Les marchés financiers internationaux

Thème sur :
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Année universitaire 2010/2011
Plan du thème :

INTRODUCTION GENERALE

Définition du marché financier

Chapitre I / les marchés financiers internationaux : Définitions, historique, types et rôle.

I/Définitions historique et types des marchés financiers internationaux

II /rôle des marchés financiers internationaux

Chapitre II /les marchés financiers internationaux : instruments et acteurs :

I/les instruments des marchés financiers internationaux

II/les acteurs des marchés financiers internationaux

III/ les principales places financières internationales

CONCLUSION GENERALE

Sommaire :

INTRODUCTION GENERALE………………………………………………………………….…………3

Chapitre I / les marchés financiers internationaux :Définitions, types et rôle……..….4

I/Définitions historique et types des marchés financiers internationaux ………………4

1/Définition…………………………………………………………………..…………………………………..4

2/historique………………………………………………………………………………………………………4

3/Les types des marchés financiers internationaux………………………………………………7

II /rôle des marchés financiersinternationaux…………………………………………….….…10

Chapitre II / les marchés financiers internationaux : instruments et acteurs…………..11

I/les instruments des marchés financiers internationaux……………………………………12

1/les obligations……………………………………………………………………………………….……12

2/les actions internationales………………………………………………………………………………13

3/Les produitsdérivés………………………………………………………………………………………13

II/les acteurs des marchés financiers internationaux……………………………………………15

1/les banques et les coutiers : principaux animateurs de ces marchés……………………16

2/Les entreprises industrielles et commerciales………………………………………………..…16

3/Les banques centrales…………………………………………………………………………………….17

4/Les investisseursinstitutionnels………………………………………………………………….…17

III/ les principales places financières internationales………………………………………….17

Conclusion générale………………………………………………………………………………………..19

Bibliographie, Webographie………………………….………………………………………………….21

INTRODUCTION GENERALE :

Depuis les années 1930, le système financier était essentiellement bancaire. Le financement de l’économie s’effectuait quasi-uniquement via le bilan des banquesles marchés de capitaux apparaissent plutôt enclos dans leurs espaces nationaux, segmentés selon leurs échéances et la spécificité des instruments de placement. Les mouvements internationaux de l’épargne étaient assez entravés. C’est dans les années 1970 que deux nécessités et trois événements ont contribué de manière décisive à la forte croissance des marchés financiers et au basculement vers lesystème actuel. Il s’agit :

? De l’adoption du système des changes flottants en mars 1973, qui a donné naissance à un véritable marché des changes. (le décloisonnement).

? Du gonflement de la dette publique des pays industrialisés, et en particulier des États-Unis, et la fin des politiques d’encadrement du crédit, qui ont donné naissance au marché des taux d’intérêt. (La déréglementation).? Du choix par les États-Unis de la retraite par capitalisation : l’ERISA (Employment Retirement Income Security Act) est adopté en 1974 ; cela crée donc une demande structurelle croissante de la part des fonds de pension en titres de placement à long terme, c’est-à-dire en obligations longues (10-30 ans) et en actions.( La désintermédiation).

? De la suppression des commissions fixes sur lesvaleurs mobilières aux États-Unis le 1er mai (Mayday, en anglais) 1975, qui rend possible la liquidité des marchés d’actions et, surtout, d’obligations ;

? Et enfin des très forts mouvements de taux d’intérêt à court terme décidés en octobre 1979 par la banque centrale américaine pour éradiquer l’inflation, qui vont créer pendant plusieurs années des mouvements…

Dissert

Melancholia

Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ?Ces filles de huit ans qu’on voit cheminer seules ?Ils s’en vont travailler quinzeheures sous des meules ;Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellementDans la même prison le même mouvement.Accroupis sous les dents d’une machine sombre,Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dansl’ombre,Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,Ils travaillent. Tout est d’airain, tout est de fer.Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue.Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue.Ilfait à peine jour, ils sont déjà bien las.Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes,Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! »Oservitude infâme imposée à l’enfant !Rachitisme ! travail dont le souffle étouffantDéfait ce qu’a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée,La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée,Et qui ferait – c’estlà son fruit le plus certain ! -D’Apollon un bossu, de Voltaire un crétin !Travail mauvais qui prend l’âge tendre en sa serre,Qui produit la richesse en créant la misère,Qui se sert d’un enfant ainsique d’un outil !Progrès dont on demande : « Où va-t-il ? que veut-il ? »Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme,Une âme à la machine et la retire à l’homme !Que ce travail, haï des mères,soit maudit !Maudit comme le vice où l’on s’abâtardit,Maudit comme l’opprobre et comme le blasphème !O Dieu ! qu’il soit maudit au nom du travail même,Au nom du vrai travail, sain, fécond, généreux,Quifait le peuple libre et qui rend l’homme heureux ! Les Contemplations, Livre III« Les luttes et les Rêves », II, vers 113 à 146, avril 1856. | |

Victor Hugo, né le 26 février 1802 àBesançon et mort le 22 mai 1885 à Paris, est un écrivain, dramaturge, poète, homme politique, académicien et intellectuel engagé français, considéré comme l’un des plus importants écrivains romantiques…

Bible

ÉTUDE DE PROJET POUR L’OPÉRATION « COMPOSTIERS-TOURNANT » |

Contexte socio et po° / PK une démarche associative ?
Intro : rappeler intérêt du rapport au jardin, car au moins deux générations ont sauté cet apprentissage, depuis les quarante dernières années.
ATOUT SYBERT : Une première solution pour la mise en place de compost de quartier
[c’est pour cette raison que]
L’AssociationTriVial’Compost souhaite lancer, pour Janvier 2011, l’opération « LES COMPOSTIERS-TOURNANT ». Il s’agit d’un projet à caractère social et éco-citoyen, en accord avec les valeurs de l’association, notamment au sujet de son fort encrage territorial, et fonctionnant en corrélation avec le projet SOL. Il propose, en effet, un échange non-monétaire de services entre les particuliers et l’association :retourner des bacs-à-compost de quartiers contre l’obtention de fruits et légumes frais, ou bien encore, l’obtention de bons culturels…

DESCRIPTIF DÉTAILLÉE DU PROJET

Public visé
Pour ce projet, nous tenons particulièrement à toucher un public à caractère précaire (étudiants, chômeurs, salariés précaires), sensible au geste éco-citoyen, et n’ayant pas la chance de posséder un jardin.Noussouhaitons revenir, avec nos participants, à des échanges non-monétaires, à une autre manière de se fournir en denrées alimentaires… En quelques-sortes, un palliatif à une pratique en voie d’extinction sur Besançon : celle des invendus.C’est pourquoi, nous proposerons aux participants :
un panier de fruits et légumes bio locaux (selon la possibilité : issus directement de leur jardind’affectation), pour chaque participation à 1 session de retournement du compost.
une formation au compostage (10 élèves par formation, chacune de ces formations ayant lieu sur le lieu d’affectation).

RèglementLe nombre de places sera limité, à raison de 10 personnes par bac-à-compost*. Les participants sont divisés en 5 groupes de 2 personnes, qui sont répartis sur chaque session de retournementdu compost, grâce à un roulement régulier. (* Nous ne pouvons pas encore prévoir le nombre total de participants pour cette opération : le nombre de sites-partenaires n’étant pas encore fixé.) Chaque session dure environ deux heures, et chaque compost nécessite deux sessions hebdomadaires minimum. Le roulement s’organisera différemment, en fonction du jardin d’affectation et du nombre de sessionshebdomadaires nécessaires au bon fonctionnement de son compost.? Ainsi, pour un compost nécessitant deux retournements par semaine, nous pouvons prévoir que les participants rouleront à raison d’une session toutes les deux semaines.
Chaque participant se voit remettre son « panier-légume », ou autre bon, à la fin de chaque session*.(*à revoir : sous réserve de l’arrangement conduit entre le jardinpartenaire et l’association TriVial’Compost.)

Inscriptions
Les candidats se pré-inscrivent par téléphone ou par mail auprès du maître de projet. Ils sont conviés à une réunion d’information sur l’opération. À partir du nombre maximum de places atteint, les candidats nous contactant sont mis sur liste d’attente, mais également conviés à la réunion.À l’issu de cette réunion, les candidatspotentiels valident, ou non, leur inscription… laissant ainsi des places vacantes pour les candidats mis sur liste d’attente.Ils obtiennent le nom de leur jardin d’affectation, le nom des différentes personnes affectées à ce jardin, ainsi que la date de formation pour leur groupe. Ils peuvent, pendant le pot offert par TriVial’Compost, venir indiquer au maître de projet le nom de leur co-équipieret leur planning pour le mois à venir.
Cotisation des compostiersL’engagement du candidat vaut pour une durée d’un an.Pour pouvoir bénéficier de son statut de compostier, il doit s’acquitter d’une cotisation annuelle d’adhérence à l’association TriVal’Compost, dont le montant s’élève à 5 euros (comprend les frais de formation, d’assurance, etc.). Cette adhésion le protège, entre-autre, en cas…

Communication, leadership

Introduction
Depuis toujours, la communication est au cœur de notre vie. Même si on communique depuis toujours, on doit admettre que les moyens de communiquer ont beaucoup changé. On est conscient de plus en plus aujourd’hui que la communication est un outil, un enjeu dans toutes les situations de la vie personnelle, sociale et professionnelle.
La communication est l’ensemble des moyenspermettant la transmission d’un message auprès d’une audience. Communiquer, c’est établir une relation avec autrui, transmettre quelque chose à quelqu’un. La communication représente un processus de transfert, de partage, de transmission des informations, des idées, des messages ou des signaux.
Un processus de communication implique des émetteurs et des récepteurs. Un feedback est toujours importantpour que l’interlocuteur s’ajuste à l’auditeur (note du cours).

Les compétences en communications
Les compétences interpersonnelles font référence aux compétences en communication, en lesdership, en négociation et en gestion d’équipe de travail. Les compétences en communication sont d’une valeur inestimable pour arriver à s’expliquer et résoudre des conflits (Weisinger,2005).
Certains naissentavec un don, un charisme naturel qui leur permet d’avoir du succès dans leurs relations. D’autres n’ont pas cette chance. On peu apprendre à mieux communiquer. À mieux se faire entendre et comprendre et se faire apprécier dans les relations. Notamment au travail, on peut apprendre comment expliquer, intéresser, convaincre, influancer un interlocuteur, réussir une intervention pendant un débat, uneréunion ou une négociation et comment maîtriser un entretien professionnel. Selon Weinsinger dans son livre l’intelligence émotionnelle, en matière de communication, les habilités nécessaires pour évoluer positivement sont :
• Faire preuve de sensibilité
• La révélation de soi
• L’affirmation
• L’écoute active
• la critique
• la communication de groupe
J’ai pudévelopper quelques-unes de ces habilités aux différentes étapes et expériences de ma carrière. Alors que j’ai découvert d’autre pendant le cours et la lecture du livre de Weisinger. J’aurais aimé les avoir appris il y a longtemps. Cela m’aurais permis de mieux communiquer et surtout, à éviter quelques situations critiques. Des habilités que j’ai la ferme intention d’en tenir compte au futur, de lestravailler et de les améliorer

Habilités de communication
Communiquer implique toujours une interaction d’une personne avec une ou plusieurs autres personnes. J’ai compris que pour réussir une communication, la première chose à faire c’est écouter activement, prendre conscience des mes filtres personnels et évaluer mes perceptions vis-avis de mon auditeur. D’après la théorie de Berg, lespersonnes communiquent différemment selon leurs styles et la dominance de leurs profils. Soit, parental s’appuient sur les faits, adulte s’appuient sur les faits, mais plus rationnel ou enfant s’appuient plus sur la partie plaisir, spontanée, qui peut être soumis ou rebelle.
Connaitre le style de mon interlocuteur me permet d’éviter d’avoir une communication croisée. Identifier son profil me donnel’occasion de m’organiser et de me protéger (note du cours). En même temps, ça me permet de me mettre à la place de mon auditeur.
Il y a un passage que j’ai beaucoup apprécié dans le livre intelligence émotionnelle.
Pour faire preuve de sensibilité, si chaque personne pour communiquer avec quelqu’un d’autre s’arrête un peu, se met à la place de l’autre et se demande >. J’espère pouvoir m’en souvenir dece paragraphe et l’appliquer le plus souvent possible dans le futur.

Communiquer
En réfléchissant, il m’est apparu très clair que parmi les différentes étapes de ma carrière, celle où j’ai enseigné était la plus pertinente. En effet, c’était mon premier travail. Aussi c’était le travail où j’ai eu des contacts avec le plus de personnes. Enseigner m’a fait comprendre et évoluer ma façon de…

Acrc détaillé

CONTENU DU DOSSIER A.C.R.C

Le contenu du dossier présenté est strictement défini par Le référentiel. Il contient

UNE PAGE DE GARDE (votre nom, prénom, session 2011, le nom de l’épreuve = Analyse et conduite de la relation commerciale)

UN SOMMAIRE PAGINE qui reprend les titres, sous-titres et paragraphes suivants

Partie I. Descriptif des activités et des missions 15 à 20 pagesau maximum

I. Descriptif de l’unité commerciale

Présentation générale

(Petit historique = date de création de l’UC, nom du responsable,

forme juridique, dénomination sociale évolution structure => 10 lignes)

1. Le contexte géographique

1. Localisation

• cartes géographiques sur laquelle vous préciserez l’emplacement de l’UC, lesconcurrents directs et indirects

• Vous repérez les infrastructures environnantes : axes de circulation, barrières naturelles ou psychologiques

2. Description de la zone de chalandise

• Zone d’attraction de la clientèle potentielle

• Faire une analyse plus poussée qui permet d’établir les zones primaire, secondaire, tertiaire

• Faire une étude de clientèle :

-Nombre d’habitants

– Nombre de ménages – CSP

– Nombre d’entreprises concurrentes dans la zone – leur effectif …

– Segments de clientèle (identification les segments de votre UC, c’est-à-dire la typologie par utilisée)

3. Les concurrents : faire un bref résumé du tableau de comparaison en quelques lignes

Faire une étude de la concurrence : élément àrechercher (présentation sous la forme d’un tableau inclus dans les annexes)

– Dénomination sociale

– Forme juridique : filiale, franchise, concession

– Type de réseau : intégré, associé, mixte

– Concurrent direct ou indirect

– Localisation sur la zone de chalandise

– CA – PDM

2. Le contexte organisationnel

1. Structure organisationnelle

-Organigramme

– La hiérarchie et les responsabilités de chacun au sein de l’UC

Quelle est la culture d’entreprise ? (éléments qui font la qualité sociale de l’UC, les valeurs de l’UC traduits par des codes, des rites…)

2. Réseau

– Type de réseau : intégré ? associé ? mixte ?

– Structures juridiques existantes : filiale, franchise, concession, succursale,groupement d’achat, master-franchisé (international), chaîne volontaire … (voir cours DUC)

– Contraintes d’appartenance du réseau : composantes d’un réseau qui est la tête de réseau ? centrale d’achat ? centrale de référencement ? Plate forme logistique ? Unités de soutien ? Pourquoi ne pas faire un schéma descriptif du système de distribution en annexe ?

Expliquer brièvement enquoi le système peut représenter un obstacle pour l’UC : indication sur le degré d’autonomie de l’UC

3. l’équipe commerciale

Composition : les fonctions, les missions, les compétences …

4. responsabilités

Le rôle de chacun, le niveau de délégation, le style de management

5. contraintes

– Horaires

– Matérielles : équipement

3. Lecontexte commercial

1. le marché

– Identification marché exemple : le marché de l’alimentaire, du textile, du loisir

– état du marché : porteur ? saturé ? équilibré ? Expliquer pourquoi ? montrer des documents, des articles de presse … les analyser

2. l’activité

– identifier le domaine d’activité exemple : sur la marché de l’agro-alimentaire, on distingue commedomaine d’activité : la grande distribution, le commerce de proximité …

3. les produits

-l’assortiment

– largeur/profondeur de gamme

– niveau de gamme : haut de gamme, bas de gamme

– niveau de prix : type de politique : écrémage (pratique de prix élevés pour choisir le segment de clients), pénétration (le contraire) et…

Eloge de jamel

SARSSERI 4°C
MERLIN Rédaction

Pour ce sujet,j’ai décidé de vous parler d’un humoriste que j’apprécie énormément : Jamel Debbouze. Ce qui est formidable chez cette personne c’est qu’il pose un regard neuf et différent sur la population française etmaghrébine. J’affectionne son attitude en raison de sa proximité vers les jeunes de cités étant lui-même issu des quartiers défavorisés de Paris. Je l’ai découvert dans la série« H »diffusé sur Canal+ où il interprète Djamel Driddi. Il joue aux côtés d’Eric et Ramzy, Catherine Benguigui et Sophie Mounicot. Ce qui me fait rire c’est le fait qu’il arrive toujours à se mettre dans des situationsdifficiles comme vendre des rats, faire un trafic de pizzas périmées dans l’hôpital ou encore se déguisé en saucisse. Jamel a réussi a imposé un langage propre à lui tel que cette phrase culte de lui :« Dis moi pas que c’est pas vrai ! ». Par la suite, je l’ai vu joué dans le film « le fabuleux destin d’Amélie Poulain » sorti en 2001, où il incarne Lucien un jeune stagiaire chez le commerçant ducoin. Son patron veut le faire passer pour quelqu’un de stupide mais ce n’en résulte absolument pas. Après, j’ai assisté à la séance filmographique de la très grande production de 2002, « Astérix etObélix : Mission Cléopâtre » qui a reçu un accueil phénoménal auprès des critiques et du public. Dedans il interprète le rôle de Numérobis un architecte qui doit mettre en œuvre le palais de César enl’espace de trois mois jour pour jour. Dans ce rôle, il est si drôle avec des répliques devenues cultes comme : « j’aime pas trop beaucoup ça, c’est un petit peu beaucoup trop calme». Je l’admire d’autantplus que cet homme sait aussi être convaincant dans des films dramatique tel que : Angel-A ou encore Indigènes. Récemment, il a produit et fait en sorte que le stand up soit connu en France….

Dialogue

[20:02:02] Trésor NDENG: Bonjour Monsieur

[20:02:30] simon benoit: bonjour

[20:02:46] Trésor NDENG: Je suppose que vous me connaissez ?

[20:02:55] simon benoit: Bien sûr que oui !

[20:03:05] Trésor NDENG: bien

[20:03:16] simon benoit: Madame Gaemlin m’a parlé de vos problèmes

[20:03:23] Trésor NDENG: ok
[20:03:45] Trésor NDENG: c’est bien de cela que j’aimerais parler avec vous[20:04:40] simon benoit: Bien sûr, mais je vous rappel que je ne peux pas faire grand chose pour vous

[20:05:58] Trésor NDENG: je me demandais au ou je pouvais me présenter à vos bureaux mardi le 18 jan. 01
[20:06:20] Trésor NDENG: pourrais-je, à ce moment, procéder à mon inscription ?

[20:06:54] simon benoit: Madame Gamelin vous a déjà dit OUI pour le 18, en espérant que les douaniervous laisse rentrer au pays
[20:06:58] simon benoit: JE m’explique :
[20:08:13] simon benoit: Le trimestre étant déjà débuté depuis le 4 janvier, et la période d’inscription se terminant AUJOURD’HUI, il se peut que le services des douanes canadienne vous cause des problèmes
[20:08:49] simon benoit: Nous avons déjà vue un étudiants se voir refuser un VISA à cause d’un retard
[20:09:12] simonbenoit: De plus en arrivant trop tard, vous mettez votre trimestre en péril
[20:09:29] simon benoit: Vous êtes vraiment en retard

[20:10:12] Trésor NDENG: Que puis-je donc faire ?

[20:11:24] simon benoit: Vous pouvez toujours arriver pour la rentrer de septembre
[20:11:50] simon benoit: Je sais que mes réponses sont décevante, je m’excuse
[20:12:13] simon benoit: Avez-vous déjà un endroit oùhabiter à MOntréal ?

[20:12:21] Trésor NDENG: oui

[20:12:28] simon benoit: Bien !
[20:12:55] simon benoit: Car a votre arriver vous aurez beaucoup de rattrapage a faire
[20:13:32] simon benoit: Assurez-vous auprès de l’ambassade canadienne, que vous n’aurez pas de problème a votre arrivé à Montréal

[20:14:38] Trésor NDENG: L’ambassade situé dans mon pays d’origine m’ déjà délivré unpermis d’études

[20:15:24] simon benoit: Ok !
[20:15:40] simon benoit: Dans ce cas vous attendez seulement un vol ?

[20:15:48] Trésor NDENG: Exact !

[20:16:22] simon benoit: Dans ce cas nous vous attendons le 18 janvier.
[20:17:01] simon benoit: À votre arrivé, demandé madame Gamelin au bureau du registraire

[20:18:06] Trésor NDENG: Un dernier soucis se présente
[20:19:26] TrésorNDENG: En effet, il n y a pas de vol prévu le lundi 17 seulement le 18
[20:19:51] Trésor NDENG: et l’arrivée sera le 19
[20:20:40] Trésor NDENG: alors ?

[20:24:44] simon benoit: un instant

[20:24:54] Trésor NDENG: ok !

[20:42:22] simon benoit: Je ne peux pour l’instant confirmer s’il est possible pour l 19 car la registraire est actuellement en réunion
[20:43:17] simon benoit: De plus Jene peux vous garantir qu’il restera des places disponible dans les cours de 1er trimestre
[20:43:33] simon benoit: Vous êtes vraiment en retard
[20:44:03] simon benoit: Je comprend que la situation politique est difficile en côte d’ivoire ce qui cause des soucis à tous les étudiants
[20:45:02] simon benoit: Mais selon moi, vous devriez retarder votre arrivé à l’Automne comme la plus part desétudiants africain qui ne sont pas arrivez cet hiver
[20:46:58] simon benoit: Est ce que vous travaillez en ce moment ?

[20:47:15] Trésor NDENG: Non

[20:47:43] simon benoit: L’occasion aurez été bonne pour mettre de l’argent de côté
[20:48:05] simon benoit: car la scolarité est dispendieuse

[20:48:26] Trésor NDENG: Je le sais
[20:51:00] Trésor NDENG: Donc, en résumé, pour le 18 c’estfaisable mais le 19 c’es pas évident ?

[20:53:27] simon benoit: Que vous arrivé le 18 ou le 19, votre première journée à l’ÉTS sera perde à rencontrer plusieurs intervenants, vous serez donc en classe le 20.
[20:54:43] simon benoit: Et j’ai peur que vous ayez manquer beaucoup trop de matière…
[20:55:29] simon benoit: Dans plusieurs classes des travaux d’équipes ont peut-être déjà commencer…

Mesurer la performance d’un système d’information

LES BAROMÈTRES DE LA PERFORMANCE

Mesurer la performance dU système d’information

David Autissier Valérie Delaye

Éditions d’Organisation Groupe Eyrolles 61, bd Saint-Germain 75240 Paris cedex 05 www.editions-organisation.com www.editions-eyrolles.com

Le Code de la propriété intellectuelle du 1er juillet 1992 interdit en effet expressément la photocopie à usage collectif sansautorisation des ayants droit. Or, cette pratique s’est généralisée notamment dans l’enseignement provoquant une baisse brutale des achats de livres, au point que la possibilité même pour les auteurs de créer des œuvres nouvelles et de les faire éditer correctement est aujourd’hui menacée. En application de la loi du 11 mars 1957, il est interdit de reproduire intégralement ou partiellementle présent ouvrage, sur quelque support que ce soit, sans autorisation de l’Éditeur ou du Centre Français d’Exploitation du Droit de copie, 20, rue des GrandsAugustins, 75006 Paris.

© Groupe Eyrolles, 2008 ISBN : 978-2-212-54116-8

LES BAROMÈTRES DE LA PERFORMANCE

David Autissier Valérie Delaye

Mesurer la performance du système d’information

Sommaire

Préface……………………………………………………………………………………………………………………………………………………….

9

Introduction
Apprécier la performance des fonctions support
………………………………………………

11

Chapitre 1
Le modèle d’évaluation fonctionnelle (MEF)………………………………………………………….. 15 La nécessité d’évaluer pour piloter ……………………………………………………………………………….. 16 Le MEF : modèle d’évaluation fonctionnelle …………………………………………………………. 20 Que faut-il mesurer pour évaluer une fonction support ? ……………………………….. 21 Un modèled’évaluation fonctionnelle à quatre pôles ………………………………………… 22 Calcul d’un taux de performance ………………………………………………………………………………… 27 Le modèle MEF et les tableaux de bord ……………………………………………………………………. 30 L’approche par les objectifs………………………………………………………………………………………………. 31 L’approche par les modèles de pilotage ………………………………………………………………………. 35 Le modèle MEF et les outils d’évaluation ?nancière ………………………………………… 43 Les méthodes de l’évaluation ?nancière…………………………………………………………………… 43 Les limites de l’évaluation ?nancière pour les fonctions support ………………… 45

Chapitre 2
La fonction système d’information
………………………………………………………………………………….. 47 Dé?nition de la fonction système d’information ………………………………………………….48 Système d’information et informatique ……………………………………………………………………. 48 Maîtrise d’ouvrage et maîtrise d’œuvre …………………………………………………………………… 49 Historique de la fonction système d’information ………………………………………………… 51 Développement de l’informatique………………………………………………………………………………… 51 Naissance du système d’information …………………………………………………………………………. 52 De IT à ICT …………………………………………………………………………………………………………………………… 52 Évolution du SI…

Le pointillisme

1) Introduction
En quelques mots, le pointillisme est un courant artistique pictural né en France à la fin du XIXe siècle dans la foulée de l’impressionnisme et poussant la technique des points de couleurs à son paroxysme. Son œuvre majeure est signée Georges Seurat : Un dimanche après-midi à l’île de la Grande Jatte (1886) et est exposée au Art Institute of Chicago.
2) Contexte historiqueC’est donc à la fin du XIXe siècle que nait un courant artistique issu du mouvement impressionniste : le pointillisme ou néo-impressionnisme ou divisionnisme. Ce courant est créé en France par deux artistes -Georges Seurat (1859-1891) et Paul Signac (1863-1935)- car à cette époque, le Salon de peinture refuse souvent les œuvres du groupe des impressionnistes. Les artistes de ce mouvement artistiquedécident donc d’organiser eux-mêmes leurs propres expositions afin de faire connaître leurs œuvres.
A cette époque, Georges Seurat n’a que 15 ans mais il est déjà passionné par cette technique picturale qu’il va étudier en profondeur et appliquer à l’extrême donnant naissance au courant du pointillisme. Paul Signac et Jacob Abraham Camille Pissarro sont deux autres grands noms de ce courant.D’ailleurs, à la mort de Seurat, Signac devient le nouveau chef de file du mouvement qui prend fin dans les dernières années du XIXe siècle.
3) Qu’est-ce que le pointillisme et quelles en sont les caractéristiques ?
Le pointillisme est clairement un courant artistique issu du mouvement impressionniste et qui consiste à peindre par juxtaposition de petites touches de peinture de couleurs primaires (rouge,bleu, jaune) et de couleurs complémentaires (orange, violet, vert). Cette technique consiste à traduire l’espace et la lumière par la juxtaposition de « petites » touches. Comme l’a écrit Seurat lui-même, la pureté de l’élément spectral est la clef de voûte de sa technique. Ainsi, lorsqu’un tableau est regardé à une certaine distance, les points de couleurs ne peuvent être distingués les uns desautres et se fondent optiquement les uns dans les autres. L’aspect visuel est totalement différent de celui obtenu en mélangeant les couleurs sur une palette car le mélange est réalisé par l’œil et non par le pinceau. Par ailleurs, pour représenter les émotions, le rythme et le mouvement dans leurs toiles, les peintres néo-impressionnistes ont utilisé une théorie sur les lignes et les couleurs :les lignes montantes combinées aux couleurs chaudes expriment la joie et le bonheur tandis que les lignes qui descendent avec des couleurs froides et sombres reflètent le sentiment de tristesse. Le pointillisme laisse enfin le choix aux artistes de peindre ou non les contours.
4) Le pointillisme dans la vie de tous les jours
Le pointillisme est un courant artistique basé sur une technique quel’on utilise encore de nos jours dans la vie courante. Les imprimantes, par exemple, utilisent un système de pointillisme puisque pour imprimer, elles font des millions de petits points qui reconstituent une image entière. De même, les écrans d’ordinateur et les télévisions ainsi que les photographies utilisent des petits points (pixels) pour reconstituer l’image.
5) Construction, description etinterprétation d’une œuvre
Un dimanche après-midi à l’île de la Grande Jatte (Seurat)
5.1) Description de l’œuvre
On peut voir de nombreux personnages : hommes, femmes et enfants de différentes classes sociales qui se détendent au bord de l’eau, sur l’herbe et sous des arbres. Les personnages se promènent, se reposent ou jouent à l’île de la Grande Jatte. Celle-ci est une île de la Seine dans labanlieue à la fois résidentielle et proche de la capitale, d’où la présence de classes sociales totalement opposées. La présence d’animaux (chiens et un singe) différents symbolise ce mélange social. L’île de la Grande Jatte était un lieu de loisir, promenade et de rencontres (amoureuses notamment) pour les Parisiens de la fin du XIX° siècle.
5.2) La composition
Au premier plan, on voit…

Exemple pour la certification en allemand (2nde)

CERTIFICATION EN ALLEMAND
ORAL

Thème : les systèmes scolaires franco-allemands.

Bonjour,
Je m’appelle Sara. (J’ai 16 ans).
Le thème de mon oral d’aujourd’hui est : Les systèmes scolaires franco-allemands.
Dans un premier temps, je parlerai de chacun des systèmes scolaires. C’est-à-dire le système scolaire français puis allemand. Ensuite, je donnerai mon avis au sujet de ces deuxsystèmes en répondant à la question : Quel système scolaire me plaît le plus, lequel est-ce que je préfère ?

I. Le système scolaire français
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Pour étudier le système scolaire français, nous allons premièrement regarder le schéma de ce système. Nous voyons sur le schéma que le système français compte à peu près 5 grands ensembles de cycle en général : les classes maternelles, les classesprimaires, le collège, le lycée et les études supérieures. A partir de la classe de 4ème, une autre voie est possible : la voie technologique qui mène aussi vers des études supérieures mais qui néanmoins sont moins longues que celles poursuivies dans la voie générale.
En France, l’école est obligatoire de 6 à 16 ans.
Concernant les diplômes que les élèves peuvent avoir, il y a deux diplômesprincipaux : le diplôme du Brevet national qui s’obtient en 3ème et le diplôme du Baccalauréat en Terminale, qui marque la fin des études secondaires et le début des études supérieures.
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L’emploi du temps dans un lycée français
Comme nous le voyons sur cet emploi du temps, les élèves de lycée en France sont en cours toute la journée. Ils ont en moyenne 8h de cours par jour, tout dépend de laclasse et sauf le mercredi où ils peuvent avoir tout l’après-midi libre. Ils consacrent ce temps libre pour les activités personnelles, ou encore pour la détente. Ici par exemple, c’est un emploi du temps d’une classe de Terminale ; donc un peu plus chargé que celui d’une classe de Seconde. Parfois les élèves peuvent avoir cours le samedi, d’autres fois non.

II. Le système scolaireallemand
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Le système scolaire allemand est très différent du système français au niveau des horaires des cours. Les élèves n’ont quasiment pas cours l’après-midi. Ils finissent généralement vers 13h. Le reste des après-midis est réservé aux activités sportives, personnelles. Le système allemand possède 13 niveaux de classes dont le 1er niveau correspond au CP et le 13ème à la Terminale lorsqueles élèves passent l’Abitur, l’équivalent du Baccalauréat.
Après l’école élémentaire, les élèves ont le choix entre aller dans une Realschule c’est-à-dire une école professionnelle dans l’optique d’apprendre un métier ou dans une Gymnasium, l’équivalent du lycée général pour poursuivre leurs études. Les allemands obtiennent leur Abitur à l’âge de 19 ans.
Les allemands ont moins de vacances queles français.

Mon avis personnel :

A mon avis, le système scolaire qui me conviendrait le plus est le système français parce que les élèves ont un an de moins d’étude que les allemands. On obtient le bac à 18 ans tout au plus. Je préfère le système scolaire français aussi car il y a plus de vacances scolaires qu’en Allemagne. De plus, je trouve que les emplois du temps sont très variés parrapport à l’emploi du temps des allemands dans lequel les élèves font les mêmes cours à peu près tous les jours.
Au final, je trouve qu’il y a beaucoup d’avantages d’être dans un lycée français qu’un lycée allemand.

Les désavantages qui pourraient se présenter dans un lycée allemand sont : le fait d’avoir un an d’étude en plus que dans un lycée français et donc d’aborder le monde du travail unpeu plus tard pour ceux qui le souhaitent. Les périodes de vacances sont plus courtes par rapport aux français.
Les avantages du lycée allemand sont : la durée des cours qui n’est que de 45 minutes alors qu’en France, c’est 50 minutes à peu près. Tous les après-midis libres qui sont consacrés aux activités sportives et personnelles.

Plus tard, j’aimerai faire des études dans le commerce…