Entretien annuel

II) EVALUATION DES COMPETENCES

COMPETENCES CONSTATS ETCOMMENTAIRES EVALUATION
Domaines

Evaluation de toutes ces compétences Indiquer au moins 5 compétences clés pour la fonction
Les observations qui vont
dans le sens de la compétence

Les observationsqui devront
initier des améliorations Maîtrise reconnue Dimension forte Marge de – 1 -développement Dimension faible Domaine de vulnérabilité
Analyse et Conception Analyse : Capacité à identifieret décomposer les problèmes en leurs différents éléments, et à fonder son jugement sur des données réalistes, logiques et rationnelles
Innovation capacité à aborder les choses et lessituations avec ouverture et curiosité, à développer de nouvelles approches, à apporter des solutions originales
Organisation : Capacité à organiser et planifier les moyens, les ressources et lesactions pour atteindre les objectifs.
Réalisation : Capacité à atteindre les résultats attendus dans les contraintes imparties, à montrer de l’attention pour la précision et les détails et àrespecter les fondamentaux
Education : Capacité à influencer les attitudes et les opinions d’autrui pour obtenir l’accord. Influence en explorant les positions des différentes parties, saitnégocier.
Relations Aisance relationnelle : Capacité à être à l’aise avec les autres et à les mettre à l’aise. S’exprime avec facilité et clarté en situation sociale et en situation individuelle.Communication : Capacité à communiquer de façon claire et objective. adapte son message au public visé et au support utilisé. Ecoute , reformule et explore
Initiative : Capacité àinitier l’action ou à prendre des décisions, seul si besoin est , et sans nécessairement avoir des directives ou des informations très détaillées
Résistance au stress : Capacité à rester…

Louise labé tant que mes yeux

Louise Labé née Louise Charly en 1524 à Lyon, décédée le 25 avril 1566 à Parcieux-en-Dombes, est une poétesse française. Surnommée « La Belle Cordière », elle fait partie des poètes enactivité à Lyon pendant la Renaissance.

Tant que mes yeux pourront larmes épandre
A l’heur passé avec toi regretter,
Et qu’aux sanglots et soupirs résister
Pourra ma voix, et un peufaire entendre ;

Tant que ma main pourra les cordes tendre
Du mignard luth, pour tes grâces chanter ;
Tant que l’esprit se voudra contenter
De ne vouloir rien fors que toicomprendre,

Je ne souhaite encore point mourir.
Mais, quand mes yeux je sentirai tarir,
Ma voix cassée, et ma main impuissante,

Et mon esprit en ce mortel séjour
Ne pouvant plus montrersigne d’amante,
Prierai la mort noircir mon plus clair jour.

Tant que mes yeux » est un sonnet écrit par Louise Labé. C’est le sonnet XIV de son texte « Evvres ». Le poème étaitpublié en 1555 dans la période de la Renaissance. Ce sonnet est un poème qui associe la perte d’amour à la mort. Il exploitant les thèmes du temps qui passe et de la nécessité du désir d’amourpour pouvoir vivre.

Les premiers deux quatrains évoquent le désir de vivre, ils démontrent que L’amour fait la vie. Puis en opposition, les deux tercets expriment le souhait demourir, lorsque l’amour sera impossible, l’âge venu. Alors le narrateur pense que l’amour est la chose qui fait la vie, et quand ont n’as pas d’amour, il n’y à point de raison de vivre. Ildémontre que si ont ne peut pas déclarer et participer dans l’amour, le plus beau jour sera noir, et la mort est la seule chose qu’elle veut.

Le premier et la troisième strophe parlent deschoses physiques que le narrateur fait : « pourra ma voix et un peu faire entendre », « Quand mes yeux je sentirai tarir » etc. Le deuxième et le quatrième strophe parle des…

Candide

; les catastrophes naturelles, d’abord sous la forme du séisme de Lisbonne, fait historique survenu en novembre 1755 qui avait beaucoup impressionné les imaginations de l’époque ; enfin souscelle de la tempête et du naufrage qui l’accompagne souvent. • Dans Candide, Voltaire dénonce de nombreux travers de la société de son temps : l’esclavage ; l’oisiveté et la non productivité denoblesse (il aborde également ce sujet dans sa Lettre sur le commerce) ; l’Inquisition, l’hypocrisie et le fanatisme religieux… • NB : vous pouvez aussi évoquer la « querelle » entre Voltaireet Leibniz. Double degré de lecture : amusant de lire des phrases qui reprennent toujours la même idée (« tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes ») => mais référence, critique duphilosophe allemand. B- L’ironie • L’ironie est l’art de dire le contraire de ce que l’on pense, de se moquer de quelqu’un ou de quelque chose en vue de faire réagir un lecteurou un interlocuteur. De nombreux auteurs, dont Voltaire, ont eu recourt à l’ironie afin de dénoncer, de critiquer les travers et les vices de la société ou de comportements. => L’ironie estomniprésente dans Candide : • « Comment on fit un bel autodafé pour empêcher les tremblements de terre, et comment Candide fut fessé » (Voltaire a subi l’autodafé + à la fin du chapitre, la terretremble). • Guerre : « boucherie héroïque », « Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées ». • Dans le chapitre VI, Candide et Pangloss, pour des raisonsdérisoires, sont conduits « séparément dans des appartements d’une extrême fraîcheur, dans lesquels on n’était jamais incommodé du soleil ». Comprenons que Voltaire désigne ici le cachot !?) L’ironie invite donc le lecteur à être actif pendant sa lecture, à réfléchir et à choisir une position. L’auteur d’un apologue parsème ainsi son texte d’éléments qui doivent…

Les réseau sociaux

Introduction :

Défini étymologiquement comme un groupe de personnes ou d’organisations reliées entre elles par les liens et les échanges sociaux qu’elles entretiennent. En effet, à l’origine, les réseaux sociaux avaient un cadre très limité. Mais avec l’évolution des sociétés et notamment avec le libre accès à internet ,on assiste à une multiplication des millions dejeunes nés avec une souris dans les mains arrivant sur le réseau chaque année, des technologies collaboratives qui se banalisent et un désir certain d’investir le champ du relationnel, Internet met en place de nouveaux réseaux sociaux plus larges, plus vastes, plus ludiques mais aussi moins facilement identifiables que ceux auxquels la génération précédente était habituée et à une réorientationdes réseaux sociaux qui vont investir toutes les sphères y compris également la sphère politique dans laquelle ils vont occuper une grande place avec le temps notamment dans la formulation de l’opinion politique et la contestation. D’ où l’interrogation sur les réseaux sociaux et les revendications citoyennes. Ainsi, quel est le rôle des réseaux sociauxsur la perception de l’information, sur la construction de l’opinion publique ? quel est le rôle des réseaux sociaux dans la concrétisation de l’opinion publique et dans le processus de contestation politique ?

I-RESEAUX SOCIAUX NOUVELLE VAGUE DE COMMUNICATION POLITIQUE :

A-GENESE DES RESEAUX SOCIAUX :

Facebook est le mot anglais qui désigne trombinoscope. En 2004,Facebook se cantonnait à l’université de Harvard et ses étudiants, mais va vite connaître un succès sans pareil, jusqu’à devenir public en 2006 et compter 30 millions d’adhérents. Facebook est une application Internet de type logiciel social. Une page personnelle serait un espace de vie pour l’individu. Elle nous renseigne sur son sexe, son âge, son téléphone, ses activités et centres d’intérêtsetc.… Lorsque votre réseau social est constitué, votre page d’accueil Facebook se présente sous la forme d’un tableau de bord vous informant de toutes les actions faites par vos amis. Sur Facebook on pratique une sorte de «microblogging». On est en effet encouragé à informer continuellement sa communauté, en décrivant ce que l’on fait à tous moments de sa journée : “je travaille sur tel dossier”,“j’ai rendez-vous avec untel”, “je prends l’avion pour telle destination” : C’est ce que les sociologues appellent « attention continue ».

On joint des groupes, et on en forme, on publie des photos, et la facilité avec laquelle, en quelques secondes, on peut en informer une foule de gens, permet de préférer souvent l’utilisation de Facebook à celle de l’email.

Facebook s’est donc vitevulgarisé et a perdu son côté snob et nous vivons avec cet outil une sorte de disparition des classes sociales car le bavardage mondial, devient un bavardage de salon. Il s’agit bien là d’une nouvelle forme de sociabilité.

On peut définir le capital social comme l’ensemble des ressources qu’un individu peut obtenir au travers de ses relations sociales. Ce capital existe toujours de façon potentielle :il faut le mobiliser à un moment donné pour le rendre efficace. Comment alors penser que ce réseau puisse apporter quoi que ce soit d’important à l’individu ? Des individus éloignés et avec qui l’on entretient que des relations épisodiques peuvent-ils sérieusement être considérés comme des éléments importants du capital social ? En effet, ce sont les relations de type « connaissances » qui sontsusceptibles d’apporter le plus à l’individu, comparativement aux relations de type « ami ». Si on distingue entre les liens « faibles » (connaissances, personnes que l’on voit peu, de façon irrégulière, et avec qui on partage peu) et les liens « forts » (l’exact contraire, donc), on est en droit de parler de « la force des liens faibles ».

L’explication est, comme souvent, relativement…

Dissert

Italo CALVINO

(Italie)

(1923-1985)

Il est né à Santiago de Las Vegas, village de Cuba, où son père, Mario, originaire de San Remo, dirigeait une station d’agriculture expérimentale tandis que sa mère, Evelina Mameli, d’origine sarde, était biologiste. La famille revint en Italie en 1925, et il grandit à San Remo où il suivit sa scolarité et reçut de ses parents libres penseurs uneéducation laïque. Ses lectures favorites étaient Stevenson, Kipling et, surtout, Nievo.
Il fit, dans l’étouffante atmosphère du fascisme, des études à l’université d’agronomie de Turin qu’il interrompit lorsque la guerre éclata. En 1943, s’étant soustrait à l’incorporation dans les troupes de la République sociale italienne, il s’engagea dans la Résistance et, avec son jeune frère, se joignit auxpartisans de la brigade Garibaldi, prit part, en 1944-45, à la guérilla dans l’arrière-pays de San Remo. Pendant quelques mois, ses parents furent retenus comme otages par les Allemands.
En 1945, il se retrouva à Turin où il collabora avec plusieurs journaux, s’inscrivit au parti communiste et entreprit des études de lettres qu’il conclut brillamment par un mémoire de littérature anglaise sur JosephConrad. Il fiit la connaissance de Cesare Pavese qui l’encouragea à écrire.
Il tira de son expérience de partisans la matière de son premier roman :
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“Il sentiero dei nidi di ragno”
(1947)
(“Le sentier des nids d’araignée”)

Roman

Parmi des partisans italiens qui résistent aux Allemands entre 1943 et 1945,Pin, le jeune protagoniste affronte tout ensemble l’absurdité superficielle des combats et leur vérité profonde.
Commentaire

En dix épisodes, la Résistance est vue par un enfant, sur un ton souvent lyrique et fantastique qui tranchait avec la production de l’époque. De l’aveu de l’auteur, le désir de transmettre quelque chose d’un magma humain «au sein duquel l’histoire prend forme» y entra enpartage avec celui de narrer «pour le plaisir» (puisque, si tous les détails sont vrais, leur reconstitution est tout imaginaire). Le livre contient une critique sévère de l’Italie démocrate-chrétienne, mais évite les clichés et, par son caractère fantastique, se rapproche de la fable philosophique et morale.
Il rencontra un certain succès.____________________________________________________________

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Dès son entrée en littérature, dans ce qu’on peut considérer comme le néo-réalisme, une façon de ressentir les choses partagée par les jeunes écrivains de l’après-guerre qui se sentaient dépositaires d’une réalité sociale nouvelle, Italo Calvino, qui bénéficia du soutien de Pavese, retint l’attention par l’aspect insolite de son écriture.
Il milita dans les rangs du particommuniste italien.
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‘’Ultimo viene il corvo’’
(1949)

(“Le corbeau vient en dernier”)

Recueil de trente nouvelles
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‘’Ultimo viene il corvo’’
(“Le corbeau vient en dernier”)Nouvelle

Le narrateur est un enfant qui aime les fusils et ne rate jamais sa cible.
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Commentaire sur le recueil

Les nouvelles, qui portaient sur la résistance italienne et furent le plus souvent inspirées par une observation aiguë et sensuelle de la nature, si ellesappartenaient au courant du néo-réalisme, étaient pleines de fantaisie et d’inventions inattendues.
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À partir de 1950, Italo Calvino collabora avec la maison d’édition Einaudi et participa à la vie culturelle italienne par une production d’articles, d’essais, de conférences, qui allait se prolonger tout au long de sa…

Victor hugo

I- Présentation générale.

Victor Hugo naît le 26 février 1802 à Besançon. Fils d’un général d’Empire souvent absent, il est élevé surtout par sa mère.
Alors qu’il est encore élève au lycéeLouis le Grand, il se fait connaître en publiant son premier recueil de poèmes, Odes et obtient, pour celui-ci, une pension de Louis XVIII. Il est considéré comme l’un des plus grands écrivainsromantiques de la langue française. Victor Hugo est l’auteur d’une ouevre considérable et varié. Il est en effet à l’origine de divers romans, pièces de théâtre, drames, mais il est aussi un poète engagé etécrit des discours politiques.
Sa mort le 22 mai 1885 est honorée par des Funérailles nationales qui ont accompagné le transfert de sa dépouille au Panthéon de Paris le 31 mai 1885.

II- Un auteurcélèbre.

Il s’impose comme le porte-parole du romantisme aux côtés de Gérard de Nerval et de Gautier. En 1831, il publie son premier roman historique, Notre-Dame de Paris, et en 1838 son chefd’oeuvre romantique Rui Blas.
Poète romantique, dramaturge en rupture avec les codes classiques, et auteur de romans mythiques, Victor Hugo a connu la gloire populaire et la reconnaissance de ses pairs.Ces principales oeuvres :

Cromwell, LeRoi s’amuse, Ruy Blas ? Théâtre
Le dernier jour d’un condamné, Claude Gueux, Notre-Dame de Paris, Les Misérables ? romans
Les Châtiments, LesContemplations, Les Orientales ? poésies

III- Un homme politique reconnu.

En 1841, il est élu à l’Académie Française.
En 1843, la mort tragique de sa fille Léopoldine le déchire et le pousse à réviser sonaction. Il entame alors une carrière politique.
Elu à l’assemblée constituante en 1848, il prend position contre la société qui l’entoure : la peine de mort, la misère, l’ordre moral et religieux.Fervent opposant au coup d’Etat du 2 décembre 1851, il doit prendre le chemin de l’exil jusqu’en 1870. Installé à Jersey et Guernesey, il écrit « Les Châtiments », et « Les Contemplations ». De…

Léopold ii et le congo

Léopold II et le Congo

« Le roi est un rêveur : sa sympathie, en effet, il la destine à rien de moins qu’aux millions d’êtres négligés du continent noir. Les Anglais ne savent pas bien apprécier –parce qu’il ne s’y attache pas de dividendes- ce sentiment ardent, vivifiant et expansif qui cherche à répandre la civilisation parmi les races noires et à éclairer, par le rayonnement de la cultureeuropéenne, les sombres régions de la triste Afrique » Carnets de Stanley, explorateur pour la Belgique.

Le souverain du royaume de Belgique, qui succède à son père en 1865 pour un règne de 44 ans, est à la tête d’un petit pays industrialisé dont il regrette la faible importance géopolitique et diplomatique. Pour accroître sa force politique, Léopold II, tout comme son père, est persuadé qu’ilest nécessaire d’obtenir un empire. Si son père avait échoué à ce projet, le souverain réussit, après la conférence de Berlin, à imposer aux puissances occidentales une main mise presque totale sur le Congo, à force d’arguments philanthropiques (en se positionnant contre la traite des noirs par exemple). Mais la réalité de cette colonie fut tout autre. Devant les besoins exponentiels de caoutchoucdes industries occidentales, le roi belge s’assure un monopole mondial -pour un temps- sur la production de cette matière première. Pour augmenter ses profits, il met alors en place un système colonial particulièrement impitoyable, qui pourrait avoir conduit à la mort près de la moitié de la population du pays, soit près de 10 millions d’habitants en moins de vingt ans.
De quelle manièreLéopold II s’est-il assuré l’hégémonie sur le Congo et comment a-t-il organisé son système colonial vivement dénoncé par les puissances occidentales dès les années 1900 ?
I. La construction de l’Etat Indépendant du Congo et du système colonial.

– une volonté farouche : Léopold II tient à la puissance de son pays, qu’il juge trop faible. Doté d’une ambition relativement marquée, il considère ainsique l’élévation de son pays passe par sa propre élévation. Aussi s’investit-il directement dans les conquêtes coloniales ; il se passionne d’ailleurs très tôt pour les récits d’explorateurs et les voyages. En 1876, il entreprend l’organisation à Bruxelles d’une conférence de Géographie, où une « Association Internationale pour l’Exploration et la Civilisation de l’Afrique Centrale », aussiappelée Association Internationale Africaine, est crée sous la présidence du souverain belge.
Dès lors, Léopold cherche à obtenir une reconnaissance d’un Etat qu’il dirigerait. Il engage pour cela un explorateur très célèbre, Henri Morton Stanley, qui a parcouru 11 000 kilomètres entre 1874 et 1875 pour terminer l’exploration du continent africain, et le convainc de travailler pour la couronne belge.Durant cinq ans, Stanley signe près de 400 traités avec les princes locaux pour acquérir les droits sur leur territoire, tout en construisant une quarantaine de postes, un grand nombre de ponts et de lignes de chemin de fer ainsi qu’un réseau de bateaux à vapeur. Il est surnommé par les autochtones « le briseur de pierre ». Malgré ses volontés pacifistes et des visions plutôt philanthropiquesenvers les indigènes, ce surnom marque aussi les nombreuses transformations imposées et l’avancée d’une logique marchande tournée vers le commerce international, ce qui correspond aux vœux de Léopold II.

– La conférence de Berlin et l’avènement du Congo belge: elle se tient à l’initiative du chancelier Bismarck du 15 novembre 1884 au 26 février 1885. Le contexte international est relativementfavorable à Léopold II : l’Allemagne souhaite en effet contenir l’avancée française en Afrique. Le souverain parvient ainsi assez aisément à faire reconnaître l’AIC comme un territoire souverain, l’Etat indépendant du Congo, dont il est unanimement reconnu comme le monarque. C’est en effet une possession personnelle, même si Léopold II investit également la Belgique (soutien financier dans les…

Victor hugo

Victor Hugo Doc 1(dissertationsgratuites) Doc 2 (linternaute)
Naissance le 26 février 1802 à Besançon
le 26 février 1802 à Besançon
Mort mort le 22 mai 1885 à Paris
Etapes de sa vie Le 12octobre 1822, il épouse Adèle Foucher
En février 1833. Hugo tombe amoureux de Julie Drouet et leur histoire d’amour durera cinquante ans.
En 1841, il est élu à l’Académie française.
Sa filleLéopoldine meurt en 1843
Ecrits a visée argumen-tative En 1827, il publie la pièce de théâtre Cromwell
En 1831, il publie son premier roman historique, Notre-Dame de Paris
Thèmes abordes •poète lyrique avecdes recueils
•poète engagé contre Napoléon III
•poète épique
•romancier du peuple
•théorie du drame romantique
Trois œuvres •Odes et Ballades (1826)
•Les Châtiments (1853)
•La Légende dessiècles (1859 et 1877)
•Notre-Dame de Paris (1831)
Victor Hugo Doc 1(dissertationsgratuites) Doc 2 (linternaute)
Naissance le 26 février 1802 à Besançon
le 26 février 1802 à Besançon
Mort mort le22 mai 1885 à Paris
Etapes de sa vie Le 12 octobre 1822, il épouse Adèle Foucher
En février 1833. Hugo tombe amoureux de Julie Drouet et leur histoire d’amour durera cinquante ans.
En 1841, ilest élu à l’Académie française.
Sa fille Léopoldine meurt en 1843
Ecrits a visée argumen-tative En 1827, il publie la pièce de théâtre Cromwell
En 1831, il publie son premier roman historique,Notre-Dame de Paris
Thèmes abordes •poète lyrique avec des recueils
•poète engagé contre Napoléon III
•poète épique
•romancier du peuple
•théorie du drame romantique
Trois œuvres •Odes et Ballades(1826)
•Les Châtiments (1853)
•La Légende des siècles (1859 et 1877)
•Notre-Dame de Paris (1831)
ou Les Misérables (1862)
•Cromwell (1827)

Synthèse de deux paragraphes :

Victor Hugo ne le26 février 1802 à Besançon, c’est le dernier enfant d’une famille de trois garçons. Son père Léopold est un général de l’Empire napoléonien, sa mère Sophie l’élève. Il va au lycée Louis-le-Grand….

Podría dar la clase en castellano

je souhaiterais avoir le texte et si possible le commantaire du texte

Merci par avance.

Le régime libyen a accusé ce lundi l’Otan d’avoir tué 11 civils lors de bombardements menés à 150 km deTripoli.

«Des sites civils et militaire dans la région de Wadi Kaam, à Zliten, ont été la cible lundi de raids de l’agresseur colonialiste croisé», a rapporté l’agence officielle Jana, ajoutant que«11 martyrs sont tombés et un certain nombre de personnes ont été blessées».
Un départ négocié pour Kadhafi?

Le président sud-africain Jacob Zuma est, lui, arrivé à Tripoli ce lundi après-midi vers13 heures pour présenter au dirigeant libyen «une stratégie de sortie».

Il a été accueilli par le Premier ministre Al-Baghdadi Ali Al-Mahmoudi et les deux hommes se sont entretenus pendant unedizaine de minutes dans un salon de l’aéroport.

Le président sud-africain est arrivé avec ses propres équipes de sécurité dont une quarantaine de soldats lourdement armés installés à bord de quatrepick-up de l’armée sud-africaine, selon le journaliste de l’AFP sur place.

Pour Tripoli, aucune médiation n’est possible hormis celle menée par l’Union africaine (UA), qui a déjà présenté une«feuille de route» en avril acceptée par le régime mais balayée d’un revers de la main par le Conseil national de transition (CNT).

La médiation de l’UA prévoit un cessez-le-feu et l’instauration d’unepériode de transition conduisant à des élections démocratiques. L’organisation pan-africaine appelle l’Otan à cesser ses bombardements.

La rébellion libyenne a elle célèbré ses 100 jours dimanche.Elle en a profité pour réaffirmer que le départ de Mouammar Kadhafi était la condition préalable à toute sortie de crise.

La joie des jeunes Libyens à Benghazi fêtant les 100 jours, dimanche.(AFP)

Coup dur pour Kadhafi. La Russie, allié traditionnel, a lâché vendredi dernier le régime, après plusieurs semaines de réticence face aux attaques de l’Otan.
La rebellion n’a plus «un…

Marcel schwob : entre fantastique et tragique. quelques modèles d’analyse du récit schwobien

Marcel Schwob :
entre fantastique et tragique.

Quelques modèles d’analyse du récit schwobien.

INTRODUCTION

Il y a des hommes nés aventuriers qui parcourent le monde, il y a des hommes devenus historiens qui explorent les époques, et puis il y a Marcel SCHWOB, né pour l’aventure qui parcourt les livres de la bibliothèque Mazarine et les Archives nationales, un hommedevenu traducteur, nouvelliste, biographe, érudit et philologue qui explore les temps de l’histoire humaine. Il est ainsi l’auteur d’une œuvre protéiforme, qu’il laisse à sa mort en 1905 : il n’avait que trente huit ans.
Il est cité par d’illustres personnages de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Il est bien connu des milieux artistiques et littéraires. Emile Gallé lui dédia unchat en faïence[1], Alfred Jarry lui dédia son Ubu roi. Il est reconnu entre autres écrivains par Stéphane Mallarmé, Paul Valéry, Jules Renard, Paul Claudel, Edmond de Goncourt, Tristan Bernard, Anatole France… Pour sa part, Schwob leur rend hommage en dédiant à un grand nombre d’entre eux les textes de son recueil du Roi au masque d’or[2] ; l’œuvre de Cœur Double[3] est dédiée à Robert LouisStevenson, l’auteur de L’Ile au trésor, Le cas étrange du Dr. Jekill et de Mr. Hyde. Nous devons probablement à Stevenson les recueils de nouvelles, qu’elles soient histoires ou biographies : il était véritablement vénéré par Schwob. Il semblerait que se soit lui qui ait suscité l’inspiration et l’envie de l’écriture littéraire de Marcel Schwob.
En dépit de la notoriété acquise auprès d’AndréGide et d’autres qui le prennent comme une référence littéraire, Schwob va s’éclipser peu à peu de l’histoire littéraire française[4]. Enfin avec John Alden Green[5], on assiste à sa redécouverte dans un premier temps, puis au renouveau de la parution critique sur les œuvres de Marcel Schwob[6], à raison d’un livre ou d’un article par an en moyenne. En outre, il est intéressant de constater queMarcel Schwob semble revenir au goût du jour par le regain d’intérêt qu’il suscite grâce, en partie, à la critique étrangère qui n’a jamais faiblie envers notre auteur. Avec conviction et satisfaction, nous attendons un retour prochain en France[7], cette fois en tant qu’auteur classique.
Schwob a pourtant bien participé à la littérature. D’abord il s’est adonné au fantastique, bien sûr dans saproduction, mais aussi dans son renouvellement, et surtout dans son exploration, sa formalisation. Il est question de voir ici ce qu’il en est.

« Au temps de l’universel et des foules, de la statistique et de l’imitation, Schwob voulut assurer le fantôme de l’Individu comme épiphanie discrète de l’Unique. A la science balzacienne, héritière des physiologies des années 1840, il opposele trait qui déclasse. »[8]

On observe dans ce propos une similitude avec les remarques de Baudelaire dans les « Notes nouvelles sur Edgar Poe » : « le lecteur surprendra dans plusieurs des nouvelles de Poe des symptômes curieux de ce goût immodéré pour les belles formes, surtout pour les belles formes singulières. »[9]
Le XIXe siècle est la période des bouleversements idéologiques comptetenu de l’effondrement de toutes les anciennes certitudes concernant la nature de l’homme et sa place dans le monde : « nous ne sommes pas les seuls individus de cet univers »[10]. C’est une époque d’interrogations de l’homme sans Dieu. C’est cela qui va permettre la naissance des fantastiques, des merveilleux étranges et purs, et ce n’est qu’à cette lumière que peut se comprendre le Fantastique.Marcel Schwob écrit au moment où une forte production de nouvelles et de contes parait, soit entre 1884 et 1898. C’est l’époque de Maupassant, d’Henry James, de la parution de L’étrange cas du Dr. Jekill et de Mr. Hyde ; Cœur Double étant daté de 1891. Joël Malrieux précise l’orientation que prend le fantastique : « il prend un tour de plus en plus formel, apparaît comme l’occasion d’un pur…