Fiche scène 1 la cantatric chauve

Séquence V : La Cantatrice chauve, Ionesco, 1954
Commentaire de la scène 1

Introduction: Cette scène est la première scène de la pièce. Comme on s’y attend elle présente le cadre : un salon anglais et les personnages: un couple bourgeois de la pièce. La comédie bourgeoise semble donc pouvoir commencer. Cependant cette scène d’exposition ne remplit pas toutà fait sa fonction : il paraît difficile de croire que le menu du dîner soit l’action de la pièce car le sujet paraît trop anecdotique et plus encore il paraît difficile de se passionner pour l’énumération des mets du repas. Autrement dit, pas d’action identifiable, pas d’intérêt suscité chez le spectateur. Cette étrangeté par rapport à nos habitudes de spectateur de théâtre invite à relire cettepremière scène qui ressemble à une comédie de boulevard et à une scène d’exposition classique mais qui n’en est pas tout à fait une . Il s’agira pour nous de comprendre comment Ionesco en reprenant les codes de la scène d’exposition et de la comédie de boulevard en fait autre chose, le début d’une pièce originale, moderne et loufoque. Nous comprendrons mieux alors que cette première scène estparodie de scène d’exposition qui se moque des codes du théâtre et qu’elle est aussi parodie de scène d’exposition qui se moque des codes du théâtre et qu’elle est aussi parodie de scène de boulevard pour dénoncer la banalité de la petite bourgeoisie et plus largement l’absurdité du monde.

I.Une parodie de scène d’exposition: les codes du théâtre tournés en dérision.

A. L’illusion théâtraledénoncée : ne pas faire croire à la réalité du spectacle.

1)Les décalages de la mise en scène : L’illusion théâtrale est dénoncée dès le départ par la mise en scène et ses décalages. La didascalie initiale donne des indications au lecteur et au metteur en scène , mais Ionesco voulait un décor neutre = décalage. Voix off qui lit la didascalie ? attaque à la convention théâtrale => montrel’artifice et le manque de réalité du spectacle.
2)Le personnage s’adresse au public ( Mme Smith première réplique ), son mari n’a pas besoin de le savoir, pour faire vrai le spectateur a besoin que les acteurs se parlent entre eux . Ionesco a ce moment là s’amuse avec le double destinataire et l’inverse un peu, car son mari ne répond pas => impression qu’elle ne s’adresse qu’aux spectateurs.

B. Lesconventions théâtrales tournées en dérision

1)L’unité du temps ou l’horloge folle : Ionesco se moque des codes et des conventions théâtrales; La première convention détournée est l’unité de temps : 9heures au début de la scène, à la fin ils vont dormir. « En un lieu, en un jour » ? on commence le soir au lieu du matin. Décalage entre ce que disent les personnages et la mise en scène ( horloge).Ionesco se moque du code, du temps grâce à l’horloge qui se dérègle, qui devient folle : 17 coups ( impossible ), puis 7 et 3 à la suite, puis 0 ( incohérent) , puis 2, puis 10 => Dénonce le côté artificiel.
2)L’unité de lieu ou l’exagération comique d’ «anglais »: la deuxième convention détournée est la convention de lieu. L’action est à Londres ( en cohérence avec la didascalie), insistance surle mot anglais ( 15 fois dans la didascalie), tourne en dérision l’unité de lieu. La première réplique de Mme Smith donne en 5 lignes la présentation du lieu, du temps, des personnages, => insistance; indice des codes tournés en dérision.

C. L’absence d’intérêt dramatique : inaction et ennui

1)La banalité et le manque d’intérêt de la conversation de Mme Smith : la conversation estinintéressante , pas dramatique ? pas de possibilité d’histoire, pas de cantatrice chauve ( où est le sujet de la pièce ?). Énumération : discours de Mme Smith basée sur l’énumération ( lignes 9, 15, 23, 27, 35, 49, 61). Impression qu’elle peut en rajouter à l’infini. Seul thème de la conversation se base sur le fait d’avoir bien mangé. Elle répète la même chose, discours qui tourne à vide, se répète….

Audit

IHEC 2009/2010

Université 7 Novembre à Carthage Institut des Hautes Etudes Commerciales

Cours d’audit et de contrôle interne

Enseignants : • • • • • Kamel Dimassi Fayçal DAOUD Wassim KHROUF Imed LOUKIL Kais DRISS

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IHEC 2009/2010

Année Universitaire 2008/2009

Plan du cours
Chapitre1 : Audit : Définition, objectifs et règles d’éthique. o Section 1 : Définition et fondementde l’audit o Section2 : Sources de normalisation à l’échelle nationale et internationale. o Section3 : Ethique : Code de déontologie des professionnels comptables. Chapitre2 : Les concepts fondamentaux de l’approche par les risques. o Section 1 : Fondement de l’approche par les risques o Section2 : Composantes du risque d’audit o Section3 : le seuil de signification Chapitre3 : Contrôle interne :Définition et principes fondamentaux. o Section1 : Définition et Objectifs o Section2 : Composantes du contrôle interne o Section3 : Les principes du contrôle interne o Section4 : Description de la procédure achats-fournisseurs Chapitre4 : La mise en œuvre du plan d’audit et collecte d’éléments probants. o Section1 : Planification o Section2 : Mise en œuvre et collecte des éléments probantsChapitre5 : L’achèvement de la mission et le rapport d’audit. o Section1 : Clôture de la mission o Section2 : Détermination du seuil de signification global o Section3 : Les opinions d’audit et établissement du rapport.

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IHEC 2009/2010

Chapitre1 : Audit : Définition, objectifs et règles d’éthique
Normes/ Textes à consulter
Préface aux normes internationales de contrôlequalité, d’audit, de missions d’assurance et de services connexes ISA 200 – Objectif et principes généraux en matière d’audit d’états financiers (NEP200) ISA 210 – Termes de la mission d’audit loi n°88-108 du 18 août 1988 portant refonte de la législation relative à la profession d’expert comptable, La Compagnie des Comptables de Tunisie, régie et organisée par la loi n° 2002-16 du 4 février 2002.I. Définition et fondement de l’audit 1. Définition et fondement
Au sens Large, l’audit désigne « l’étude critique de documents et d’autres preuves en vue de déterminer l’authenticité et l’exactitude d’un registre ou d’une assertion, ou pour évaluer la conformité à des lignes de conduite ou à des clauses contractuelles ».1 Un audit financier externe est l’examen indépendant et formel des étatsfinanciers d’une société, de ses enregistrements, opérations et activités. Cette mission est menée par des auditeurs professionnels et a pour objectif de garantir la crédibilité des états financiers et autres rapports de la direction. Chaque société commerciale doit rendre compte de ses performances et de ses résultats financiers. Elle établit des systèmes comptables et des systèmes de contrôle, etproduit des états financiers qui reflètent la nature et les résultats de ses activités. La direction et le personnel d’une société fournissent des informations financières aux autres parties concernées, à savoir les membres du conseil d’administration et les investisseurs extérieurs, tels que les actionnaires ou bailleurs de fonds. Ces parties concernées souhaitent obtenir confirmation, par unorganisme indépendant, de la validité de ces informations et des systèmes qui les produisent. Pour cela, ils font généralement appel à des auditeurs externes.

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Sylvain, l982.

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IHEC 2009/2010

2. Pratique de l’audit en Tunisie Audit légal : Imposé par la loi Commissariat aux comptes. Audit contractuel : Facultatif ; L’expert comptable peut se voir confier par son client des missionsd’audit contractuel. Il s’agit par exemple d’émettre une opinion sur les comptes d’une société dans le cadre d’une restructuration, d’un rapprochement ou d’une acquisition.

La profession comptable en Tunisie est organisée dans le cadre de deux corporations professionnelles qui sont : • La profession des experts comptables, régie par la loi n° 88-108 du 18 août 1988 portant refonte de la…

L’honnête homme

Dissertation: Français

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Au XVI et XVIIº siècle, l’honnête homme est un modèle d’homme « idéal » d’inspiration aristocratique, quise substitue à l’idéal chevaleresque, obéissant aux valeurs sociales, morales et intellectuelles de l’époque. Il sait parfaitement se tenir en société et fait preuve de nombreuses qualités quimontrent son goût de l’échange humain et des bonnes mœurs : galant, courtois, il obéit sans erreur aux règles de la bienséance.
Naturellement charmant, il sait prendre part à toutes les discussions avecélégance et humour, ainsi les femmes l’admirent. L’honnête homme, étant modeste et discret, il fait preuve de modération dans ses désirs et ses actes. Il a un certain équilibre ainsi qu’un sens de lamesure. L’honnêteté est évidemment l’une de ses grandes qualités.
Si l’on parle de valeurs intellectuelles, l’honnête homme a une bonne culture générale mais il n’est spécialiste dans aucun domaine,sous peine de s’enfermer dans son savoir. Il fait preuve d’une grande réflexion alliée à un usage parfait de la raison.

Selon Michel de Montaigne dans l’essai III «De la vanité» de 1588, l’homme mêléest un homme qui fait preuve d’une ouverture d’esprit, qui refuse toute sorte de préjugés et le conformisme intellectuel.

Après avoir étudié ce que signifie les termes « homme honnête » et « hommemêlé » au XVI et au XVII siècle on verra tout d’abord qu’apporte le contact avec les autres, qu’ils soient étrangers ou simplement différents. On analysera les bons et les mauvais apports.
Ensuiteon traitera la question suivante : Que risque-t-on à refuser systématiquement l’autre?
On argumentera le côté positif et puis le côté négatif de refuser l’autre. Finalement on ferra une synthèse…

Droit comparé procédure civil grecque

PLAN DU COURS

Chapitre 1 : procédure civile en Grèce comparée avec la France

Chapitre 2 : compétences et attributions. Territorialité et prorogation (accord entre les parties pour choisir autre juge

Chapitre 3 : demande en justice (contenu et effet)

Chapitre 4 : principes fondamentaux gouvernant l’instance

Chapitre 5 : procédure devant tribunaux du premier degré

Chapitre 6 :Chapitre 7 : la preuve

Chapitre 8 : participation des tiers au procès

Chapitre 9 : jugement/notion/classification/effets (choses jugées/ force exécutoires/effets constitutifs)

Chapitre 10 : autorité de la chose jugée

Chapitre 11 et 12 : les voies de recours (ordinaire = appel et extraordinaire = Cour de cassation)

CHAPITRE 1 : NE SERA PAS AU PROGRAMME DE REVISIONS

En France nousavons le code de procédure civil.

En Grèce, on s’est inspiré d’un professeur allemand, Ludvig Von Moëre. En 1821, il y a eu une guerre avec les Turcs. Juste après la libération de la Grèce par le régime Ottoman, le pays a connu une élaboration de la procédure civile sous l’égide de ce professeur allemand. Cette période a duré 133 ans.
Puis, 1971, le code de procédure civile a été modifiémais est toujours en vigueur.
Régime du colonel en Grèce : préparé par commission institué en 1933 avant la seconde guerre mondiale c’est cela qui a abouti à l’élaboration d’un code. Depuis 1971, ce code a connu de nombreuses modifications, environ 30 dont la dernière remonte à 2001.

Plan du code grec : constitué de 1054 articles, en 8 livres :

* dispositions dotées d’une portéegénérale et commune, en principe a toute juridiction qu’elles soient de droit commun ou d’exception (même chose avec le code de procédure civil français)
* dispositions propres aux procédures de première instance y compris la preuve (différent de la France, car la preuve se trouve dans le code civil et non le code de procédure civil)
* voies de recours et oppositions
* procéduresd’exceptions
* référé
* matières gracieuses
* arbitrage
* voies d’exécution

CHAPITRE 2 : LES REGLES DE COMPETENCES

I- Dualité ordre juridictionnel du droit grec comme en droit français

Deux pyramides nettement distinctes de juridiction existent, deux ordres de juridiction, des tribunaux partagés entre ordre judiciaire et administratif qui présentent deux ensembleshiérarchisés de tribunaux relevant chacun d’une juridiction qui lui est propre.
En Grèce, l’Aéropag pour l’autre judiciaire (équivalent de la Cour de cassation en France)

II- Juridictions civiles grecques

Attribution en matière de droit privé. Le droit public relève de juridictions de l’ordre administratif. Elle statue en matière civile (divorce/bail/règlements successions/commercial/prud’hommes)* juge de paix
* tribunal d’instance = juge unique
* TGI = droit commun = 3 juges mais en France possible de juger à juge unique = en Grèce, JAMAIS le cas
* cour d’appel
* aréopage

III- Règles générales de compétence

Pour connaître le montant de l’affaire il faut se référer à la demande, en fonction de son objet. S’il y a plusieurs demandeurs dans une mêmeinstance, et s’il y a l’existence d’un droit individuel, un titre commun, la compétence et le ressort sont déterminées en fonction de l’ensemble du droit indivisible.
S’il n’y a pas de titre commun, la compétence et le ressort sont déterminées en fonction du montant des demandes pour chaque défendeur, isolément considérés. Sauf si la demande en précise autrement (si ensemble de la somme estdemandée pour chaque défendeur)

IV- Compétence territoriale (article 51 et 53)

En droit Grec comme en droit Français, le demandeur doit porter son action devant un tribunal du lieu ou demeure le défendeur.
Une personne physique demeure la ou elle a son domicile ou à défaut sa résidence.
une personne morale, il s’agit du lieu ou elle est établie, le siège sociale pour la les sociétés, où…

Developpement et croissance

La croissance renvoie au bien être matériel et de manière quantitative, au changement social et culturel d’une société. On l’associe au PIB. A l’inverse, le développement renvoie à l’épanouissementpersonnel et de manière qualitative. On l’associe à l’IDH. Ces deux phénomènes sont souvent opposés.
En comparant le PNB dans les pays en développement et dans les pays développés, on s’aperçoitqu’en 1750, le Produit National Brut (PNB) était de 112 milliards de dollars dans les pays développés et de 35 milliards de dollars dans les pays en voie de développement. 240 années plus tard, le PNB étaitde 1730 milliards de dollars dans les PED et de 4350 milliards de dollars pour les pays développés. On observe une forte croissance du PNB pour les pays développés. Cela s’est traduit par uneaugmentation du niveau de vie. On calcule ce dernier avec le rapport qui suit : PNB/hab. Cela montre qu’en apparence une forte croissance entraine le développement.
En analysant la part du Produit NationalBrut des pays développés et des pays en voie de développement, on assiste à l’inversion des grandeurs. En effet, la part du PNB des Pays en développement était de 76% en 1750 et en 1990, elle étaitde 28%. A l’inverse, la part du PNB des pays développés était de 24% en 1750 et en 1990, elle s’élevait a 72%. Cela est du à l’industrialisation qui a eu lieu dans les pays du nord tandis qu’il n’y apas eu de changement dans les pays du sud.
On peut également ajouté que le PNB a été multiplié par 15,44 et 124,8 entre 1750 et 1990 dans les PED et les pays développés. Sur la même période, le niveaude vie par 2,29 et 19,2. On peut donc dire que l’écart qui se forme entre eux s’explique par le problème démographique. En effet, dans les PED, l’augmentation globale de la production ne se traduitpas par une augmentation du niveau de vie à cause d’une trop forte croissance de la population.
Cependant, on peut ajouter que la croissance de la population n’a pas été régulière depuis 1750…

Essai de management stratégique

Companies learn how to make strategy by doing. Where the value of new strategies erodes rapidly, companies must pay attention to how fast and how well they are able to create new strategies and migrate to them. Advice for strategy making emphasizes either discipline (e.g, rigorous, elaborate planning) or imagination ( e.g, attempts to think outside the box). Neither discipline nor imaginationalone is as effective as both are together.
(il ne suffit pas d’avoir des bonnes idées il faut avoir une method precise et organisée afin d’appliquer ses idées. Il en est de même dans le sens inverse, on peut organisé et faire preuve de discipline mais s’il n’y a pas d’imagination comment mettre ne place une stratégie)
Intro: learning to make strategy.
Strategy making in the rapidly changingenvironment would have to happen more often. In a reality where the window of opportunity for a strategy to generate new wealth is steadily shortening,(comme nous l’avons vu dans les articles précédemment étudiés, nous pouvons dire que notre environnement change tres rapidement et nous ne voulosn pas que notre produit devienne obsolete ou encore nous faire dépassé par nos concurrents il est importantd’établir de nouvelles strategies en function de ces changements. Par ex à travers l’innovation) new strategies have to be constructed more often. The demand of the dynamic and competitive business environment can potentially overwhelm an organization’s tried-and-true methods for making strategy. Value creation has become intimately associated with the ability to continually innovative businessstrategies.
Such capability must be learned by doing. (savoir faire une stratégie n’est pas inné, il faut plusieurs mises en pratique).
Themes of strategy making
In the early 60’s everybody was focused on imagination. The leader was expected to be a brilliant visionary, able to form intuitively a coherent strategy for the future of the company by matching the strengths and weaknesses of thecompany to the threats and opportunities posed by its environment.
But the leader could be wrong sometimes and to replace it the formal planning system, which is organized and developed on the basis of a set procedures, appears.
Thus, discipline displaced imagination in strategy making and the process was removed from the leader and entrusted to the reliable and systematic professional planner. Inthe 70’s many companies developed specialized planning departments featuring elaborate systems to create strategy.
In the 80’s, imagination re-took the power. Strategic planning departments were disbanded. Corporations began to focus on operational improvements as the key to value creation implementing concept such as Total Quality Management, re-engineering and benchmarking.
In 1994, C.K.Prahalad and Gary Hamel carried forward the banner of imagination. They pointed out that there is a limit to the extent to which “progress” can sustain growth. They advocated a more democratic strategy making process that enhances corporate imagination by involving more people and focusing on creating the corporate future.( afin d’établir une stratégie il est important de se projeter vers le future unestartégie s’établit dans un premier sur le long terme meme si parfois elle sera modifiée plutot que prevue)
Thus with the benefit of hindsight, trends in strategy appear to alternatively emphasize discipline and imagination. Both approaches have values and especially so in combination. At any given time, one approach may occupy the foreground while the other serves as background; however,neither can fully supplant the other. Both discipline and imagination are essential components of a high quality strategy-making effort.
Theorist James March argues that it is possible to strengthen the survival chances of an organization by simultaneously improving the process by which organizations seek out or generate new options (exploration) and improving the capabilities for implementing…

La parure

« LA PARURE »

Guy de MAUPASSANT

Une jeune femme vivait dans une famille d’employés; elle rêvait de luxe, elle souhaitait être mariée à un homme riche mais cela ne fut pas le cas. Elle épousaun commis du ministère
de l’Instruction Publique.
Un soir son mari Charles Loisel rentrait heureux car il avait obtenu deux invitations pour une soirée à l’hôtel du ministère ; il pensait ainsifaire plaisir à son épouse, qui désirait tant être invitée à cette soirée.
Au lieu d’être ravie, elle refusait, car elle n’avait pas de robe suffisamment élégante pour cette soirée. Son maridécontenancé essayait de la rassurer et finit par lui proposer de s’acheter une nouvelle robe, avec les économies qu’il avait réalisées pour faire une chasse entre amis.
Le jour de la fête approchait et Mathildesemblait triste, inquiète. Désespérée, elle dit à son époux qu’elle n’avait pas de bijou à mettre autour de son cou. Son mari lui proposa alors de se rendre chez son amie Jeanne Forestier pouremprunter un collier. Mme Loisel expliqua à son amie la raison de sa venue. Cette dernière lui exposa sa collection de bijoux mais rien ne l’intéressait. Ses yeux se posèrent alors sur une magnifique rivièrede diamants qu’elle n’osait emprunter. Elle finit par lui demander et ravie, elle repartit chez elle avec le magnifique bijou.
Quelques jours plus tard le la fête arriva. La jeune femme attiraitles regards des convives et tous voulaient valser avec elle. Elle était éblouissante, ravissante.
La soirée terminée, Mr et Mme Loisel rentrèrent à leur domicile. Lorsqu’elle ôta sa robe elle s’aperçuque la parure n’était plus autour de son cou. Affolé le couple chercha le bijou partout ; Charles retourna là où ils étaient passés mais la rivière avait disparue. Charles et Mathilde promirent unerécompense à ceux qui la retrouveraient. Mais en vain.
Ils allèrent alors de bijoutiers en bijoutiers, cherchant une parure identique à celle perdue. Ils finirent par en trouver une semblable chez…

Decouverte

Apple domine le segment des ordinateurs haut de gamme (plus de 1000 $) avec plus de 90% du marché ?

La marque à la pomme a depuis toujours été présente sur le marché de l’informatique malgré quelques incursions fracassantes dans le domaine de la téléphonie et du multimédia.

Apple et l’informatique
Apple est de nos jours beaucoup plus connu pour ses iPod et ses iPhone, même si certainsd’entre nous garderont toujours en mémoire les bonnes vieilles Mac Classic et les iMac qui ont fait la réputation d’Apple dans le domaine de l’informatique.

Apple et l’innovation
Lors de la séance de questions réponses qui ont suivi la présentation des résultats du deuxième trimestre 2009, Timothy Cook de chez Apple, a répondu que le but d’Apple a toujours été, et l’est encore, de concevoir lesmeilleurs ordinateurs au monde. Et si Apple peut le faire à bas prix, ils le font.
Mais ils ne désirent pas mettre la marque Apple sur un produit qui ne soit pas innovant et n’ait pas la légendaire facilité d’utilisation pour lequel Apple est reconnu.

Apple et les netbook

Répondant plus tard à une autre question les pc d’entrée de gamme à très bas prix, le même Timothy Cook a rappelé que lebut d’Apple n’était pas de fabrique le plus d’ordinateurs, mais de fabriquer le meilleur. Il a rappelé que pour le moment, il ne voyait pas comment fabriquer un ordinateur à 400, 500$ qui mériterait d’être marqué Apple.

Il rappelait que quelques uns des acheteurs de ces ordinateurs à bas prix, pour ne pas dire la plupart, étaient déçus et déchantaient rapidement après en avoir acheté un,qu’Apple préférait proposer à ses clients des ordinateurs qui soient innovants, même s’ils sont plus cher, et qu’en regardant les résultats de ce trimestre, cela confirmait leur politique.

D’ailleurs, une enquête de NPS Market Search confirme que la politique d’Apple n’est pas si mauvaise que cela.

En effet, alors qu’Apple n’occuperait que 10% du marché des ordinateurs personnels en terme d’unité,elle représenterait, dans le segment des ordinateurs personnels haut de gamme (c’est à dire les ordinateurs de plus de 1000$) plus de 90% de part de chiffre d’affaire.
Ca signifie que 9$ sur 10, lors d’achats d’ordinateurs de plus de 1000$, arrivent dans les poches d’Apple.

C’est l’innovation et la facilité d’utilisation de ses produits qui font la fierté d’Apple qui ne compte pas se battredans les secteurs des ordinateurs bon marché.

Apple et les appareils mobiles

Aussi, refusant de dire si Apple travaillait ou non sur un appareil mobile qui aurait un écran plus grand qu’un iPhone (un MacTablet, quoi, sans le nommer ainsi), Timothy Cook a tout de même laché qu’ils iraient là où ils pourraient proposer quelque chose qui soit très innovant et dont ils seront fiers.http://www.apple.com/fr/pr/library/2…21results.html
http://www.apple.com/quicktime/qtv/earningsq309/
http://www.npd.com/

Qu’en pensez vous ?
Annaelle32 est déconnecté Envoyer un message privé Réponse avec citation 00
Vieux 24/07/2009, 17h51 #2
vandamme
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Points : 73

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Citation:Envoyé par Annaelle32 Voir le message
En effet sur les 10 ordinateurs hauts de gamme vendus dans le monde, neuf portent tous la marque de la pomme.
Je pense que c’est plutot outre Atlantique que dans le monde …
vandamme est déconnecté Envoyer un message privé Réponse avec citation 00
Vieux 24/07/2009, 18h45 #3
Invité(e)
Invité(e)

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Bonjour,

10 % c’estpeu face à microsoft et ses presque 90 %, mais quels sont les chiffres si on compare aux autres constructeurs ? De tête DELL doit avoisiner les 20 %.
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Vieux 24/07/2009, 18h49 #4
kuroyi
Invité de passage

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Points : 0

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Envoyé par vandamme Voir le message
Je pense que c’est…

Fiches texte espagnol el spanglish

BAC ES : ESPAGNOL ORAL TEXTE

Analyse du texte : « El Spanglish »

Este documento es una entrevista con Illán Stavans , un profesor reconocido responsable de la traducción al spanglish delQuijote. La entrevista fecha de 2005. Podemos decir que el proyecto de Illán Stavans es un proyecto actual.

Hay tres personas en este documento : Ángel Barceló, la directora del programa; IllanStavans, y la subdirectora del programa ( Lourdes Lancho) que suele participar a la emisión. El tema principal es el spanglish y sus particularidades. Para empezar , la periodista presenta a Illán Stavans ydespués le pregunta si es la verdad que 41 millones de estadounidenses hablan el spanglish. Illán Stavans explica que el spanglish es un fenómeno global .

Podemos ver que Illan Stavans habla de unemanera suelta para llamar la atención sobre su obra. Muchas preguntas pueden plantearse sobre este tema . Illan Stavans explica que el Spanglish es une verdadera mezcla entre en ingles y el español yque la mayoría de la gente que lo hablan principalmente español y qué son a menudo trilingües.

Des pues Angels Barcelo le pregunta quien se lo inventa. Para elle es una evidencia que no existeune academia del Spanglish. Illan Stavans explica que todos los practicantes de la lengua inventamos las palabras y que con el pasar de los anos, la gente empieza a reconocerse. A continuación, LourdesLancho, la subdirectora a el programa que suele participar a la entrevistas , explica que en un programa de radio que se difundía de los ochenta en un pueblo de Nuevo México , un locutor decía, “Hasta Sun” . Cuando despedía cada emisión y que todos los locutores de la zona , empezaron a imitarle y que el spanglish se difundió.

La emisión esta convivial, todos los conferenciantes ( =intervenants) cambian sus ideas y se interesan al tema. Angels Barcelo hace una ultima pregunta a Illan. Quiere saber como se extiende una palabra para explicar el concepto y dice que la palabra “ washateria”…

Fonction comptable

|Leçon 01 La fonction comptable dans l’entreprise |

1 – Définition
La fonction comptableest un processus qui permet de satisfaire les besoins en informations des tiers, internes (dirigeant, cadres, …) ou externes (banquier, actionnaire, fournisseur, …) à l’entreprise. Ces informationsleur permettront d’analyser la situation de l’entreprise et de prendre des décisions.

2 – Les missions
La fonction comptable doit :
• Satisfaire une obligation légale : Le droit imposel’établissement d’une déclaration annuelle qui informe sur la situation du patrimoine de l’entreprise (bilan) et sur la performance de l’activité (compte de résultat).
• Etre un outil de gestion : Lamise en place de comptabilités facultatives (comptabilité analytique, comptabilité budgétaire) permet aux dirigeants d’obtenir des informations qui les aideront à prendre des décisions (ex : réduirele coût de revient des chaises Azuréa, dont le résultat analytique unitaire est déficitaire).
• Etre un instrument de communication financière : La comptabilité est un instrument decommunication externe pour l’entreprise à destination des actionnaires, des salariés, des banquiers, des fournisseurs, des clients, …

3- Les métiers
Les métiers de la comptabilité financière :
•Directeur financier : Présent dans les grandes entreprises, le directeur financier établit la stratégie financière, avec pour objectif d’optimiser la rentabilité et l’expansion de l’entreprise.
•Cadre financier : Présent dans les grandes entreprises, le cadre financier assiste et conseille le directeur financier dans ses tâches.
• Trésorier : Présent dans les grandes entreprises, letrésorier doit gérer au mieux la trésorerie de l’entreprise, en veillant à que cette dernière soit toujours solvable, à choisir les crédits les moins onéreux et à trouver les placements les plus…