Svt la mitose un processus commun aux cellules eucaryotte

Chapitre III ~ La mitose , un processus commun aux cellules eucaryotes ~

Cellules eucaryotes : Organisme dont les cellules possèdent un noyeau et d’autres organites séparées du cytoplasme par unemembrane .

Mitose : Reproduction coforme , une cellule mère donne 2 cellules filles ( les cellules mère , et filles possèdent la même information génétique ) .

Cycle cellulaire : Une interphase+ une mitose .

-I/ Le déroullement de la mitose .

Les deux chromatides reliées par un centromère sont identiques , une chromatide = un chromosome simple = une mollécule d’ADN .

Etude du’polycopier 2′
Etude du TP ‘ Observation d’une coupe longitudinale d’une racine d’ail ‘ .

A l’issue de l’interphase , toutes cellules contient son programme génétique en double exemplaire ,chaque chromosome est ainsi à l’état dupliqué : on dit que c’est un chromosome double ( ou encore un chromosome formé de deux chromatides ) . Lors de la mitose , ce matériel génétique est dupliqué etpartagé .

Les étapes marquantes de la mitose .

Bien que la mitose soit un processus continu , elle est classiquement divisée en plusieurs phases permettant de bien comprendre le phénomène : laprophase , la métaphase , l’anaphrase et la télophase . Chaque phase est essentiellement caractérisée par l’état des chromosomes et leur localisation dans la cellule .
? La prophase ( du grec , pro enavant ) . Les chromosomes dupliqués commencent à se condenser , ils deviennent progressivement visibles dans la cellule . Entre les deux pôles de la cellule , apparaît un fuseau mitotique , structureconstituée essentiellement de fibres ou microtubules . L’enveloppe nucléaire se déchire , et les chromosomes dupliqués peuvent alors s’attacher aux microtubules de fuseau .
? La métaphase ( du grec, meta , transformation ) . LA condensation des chromosomes dupliqués est maximale . Ils sont alignés à l’équateur du fuseau mitotique par leur centromère . L’ensemble des chromosomes dupliqués…

Les handicapes

Collectivité :

Service : A …………….. le ../../..

Objet : Les moyens d’intégration des personnes handicapées en «Milieu Ordinaire», tant dans l’espace urbain que dans l’espace professionnel.

THEME : L’intégration des personnes se trouvant en situation de handicap.

Références :
Loi d’orientation du 30 juin 1975
Loi du 02 janvier 2002

Trente ans se sont écoulés depuisla loi d’orientation du 30 juin 1975 concernant l’obligation d’intégration sociale des personnes en situation de handicap, et beaucoup de chemin reste encore à parcourir.

Certes la notion de handicap et les comportements ont évolués, un réel statut leur confère une réelle identité et l’on parle maintenant de situations handicapantes et de personnes handicapés. Mais, même si beaucoup depersonnes en situation de handicap souhaitent vivre, travailler et s’intégrer en milieu ordinaire, elles rencontrent souvent des difficultés à le faire.

Cette note exposera donc une synthèse axée sur la notion de handicap et l’évolution des comportements (I) et sur les moyens mis en place pour l’intégration des personnes se trouvant en situation de handicap dans l’espace urbain et professionnel(II).

I – La notion de handicap et l’évolution des comportements

I A / La notion de handicap

La loi d’orientation du 30 juin 1975 a conféré un réel statut aux personnes en situation de handicap.
C’est toute la notion du mot handicap qui a évoluée : on ne parle plus d’handicapé mais de Personnes Handicapées, et il existe une réelle évolution sur la prise en charge des situationshandicapantes dans toute leur diversité (Sensorielle, auditives, mentales, mais aussi pour toutes les situations handicapantes liées notamment aux accidents de la route, aux maladies professionnelles, …)

La loi du 2 janvier 2002 dont le but est de rénover l’ensemble de l’action sociale et médico-social a mis en avant la personne se trouvant en situation de handicap et a ainsi permis de prendreréellement en compte ses besoins.

Le regard porté par la société sur le handicap et les personnes handicapées à donc fait évoluer les comportements.

I B / L’évolution des comportements

La personne n’est handicapée que dans une situation donnée. Si des moyens sont mis à sa disposition, ils peuvent mettre la personne handicapée à égalité face à la personne non handicapée.

C’est à lasociété de réduire les obstacles afin de placer le handicap dans l’ordinaire de la vie. Les personnes handicapées ont des droits comme tous, ils veulent pouvoir se déplacer, faire leur course, vivre, et ce avec un maximum d’autonomie.

Autrefois ces considérations n’étaient pas ou peu pris en compte dans les différents projets d’aménagement urbains. Les mentalités ont évoluées ainsi que lescomportements face aux handicaps et dorénavant les pouvoirs publics doivent prendre en compte les besoins et les demandes des personnes en situation de handicap dans tous les projets.

Pour toutes les rénovations à effectuer et dans les nouveaux projets ( Voirie, bâtiment Public, Scolaire, Culturel, …) la composante de l’accessibilité doit être intégrée dès le début du projet et semble vraimentindispensable pour réussir la parfaite intégration des personnes en situation de handicap dans nos cités.

Car de nombreuses personnes handicapée souhaite vivre et s’intégrer en milieu ordinaire, mais se trouvent souvent face à des obstacles de tous genres et de fait se retrouve face à des des situations handicapantes.

Il faut que les villes s’adaptent aux citoyens et non pas aux citoyens des’adapter aux villes.

II – Les moyens mis en place pour l’intégration des personnes se trouvant en situation de handicap dans l’espace urbain et professionnel

II A /Les moyens d »intégration des personnes se trouvant en situation de handicap dans l’espace urbain

Les principaux interlocuteurs face aux problèmes urbains rencontrés par les personnes en situation de handicap sont avant…

Cours d’histoire du droit 2e année

Histoire

L2

Semestre 3

Histoire des institutions françaises avant la révolution :

Deux grandes orientations vont guider le développement. La première est : comment expliquer l’émergence et l’affirmation de la notion d’Etat au cours du Moyen-âge.

– Notion d’Etat : résurgence, vient du passé, de théories plus anciennes héritées de l’antiquité (RES PUBLICA). Les juristes médiévauxparviennent à lui donner une signification originale (à partir du 12ème siècle) en commençant par fixer des règles qui s’appliquent à tous même au roi : sorte de Constitution coutumière. Elle se construit en même temps que s’affirme l’Etat (à partir du 12ème siècle).
Seul le legs juridique, institutionnel et politique de l’ancien régime explique pourquoi l’Etat français est unitaire et centralisé,alors que les voisins de la France (espagnols ou allemands) ont généralement adoptés des structures fédérales ou confédérales.

– Notion de pouvoir : Par rapport aux différents systèmes politiques qui se déroulent pendant 14 siècles. Du 5ème siècle après JC jusqu’en 1789 il y a certes une monarchie avec différentes dynasties qui se succèdent mais pour autant le système monarchique va profondémentévoluer. Il n’y a pas du tout continuité entre les différents systèmes politiques.
Comment évolue la notion de pouvoir entre le 5ème et le 18ème siècle ?
Quatre questions se posent par rapport à la notion du pouvoir pendant cette période :
– Quel est la justification du pouvoir ? Quelles théories ont été imaginées
pour chercher à légitimer le pouvoir, pour lui donner force et stabilité ?Pourquoi s’établit-il une distinction entre gouvernants et gouvernés et comment l’autorité des uns et l’obéissance des autres est-elle justifiée ? Au nom de quel principe ?
– Comment se transmet le pouvoir ? Dans tout système politique la question de la transmission du pouvoir est très délicate. Plusieurs procédés ont été utilisés tour à tour : le système de l’hérédité avec un certainnombre de règle, le système de l’élection (notamment sous les Carolingiens) et même la méthode du tirage au sort (sous les Mérovingiens). Ces modes de désignation et leur caractère plus ou moins efficace ne sont pas sans influence sur la nature du régime et sur le fonctionnement du régime ce qui explique que les théoriciens se soient tant penchés sur la question de la transmission du pouvoir. Eneffet cette dernière est au cœur de la Constitution monarchique de l’ancienne France.
– Comment s’exerce le pouvoir ? C’est-à-dire quels sont les pouvoirs théoriques et pratiques des gouvernants et quels en sont les limites ? Les limites posées par les théoriciens dans le cadre de la monarchie absolue ont-elles été respectées ? Leur violation ont-elles été sanctionnées ?
– Quels sontles moyens du pouvoir qui s’affirme en France ? Comment l’autorité du roi pouvait s’exercer en pratique sans les nouvelles technologies d’aujourd’hui ?

Introduction :
La déliquescence de l’autorité publique entre le 5ème et la fin du 11ème siècle

Déliquescence de l’autorité publique car on peut dire qu’on assiste à une quasi disparition de la référence, en ce qui concerne l’Etat, du modèlepolitique et administratif romain, qui s’était imposé en Gaule comme dans le reste de l’empire romain. Ce système de l’Etat romain est considéré tout au long du moyen âge (prend fin au 15ème siècle) comme le modèle suprême à atteindre (modèle de la RES PUBLICA) par les juristes médiévaux. Il a été construit aussi tardivement car ceux qui détiennent le monopole de la culture et du savoir au début dumoyen âge (au Haut moyen âge : jusqu’au 10ème siècle) qui sont en majorité des gens d’église (les clercs), vont faire des efforts incessants, le plus souvent en pur perte, pour tenter de réintroduire ce modèle dans les institutions publiques (il faut attendre le 12ème siècle).

Pour les penseurs romain, tel que Cicéron (homme politique et orateur qui a vécu au 1er siècle avant JC), l’Etat est…

Simenon, maigret chez les flamands, résumé

Georges SIMENON, Chez les Flamands.
Chap. I. : Anna Peeters .
Maigret débarque en gare de Givet le 20 janvier 1932 . Nous découvrons avec lui Anna Peeters qui est venue l’attendre sur le quai .Avec eux, nous parcourons les rues de la ville : la Meuse est en crue et les péniches sont bloquées dans le port fluvial .
Anna Peeters a sollicité l’intervention du commissaire Maigret pour sauver safamille d’une erreur judiciaire .
Les Peeters, d’origine flamande, tiennent une épicerie-buvette près de la frontière belge . Ils ont trois enfants : Anna, Maria, et Joseph . Ce dernier, étudiant endroit à Nancy, a eu un enfant de Germaine Piedboeuf. Or, celle-ci a disparu depuis le 3 janvier et on accuse les Peeters d’en être responsables .
Sur place, l’inspecteur Machère est chargé del’enquête ; Maigret intervient sans titre officiel .
Le commissaire, après avoir déposé ses bagages à l’Hôtel de la Meuse, accompagne Anna chez ses parents. En chemin, elle lui a indiqué la ruelle où viventles Piedboeuf. Une fois à l’épicerie, Maigret rencontre le père d’Anna (un vieillard sénile) et sa mère. Maigret questionne alors Anna sur les événements du 3 janvier. Nous apprenons en même temps quelui que Joseph est fiancé à sa cousine Marguerite, fille du docteur Van De Weert, mais que Germaine Piedboeuf tenait à se faire épouser et que ce mariage, peu conforme aux souhaits des Peeters, doitavoir lieu après les examens de Joseph. Quelques temps après la disparition de Germaine, Monsieur Piedboeuf a porté plainte. Quant à Gérard, le frère de la disparue, il cherche des témoignages : tousdeux veulent se porter partie civile et réclamer 300 000 francs.

Chap.2 : L’Etoile Polaire.

Marguerite, qui vient d’arriver, montre à Anna une petite annonce qu’elle a fait imprimer dans lejournal local : elle prie le motocycliste qui est passé le 3 janvier sur la route de la Meuse, de se faire connaître. Elle espère ainsi écarter les soupçons qui pèsent sur Joseph. Pendant ce temps,…

Gucci swot

Présentation et problématique

Lorsque Tom Ford devient le designer officiel de la marque Gucci en 1990, celle-ci est une laissée pour compte. Assise dans le box des accusés, qualifiée deréactionnaire, elle n’est plus que l’ombre de ce qu’elle fut: une enseigne de luxe habillant les plus grands. Qu’importe que les mors de ses mocassins et les hanses fer-à-cheval de ses sacs soientreconnaissables entre tous: elle est, désormais, le stigmate d’une époque révolue.
Dans ces conditions, aucun créateur quel qu’il soit ne risquerait, sa carrière et sa renommée, à tenter de sortir Gucci del’ornière dans laquelle elle se trouve. Gianfranco Ferre a ainsi été approché, mais cette collaboration représentait alors un coût bien trop exorbitant pour qu’Investcorp puisse se l’offrir. Memèrisée parl’opinion publique, elle requière l’intervention d’un nouveau regard, plus jeune, plus actuel et surtout plus en phase avec son époque.
En effet, la chute du mur et la fin du bloc soviétique créeun contexte particulier tant économiquement que culturellement. C’est un pan entier du vieux continent qui accède alors à la société de consommation et à la culture de masse. La brèche s’est formée: lerideau de fer est tombé; il suffit de s’y engouffrer: les taboux vont suivre.
C’est alors que Tom Ford rentre en scène. Petit couturier méconnu du public, travaillant pour des marques aussiaubscures qu’inconnues en Europe. Ce « jeuneot », qui plus est, possède un curriculum vitae vierge de tout diplôme en matière de design et de mode. Un comble pour la marque italienne qui sembledéfinitivement perdue aux yeux du reste de la profession.
Néanmoins, à un tel état de décrépitude, qu’a-t-elle à perdre de jouer le tout pour le tout: rien. En outre, ce novice est, semble-t-il, soutenu par ladéjà puissante Carine Roitfield. Moins influente que son homologue américaine, elle tâche toutefois de déceler les nouveaux talents, en supervisant des scéances photos pour les vogues américains et…

Exemple de nouvelle fantastique

vous raconterez à la première personne du singulier et dans l’esprit d’une nouvelle fantastique la visite d’un lieu étrange où se déroulent des phénomènes inexpliqués,

« …et ce fut la dernière fois que je l’a vis ! »

Hubert venait de terminer son histoire, une histoire abracadabrante d’apparitions dans une pâtisserie, qui était sans doute inventée de toute pièce certes, mais qui étaitnéanmoins assez troublante.
Nous étions quatre amis, à peine sortis de l’adolescence. Nous campions au beau milieu d’une clairière, un froid dimanche d’automne. Notre feu de camp arrivait quand même à nous réchauffer. Là, je me décidais enfin à parler :
« Moi aussi il m’est arrivé une aventure terrifiante, mais avant de vous la raconter, jurez-moi de n’en parler à personne ! »
Ils hochèrent latête en silence, je commençai alors à voix basse mon récit :

C’était en octobre 1997, je n’avais que douze ans à cette époque. Comme chaque samedi, je jouais au foot avec le club du village. Le stade se situait tout près d’une immense forêt. Il faisait beau temps ce jour là. Le match allait bientôt s’achever et mon équipe était menée d’un point seulement. Je courais, le ballon au pied, les cagesadverses n’étaient plus très loin, quand une sensation effrayante envahit mon corps, comme si j’entrais dans un état second, ma vision se troubla, et je ne sais pourquoi j’ai tiré un grand coup dans le ballon. Là, subitement, tout redevint normal, comme si je sortais la tête de l’eau après quelques secondes d’apnée. J’entendis mes camarades me crier : « non mais ça va pas Thierry ? » je ne tardaispas à comprendre la raison de leur colère : je venais d’envoyer le ballon dans la forêt.
« pas le temps de le chercher, dit l’entraineur, nous allons prendre un autre ballon ».

Le match ne tarda pas à finir, nous avions perdu et aucun de mes amis ne m’adressa la parole … L’entraineur vint à moi et me demanda d’aller chercher le ballon et de le replacer dans le local à ballons, à côté dustade. Je regardais ma montre, il était dix huit heures trente, « je vais encore arriver en retard chez moi, pensais-je. » Je relevais la tête et je constatais que tout le monde était déjà parti, y compris l’entraineur que j’avais vu dix secondes auparavant, je haussais les épaules et décidais alors de pénétrer dans la forêt. Étrangement, je n’y avais jamais mis les pieds.
Dès lors que j’exploraisla forêt, le crépuscule arriva avec une vitesse déconcertante, tout se ressemblait dans cette forêt, pas un arbre ne se distinguait des autres et j’eus vite fait de me perdre.

Un bruit de pas se fit entendre derrière moi, je me retournai mais ne vis rien, de toute façon la lumière se faisait si rare qu’il était impossible de distinguer quoi que ce soit. Après une quinzaine de minutes derecherche sans succès, je décidais de revenir sur mes pas. Bientôt la nuit s’abattit totalement sur la forêt. Je regardais ma montre, et je fus surpris de constater qu’elle n’affichait plus rien. Là, un long soupir provenant de ma droite me fit faire un bond sur le côté, et; pris de panique, je me mis à courir. Je couru à toute vitesse à travers cette interminable forêt, le ciel était noir comme del’encre de Chine et j’arrivais à peine à voir où je mettais les pieds. Là, je fus saisi d’un soudain mal de tête aussi violent qu’un coup de massue.
…/…
Je m’effondrais au sol, la tête la première, sur une motte de mousse humide à l’odeur pestilentielle. Je me redressais péniblement et quelle fut ma surprise quand je vis devant moi des marches de bois. Le chemin qu’elles traçaientsemblait s’enfoncer encore un peu plus dans la forêt … C’est alors qu’un frisson parcouru mon corps tout entier, ma vision se troubla, mon cœur s’emballa, tout comme lors du match. Je n’étais plus moi-même lorsque je gravis ces marches, j’étais inexorablement attiré par elles, ma tête m’ordonnait de fuir au plus vite mais mon corps ne répondait plus. J’entendis des murmures, infimes au…

Dialectique maître esclave hegel fukuyama

Brouillon répond aux questions, dialectique maitre esclave.
I .Test de lecture …
A. Quelle est pour Hegel, la condition essentielle qui doit être réalisée pour qu’un homme devienne conscientde lui-même ?

D’après Hegel, la condition essentielle pour qu’un homme prenne conscience de lui-même passe par la reconnaissance de sa personne par un autre. (Page 1)

B. Que signifie laliberté chez Hobbes ?

Chez Hobbes la liberté est définie par « l’absence d’opposition » extérieur qui « entrave » « aussi bien » les « créatures irrationnelles » « qu’aux créatures rationnelles ». (Page1)

C. Pourquoi la reconnaissance du maître par l’esclave n’est-elle pas satisfaisante pour le maitre ?

La reconnaissance du maître par l’esclave n’est pas satisfaisante pour le reconnue carest en quelque sorte « pas homme » puisqu’il ne dépasse pas ses instinct (à savoir l’instinct de survie), ainsi le maître est reconnu par un être « inférieur » est ne lui apporte pas la satisfactionqu’il aurait put avoir avec un être de même niveau que lui. (Page 2)

D. En quoi y a-t-il, selon Hegel, un lien entre l’achèvement du processus historique et le christianisme ?

Selon Hegel, etd’autres philosophes comme Weber ou Nietzsche, le christianisme est la première religion qui met en place le « principe de l’égalité universelle de tous les hommes au regard de dieu » ainsi, chacundes hommes, maître ou esclave serait égal aux yeux de dieu. Ceci à donc permit d’après Hegel, l’achèvement du processus historique. (Page 3)
II. Résumés …
A. Le « désir de reconnaissance » et la« lutte de pur prestige ».
Hegel met en place une réflexion sur le premier homme, il partage de nombreuse caractéristique avec l’animal comme l’instinct de survie ou l’alimentation, mais il possède toutde même quelque caractéristique humaine puisqu’il a l’envie de possession comme un morceau de fourrure pour avoir chaud etc. Mais ce même homme confronté à d’autre homme développe un besoin de…

Anglais web 2.0

1. Ouvrage au programme : Introduction, le 1er chapitre « E-Learning 2.0… » et un 2ème chapitre au choix.
Faire une synthèse des 3 chapitres.

2. Choisir un thème développé dans l’article « E-Learning 2.0… » concernant la communication Internet.
Donner son opinion sur le thème en question (ex. blogs, Web 2.0, twitter, etc.).

3. Travail en autonomie : consulter les sites cités dans « URLReferences » en fin du 1er chapitre « E-Learning 2.0… ».

4. Choisir un site ayant un intérêt particulier pour l’Information-Communication : essayer de le décrire.

5. Révisions grammaticales :
1. Déterminants, dénombrables et indénombrables
2. Quantifieurs et indéfinis
3. Articles
4. Le génitif (cas possessif)
5. Singuliers et pluriels particuliers
6. Dérivations
7. Mots composés(adjectifs et noms)
8. Expression de la comparaison (comparatif et superlatif des adjectifs)
9. Infinitif, gérondif, base verbale
10. La proposition infinitive
11. Structures causatives
12. Les propositions subordonnées relatives
13. Les subordonnées circonstancielles
14. Le style indirect
15. La voix passive
16. Prépositions et particules adverbiales
17. Verbes irréguliers
18. Temps et Aspects(Présent/Passé ; Forme continue et forme du perfect)
19. Present Perfect et Prétérit
20. Le Pluperfect
21. Passé/Présent/Avenir : Prétérit, futur et expressions du futur, subordonnées de temps à sens futur (présent ou present perfect)
22. Date/durée/relations temporelles (for et since)
23. Enoncés affirmatifs et reprises emphatiques
24. Enoncés négatifs
25. Enoncés interrogatifs
26. Lesréponses courtes
27. « Tags » interrogatifs
28. Les énoncés à l’impératif
29. La modalité : le prétérit modal, les auxiliaires modaux
www.anglaisfacile.com
www.e-anglais.com
www.britishcouncil.fr

Rappel : épreuve oral (Exposé + questions).

To attemp = tenter
To give hints = faire allusion

Intro:
The authors wondered “are there at the moment new uses or innovations in teaching andlearning a foreign language as we are part of the so called digital age?”
Why? In order to help language instructors to get how to use the new tools available for bringing a new way of teaching English. How to provide a new learning environment. Make lessons more attractive maybe. ‘s:
Technology has been employed in language learning classroom. CALL came first and allowed pupils to learn bythemselves, listening and speaking. Also with distance. First with English, then appear other languages such as Spanish. => Autonomy.
90’s: the Internet. Teachers put their lectures online, they came with quizzes or various link. + email. But this implied the needed of having basis in HTLM and software.
Then 2000’s, web 2.0 easier to use multimedia => you can find a lot of applications andfree tools Only need of a little technology expertise, but certainly need of inventiveness and creativity. You need to make the lesson attractive, immerged the student, it can’t be reading website only. Various possibilities exist.
Lecture => interactive. There’s a change of role for instructor. Multiplied roles for the instructor as well for the learner. A range of new activities which make thelearning more motivating. => teachers have to find objectives and adapt their learning activities.
New generations are surrounded by technologies
Presentation of the other articles.
The news media’s allow students to access to authentic language content, they can be immerged in the country culture.

Chap 1

Web 2.0 development. Student can participate, take part of the learning.Blogs

Twitter permet d’informer et d’être informé grace à des messages courts (140 caractères).
Ce qui à mon sens fait le succès de twitter est la simplicité d’utilisation et de fonctionnement on y retrouve le principe du « keep it simple, stupid ». http://fr.wikipedia.org/wiki/Keep_it_Simple,_Stupid
Contrairement à d’autres réseaux sociaux, Twitter à la réputation d’être léger et de faire…

Bale vs pme

Analyse de la rentabilité client : Quel impact sur le contrôle de gestion bancaire ? Cas Attijariwafa Bank
Mlle ALAOUI ABDELLAOUI Charafa

Mémoire de fin d’études
Encadré par : Mr. Biad

JUIN 2010

Table des matières
Avant propos ………………………………………………………………………………………………………………. 4 Introduction………………………………………………………………………………………………………………… 6 Chapitre premier : Le poids du groupe Attijariwafa Bank dans le système bancaire marocain ……… 7 Section 1 : L’évolution du secteur bancaire au Maroc ……………………………………………………………… 7 1.1 : Historique du système bancaire marocain…………………………………………………………………… 7 1.2- Les apports de la nouvelle loi bancaire ………………………………………………………………………… 9 1.3- Caractéristiques du marché bancaire marocain ………………………………………………………….. 11 Section 2 : Position du groupe Attijariwafa Bank dans le paysage bancairemarocain ……………….. 15 1.1 : Présentation du groupe Attijariwafa Bank …………………………………………………………………. 15 1.2 : Organisation interne……………………………………………………………………………………………….. 19 1.3 : Faits marquants pour le groupe en 2009…………………………………………………………………… 23 Deuxième chapitre : Approche de contrôle de gestion bancaire …………………………………………… 25 Section 1 : le contrôle de gestion comme outil de pilotage de la performance …………………………. 25 1.1 : Objectifs du contrôle de gestion bancaire ………………………………………………………………….. 26 1.2 : Le cœurdu contrôle de gestion bancaire …………………………………………………………………… 28 1.3 : Les contraintes du contrôle de gestion bancaire …………………………………………………………. 29 Section 2 : Pratique du contrôle de gestion groupe au sein du siège d’Attijariwafa Bank …………… 32 1.1 : Organisation et processus cibles de la fonctioncontrôle de gestion groupe …………………… 32 1.3 : Liens du contrôle de gestion avec la planification stratégique ……………………………………… 38 1.4 : Les outils du contrôle de gestion groupe mis en place …………………………………………………. 39 Troisième chapitre : Analyse de la rentabilité client dans le secteur bancaire…………………………. 45 Section 1 : Mesure de la rentabilité bancaire globale…………………………………………………………….. 45 1.1 : Enjeux d’une démarche analytique de la rentabilité ……………………………………………………. 46 1.1 : Les trois approches d’analyse de la rentabilité bancaire………………………………………………. 48 1.2 : Les principauxindicateurs de la rentabilité bancaire globale ……………………………………….. 51 1.3 : Les différents axes d’analyse de la rentabilité bancaire ……………………………………………….. 52 1.4 : La gestion de la rentabilité bancaire …………………………………………………………………………. 56 Section 2 : Analyse de la rentabilité de labanque par client …………………………………………………… 59 1.1 : Intérêts et principes de la rentabilité par client…………………………………………………………… 59 1.2 : Quelles sont les difficultés liées à la mesure de la rentabilité client ? ……………………………. 61 2

1.3 : Les préalables au calcul de la rentabilité par client…

Education en afrique du sud

L’éducation familiale en Afrique: hier et aujourd’hui.

La forte fécondité en Afrique, souci majeur du développement, est largement entretenue par l’existence de processus de formation familiale qui favorise la maternité précoce, rapide et prolongé. L’existence de systèmes de formation familiale différents est fonction de pratiques socio-culturelles et de circonstances économiques. Le mariageest largement angulaire du processus de formation familiale en Afrique avec l’entrée en union à un moment ou à un autre de tous les hommes et toutes les femmes.A l’âge de 50 ans, tous les Africains ont été mariés au moins une fois. Un état de célibat permanent et de situation sans enfant est étranger à la culture africaine, vu comme anormal et particulière pour les hommes et hautementindésirables pour les femmes de santé normale. Ainsi les cultures africaines ont développé des systèmes élaborés dans lesquels même les handicapés physiques sont assurés d’entrer en union.Malgré les mariages précoces, il existe de très larges variations régionales. Par exemple, 7% seulement des filles de 15 à 19 ans sont mariées au Botswana, mais 75% le sont au Mali. En général les hommes se marient plustard que les femmes. L’âge au mariage varie entre 26, 27,29 et 35 ans, respectivement en Afrique de l’ouest, du Nord et du Sud.Les facteurs principaux de l’âge au mariage sont la religion, l’éducation et l’emploi et la culture des femmes. Il existe une variété d’union ; de nouvelles formes apparaissent, la polygamie et la monogamie en sont les principales. La prévalence des unions polygames estplus prononcée en Afrique de l’ouest. Avec la variation selon la religion et l’ethnie la proportion de femmes en union polygame varie de 60% en Afrique de l’ouest à moins de 5% dans les pays d’Afrique centrale et virtuellement zéro dans certaines îles.Le nombre de CO-épouses en union polygame tende à augmenter avec l’âge du mari, son statut économique et social, la pratique du lévirat et sonappartenance à des croyances non chrétiennes. Au sein de la famille africaine, la polygamie a plusieurs fonctions pour les hommes et les femmes: source de pouvoir et de prestige, démonstration de l’aisance sociale et le réservoir de main d’œuvre familiale pour les hommes; assistance sociale, domestique et économique pour les CO-épouses.La dissolution du mariage est un trait commun du processus deformation familiale en Afrique à l’âge de 50 ans près de la moitié de femmes ne sont plus dans leur première union; deux tiers, pour séparation ou divorce et un tiers pour veuvage. Le remariage est moins fréquent dans le Nord que dans le reste de l’Afrique.La sélection du partenaire (soit endogame et exogame) dans le processus de formation de la famille est ritualisée et demeure largement une affairedu lignage. L’endogamie et l’exogamie reculent vite à cause de l’éducation, de l’urbanisation et de la migration ; que le choix du partenaire soit du ressort de l’individu ou du lignage, les hommes en Afrique se marient avec des femmes beaucoup plus jeunes et de statut économique et social plus bas. Ainsi les femmes mariées tiennent le statut social de leur mari.Le concept et l’histoire de lacompensation matrimoniale, de la formation de la famille en Afrique sont longs. Selon le type de compensation matrimoniale (vrai ou symbolique) demandé, cela justifie le maintien de la culture qui signifie le début de la formation familiale, elle démontre le courage, le statut économique et social, du prétendant; elle crée des relations normales et amicales entre les deux familles et donne à lafamille de l’homme des droits sur la sexualité et la fécondité de la femme et décourage la dissolution de l’union.Modèle de résidence des familles Au cours des années récentes, les schémas de résidence des familles africaines ont changé en réponse à: la diminution des lots de terre en zones rurales où habitent la plupart des familles; l’éducation et la migration ont aussi conduit un glissement de…