Metaphore du cri

erme de grammaire. Formation d’un mot dont le son est imitatif de la chose qu’il signifie.

« L’onomatopée est une figure par laquelle un mot imite le son naturel de ce qu’il signifie ; on réduitsous cette figure les mots formés par imitation du son, comme le glouglou de la bouteille, le cliquetis, c’est-à-dire le bruit que font les boucliers, les épées et les autres armes, en se choquant. Letrictrac qu’on apeloit autrefois tictac ; sorte de jeu assez commun, ainsi nommé du bruit que font les dames et les dés dont on se sert à ce jeu : Tinnitus œris, tintement : c’est le son clair et aigudes métaux . Bilbire, bilbit ámphora, la petite bouteille qui fait glouglou, on le dit d’une petite bouteille dont le goulot est étroit.

Taratántara, c’est le bruit de la trompette.

At tubaterribili sónitu taratántara dixit.

C’est un ancien vers d’Ennius, au rapport de Servius. Virgile en a changé le dernier hémistiche, qu’il n’a pas trouvé assez-digne de la poésie épique ; voyezServius sur ce vers de Virgile :

At tuba terribilem sónitum procul are canóro
Incrépuit.

Cachinnus, c’est un rire immodéré. Cachinno, ónis, se dit d’un homme qui rit sans retenue : ces deux mots sontformés du son ou du bruit que l’on entend quand quelqu’un rit avec éclat.

Il y a aussi plusieurs mots qui expriment le cri des animaux, comme béler, qui se dit des brebis.
Baubdri, aboyer, se ditdes gros chiens. Latráre, aboyer, hurler, c’est le mot générique. Mutire, parler entre les dents, murmurer, gronder, comme les chiens : mu canum est, unde mutire, dit Charisius

Les noms deplusieurs animaux sont tirés de leurs cris, surtout dans les langues originales.
Upupa, Hupe, Hibou.
Cúculus, qu’on prononçoit coucoulous, un Coucou, oiseau.
Hirúndo, une Hirondelle.
Ulula, Chouète.Bubo, Hibou.
Grácculus, un Choucas, espèce de Corneille.
Gallina, une Poule.

Cette figure n’est point un trope, puisque le mot se prend dans le sens propre : mais j’ai cru qu’il n’étoit pas…

Architecture grecque

LA DECOUVERTE DE L’ARSENAL DE PHILON

II y a peu de monuments de I’antiquite qui ont connu la carriere litteraire brillantede la Skeuotheque ou Hoplothkque (en latin armamentarium)de Philon. Ayant perdu sa raison d’etre bient6t apres son achevernent, en consequence de detruit ladestructionde la flotte Athenienne A la bataille navale d’Arnorgos (322), lui merne A son tour par Sylla en 86, cedernier des monuments de I’irnperialisme athenien doit sa gloire posturne aux cornrnentaires des historiens, geographes et encyclopedistes de I’epoque romaine des Vitruve, Strabon, Plutarque, Valkre Maxirnel et surtout de Pline qui parait I’adrnirer au mbrne titre que les rnerveilles du rnonde antiquez. La reputation dont jouit actuellement I’arsenal de Philon est cependant due rnoins A saglorification par les anciens qu’ A la decouverte, il y a d6jA plus de cent ans, d’une non moins farneuse inscriptioncontenant le devis de constructionde I’architectePhilon3. Cet uniquedocurnenta perrnis, irnrnediatement apres sa decouverte, la reconstitution sur papier de I’edifice4 avec une telle exactitude que, cornrne disait ce farneux architecte et archeologue qu’6tait Doerpfeld, bien qu’on n’enaitjusqu’rl pr6sent trouvb une seule pierre, il n ‘y a pas un seulmonument de I’architecturegrecque qu’onpuisseprbtendre de connaitre aussi parfaitement que la Skeuotheque de Philon. Ainsi les lacunes de notre information sont limitees soit aux omissions volontaires de I’inscription qui ne traite pas des details de rnoindre importanceou de ceuxqui 6taient evidents pour les conternporains, cornrne parexernple I’appareil des rnurs, la nature (colonnes ou piliers) et I’ordre des ~ i o v de la colonnade interieure, I’ernplacement exact q (en haut ou en bas des rnurs) des fenetres, I’arrangernentde la frise, notarnrnent le nornbre des triglyphes etc., soit A notre propre ignorance de la rnesure du pied employe et de I’ernplacernent et de la fonction exacte du bitirnent dans I’arsenal du Piree. IIs’agit dans tous ces cas de questions auxquelles la reponse pourrait donnee seulernent par I’edifice rnerne. Cependant celui-ci paraissait &re definitivernent perdu pour la posterit&. Ce prestigieux monument n’est pas rnentionne par aucun des voyageurs qui ont visit6 le Piree du 17e au 19e siecle, quand celui-ci etait encore un champ de ruiness. Au moment de la decouverte en 1882 deI’inscription qui a perrnis de localiser la Skeyothkque au nord du port de Zea, cette partie de la ville avait 6t& d6jA bitie. La r6constructionrecente (entre 1960 et 1980) du Piree n’en a pas donne aucune trace. Ainsi le renouveauentre 1958 et 1981de I’interet scientifique pour le monumentsparaissait coincider avec

GEORGES STEINHAUER

I’abandondefinitif de tout espoir de redecouverte de I’oeuvrefameusede Philon. Une demission qui s’est averee prematuree. Pendantdes sondageseffectubsen Septembre 1988dans la rue IIMerarchias au coin NO de Z6a on adbuvert B une petiteprofondeur,presque imrnediatement sous le tapis de la rue, letrace de deux murs paralleles, entre lesquelles se trouvait une double serie de bases carrkes. Malgre leur mauvais btat de conservation seules les pierresdefondationd’unmur Btaientconservkes, tandis que du second, aussi bien que des trois bases, il n’en restait que le negatif creuse dans le rocherI’incontestable parent6 du plan avec celui de la Skeuotheque ne permettait de doute sur I’identite de la ruine. Laforme de portiqueferme, avec une double rangee des piliers interieurs, les rapports de grandeur entre ses parties (la partiecentrale, plus grande, et lesc8tes) et I’ensemble de I’edifice, reproduisaient exactement les donnees de I’inscription. Le repere indispensable pour I’ancrage des pilliers et des murs (kpaisses de 2 pieds et demi) sur des fondations d’une largeur de deux metres, et le point de depart pour la calculation du pied, ont 6t6 donnes par latrace du stylobatesur la surface d’une des fondationsdes piliers. Ses dimensions – 1m 15 sur 1m…

Les provisions

CH XV : LES PROVISIONS
I. DEFINITION Le SYSCOHADA distingue trois types de provisions – Les provisions pour dépréciation d’éléments d’actif sont la constatation comptable d’une dépréciation probable et non irréversible d’une immobilisation, d’une valeur d’actif circulant ou d’un élément de trésorerie. – Les provisions pour risques et charges sont des provisions évaluées à l’arrêté des comptes,destinés à couvrir des risques et des charges que des évènements survenus ou en cours rendent probables, nettement précisés quant à leur objet, mais incertains quant à leur réalisation ou leur montant.

– Les provisions réglementées sont des provisions à caractère purement fiscal que les entreprises ont la possibilité de constituer dans certains cas. Elles ont en réalité le caractère de réservesen franchise totale ou partielle d’impôt. A cet titre, elles sont placées au bilan dans les capitaux propres.

II. PROVISIONS POUR DEPRECIATION (DEPRECIATIONS NON IRREVERSIBLES) Lorsque la dépréciation concerne une immobilisation, la provision est constatée – comme l’amortissement – par une « dotation (aux provisions ) » et une diminution de valeur de l’immobilisation correspondante. Lorsque ladépréciation concerne une valeur de l’actif circulant ou un élément de trésorerie, la provision est constatée par une charge provisionnée distincte des dotations et des autres charges dites constatées. Elle diffère de la « charge à payer » par son caractère « potentiel » donc probable et non certain. A) LES DOTATIONS Selon leur caractère, les dotations sont enregistrées au débit des comptessuivants : – le 691 « dotations aux provisions d’exploitation » s’il s’agit d’une immobilisation incorporelle (6913) ou corporelle (6914)
Page 1 sur 6

– le 697 « dotations aux provisions financières » s’il s’agit d’une immobilisation financière (6972) – le 853 « dotations aux provisions aux pour dépréciations H.A.O. » si la dépréciation est due à un événement extraordinaire ou à la restructurationde l’entreprise. Selon leur nature, les provisions correspondantes sont enregistrées au crédit des comptes 291 à 297 « provisions pour dépréciation d’actif immobilisé ».

Ces comptes présentent un solde créditeur et figurent à l’actif du bilan, en soustraction dans la colonne « amortissement-provision ».

B) LES CHARGES PROVISIONNEES Selon leur caractère les charges provisionnées sontenregistrées au débit des comptes – 659 charges provisionnées d´exploitation si elles intéressent des valeurs d´exploitation (stocks et créances ) – 679 charges provisionnées financières (principalement compte 6795, pour dépréciation des titres déplacement) – 839 charges provisionnées HAO si elles se rapportent à des événements extraordinaires ou de restructuration. Selon leur nature les provisionscorrespondantes sont enregistrées au crédit des comptes. – 391 à 398 dépréciations des comptes de stocks. – 490 à 499 dépréciations des comptes de tiers si elles intéressent des comptes de tiers. – 590 à 599 dépréciations des comptes de trésorerie si elles intéressent des comptes de trésorerie. Leur montant figurera à l’actif du bilan, en soustraction des éléments d’actifs concernés.
Page 2 sur 6 C) LES REAJUSTEMENTS (de provision ou de charges provisionnées) Lorsqu’une provision à été constitué en N-1 il est quelques fois nécessaire de réajuster en année N, la variation de la dépréciation. Trois cas peuvent se présenter : – la dépréciation ou le risque a augmenté – la dépréciation ou le risque a diminué – la dépréciation ou le risque est inchangé

C-1) LA DEPRECIATION OU LE RISQUE AAUGMENTE Il suffit alors de passer un complément de provision (le mécanisme est le même que pour la constitution des provisions (voir paragraphe II ) C-2) LA DEPRECIATION OU LE RISQUE EST INCHANGE Aucune écriture ne doit être panée

C-3) LA DEPRECIATION OU LE RISQUE A DIMINUE (OU N’EXISTE PLUS ) On effectue alors une reprise de provision. S’il s’agit de dotations, le compte de provision concerné…

Arrêté et clôture des comptes annuels brochure

Arrêter et clôturer les comptes annuels
Objectif
établir un dossier de clôture des comptes annuels et intermédiaires ; améliorer la productivité ; permettre la rédaction de l’annexe et du rapportde gestion
[pic]
Programme
Le contexte législatif
• Code de commerce (article R 123-172)
• Le Plan Comptable Général et l’exigence d’une documentation
• La Loi de Sécurité Financière(LSF)
• Position de l’administration fiscale

Les objectifs du manuel des procédures comptables
• Le respect de la réglementation
• Une composante essentielle du contrôle interne• Améliorer le contrôle et la qualité de l’organisation comptable
• Fiabiliser l’information comptable et financière publiée
• Accélérer la clôture des comptes

Le contenu et la structuredu manuel
• L’organisation comptable et les procédures
• Description des fonctions et séparation des tâches
• Plan de compte, schémas d’écriture et règles d’imputation
• Letraitement de l’information comptable :
• collecte et saisie
• classement et archivage
• contrôle
• Les processus et les systèmes d’information :
• planification annuelle destravaux
• périodicité des traitements

Méthodologie de mise en place
• Etablir le plan du manuel
• Les principales étapes du projet
• La rédaction, la supervision et la validation descontenus
• La diffusion et le choix d’un support : papier, électronique
• Faire vivre le manuel : mise à jour, actualisation et révision

Principes comptables liés à l’arrêté des comptes• Obligation d’établir le bilan, le compte de résultat et l’annexe
• Notions de date de clôture ou d’inventaire, de fin d’exercice, de situations intermédiaires
• Principes de prudence,d’indépendance, de rattachement des charges aux produits, de juste valeur
• Notions de décision de gestion

Les comptes issus de l’arrêté de compte
• Les comptes rattachés : charges à…

Maison tellier

Extrait du commentaire composé
Dans ce passage on ne peut que songer aux larmes de Marie-Madeleine aux pieds de Jésus. Tout comme le Christ qui relève la pécheresse, le prêtre qui les remercieredonne une place dans la société aux « filles Tellier ».

Texte étudié: Guy de Maupassant : « La maison Tellier » (II) : « Le passage de la messe »

C’est alors que Rosa, le front dans ses mains, se rappelatout à coup sa
mère, l’église de son village, sa première communion. Elle se crut revenue
à ce jour-là, quand elle était si petite, toute noyée en sa robe blanche, et
elle se mit à pleurer. Ellepleura doucement d’abord : les larmes lentes
sortaient de ses paupières, puis, avec ses souvenirs, son émotion grandit,
et, le cou gonflé, la poitrine battante, elle sanglota. Elle avait tiré sonmouchoir, s’essuyait les yeux, se tamponnait le nez et la bouche pour ne
point crier : ce fut en vain ; une espèce de râle sortit de sa gorge, et deux
autres soupirs profonds, déchirants, luirépondirent ; car ses deux
voisines, abattues près d’elle, Louise et Flora étreintes des mêmes
souvenances lointaines gémissaient aussi avec des torrents de larmes.
Mais comme les larmes sont contagieuses,Madame, à son tour, sentit
bientôt ses paupières humides, et, se tournant vers sa belle-soeur, elle vit
que tout son banc pleurait aussi.
Le prêtre engendrait le corps de Dieu. Les enfantsn’avaient plus de
pensée, jetés sur les dalles par une espèce de peur dévote, et, dans
l’église, de place en place, une femme, une mère, une soeur, saisie par
l’étrange sympathie des émotions poignantes,bouleversée aussi par ces
belles dames à genoux que secouaient des frissons et des hoquets,
trempait son mouchoir d’indienne à carreaux et, de la main gauche,
pressait violemment son coeurbondissant.
Comme la flammèche qui jette le feu à travers un champ mûr, les larmes
de Rosa et de ses compagnes gagnèrent en un instant toute la foule.
Hommes, femmes, vieillards, jeunes gars en blouse…

Lady gaga

Lady Gaga est une superstar! Cependant elle est obsedee par la religion et son « Jesus » a elle, notamment son demon Judas. Cette jeune femme de 25 ans qui s’appelle Stephanie Germanotta a par la suiteadopte son pseudo Lady Gaga. Elle est née le 28 mars 1986, à New York. Elle est l’aînée de la famille fondée par Joseph et Cynthia Germanotta10,11. Elle commence à apprendre le piano toute seule àl’âge de 4 ans12. À onze ans, elle tente d’entrer à la Juilliard School de Manhattan13, mais finalement rentre au Couvent du Sacré Cœur, une école privée catholique14.The Fame Monster a un total de troiséditions différentes : l’édition standard49, qui contient exclusivement les 8 nouveaux titres (Bad Romance, Telephone, Teeth, Monster, Alejandro, Dance In The Dark, Speechless et So Happy I CouldDie), l’édition deluxe, qui inclut quant à elle les chansons de The Fame et celles de The Fame Monster ainsi que les trois chansons complémentaires japonaises de The Fame (Disco Heaven; Paper Gangsta etRetro, Dance, Freak)50. Pour finir, la troisième édition nommée Super Deluxe Fame Monster, inclut l’album original The Fame, l’édition deluxe de The Fame Monster, le Book of Gaga concernant le voyageautour du monde de Gaga, une mèche de cheveux de la perruque de Lady Gaga, des images, des affiches, des fanzines (réalisations de fans) thématiques, une vision en coulisse de son procédé artistique,une collection de poupées en papier, des lunettes 3D et enfin des notes personnelles de l’artiste51. Cette dernière version a été pour elle « inspirée par un certain nombre de fanzines et notammentpar ceux de « punk era » new yorkais »52. The Fame Monster est donc une réédition de The Fame et un album à part entière à la fois.
The Fame Monster a droit à deux pochettes différentes : la premièremontre Lady Gaga portant une perruque blonde et une veste en cuir49. Sur la seconde, elle est coiffée d’une longue perruque noire et pleure du sang noir49. Elle déclare d’ailleurs dans une interview…

Commentaire de l’albatros de charles baudelaire

Commentaire sur L’Albatros de Baudelaire

Charles Baudelaire, poète du 19e siècle, a surement du rédigé le poème L’Albatros au cours de son voyage dans l’Océan Indien. Ce poème extrait du recueil «Les Fleurs du mal» s’inscrit dans le courant romantique de l’époque. L’analogie utilisée dans ce poème nous montre que l’albatros représente en fait un poète incompris, mélancolique et exclu de lasociété. Les trois premières strophes concernent l’albatros tandis que la dernière est dédiée au poète. Par ce commentaire, nous nous interrogerons donc à la vision douloureuse et pathétique que nous donne Baudelaire du poète du 19ème siècle.
Tout d’abord, nous analyserons la structure et l’organisation du poème puis nous étudierons les différentes oppositions qu’on peut trouver dans le poème etnous finirons par mettre en lumière les symboles de la chute.

Premièrement, analysons la structure et l’organisation utilisée par Baudelaire pour mettre en place cette analogie entre l’Albatros et le poète. En effet, ce poème est composé de quatre quatrains, chacun de ces quatrains est écrit sous forme d’alexandrin, et toutes les rimes sont croisées et suffisantes sauf quelques exceptions pourquelque rimes riches en fin de poème. On pourrait penser que c’est une structure poétique mais au contraire, cette organisation nous permet de distinguer clairement deux parties : les trois premiers quatrains constituent la narration alors que le dernier quatrain marque un changement de point de vue.
Tout d’abord, analysons la double analogie développée dans ce poème. Effectivement, on voit bienque le poème L’Albatros est fondé sur une double analogie. L’albatros est en fait personnifié et représente le poète, alors celui-ci est comparé à l’oiseau. Les trois premières strophes comparent l’albatros à un roi déchu ( » roi  » vers 6), à un voyageur ailé tombé du ciel. La quatrième strophe qui est très explicite du côté des figures de styles, nous informe que le poète est à la hauteur dans sesécrits et ses rêves par une comparaison et une métaphore, un  » prince des nuées  » (vers 13) aux  » ailes de géant  » (vers 16). Exilé parmi les hommes, le poète et l’albatros sont associés dans la dernière strophe et nous pouvons donc réinterpréter que le voyageur ailé devient le poète et les hommes d’équipages ne sont qu’en fait les personnes de la société au XIXème siècle ainsi que ceux de l’époqued’aujourd’hui.
Analysons à présent les différents thèmes du poète traités. Tout d’abord, la verticalité : l’albatros est évoqué dans toute sa grandeur comme le confirme l’enjambement des vers 1 et 2 qui évoque un immense espace. Cette notion de grands espaces est ainsi renforcée par cette expression du vers 2 ( » vaste oiseau des mers  » = oiseau des vastes mers). D’autre part, le thème de lasolitude est développée implicitement dans ce poème : il y a le monde d’en haut et le monde d’en bas et on voit que le poète essaye de faire un lien entre les deux mais cela semble impossible, d’où l’état de solitude dans lequel il se retrouve. Enfin, on remarque bien que le poète, à travers L’Albatros bien sûr, est traitée en tant que victime : l’albatros mais aussi le poète sont agressés par lesinsultes des marins, comme on peut le voir dans les deux vers suivants : (vers 11 et 12) « Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace son bec avec un brûle-gueule ».

Dans un second temps, analysons les différentes oppositions que l’on note tout au long de ce poème.
Effectivement, on peut apercevoir deux aspects très différents de l’Albatros qui donnent à cet oiseau unesorte de double personnalité. D’un côté l’oiseau est décrit comme majestueux avec une allure royale comme nous le dit le vers 16 : « les rois de l’azur », mais d’un autre côté il est représenté tel un être ridicule sur terre : « la beauté du vers 10, la laideur du vers 10, du vol royal (vers 3), puis le boitement de l’infirme (vers 12).
D’autre part, le poète nous a montré ici un jeu des…

Le pasde compagnon

J’ai longtemps tourné le mot TRAVAIL dans ma tête, sans que j’arrive à trouver une accroche qui me permette d’enclencher ma réflexion, en fait, l’étendue de ce mot le rend difficile à cerner sans ennégliger une facette …

T comme Temps
R comme Revenus, ou Réalité économique
A comme Art,
V comme Volonté, Valeur,
A comme Activité
I comme Idéal
L comme Labeur

Il revêt tant de notions etreprésente tellement de choses, que je ne sais pas par quel bout prendre ce petit mot si lourd de sens…
Alors comment vous parler du travail sans tomber dans les lieux communs et sans faire de cetteplanche un travail académique.
Après plusieurs semaines de cogitation, je me penche sur l’impact du terme TRAVAIL sur ma vie …
Rétrospective… il y a 44 ans un 25/12/64 naissait d’un long etdouloureux travail Véronique Hélène Béatrice LEVRERE, premier travail d’une mère qui expulse de son corps sa progéniture et premier sens du travail lié à la douleur, ainsi donc, le travail devrait étroitementêtre lié à la douleur ?
L’association du travail à la souffrance et au châtiment, dans la culture occidentale, est ancienne, si l’on s’en réfère aux textes bibliques où, pour avoir voulu goûter auxfruits de l’Arbre de la Connaissance, Adam et Eve se voient respectivement condamnés à  » produire leur pain à la sueur de leur front  » et  » à enfanter dans la douleur « ,
Est ce que cetteconsidération judéo chrétienne que tout s’acquière dans l’effort, générateur lui-même de douleur est exacte ?
Je pense effectivement, que c’est l’implication personnelle et le mal que nous nous donnons àaccomplir un travail, qui lui confère toute sa valeur et tout son sens, cependant c’est aussi grâce à ce mal que nous donnons et à cet effort que nous accomplissons, que nous apprécions le résultat et parconséquent, éprouvons du plaisir.
Le travail est donc l’accomplissement de quelque chose qui lie un effort (voire une souffrance) à un résultat positif.
Le terme travail regroupe à la fois, par son…

Droit et pouvoir politique

ORAL

LE TARTUFFE de Molière – Acte V ; Scène 7

INTRODUCTION

Le Tartuffe de Molière s’inscrit au cœur d’une querelle qui divise la France de Louis XIV : les jésuites de la compagnie du saintsacrement veulent réformer les mœurs et s’opposent aux courants plus libéraux.

La scène 7 est une scène en deux temps : le triomphe de Tartuffe, suivi de sa défaite aussi totale qu’imprévisible.
Nous analyserons dans un premier temps l’éloge du Roi, et enfin le dénouement.

I) L’éloge du Roi (potée politique de la pièce)

Exempt symbole du Roi

Impossibilité de présenter le Roi surscène car nous sommes dans une comédie de mœurs, (pas de bienséance).

– Puissance du Roi sur un plan dramaturgique (en 45 vers, tout bascule).

Cf. : la pièce vie en représentation (verssupprimés) : la pièce est un drame ou Tartuffe triomphe. + seule intervention dans toute la pièce mais déterminante.

« Prince » vers 1906 : Majuscule ? majesté et respect
Vers 1907 : reprise« Prince » ? emphatique en début de vers (solennité).

Le Roi est comme Dieu. Il a 5 attributs divins.

L’OMNISCIENCE : multiples images et métaphores : « jour dans les cœurs, vives clartés, déceler » ? Leroi est au-delà des masques.

LA VERACITE : caractérisation : « ennemis de la fraude »
Antithèse vers 1915/1916 : « amour les vrais …/ les faux »
– LA JUSTICE : vers 1922 : hyperbole ?« équité suprême »

– L’OMNIPOTEMCE : (pouvoir total) : « d’un souverain pouvoir » vers 1935
« Il brise les liens » : image ? Le roi annule la donation qu’Orgon avait faite à Tartuffe (don de toute safortune).

? Le roi à un pouvoir législatif. Il est plus fort que la loi.
« Rex lex » : Le roi c’est la loi

– LA MAGNANIMITE (ou la clémence) : vers 1937 : « pardons enfin » ? Roipardonne à Orgon d’avoir caché les papiers de son ami Argas qui était dans la Fronde

NB : La Fronde : révolte des nobles proches de Louis XIV pour prendre son pouvoir et l’empêcher d’être Roi….

La répartition de compétences (apres le traité de lisbonne)

Ecole Supérieure du Commerce Extérieur (Hanoï) Université Rennes 2 ________________________________
Master Etudes des Relations Economiques Euro-Asiatiques 2ème Année Construction de l’UE et SystèmeInstitutionnel de l’UE Chargé par M. Pierre Derrien, Professeur à l’Université de Rennes 1 Etudiant: SUONG Sovann Thème : La répartition de compétences (Apres le traité de Lisbonne) IntroductionAvant le traité de Lisbonne, il n’existe aucune clause générale de répartition de compétences. Il en résultait donc que ce principe a été dégagé par la Cour de justice1. Le traité de Lisbonne clarifie larépartition de pourvoi entre L’Union Européenne et les Etats membres. Il donne la réponse à la question «Qui fait quoi? ou qui est responsable de quoi ?». Cela constitue un élément décisif dans ladémocratisation de l’Europe et consolide les responsabilités dans certain niveau de pourvoi. Donc, il est indispensable de savoir premièrement la typologie des compétences dans l’Union Européenne (I) eten suite les conséquence suite à cette répartition (II). ILa typologie des compétences dans le cadre de l’Union Européenne relevant du Traité de Lisbonne

Le traité de Lisbonne contient uneénumération des domaines relevant soit des compétences exclusives de l’Union (A), soit des compétences partagées entre les Etats et l’Union (B). ACadre des compétences exclusives

Les compétences exclusivessont les compétences où seule l’Union peut adopter des textes juridiquement contraignants. Le principe de la répartition de compétences entre l’Union Européenne et les Etats membres est comme lessuivantes :

1

Droit Européen, Jean Claude Gautron, 11ième édition, Chapitre II – Le contenue constitutionnel de traité.

D’une part, l’Union souhaite les compétences attribuées par les Etatsmembres dans le traité de Lisbonne. D’autre part, les autres compétences continue à être dans le domaine des Etats membres. Le principe d’attribution régit donc la délimitation des compétences de…