d’autre part. Dans l’épilogue, nous verrons quels bilans du conte dresse l’auteur , en nousintéressant tout d’abord à la dérision finale de l’optimisme, puis à l’évolution de Candide, avant de nous intéresser à la philosophie du travail proposée.

I) L’incurable optimiste

Dérision del’optimisme passe une nouvelle fois par Pangloss, qui paraît incurable

1) Un bavardage inutile
– Longue énumération des rois : étalage de culture et multiplication d’exemples qui prêtent à sourire etne font pas avancer le débat.
– Citation latine et déduction proche de la tautologie ( « pour qu’il travaillât » = « pas né pour le repos »
– Inaction de Panglos prouvée dans le dernier paragraphe: chacun a une activité sauf Pangloss : « Pangloss disait quelquefois à candide » ; quelquefois = idée de ressassement du discours.

2) L’absence d’esprit critique
« selon le rapport de tous lesphilosophes » + références à la Bible = incapacité de Pangloss (et des autres philosophes optimistes) à penser par eux-mêmes.

3) Un raisonnement absurde
– Dernière phrase de Pangloss : décalageentre épreuves évoqués et la récompense (« des cédrats confits et des pistaches » qui souligne une nouvelle fois le ridicule de la théorie optimiste.

=> Pangloss n’a pas changé depuis le début duconte, mais il a perdu toute influence sur son disciple.

II) L’apprentissage de Candide

1) Le mépris du maître

– Candide interrompt Pangloss ; il reprend son discours avec des tournuresmoqueuses « Je sais aussi » ; « Cela est bien dit, mais… ». Il est débarrassé de la tutelle de son maître et de sa vision optimiste.

2) Un homme curieux et raisonnable

– Interroge et écoute le…

Travail

Le travail en équipe est un élément indispensable pour un ingénieur puisque l’ingénieur en question ne travail pas tout seul, la plupart du temps, il doit interagir avec d’autres personnes afind’accomplir une tâche demandée. Et ce n’est pas tout le monde qui possède la capacité de travailler en équipe, certaines sont plus ou moins à l’aise devant les autres alors que d’autres aiment toutsimplement travailler seul, certes la capacité d’une communication interpersonnelle ne se développe pas d’un jour à l’autre, il faudrait donc commencer à développer cet habilité dès aujourd’hui. Conscient dece fait, j’ai fait une réflexion sur mon profil en communication. Je procéderais d’abord par définir mes forces et mes faiblesses de communication pour ensuite trouver un point à améliorer. Le butétant de fixer un objectif concret pour m’assurer d’avoir une communication efficace avec les autres personnes.

Au cours de mes années d’étude, je me suis rendu compte que, malgré mon caractère social,je suis une personne assez timide. Lorsque je suis dans une classe où je ne connais personne, j’ai plutôt de la misère à parler. Par contre, une fois que je connaisse les gens de ma classe, je suisdevenu très bavard. D’une part, j’aime parler et travailler avec les personnes que je connais bien, d’autre part, je suis une personne curieuse et soucieuse de ma performance et aussi la performance demon équipe. De plus, je crois avoir maîtrisé les gestes non verbales puisque je porte une attention particulière à mon comportement à chaque fois que je suis devant quelqu’un; aussi, je suis capablede se mettre dans la peau de quelqu’un d’autre et de maintenir une bonne relation avec les amis qui m’entourent.

L’été passé, je suis allé à Chicoutimi pour passer un entrevu au collège deChicoutimi. Je me rappel bien que mon entrevu n’allait pas très bien. Ils étaient deux personnes devant moi à me poser des questions et je me rappel que j’étais très stressé, je n’arrive à peine à…

Le conte phylosophique

LE CONTE PHILOSOPHIQUE

I. LES ROMANS ET LES CONTES AU XVIIIe SIECLE

Le XVIIe siècle littéraire est essentiellement marqué par le théâtre, divertissement royal par excellence. Après la mort deLouis XIV (1715), le déclin de l’état monarchique entraîne celui du genre théâtral et c’est le genre romanesque qui va prendre le dessus : il permet, mieux que ce dernier, l’évasion « individuelle »de l’esprit.
Les frontières entre conte /roman /nouvelle restent floues au XVIIIe siècle : on les distingue plus par leur longueur que par leur contenu spécifique, le roman constituant la forme laplus « longue » de récit, la nouvelle étant la plus « brève ».
La caractéristique commune aux contes du XVIIIe siècle est la mise en scène d’un décor et de personnages exotiques, traduisant lafascination de l’époque pour l’Orient, connu à travers les récits de voyageurs et des missionnaires. L’Orient élargit d’une part le champ de l’imagination et de l’invention de l’auteur ; d’autre part, sacritique des mœurs et des institutions pourra s’exercer plus librement, sans crainte de la censure, puisqu’elle sera censée porter sur un pays géographiquement lointain.

II. VOLTAIRE ET LE CONTEPHILOSOPHIQUE

Voltaire écrivit d’abord des contes à titre de divertissements mondains, pour plaire au public des cours qu’il fréquentait (Duchesse du Maine, Stanislas Roi de Pologne en titre, FrédéricII de Prusse) ; il ne les considérait à l’origine que comme des « bagatelles », des « fadaises » (sic). Cf. le jeu des « loteries littéraires »…
Voltaire entra dans le « jeu » du conte en yintégrant de l’exotisme, du merveilleux, du romanesque, des aventures, mais sans cesser d’être un divertissement, le conte devint avec lui philosophique.
Qu’appelait-on philosophie au XVIIIe siècle ? Unenouvelle attitude de pensée qui consistait à remettre en cause les fondements de la société, de la morale, de la politique, de la religion : bref, un regard critique sur les institutions considérées…

Philo force et justice

Pascal, Pensées, Lafuma, 103.
Justice, Force
Dans cet extrait des Pensées de Pascal, le thème est axé sur la Justice et la Force. Selon l’auteur, la justice a besoin de la force et la force dela justice, l’une sans l’autre créant un déséquilibre. Pour cela, il met d’abord en avant ce déséquilibre, avant de dire que ces deux notions doivent aller de pair mais finalement qu’elles nesont pas compatibles.
Pascal cherche donc à montrer le lien existant entre Justice et Force. Loi et Force sont-elles applicables sans conflits ? Une justice par la Force est-elle juste ? Sans lajustice, la force est-elle efficace ?
Premièrement, nous observerons comment Pascal montre le paradoxe entre Justice et force. Puis, nous verrons que ces deux notions doivent s’assembler. Enfin,nous analyserons comment l’une, la force, prend le dessus sur l’autre.
I. Confrontation
-justice valorisée (=droit, légitime)
-force plutôt mal désignée (tyrannique, contredite, accusée)
-l’unsans l’autre crée le déséquilibre

II. Deux notions liées
-« Justice sans force =… », « Force sans justice =… » : conséquences d’une notion sans l’autre
-chacune a ses limites
-finalementelles son contraires mais se complètent

III. La dominance de la Force
-elle contredit la justice
-la justice est discutable, pas la force
-on pense au droit naturel, « la loi du plus fort »-la force gagnante est injuste, inégalitaire

Apres avoir montré le paradoxe de l’écart et du caractère fusionnel entre Force et Justice, Pascal nous montre finalement que la Force l’emporte.Dans certains état, on voit bien que la force est injuste; on prend pour exemple , les dictateurs qui font aujourd’hui se révolter certains peuples comme en Tunisie ou en Egypte.
Si la justice estimpuissante et faible, et la force injuste est tyrannique, comment trouver un juste milieu ? Existe-t-il une réel justice, et si oui, qui peut prouver qu’elle est équitable et égale pour tous…

Le chomage des jeunes

Le chomage touche particulierement et de façon croissante la partie la plus jeune de la population et plus encore ceux qui sont les moins qualifies.Ce simple constat suffit a montrer que lesformations prodiguées par les écoles et les universités ne sont pas si mauvaises qu’on le dit; puisque ceux qui en sortent trouvent plus facilement un emploi que ceux qui pour une raison ou une autre n’enont pas beneficié.
La tentation est cependant grande et peu y resistent, d’en deduire que si les ecoles et les universités formaient et diplomaient également les jeunes actuellement les jeunesactuellement les moins qualifiés on pourrait du meme coup resoudre leur probleme d’insertion professionnelle.L’idée revient périodiquement sur le devant de la scène politique: le chomage des jeunes serai duau disfonctionement de l’éducation nationale améliorons la formation et le chomage sera vaincu. Cette vision du probleme est simple mais illusoire. Pour le comprendre il faut analyser les causes duchomage des jeunes.

Causes économiques du chomage
-La conjoncture et le rythme de croissance economique.
-le cout élevé du travail.
-la substitution du capital au travail.
-les entrepriseslicencient pour reduire leur cout de production.
-la concurrence des pays en dévéloppement et les délocalisations d’entreprises.

Causes démographiques et sociales
-L’évolution démographique.
-Ledévéloppement du travail féminin.
-le chomage d’incoherence.

Autres causes
-Les rigidités du marché du travail.
-Les difficultés a licencier
-L’existence d’un SMIC éléve.
Un système d’allocationgénéreux

Les conséquences du chomage
.CONSEQUENCES POUR L INDIVIDU
-Perte de revenu.
-Baisse du pouvoir d’achat.
-Sentiment d’exclusion.
-Difficultés psychologiques.

.CONSEQUENCES POUR LA SOCIETE-Effritement du lien social
-Marginalisation d’une partie de la population.
-réduction de la demande suite a la baisse du niveau de vie.
-Délinquance

LUTTE CONTRE LE CHOMAGE
-Formation…

Changer la vie

“CHANGER LA VIE” (A.RIMBAUD)
Dal momento che Rimbaud lo si può considerare il rivoltoso per eccellenza, è come se egli stesso volesse lanciarci questomessaggio di seguirlo, di emularlo.
Trovo questa frase molto attuale, poiché noi oggi non facciamo che dire di voler cambiare la nostra vita con una migliore, maforse sarebbe meglio fermarsi e guardarci dentro, per apprezzare ciò che abbiamo.
J’ai choisi cette phrase parce-que je pense qu’elle concerne tout le monde. Ondisent souvent qu’il faut changer la vie, parce-qu’elle ne nous satisfait pas. Nous voulons alors changer la vie pour une vie meilleure. On peut changer deprofession, de ville, de voiture, de compagne, enterprendre de faire le tour du monde en laissant derrière ses projets avortés et ses déboires.
La vie n’est pasun long fleuve tranquille, plutôt un ruisseau zigzaguant toujours incertain, serpentant. Il y a en effet des ruptures nécessaires, qui segnalent l’urgenced’un remaniement, d’une révolution intérieure. Le désir, écrasé dans l’habitude et les renoncements, se reveille d’un coup, exige un nouveau depart, et ces crisessont aussi necessaries que les periods d’accalmie.
Mais souvent on ne peut pas changer tout dans sa vie ou on peut tomber dans des situations pire qu’avant etnous nous abandonnons en petit changements qui donnent seulement l’illusion du changement, mais c’est la meme vie qui continue.

Je pense que pour changervraiment notre vie nous ne devons pas recherché changements dans le monde extérieur mais plutôt chercher les réponses des notres problems en nous-mêmes.

La suède, commerce extérieur

Catégorie économique
La Suède

Travail pratique du cours de: Commerce extérieur

Sous la supervision de : Travail pratique présenté par :
Freddy CLAUWAERTS Lorédana BULCOURT
2e Bachelier Secrétariat de direction
Entreprise-Administration

Année académique 2009/2010

Table des matières

1. Données géopolitiques 4

1.1. Situationgéographique 4

1.2. Fiche signalétique 6

1.3. Drapeaux 7

1.4. Langues 8

1.5. Aspects démographiques 9

1.6. Culture 10

1.7. Religions 12

1.8. Organisation politique 12

1.9. Organisation de l’enseignement 14

2. Données économiques 15

2.1. Richesse du pays et activités économiques 15

2.2. Monnaie 16

2.3. Produitsimportés et exportés 20

2.4. Implantation commerciale avec l’Union Européenne 22

2.5. Implantation commerciale avec la Belgique 22

2.6. Implantation commerciale avec la Wallonie 24

3. Annexes 26

4. Sources consultées 28

4.1. Bibliographie 28

4.2. Médiagraphie 28

4.3. Iconographie 29

1. Données géopolitiques

1.1. Situation géographiqueLa Suède se situe au sud de l’Europe, dans la partie orientale de la péninsule scandinave.

À l’ouest de la Suède se trouve la Norvège et à l’est la Finlande. Le Danemark, l’Allemagne et la Pologne se situent au sud.

La Suède est bordée par la mer Baltique et l’océan glacial Arctique.

Il y a 5 îles suédoises dans la mer Baltique: l’île d’Öland, l’île de Gotland, l’île de Fårö, l’îlede Gotska Sandön et l’île de Stora Karlsö.

Sur la côte ouest de la Suède se trouve l’île de Marstrand, l’île d’Åstol, l’île de Käringön et les îles Koster

L’île d’Ulvön se trouve sur la Haute Côte et l’île de Visingsö dans le Lac Vättern.

La Suède compte 53 % de forêts dans lesquelles on retrouve majoritairement des pins, des épicéas et des bouleaux. Les forêts sont cultivées à 67 %. Ily a également 17 % de montagnes, 8 % de terres (cultivées à 7 %).

On ne dénombre pas moins de 95 700 lacs (environ 9 % du territoire). Parmi eux, se trouvent les grands lacs Vänern et Vättern, le lac Värmland, le lac Småland, le lac Siljan (Dalécarlie), le lac Storjön (Jämtland) et les lac de la Laponie.

La Suède possède 7 624 kilomètres de côtes: la côte ouest de la Suède, la côte sud-estde la Suède, la Haute Côte (nord-est de la Suède), les côtes sur l’île d’Öland et les côtes sur l’île de Gotland. Le climat est tempéré grâce au Gulf Stream.

L’altitude minimale est de 0 mètre à la mer Baltique et l’altitude maximale est de 2 111 mètres au sommet de Kebnekaise dans le nord de la Suède.

1.2. Fiche signalétique

* Nom officiel

Royaume de Suède

* Nature del’état

Monarchie constitutionnelle

* Nature du régime

Parlementaire

* Capitale

Stockholm

* Chef d’état • Premier ministre

Carl XVI Gustav est le roi de Suède Frederik Reinfeldt
depuis le 15 septembre 1973

* Superficie

La Suède est le troisième plus grand pays d’Europe en superficie avec 450 000 km² (eau: 39 000 km² et terres: 411 000 km²)* Comtés

Blekinge, Dalarna, Gävleborg, Gotland, Halland, Jämtland, Jönköping, Kalmar, Kronoberg, Norrbotten, Örebro, Östergotland, Skåne, Södermanland, Stockholm, Uppsala, Värmland, Västerbotten, Västernorrland, Västmanland et Västra Götaland.

(Voir en annexe 1, la carte des comtés de Suède)

* Ressources naturelles

Zinc, minerai de fer, plomb, cuivre, argent, bois, uranium,énergie hydroélectrique, orge.

1.3. Drapeaux

* Le drapeau national

Les couleurs viennent des armes traditionnelles suédoises qui existent depuis le 14e siècle: les trois couronnes d’or sur un champ d’azur.

La croix dissymétrique scandinave indique les liens de la Suède avec les autres pays du nord.

Les premières représentations du drapeau suédois datent de 1449 sur un sceau du…

Droit

Droit des obligations

Introduction:

§1 La notion d’obligation:

Un lien de droit en vertu de créancier, débiteur, prestation, abstention.

Lien de droit, qui soit sanctionné par l’Etat et il faut ce lien lie spécialement une personne à une autre.

L’existence d’un lien de droit : (sens immatériel)

2) Une sanction étatique :

On a une obligation que si l’Etat sanctionnel’absence de validité ou la non exécution de l’obligation. Cette exigence importante, permet d’exclure les devoirs moraux et religieux.
Sont également des obligations au sens civil du terme. Ils existent des devoirs moraux au sens civil du terme.
Cette exigence permet également les obligations civils des obligations que l’on dit natuerl.
Les obligations naturels sont les obligations non sanctionné. Lecréancier ne peut pas obligé le débiteur pour l’exécution.

L’obligations naturel peut se transformer en une obligations civil, donc le créancier peut saisir le débiteur. Lorsqu’elle est exécuter. la jurisprudence, la cour de cassation estime que si le débiteur d’une obligation naturelle exécute volontairement cette obligation en toute connaissance de cause.

La jurisprudence considèreégalement que les paiements déjà effectuer sont valable. Juridiquement on dit que l’action en répétition qui permet de récupérer des sommes qui ne devaient pas être verser.
Ex: Une obligation alimentaire entre ascendant et descendant. La loi n’a rien prévu entre collatéraux (frères et soeurs.)
C’est une obligation naturelle, dépourvu de sanction.

mais si une personne commence à verser une sommed’argent, devra continué à payer s’il a les moyens.

Cela veut dire que le créancier va pouvoir exiger du débiteur le versement de cette pension.

L’exigence d’un créancier :

Les obligations ne sont pas des obligations au sens civil du terme. (pas créancier, pas débiteur).

Nécessairement 2 personnes.

Ces obligations sont classés.

§2 La classifications des obligations :

Lesobligations d’après leur objet
D’après leur source (d’où viennent ces obligations)

Classifications fondé sur leur objet

Obligation de donner de faire ou de ne pas faire (celle du Code civil art. 1101).

L’obligation de donner c’est celle de transférer la propriété.
Aujourd’hui l’obligation de donner est remise en cause. Parce que en droit français le transfert de propriété opère dèsl’échange un consentement. lorsqu’un vendeur et un acheteur se mettent d’accord sur un prix. Dès que l’acheteur donne son acceptation, le contrat est opérer. (2 temps dans un contrat: la phase de la formation et de l’exécution).

L’obligation de donner ne présente aucun intérêt. Mais il possible que le transfert de propriété ne fasse pas aux même temps de l’échange de consentement. Clause de réserve depropriété -> au moment qu’il paye.
Est ce que cette clause va permettre de retrouver un intérêt pour l’obligation de donner. Non car dès que l’acheteur paye le prix le transfert de propriété s’exécute automatiquement. Il n’a pas besoin de saisir les tribunaux pour affirmer la propriété.

Obligations de faire ; celle qui oblige le débiteur à faire quelque chose de positif.
Obligations de nepas faire oblige le débiteur à s’abstenir. Ex: obligation de non concurrence lorsque salarié ne travaille plus dans l’E.

Ces obligations de faire ou de ne pas faire ne sont pas susceptible d’exécution forcé. Article 1142 du Code civil.
Si un débiteur est tenu de faire une obligation de faire ou de ne pas faire, le créancier peut obliger le débiteur en recours à un juge -> réparationmonétaire.

On ne peut pas contraindre un débiteur, on ne peut pas obliger quelqu’un d’exécuter son obligation. Ces obligations de faire ou de ne pas faire, on dit qu’elles ne sont susceptible que d’une obligations par équivalence.

Le débiteur ne doit pas avoir le choix entre exécuter et versé une indemnité. Ex : agence de voyage annule, mais dit je vous indemnise mais cette indemnisation…