Finance islamique

Introduction………………………………………………………………………………………………..4
Historique de la naissance de la banque islamique…………………………………..…….………….6
a. Carte du monde islamique………………………………………………………….…….….…….6
b.Conséquence de la Guerre Froide : le retour en force des valeurs religieuses……..………7
c. La Banque islamique : l’expérience d’une évolution croissante…………………….…………8
Première partie :Sources, principes etinstruments……………………………..…..……..……11
1. Nature et source de la jurisprudence islamique………………..………………….…….11
a. Le Coran……………………………………………………………………………….11
b. Les Hadiths et laSunna……………………………………………………………………..11
c. L’Ijma ou le consensus des théologiens…………………………………..………………12
d. Les Qiyas ou le raisonnement par analogie………………………………………………12
e. Les madhahib ou les écoles de pensée de l’ISlam………………………………………13
2. Les principes fondamentaux de lafinance islamique……..…………………………….. ….14
a. La prohibition de l’intérêt (riba)…………………………………….…………………… …14
b. Le partage des pertes et profits……….………………………………………………..….16
c. L’interdiction de laspéculation (gharar)…………….…………………………………. …17
d. Activités licites / illicites (halal / haram)………………………………………………… …18
3. Les objectifs de la finance islamique…….………………………..……………………….….18
a.L’abolition de l’intérêt………………….……………………………………………………18
b. La distribution des revenus dans un objectif de justice sociale……………………..…20
c. Le développement économique………………………………………………………..….21
4. Lesinstruments de la finance islamique : Les différents types de financement………….21
a. Les opérations de fonds……………………………………………………………………21
b. Les opérations de financement………………………………………………..………24
c.Autres modes de financement :…………………………………………..………………26
5. Organisation d’une banque islamique…………………………………………………………31
a. Fonctionnement général…………………………………….……………………………..31
b. Comparaison avecles banques traditionnelles………………………………………….39
Deuxième partie : La nécessaire adaptation de la banque islamique aux contraintes
internationales…

Hannah arendt

Eléments pour une introduction
Quelle est la spécificité de l’œuvre d’art par rapport aux autres productions humaines? La thèse de l’auteur est que les œuvres d’art se distinguent de tout autre production humaine par leur durabilité et leur inutilité.
Problématique :
Quelle est la classification des productions humaines proposée par H. Arendt ?
En quoi l’oeuvre d’art se distingue-t-elledes autres productions du point de vue de la durée?
En quoi l’oeuvre d’art se distingue-t-elle des autres productions du point de vue de sa finalité?
Y a-t-il un lien entre la durabilité de l’œuvre et son inutilité?
Enjeu : Mais si les œuvres d’art ne servent à rien, alors quelle est la finalité de l’art et pourquoi les œuvres d’art ont-elles cette pérennité ? Des artistes, pour quoifaire ?
Structure du texte :
Le contexte : la sphère des productions humaines en tant qu’elle s’oppose à la nature. (Début de la première phrase)
Premier critère de distinction entre les œuvres d’art et les autres productions humaines : leur durée dans le temps. (De «… on distingue » à «… les plus mondaines des choses.»)
Les productions permanentes : objets d’usage durablesmais pas éternels et œuvres d’art potentiellement immortelles.
Les productions non-permanentes : produits de consommation périssables et produits de l’action éphémères.
Deuxième critère de distinction entre les œuvres d’art et les autres productions humaines : leur finalité. (À partir de «Davantage,…»)
Les produits de consommation et les objets d’usage ont une fonction. Ilssont liés à la nécessité vitale.
Les œuvres d’art n’ont aucune fonction. Elles sont isolées des nécessités de la vie.
Éléments pour une étude détaillée
Attention: ce qui suit n’est pas l’explication du texte ni même un plan d’explication mais des informations et des éléments de réflexion pour une telle explication.
1. Le contexte : le « monde » et la sphère des productions humaines en tantqu’elle se distingue de la nature.
Hannah Arendt oppose la «nature» au «monde fabriqué par l’homme». Cette notion de monde est importante car H. Arendt dira plus loin que les œuvres d’art lui sont destinées. Elles seraient créées «pour le monde». Qu’est-ce que ce monde? En quoi est-il différent de la nature et de la société?
La nature renvoie les hommes à leur animalité, leur appartenance à uneespèce naturelle. Le monde, au contraire, comme la société, les renvoie à leur humanité, contrairement à «la sublime indifférence d’une nature vierge dont l’écrasante force élémentaire les oblige à tourner sans répit dans le cercle de leur biologie parfaitement ajustée au vaste cycle de l’économie de la nature» dit Hannah Arendt dans La Condition de l’homme moderne. Le monde habité par l’hommeest artificiel, c’est-à-dire un produit de l’art humain. Autrement dit, l’homme est «homo faber» avant d’être «homo sapiens» ou «homo loquens». «Si nous pouvions nous dépouiller de tout orgueil, si, pour définir notre espèce, nous nous en tenions strictement à ce que l’histoire et la préhistoire nous présentent comme la caractéristique constante de l’homme et de l’intelligence, nous ne dirionspeut-être pas Homo sapiens, mais Homo faber» dit Bergson dans L’évolution créatrice. (Cf. aussi le mythe de Prométhée). Le monde est un ouvrage d’art (au sens des arts et métiers), c’est-à-dire un environnement matériel stable, incarné dans des objets durables qui sont les produits de l’ingéniosité humaine; et c’est cet environnement qui est, selon Arendt, la destination des œuvres d’art (au sens desBeaux-arts).
Ainsi, le monde n’est pas la société. Le monde est un environnement culturel caractérisé non seulement par des symboles et des règles, selon le critère proposé par Lévi-Strauss, mais par des productions matérielles durables : des objets. L’être humain produit des choses «qu’on ne rencontre pas dans la nature». «Le monde est lié aux productions humaines, aux objets fabriqués de main…

Management et ingénieurie

H1401 – Management et ingénierie gestion industrielle et logistique

?
n n n n n n n n n n n n n n n n

Appellations
Chef du bureau central d’ordonnancement en industrie Chef du service de la gestion de la production Chef du service flux des matières ordonnancement-lancement en industrie Chef du service ordonnancement en industrie Chef du service ordonnancement planification en industrieChef du service ordonnancement-lancement en industrie Chef du service ordonnancement-lancement-planification en industrie Chef du service planification en industrie Chef du service préparation du travail en industrie Dispatcher / Dispatcheuse de réseau de transport de fluide Dispatcher / Dispatcheuse de réseau de transport d’électricité Dispatcher / Dispatcheuse de réseau de transport d’énergieIngénieur / Ingénieure de gestion de la production Ingénieur / Ingénieure logistique de production Ingénieur / Ingénieure ordonnancement en industrie Ingénieur / Ingénieure ordonnancement-planification en industrie n n n n n n n n n n n n n n n n Ingénieur / Ingénieure planification en industrie Ingénieur / Ingénieure supply chain en industrie Logisticien / Logisticienne de production Planificateur /Planificatrice de production industrielle Responsable d’organisation des flux Responsable flux des matières-ordonnancement-lancement en industrie Responsable gestion de la production Responsable gestion industrielle et logistique Responsable logistique de production industrielle Responsable ordonnancement en industrie Responsable ordonnancement-lancement en industrie Responsableordonnancement-lancement-planification en industrie Responsable planification en industrie Responsable planning et gestion de production Responsable supply chain en industrie Supply chain manager en industrie

?

Définition

Organise et supervise l’ordonnancement, la planification et la gestion de production, dans un objectif d’optimisation et de coordination de flux de produits et d’information, selon lesbesoins et les impératifs de coûts, délais et qualité. Peut diriger une équipe ou un service et en gérer le budget.

?

Accès à l’emploi métier

Cet emploi/métier est accessible avec un Master (Master Professionnel, Diplôme d’ingénieur, …) en gestion de production, gestion de flux, logistique ou dans le secteur d’activité de l’entreprise. Il est également accessible à partir d’un diplôme deniveau Bac+2 (BTS, DUT) dans les mêmes secteurs, complété par une expérience professionnelle. La maîtrise d’un ou plusieurs logiciels de Production Assistée par Ordinateur -GPAO- et autres progiciels de gestion de données de production et de flux est requise. La pratique de l’anglais peut être demandée.

Pôle emploi – Direction Générale – Direction Service Clients © Copyright 2011 Pôle Emploi.Reproduction et diffusion interdites sans l’accord de Pôle emploi

Fiche ROME H1401 Mars 2011

1/5 & : Eléments non sélectionnables pour renseigner une offre ou un dossier demandeur

?

Conditions d’exercice de l’activité

L’activité de cet emploi/métier s’exerce au sein d’entreprises industrielles, de bureaux d’études et d’ingénierie, en relation avec différents services et intervenants(production, achat, commercial, qualité, clients, fournisseurs, société de transport, …). Elle varie selon le mode d’organisation (flux tendus, supply chain, …), les systèmes d’informatisation et de communication (Progiciel de Gestion Intégrée -PGI-), le type de production (petites séries, grandes séries, fluides, …). Elle peut impliquer des déplacements sur site et être soumise à desastreintes.

?

Activités et compétences de base Activités Compétences
Savoirs théoriques et procéduraux n n Réglementation en Hygiène, Sécurité, Environnement -HSERéglementation du transport de marchandises

& Etudier la faisabilité de réalisation des commandes et déterminer la capacité et la disponibilité des moyens de production, des matières, … n n n n n n Définir les flux de production…

Projet dejeps

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I- INTRODUCTION P 3

II-SITUATION INITIALE P 4

III-DIAGNOSTIC

a-définition légale du handicap P 6

b-étude l’OVLEJ P 7

c- les différents types d’accueil P 8

d- carte P 9

e-schéma d’acteur P 10

f-les demandes P 11IV-OBJECTIFS GENERAUX P 13

V- OBJECTIFS OPERATIONNELS P 13

VI-PLAN D’ACTIONS P 13

VII- GRAPHIQUE DE GANTT P 17

VIII-BUDGET P 18

IX- MODALITES D’EVALUATION P 20

X – GLOSSAIRE P 22

XI-ANNEXES P 23

I- INTRODUCTION

La Ludothèque Castraise, La Lud’Ocest une Association loi 1901 à but non lucratif, agréée Association Jeunesse et d’Education Populaire par le ministre de la jeunesse et des sports.

L’Objet de l’association est de rendre accessible aux enfants, adolescents et adultes de tous milieux, sous forme de prêt, à domicile ou sur place, un nombre important de jouets et de jeux enrichissants.

Depuis 2000, je suis salarié à laludothèque castraise en tant que directrice, mes missions principales sont de diriger le centre de loisirs ainsi que d’élaborer des projets dans le but de développer la ludothèque.

Dernièrement j’ai participé à une réflexion sur le développement de l’activité la cité du jeu (service englobant location de jeux et accueil de groupe) et plus particulièrement sur son utilité sociale. Cetteréflexion a été menée avec le conseil d’administration, le personnel de la ludothèque ainsi que Monsieur Alain meunier responsable des Francas du Tarn et de l’Aveyron.

Deux éléments nous ont amené à réfléchir sur l’accueil d’un public présentant un handicap.

– Nous accueillons quelquefois ce public là, mais nous avons repéré des difficultés qui constituent un frein à cet accueil.- Par ailleurs la ludothèque castraise est affiliée au Francas du Tarn qui met en œuvre un projet d’accueil des personnes handicapés, pendant leurs loisirs.

J’ai donc saisi l’opportunité de ma formation pour mettre en œuvre un projet sur l’accueil des personnes handicapés, afin de développer ce service tant sur le plan quantitatif que qualitatif.

II-SITUATION INITIALELa ludothèque est un espace dédié au jeu et au jouet où se pratiquent le prêt et le jeu sur place. Elle se définit comme un espace culturel, une institution socio-éducative, lieu d’animation autour du jeu et du jouet. Devenues de véritables équipements de proximité, les ludothèques sont des partenaires à part entière de la vie du quartier ou de la commune où elles sont implantées. Ellestravaillent en collaboration avec des partenaires variés : écoles, crèches, centres de loisirs, institutions spécialisées, hôpitaux, et s’insèrent généralement dans le tissu associatif local.

Leurs fonctions sont de donner à jouer, de favoriser des rencontres et échanges, de faciliter la socialisation (notamment pour le très jeune enfant), de prévenir (de l’échec scolaire, de ladélinquance), de favoriser des acquisitions et échanges culturels (découverte d’autres cultures, transmission d’un héritage culturel), d’aider à l’apprentissage d’une consommation avertie ou encore de participer à la conservation du patrimoine ludique mondial.

Le jeu créateur de lien social

L’utilité sociale du service dans ces lieux qui se veulent conviviaux se manifeste en termes d’éducationpopulaire.
Il s’agit d’ouvrir la porte à l’imaginaire, tout en conduisant à des règles : règle du jeu, règle du lieu. Le plaisir et la règle sont les mots-clefs de la ludothèque. Le jeu apparaît comme un outil de citoyenneté (jouer c’est apprendre des règles, c’est donc tenir compte de la réalité des autres). Le jeu favorise les rencontres, et est susceptible de permettre l’intégration. Les…

L ‘état fédéral

Licence 1 EG, Licence 1 MEA PROBLEMES ET METHODES DE LA SCIENCE ECONOMIQUE

DOSSIER DE TRAVAUX DIRIGES N°1 Les économistes et l’objet de leur science
FICHIERS ASSOCIES : – PROMESSE TD 1 ANNEXE 1(Doc.1) – PROMESSE TD1 ANNEXE 2 (Doc 2.) Objectif des travaux dirigés (rappel) :
Les séances de travaux dirigés ont pour objet d’encadrer le travail personnel de l’étudiant-e. Ils sont donc conçus àla fois comme un prolongement du cours, une aide à sa compréhension et sa révision, et une préparation à l’examen terminal. Les dossiers sont constitués de trois parties distinctes : une premièrepartie consiste en un travail d’analyse de textes et/ou de documents qui viennent compléter le cours ; une deuxième partie consiste en une série de questions de révision du cours ; la dernière partie estconstituée d’un sujet de réflexion qui souligne l’actualité des problématiques étudiées. Elle doit être conçue comme un entraînement à la méthode de la dissertation et de la réflexion en économie. Cepremier dossier fournit une explication de la méthode à suivre sous forme de fiches empruntées à: Pascal Combenale et Jean-Paul Piriou (1996) Nouveau manuel de sciences économiques et sociales, Paris :Editions La Découverte. Partie 1 : Analyse de documents

Doc. 1 : Bernard Maris (2003), « Faut-il rire des économistes? » in: Anti-manuel d’économie, Rosny-sous-bois: editions Bréal, pp.11-21Doc. 2: Denis Clerc, « A quoi servent les économistes? » in: Alternatives Économiques, Hors série « histoire de la pensée économique »

A la lecture des documents et à l’aide de vos notes de cours,vous répondrez aux questions suivantes : 1) Comment s’exprime la « prégnance » actuelle de l’économie? 2) Sur quelle attitude des économistes repose-t-elle? 3) Montrer en quoi elle peut-être liée à ladéfinition contemporaine de la science économique comme science des choix. 4) Pourquoi les auteurs dénoncent-ils cette prégnance? 1

5) Quelle définition donne Bernard Maris de l’objet de…

Odyssée

Philosophie
?

Le troisième point pour atteindre la connaissance, est de refuser l’argument d’autorité.
L’argument d’autorité serait lorsque l’on donne toute confiance, crédit à une personne pour établir la vérité, tels aux experts, aux spécialistes dans tel ou tel domaine. On ne pense à vérifier les sois disant vérités que ces experts nous inculquent, étant donné qu’ils sont normalementpour apte à savoir (en leur domaine) que nous. Ainsi l’argument d’autorité est un des trois obstacles à la connaissance puisque l’on accepte, et l’on considère vrai, ce que les spécialistes nous donnent, sans y réfléchir.

Il est aussi important de distinguer croire, savoir et la connaissance.

La connaissance, du latin cognitio « action d’apprendre », est en philosophie une activité parlaquelle l’homme prend acte des donnés de l’expérience et cherche à les comprendre ou à les expliquer.
La connaissance est en elle-même une activité théorique et désintéressée, c’est-à-dire satisfaisant un pur désir de savoir, sans souci de son utilité pratique. C’est pourquoi il est habituel de la distinguer de l’action.
(La croyance est tenue pour vraie, non justifiée, non affirmée)

Le savoir, dulatin sapere est en philosophie un ensemble de connaissances précises et solides dans un domaine donné. Le plus souvent les verbes savoir et connaître sont synonymes ( et signifient « être instruit sur la nature »). Plus vaste que la connaissance, qui porte en général sur des objets précisément définis, un savoir peut être constitué par l’ensemble organisé des informations disponibles dans undomaine donné (le savoir scientifique par ex.). Dans un texte philosophique, le savoir peut aussi désigner l’ensemble des connaissances, des discours, des pratiques, des méthodes d’investigations, accumulés par l’humanité au cours de son développement.
(Le savoir est vrai, démontrable par la raison, universel : la vérité est universelle.)

Cette recherche de la vérité qui part des opinions pourremettre en cause, est très bien illustrée par le personnage de Socrate.

A. La figure tutélaire de Socrate

Fils d’un tailleur de pierre et d’une sage femme, Socrate est, au grand siècle d’Athènes (Ve siècle av. JC), et bien qu’il n’ait rien écrit, le philosophe par excellence. Vêtu simplement, ne se souciant pas d’une carrière personnelle, il passe son temps à discuter avec ses concitoyens,dans les maisons, sur la place publique et dans les marchés. Bien qu’il soit excellent citoyen et respectueux des lois, il est accusé d’impiété envers les dieux et de corruption de la jeunesse. Il est condamné à la mort par le tribunal démocratique d’Athènes (l’Héliée), par absorption de ciguë. Telle qu’elle est décrite par Platon dans le Phédon, cette mort est celle d’un sage véritable.

Queconnaissons-nous de la philosophie de Socrate, puisqu’il n’a rien écrit ? Platon l’a reconnu pour son maître et en a fait le personnage principal de la plupart de ses Dialogues. Mais il n’est pas aisé de démêler dans le personnage des Dialogues, ce qui appartient au Socrate véritable et ce qui est la pensée propre de Platon. Nous ne connaissons donc la philosophie de Socrate qu’indirectement, et àtravers des traductions multiples. On peut toutefois penser que ce sont les dialogues de jeunesse de Platon (Apologie, Criton, Charmide, Lachès), dits précisément « dialogues socratiques », qui donnent l’idée la plus exacte de ce que fut réellement Socrate philosophe.
Socrate semble avoir été principalement préoccupé par les questions morales (contrairement aux « physiciens présocratiques »). Ilnous apparaît comme l’instigateur ( = celui qui pousse les autres à faire un acte) d’une démarche essentiellement critique. Il ne propose aucune doctrine personnelle et proclame « Je ne sais qu’une chose, c’est que je ne sais rien ». Ainsi Socrate ne prétend pas détenir le savoir, il est toujours prêt à se remettre en cause. C’est pourquoi, selon la parole de l’oracle de Delphes, il est dit…

Affectation du résultat

PARTIE 2 : L’AFFECTATION DES RESULTATS

L’affectation des résultats comportent 2 étapes : le calcul du bénéfice distribuable et l’affectation du bénéfice distribuable

Le calcul du bénéfice distribuable

1 Schéma général

|BENEFICE DISTRIBUABLE | |
|= résultatnet de l’exercice | |
|- report à nouveau débiteur |Pertes antérieures non encore couvertes par des bénéfices |
|- dotation à la réserve légale |Dotation imposée par la loi|
|+ report à nouveau créditeur |Bénéfices antérieurs restant à répartir |
|- dotation aux réserves statutaires |Dotation imposée par les statuts de la société |

2 Exemples

Calculer lebénéfice distribuable en 2008 des sociétés DUO et TRIO (par hypothèse pas de réserves légales à constituer)

|Société DUO | |Société TRIO |
|Résultat net 2008 |18 000 | |Résultat net |- 1 000 ||Report à nouveau débiteur |- 20 000 | |Report à nouveau créditeur |5 300 |

|Bénéfice distribuable de DUO | |Bénéfice distribuable de TRIO |
|= Résultat net |18 000 | |= Résultat net|- 1 000 |
|- Report à nouveau débiteur |- 20 000 | |- Report à nouveau débiteur |0 |
|+ report à nouveau créditeur |0 | |+ report à nouveau créditeur |5 300 |
|= bénéfice distribuable |= -2 000 | |= bénéfice distribuable |4 300 |

Pour DUO, le bénéfice distribuable étant négatif, il correspond à un report à nouveau débiteur qui devra être couvert par les bénéfices futurs de 2009 ou 2010 : interdiction pour DUO de distribuer des dividendes en 2008 car les pertes antérieures n’ont pas encore été totalement couvertes par desbénéfices

Pour TRIO, le bénéfice distribuable étant positif, il peut être utilisé pour constituer des réserves et pour distribuer des dividendes aux associés ou actionnaires.

3 Les dotations aux réserves obligatoires

2 types de réserves obligatoires :

Réserve légale :
– chaque année, les SA et les SARL doivent doter la réserve légale d’un montant égal à 5% du résultat net diminué despertes antérieures
– La réserve légale cesse d’être obligatoire lorsqu’elle atteint 10% du capital social
– Base de calcul : résultat net – report à nouveau débiteur
– Pas de dotation si le résultat net diminué des pertes antérieures est négatif (ex : pas de dotation pour la société DUO)

Réserve statutaire :
? Réserve imposée par les statuts de la société
? Peu fréquent dans lapratique

EXEMPLE :
Une SARL au capital de 200 000 € a réalisé un bénéfice de 48 000 € en 2008.
Au 1er janvier 2008, la réserve légale s’élevait à 8 800 €
Calculer le bénéfice distribuable avec un report à nouveau créditeur de 6 000 €
Même question mais avec un report à nouveau débiteur.

|Bénéfice distribuable avec 1 RAN créditeur | |Bénéfice…

Clara brett

Clara Brett Martin (25 January 1874 – 30 October 1923), born to Abram and Elizabeth Martin, a well-to-do Anglican-Irish family, opened the way for women to become lawyers in Canada by being the firstin the British Empire in 1897.

In 1888, Martin was accepted to Trinity College in Toronto. And in 1890, Martin graduated with a Bachelor of Arts in Mathematics at the age of sixteen, which wasalmost unheard of because of the masculinity associated with that field.[1]

In 1891, Martin submitted a petition to the Law Society of Upper Canada to permit her to become a student member, aprerequisite to articling as a clerk, attending lectures and sitting the exams required to receive a certificate of fitness to practice as a solicitor.

Her petition was rejected by the Law Society aftercontentious debate, with the Special Committee reviewing the petition interpreting the statute which incorporated the Law Society as permitting only men to be admitted to the practice of law. W.D.Balfour sponsored a bill that provided that the word « person » in the Law Society’s statute should be interpreted to include females as well as males. Martin’s cause was also supported by prominent women ofthe day including Emily Stowe and Lady Aberdeen. With the support of the Premier, Oliver Mowat, legislation was passed on April 13, 1892, and permitted the admission of women as solicitors. As Canadaprepared to enter the 20th century, women were barred from participation in, let alone any influence on or control over, the legal system at its fullest — women could not be voters, legislators,coroners, magistrates, judges or jurors. They were visible in the courts as litigants, witnesses & accused persons.

In later life, Martin ran for Toronto City Council in Ward 2 but was defeated inthe 1920 municipal election.

In 1989, the provincial government announced that Martin was to be honoured by having the building housing the Ministry of the Attorney General named after her. The…

Une vie pas comme les autres

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UNE VIE PAS [pic]COMME LES [pic]AUTRES

[pic]VIGNERON Camille

Chapitre I

Un beau jour, au bord d’un lac, Lili déambulait, rêveuse, à quelques mètres de l’eau, pieds nus, elle marchait dans l’herbe fraîche, humidifiée par la rosée du matin. Lili était une adolescente de petite taille qui aimait vivre en harmonie avec la nature. Ayant perdu ses deux parents en bas-âge, ellevivait avec son grand-père dans une petite maison en bois, le long d’un lac appelé « Finebrise ». Ce lac se trouvait non loin d’un village nommé « Beau-jour » ; on y racontait que les personnes âgées, après avoir vécu leur jeunesse dans de grandes villes, venaient se reposer non loin des montagnes dans ce petit village. La légende qui existait toujours faisait de Georgio, le grand-père de Lili, leroi de ce village. Agé de quatre-vingt-onze ans, il en était le doyen.

Il regardait sa petite fille s’amuser dans les hautes herbes en pensant aux quelques années qui lui restaient avant de laisser sa belle sans famille. Il souhaitait sa réussite à l’école mais Lili rêvassait en permanence, il essayait de la ramener à la raison, de lui faire comprendre qu’il avait peu d’argent et qu’elledevra travailler dur pour mener une belle vie.

C’était dimanche et l’heure du dîner, Georgio convia Lili au dîner mais celle-ci s’en moquait, elle voulait profiter du temps et de la nature. Georgio réessaya :

-Lili, ma jolie. A table, il est tard et tu n’as pas fait tes devoirs !

-Oui, Papi, mais j’ai pas faim et je ferai mes devoirs plus tard.

-Il est tardrentre vite ma puce!

-D’accord mais c’est bien pour te faire plaisir… fit-elle mollement

Lili rentra sans regarder son grand-père. Ses cheveux dorés d’habitude si bien coiffés, étaient là, tout emmêlés, elle n’était pas vraiment propre, marchant toujours pieds nus, quand elle rentrait, elle était d’une saleté épouvantable.

Georgio lui ordonna d’un ton très sévère:-Vas -te doucher, tu as vu dans l’état où tu es ? On dirait un petit porc, allez vite !

Lili ne bougeait pas, le fixant sèchement, elle ne l’avait jamais vu dans un tel état.

-Ne me regarde pas comme ça, reprit-il, file ! Après on mangera et tu feras tes devoirs !

-Mais…

-Il n’y a pas de mais, allez ! Tu nous as déjà fait perdre assez de temps !!!

Lilipartit en courant dans la petite salle de bain et s’y enferma.

-Ne met pas deux plombes, ajouta-t-il gentiment

-Oui mais arrête de crier, rétorqua-t-elle

Georgio s’approcha du fourneau pour y faire cuire la soupe qu’il avait préparé. Il faisait sombre, alors le vieil homme alluma une lampe qui se trouvait sur la table. Contrairement à ce que l’on aurait pu croire,l’intérieur de la maison était très moderne. Quand les parents de Lili sont décédés, Georgio décida de refaire la maison, l’extérieur était toujours aussi délabré, mais les pièces d’habitations rénovées. L’espace restait sombre mais un grand nombre de lampes y étaient installées. Lili pouvait ainsi inviter des amis sans éprouver de la honte.

Lili ayant fini de prendre sa douche, s’installa à lasalle à manger et s’exclama :

-Qu’est-ce qu’il y a Papi, tu ne vas pas, t’es grognon.

-Cela arrive ma puce, répondit simplement Georgio.

– Non, Papi, tu n’es pas bien !

-Mais si, je vais bien ne t’inquiète pas ! Cria t-il

-Tu vois Papi, tu t’énerves, ajouta-t-elle, tu peux tout me dire, tu sais !

-Il n’y a rien !!! Tempêta-t-il, Ça suffit !-Papi, je voulais te poser une question depuis longtemps ;

-Vas-y !

-Je sais que tu m’as adoptée mais…

Georgio craignait le pire.

-Mais quoi…s’inquiéta-t-il

-Où sont mes vrais parents ?

Le pire était arrivé, il ne savait plus quoi dire. Georgio était perdu. Il essaya de répondre sans la blesser :

-Ils sont partis au Paradis….

Nuit de brouillard

Ce documentaire montre les conditions terribles des juifs dans les camps de concentration et d’extermination. Même si la différence des deux camps n’estpas réellement marquer, on remarque les même horreurs dans les deux camps. Les juifs sont traités de manière révoltante ! Ils ne sont plus considéréscomme des humains mais comme des animaux. Leur intimité est dévoilée aux yeux de tous, aucun respect ne leur est accordé. Ils deviennent des « bêtes defoires » pour les allemands, ils sont traités comme des moins que rien.
Ce documentaire m’a fait prendre conscience des souffrances qu’ils ont vécu tousau long de ce régime dictatorial. Les images sur les camps de concentration et d’extermination, le nombre de morts et leur corps émacié après des jourssans manger m’ont attristé plus particulièrement. Tout cela ne me semblait pas réel, inimaginable.
Une scène me scandalisa plus particulièrement : lefait que les Allemands utilisent les corps des juifs. Les cheveux servaient à faire du tissu et les os à fabriquer du parchemin et du savon. Ceci me secouad’autant plus lorsque je vis les conditions des malades graves à l’infirmerie. L’infirmerie n’était pas un endroit de guérison mais de mort. Les médecinsaggravaient le cas des malades au lieu de les guérir. Les juifs ne pouvaient se fier aux infirmières.
Ils étaient seul face a leur destiné quis’écourter de plus en plus vite.
Ce fut un film choquant mais qui montra la réalité sur la situation des juifs en Allemagne pendant le régime d’Hitler.