Le paradoxe de l’agriculture mondial

Depuis le néolithique jusqu’ à l’époque actuelle, l’agriculture mondiale ne cesse de subir des transformations. De la première révolution agricole à la deuxième révolution agricole en passant par larévolution verte, elle a connu une évolution exponentielle du point de vue de la productivité, des méthodes et techniques employées. Certes, cette révolution a induit une forte augmentation de laproduction agricole mondiale, mais la faim demeure grandissante et grondante dans certain coin du globe. Apres la prodigieuse découverte de Jean louis Borleau sur certains céréales, l’espoir de rayer lafaim dans les contours planétaire avait retrouvé son éclat. Celui-ci s’est subrepticement éteint pour diverses raisons. Par la suite des organisations humanitaires furent crées. Toutefois, si le rôledes ces organismes est d’assister les populations frappées par la faim, qu’en est il du noble espoir d’éradiquer ce mot. Il fut un temps ou la nature décidait toute seule, avec quelque arbitraire, dela production agricole mondiale. Une époque ou les paysans essayés de faire poussées sur des sols craquelés par la sécheresse des squelettiques semis de grain.
A l’heure actuelle, les avancéestechnologiques et scientifiques permettent et exigent de nourrir toute la population mondiale. Aucun objectif mondial n’est plus important, noble, éminent et réalisable que celui qui consiste à éliminer lafaim. Plus de 800 millions de personnes sont affamées ou sous-alimentées à travers le monde. Et un grand nombre d’entre elles sont des enfants. De toutes les questions pressantes qui assaillent lemonde, l’élimination de la faim est peut-être l’une des plus faciles à résoudre. Il n’existe pas de pénurie mondiale de nourriture. La capacité de continuer à produire suffisamment de vivres de bonnequalité pour faire face aux besoins de la population mondiale ne fait aucun doute. La faim résulte plutôt de problèmes et volontés politiques. Les guerres et les conflits civils rendent les femmes et…

La méthodologie

?
Objectif : réaliser une courte recherche d’une trentaine de lignes sur le principe de précaution évoqué par l’article 5 et rapportez un exemple pratique d’application du principe de précaution enFrance

?
C’est en Février 2005 que le parlement a adopté la Charte de l’environnement. Cette charte qui à changé le 1er alinéa du préambule de la Constitution en y rajoutant les mots suivants« ainsi qu’aux droit et devoirs définis dans la Charte de l’environnement de 2004 ».
L’article 5 de cette charte évoque le principe de précaution. Ce principe vise les risques hypothétiques, avec uneincertitude scientifique sur l’existence de ce risque, ayant des effets graves et irréversibles pour l’environnement et l’homme (extension à l’homme comme le fait le droit européen). Ces principes de baserappellent que l’application de ce principe de précaution doit être exceptionnelle car il ne définit que des risques hypothétiques et exceptionnels.
En plus de prendre en compte la gravité supposéedu dommage identifié les mesures de précaution doivent aussi prendre en compte l’aspect économique et social avant d’être entérinée.

Cet article 5, a l’inverse de l’article L. 101-1 du code del’environnement, définit clairement à qui incombe les responsabilités de précaution et la possibilité d’invoqué ce principe devant un juge.

Ces dernières disposent d’une autorité de police administrative.En outre, seules les autorités publiques (Etat, collectivités territoriale…) peuvent évoquer ce principe devant un juge et prendre des mesures de précaution vis à vis d’un dommage potentiel.C’est-à-dire qu’un citoyen, une association ou même une entreprise ne peut évoquer ce principe devant un juge.

Le domaine d’application de ce principe est vaste. En effet, il peut aussi bien s’appliqué àl’agriculture, au pharmaceutique qu’au nucléaire. Ce principe ne se limite donc pas à l’environnement, mais est aussi applicable à la santé et l’alimentation par exemple.

A titre d’exemple…

Bilan de compétences

LE BILAN DE COMPETENCES

Le Bilan de compétences est une démarche active et volontaire. C’est une étape de réflexion dans son parcours professionnel permettant de faire le point sur sescompétences, ses aptitudes, son potentiel et ses motivations personnelles et professionnelles, afin de définir un projet personnel et professionnel.
Un bilan pour évoluer, changer de situation, se reconvertir.• Objectif opérationnel :
Construire un projet d’évolution ou de reconversion cohérent et réaliste, concrétisé par un plan d’actions qui permet d’atteindre l’objectif fixé.
• Finalités :
•Approfondir la connaissance de soi-même, de son environnement professionnel et confronter ses représentations à la réalité.
• Elaborer un projet en analysant conjointement les variables propres à l’individu,l’environnement et le contexte.
• Etre acteur de son devenir.

• Un bilan de compétences comprend trois phases :
La phase préliminaire a pour objet de :
? Confirmer l’engagement du bénéficiairedans sa démarche ;
? Définir et d’analyser la nature de ses besoins ;
? L’informer des conditions de déroulement du bilan de compétences, ainsi que des méthodes et techniques mises en œuvre

Laphase d’investigation permet au bénéficiaire :

? D’analyser ses motivations et intérêts professionnels et personnels ;
? D’identifier ses compétences et aptitudes professionnelles et personnelles et,le cas échéant, d’évaluer ses connaissances générales ;
? De déterminer ses possibilités d’évolution professionnelle.

La phase de conclusion qui permet de :
? Prendre connaissance des résultatsdétaillés de la phase d’investigation ;
? Recenser les facteurs susceptibles de favoriser ou non la réalisation d’un projet professionnel et, le cas échéant, d’un projet de formation ;
? Prévoir lesprincipales étapes de la mise en œuvre de ce projet.

Cette phase de conclusion se termine par la présentation au bénéficiaire du document de synthèse personnel et confidentiel.
En résumé,…

Cours marketing n°1

Chapitre 2 : La notion du marché

Introduction
* Qu’est ce qu’un marché ?
* Approche MKT vs économique
* Analyse du marché : étape incontournable dans une réflexion marketing
* Enmarketing, on parlera de parts de marché, d’études de marché, d’analyse du marché et de segment du marché. Cela a pour but de définir, cerner et délimiter la notion du marché.

I. Les différentesapproches du marché

1) Approche économique

* Rencontre entre l’offre et la demande
* Fonctionnement rationnel du marché
* Modèle économique exclut la psychologie et la négociation2) Approche Marketing

* Notion plus complexe
* Connaissance de la demande
* Définition du marché en partant de la demande (perception du consommateur)
* Le marché peut être vucomme un ensemble de produits ou de services offerts :
* Marché principal : marché du produit
* Marché support : sous ensemble regroupant des produits différents mais des comportements deconsommation proches
* Marché générique : ensemble des produits qui satisfont le même besoin
* Marché complémentaire : ensemble des produits auxquels recourt le marché principal
* Marchésubstitut : ensemble des produits différents de ceux du marché principal mais pouvant procurer des satisfactions équivalentes
* Le marché peut être vu comme un ensemble de consommateurs :
* Clientsde la concurrence Marché actuel
* Clients de l’entreprise Marché potentiel
* Non consommateurs relatifs
* Non consommateurs absolus* Un marché se définit par rapport à :
* Un produit
* Une classe de produits
* Un territoire géographique
* Une catégorie d’acheteurs
II. Les acteurs du marché

* Lesproducteurs ou offreurs
* Les concurrents
* Les distributeurs
* Les prescripteurs
* Les consommateurs : celui qui achète, qui paye, qui consomme

III. La notion d’environnement

*…

Fiscalité marocaine

AVANT PROPOS
L’année 2007, serait incontestablement considérée une étape très importante dans l’histoire du système fiscal marocain. En effet, à compter du premier janvier, le Code Général des Impôts1(*), tant attendu, est mis en application.
Depuis l’an 2000, la DGI, dans une démarche progressive, a lancé avec succès plusieurs chantiers de réformes inspirés des :
– directives royalesexprimées dans l’allocution de sa Majesté Mohamed VI à Jorf Lasfar le 25 Septembre 2000 devant les présidents des chambres de commerce, d’industrie, des offices, des établissements publics et plusieurs opérateurs économiques : « Partant du rôle incitatif que joue le régime fiscal en matière d’investissement, Nous avons donné Nos Hautes instructions à Notre gouvernement pour élaborer une réforme de lafiscalité basée sur la transparence, la simplification et la rationalité… ».
– recommandations issues des travaux des « assises nationales sur la fiscalité au Maroc »2(*), qui ont réunis des professionnels de l’administration fiscale (nationaux et étrangers), membres des institutions internationales, parlementaires, universitaires, juges, représentants d’organisations professionnelles etsyndicales…
Ainsi, les Lois de Finances succédées ont étés les occasions d’importantes légiférassions dont le but est de mettre en place un système fiscal moderne : rationalisé et aménagé, simple et harmonisé3(*) (harmonisation interne des dispositions régissant les impôts et taxes qui le forment4(*), et externe avec les autres lois et réglementations notamment, la loi comptable, la loi des sociétés etle code de recouvrement des créances publiques).
En parallèle, au niveau des structures administratives, la DGI a procédée à des forts réaménagements de ses services internes, dont le but est d’assoire une administration moderne, efficace et surtout en mesure de concrétiser et atteindre les objectifs affichés.
A partir de 1999, la DGI s’est lancée dans une démarche de concentration de la gestionde l’impôt autour du « dossier unique », en fonction de la nature du contribuable. Ce qui a permis :
1- De remédier aux dysfonctionnements de l’ancienne conception administrative articlée autour de l’impôt :
§ cohabitation de services autonomes et distincts ;
§ les contribuables sont obligés, avec la multiplicité des dossiers, de traiter avec différents services des questions souventanalogues ;
§ présence d’un grand risque de traitement inégal et incohérent des contribuables, selon la nature de l’impôt ;
§ rigidité de gestion du personnel dont les connaissances et les compétences sont confinés par impôts.
2- De perfectionner la gestion fiscale ;
3- D’améliorer le service rendu aux contribuables, par le biais des bureaux d’accueil et de coordination ;
4- De faciliter le processusd’harmonisation des dispositions fiscales afférentes aux différents impôts et taxes (obligations déclaratives, procédures, contentieux…) ;
5- De faciliter l’informatisation des services administratifs et la mise en place des services électroniques.
En revanche, consciente de la variété des caractéristiques et du comportement de chaque catégorie de redevable en matière de civisme fiscal, quiimplique par conséquent, un comportement différencié, la DGI a réaménagée ses services autour des « segments de contribuables », qui consiste en une gestion par « portefeuilles » en fonction des catégories des contribuables : grandes entreprises, autres personnes morales, professionnels particuliers, établissements stables et les non résidents.
Ainsi, la réorganisation de juillet 20055(*), a étémarquée par un regroupement d’activités fonctionnelles au sein de structures unifiées et spécialisées, ce qui a permis une amélioration du niveau global de la gestion de l’impôt et de la maîtrise du risque fiscal.

INTRODUCTION

De prime abord des questions pertinentes s’imposent :
– quelle est la définition du contrôle fiscal ?
– quels sont ses fondements, types et finalités ?
Le but de…

Arts

Analyse d’une oeuvre connue

19219

Silène portant Dionysos (Bacchus) dit faune à l’enfant.
Paris, musée du Louvre Artiste anonyme Date approximativement entre le Ier et le IIIème siècle.

Analyse d’une oeuvre connue
Introduction

19219

L’œuvre que j’ai décidée de présenter est intitulée «Silène portant Dionysos (Bacchus) dit faune à l’enfant». Elle se trouve à Paris, au musée duLouvre, dans le secteur «Sully», département des Antiquités grecques, étrusques et romaines, salle des cariatides numéro 117. Son numéro d’inventaire est le MR 346 (n° usuel Ma 922). L’artiste est anonyme, mais nous supposons que cette oeuvre daterais de l’époque de Pline l’Ancien (approximativement du Ier au IIIème siècle). Selon les historiens, le Silène portant Dionysos serait une réplique d’unestatue en bronze, aujourd’hui perdue, créée par le sculpteur grec Lysippe au IVème siècle avant Jésus Christ. Pline l’Ancien au Ier siècle après J.C. (Histoire naturelle XXXIV, 64) mentionne à Athènes un satyre de Lysippe mais sans nous le décrire. Cette statue mesure, un mètre et quatre-vingt dix centimètres de hauteur. Sur la base tout d’abord, nous notons que les deux pieds du Silèneavoisinent, chacun, les trente centimètres en longueur. Les jambes, quant à elles, mesurent à peu près douze centimètres de largeur. A cela s’ajoute deux mollets qui viennent augmenter le volume de la jambe de onze centimètres supplémentaires. En remontant un peu plus vers les genoux, on s’apercevra que ceux-ci mesurent chacun un peu plus de six centimètres. La cuisse gauche a une largeur de vingtcentimètres alors que la cuisse droite, (de la jambe libre) est moins étendue. La partie abdominale, (allant de l’aine jusqu’au corps de l’enfant) s’étire sur une longueur de trente centimètres sur quarante centimètres en largeur environ. Les bras du Silène mesurent trente centimètres de longueur chacun, à peu près. Quant aux mains, elles oscillent entre dix et douze centimètres de longueur. Le muscle avantdu bras droit a un diamètre d’environ quinze centimètres. Le visage du Silène mesure à peu près vingt-cinq centimètres en longueur. Le nez quant à lui s’allonge vers le sol sur cinq centimètres. Toutes les caractéristiques d’un visage humain sont présentes selon des dimensions proportionnelles au reste du corps. Enfin son dos atteint les quarante-cinq centimètres de longueur, les fesses bombées,mesurent environ trente centimètres de diamètre. Dans ses bras, le Silène tient un enfant. On peut noter que les proportions de ce corps présentent plusieurs caractéristiques. Tout d’abord, les bras et les cuisses sont de longueurs semblables, à peu près treize centimètres. Quant aux deux jambes, il faut rajouter à la longueur des cuisses une quinzaine de centimètres supplémentaires; et aux deuxavants bras et les mains, on peut aussi compter une douzaine de centimètres en plus. Cette œuvre fut découverte en Italie, au XVIème siècle; à l’emplacement des Jardins de Salluste, à Rome. La base de la statue a été retravaillé à l’époque moderne, peut-être par Carlo Mutti qui avait incorporé cette œuvre dans sa collection en 1594. Puis, quelques années après, en 1613, ce fut la famille Borghèsequi prit possession de cette sculpture pour l’ajouter, eux aussi, dans leur collection, (déjà nombreuse d’œuvres hellénistiques). La famille Borghèse était connue pour son attrait pour les arts et sa volonté d’apparaître tels des mécènes, ils apportaient beaucoup de protections à ces objets antiques afin de les conserver dans le meilleur état possible. La statue a ainsi, reposé dans la villaBorghèse, près de Porta del Popolo jusqu’en 1807 date d’acquisition par le musée du Louvre.

I. Analyse de l’oeuvre
Nous avons une statue à ronde bosse, en marbre qui est constituée de trois éléments bien distincts. Une base qui va servir de socle, et donc de sol à la statue, d’un tronc, servant d’appui, enfin, le Silène portant Dionysos constitue le troisième élément. Dans les cheveux ondulés du…

Thomas more utopie

Monde rural: De l’agricole à l’environnement

Objectif du cours :
Espace rural : ce qui n’est pas urbain
Le monde rural au 20eme siècle est passé d’une position de fonction de production agricole à une série d’autres types d’usage. Cet espace rural est aujourd’hui beaucoup plus diversifié que le suppose la population notamment urbaine. Le cours s’articulera en deux grandes parties :
*L’aspect agricole du monde rural et l’évolution de l’agriculture.
* Les aspects environnementaux et émergence des acteurs de prise de conscience environnementale.

Bibliographie indicative :
* DIRY J-P, 2002, Les espaces ruraux, Armand Colin. Ouvrage de géographes. Il présente les espaces ruraux en Europe et dans le monde. Donne un éclairage sur ce qu’est un espace rural
* HERVIEU. B,VIARD. J., 2001, L’archipel paysan : La fin de la république agricole, éd. De l’aube. Retrace une histoire de l’agriculture.
* JOLLIVET. M. 2001, Pour une science sociale à travers champs, éd. Arguments. Ouvrage de synthèse de fin de quelques décennies de carrière.
* MANDRAS. H, 1984(1967), La fin des paysans, Babel. Description d’une rupture dans l’historie de l’agriculture : passage d’uneagriculture paysanne vers une agriculture industrielle.
* SYLVESTRE J-P, 2002, Agriculteurs, ruraux et citadins. Educay
Revue : – Etudes rurales (voir site internet). Revue interdisciplinaire. N°183 : La sociologie rural en question.

I. Qu’est ce que le rural ?
Il existe peu de définitions positives de l’espace rural (il n’est pas urbain, il n’est pas … etc.) Cette manière de définirest révélateur d’une société structuré autour de la ville. Le rural est donc ce qu’il reste une fois que l’on a fait ce que l’on voulait en termes d’aménagement.
Monde rural : Société vivant dans et autour de l’espace rural
Espace rural : physiquement l’espace concerné par le rural.

2.1 L’aspect politique
Il s’agit ici de ce qui permet dans les « politiques » publics de distinguer cequi est urbain de ce qui est rural. C’est ce qui est issu de l’Insee qui à essayé de définir ce qui est le rural. On va voir que la définition de l’urbain et du rural a changé au fil du temps avec la société.
Lorsque l’on regarde ces différentes catégories on se rend compte que l’Insee à utilisé 3 types de catégorisations différente depuis les années 50 qui correspondent, à chaque fois, auxévolutions de la société en tant que telle :
* L’invention de la notion d’unité urbaine. (utilisé aujourd’hui encore mais différent qu’au moment de la création)
* Les ZPIU (zone de peuplement industriel et urbain)
* L’aire urbaine

L’unité urbaine :
Elle date des années 50 et cherche à rendre compte d’un phénomène d’après guerre : les agglomérations. On voit des communes étendre leursurface urbanisé et qui finissent par se toucher les uns les autres.
Ce phénomène est quelque chose d’assez nouveau en opposition avec un phénomène qui était assez répandu en Europe avec l’idéal type de la ville avec ses remparts et très nettement séparés de la campagne. L’Insee définit l’unité urbaine dans ce contexte pour pouvoir distinguer ce qui urbain e ce qui est rural.
L’unité urbaine estun territoire regroupant 2000 habitants ou plus, et sur lequel une construction n’est jamais éloignée de plus de 200 mètres des constructions les plus proches.

Quand cette unité urbaine regroupe plusieurs communes, on appelle ca une agglomération. Quand c’est une seule commune cela s’appelle une ville isolée.
Les communes de plus de 2000 habitant sont appelées des communes urbaines, les autresdes communes rurales.

Au fil de l’évolution on se rend compte que cette définition est de moins en moins valable à cause de l’installation des industries dans les communes rurales. Cela supposerait une commune rurale avec une activité industrielle. On rencontre le même problème avec le développement des stations touristiques.

La ZPIU :
Crée dans les années 60. Désigne des espaces,…

Fickerdeluxeduhurensohn

Chez l’être humain, la masturbation est une pratique sexuelle, consistant à provoquer le plaisir sexuel par la stimulation des parties génitales ou d’autres zones érogènes, à l’aide des mains ou d’objets, tels des godemichets ou autres jouets sexuels.

La masturbation est cependant pratiquée par quasiment tous les mammifères, mais surtout par tous les primates.

L’attitude sociale enversl’autoérotisme change suivant les époques et suivant les cultures. En Occident, la masturbation a été particulièrement réprimée du XVIIIe au début du XXe siècle. Aujourd’hui, elle est considérée comme une activité sexuelle aussi « normale » que les autres.
D’après le dictionnaire le Grand Robert, la masturbation est « une pratique qui consiste à provoquer le plaisir sexuel par l’excitation manuelle desparties génitales (du sujet ou du partenaire) »[1].

En développant cette définition minimale, on peut distinguer plusieurs types de stimulations érotiques :

* Les jeux sexuels génitaux, réalisés par les jeunes enfants quand ils sont encore inexpérimentés[2] (c’est une phase de développement, comme le déplacement à quatre pattes avant la marche, ou le babillage avant la parole).
*La masturbation, où intentionnellement l’objectif est, en général, de maximiser le plaisir érotique, puis de provoquer l’orgasme, grâce à des techniques souvent manuelles de stimulations des zones érogènes.
* L’auto-érotisme, qui englobe toutes les activités physiques et psychologiques qu’une personne utilise pour provoquer son excitation sexuelle et se procurer du plaisir érotique[3](c’est-à-dire la masturbation, mais aussi toutes les autres activités autoérotiques différentes de la masturbation : par exemple, imaginer des fantasmes sexuels ou lire une revue érotique).

La masturbation peut être réalisée :

* Seul (en général, la masturbation est plutôt considérée comme l’activité sexuelle qui est réalisée seul, et qui s’oppose aux activités érotiques avec des partenaires ; elleest présentée de cette manière dans les ouvrages étudiant la sexualité[4],[5],[6]).
* À plusieurs, à deux ou en groupe, et chaque personne stimule ses propres organes génitaux.
* Réciproquement, à deux ou en groupe, chaque personne manipulant les organes génitaux d’une autre personne.

Étymologie[modifier]

L’étymologie du mot « masturbation » rappelle l’ancienne condamnation moralede cette pratique :

« Le mot masturbation a été formé pour la première fois dans la langue française par Montaigne sous la forme manustupration dans l’Apologie de Raimond Sebond, 12e chapitre du deuxième livre des Essais. […] Le mot va coexister pendant plus d’un siècle sous deux formes concurrentes : manustupration et masturbation. Le premier terme, manustupration, vient de manus, “lamain”, et stupratio, “l’action de souiller”. La manustupration serait alors le fait de se souiller par une action de la main, ou encore de se donner du stupre, plaisir honteux, par la main. Le second terme, masturbation, vient du latin masturbatio et peut-être du grec mastropeuein, “prostituer”[7]. »

Cette ancienne condamnation morale se retrouve également dans les synonymes de la masturbation :onanisme et abus de soi[5]. Pour éviter cette connotation négative, on utilise parfois le terme « autosexualité » à la place du mot « masturbation ».
Techniques[modifier]
[dérouler]
Personnes se masturbant

*
Masturbation Techniques – the campfire method (animated).gif
*
Male adult masturbation.gif

[dérouler][enrouler]

Les techniques de masturbation sont trèsdifférentes pour les hommes et les femmes, en raison de leurs appareils génitaux différents, mais elles varient également beaucoup d’un homme à l’autre et d’une femme à l’autre.

La plupart des hommes se masturbent par un geste de va-et-vient de leur main sur leur pénis. Certains (et notamment ceux qui sont circoncis) se masturbent en stimulant le frein du prépuce du bout des doigts. Il est…

Plan d’une dissertation

Une dissertation littéraire suit un schéma qui ne diffère pas de celui d’une argumentation sur un sujet général mais elle traite d’un problème littéraire à partir d’une citation ou d’une questionénoncée dans le sujet.

Pour être traité un sujet de dissertation nécessite d’avoir des connaissances sur le domaine concerné. Si on ne les a pas, il faut se documenter, réunir les textes utiles,consulter des manuels.

Tout argument doit être justifié par des références ou des exemples précis.

L’important est premièrement d’arriver à développer un plan détaillé c’est-à-dire une argumentationen deux ou trois grandes parties, elles-mêmes divisées en sous-parties, deuxièmement de bien disposer son texte , en sachant où passer des lignes blanches.

Voici comment procéder :

Modèle de basepour construire un plan

INTRODUCTION (10 à 15 lignes)

I§ comprenant une généralité, suivie de la citation à commenter ou des références du texte, avec la (re)formulation de la problématique,puis l’annonce du plan qui sera suivi dans le développement. Passer une ligne blanche.

DEVELOPPEMENT

1° grande partie (1 page)

– Enoncer l’idée générale soutenue qui en fait l’unité.

– Allerà la ligne pour le 1°§, énoncer le 1° argument, citer le ou les exemples, et leur analyse ; clore le §.

– Aller à la ligne, introduire un mot de liaison, énoncer le 2° argument, citer le ou lesexemples avec leur analyse, clore le§.

– Aller à la ligne, introduire un mot de liaison, énoncer le 3° argument, citer le ou les exemples avec leur analyse, clore le §.

– Faire une phrase deconclusion partielle et de transition. Passer une ligne blanche.

2° grande partie (1 page)

– Enoncer l’idée générale soutenue qui en fait l’unité.

– Aller à la ligne pour le 1°§, énoncer le 1°argument, citer le ou les exemples, et leur analyse ; clore le §.

– Aller à la ligne, introduire un mot de liaison, énoncer le 2° argument, citer le ou les exemples avec leur analyse, clore le§….

Commentaire lamartine

Commentaire lamartine

I°SOUVENIR
1° PAR LE LIEU PARTICULIER

incarné par lieu où lamartine et femme qu’il aime se rencontraient 2nde strophe
lac interlocuteur, personnification du lac v3« regarde », v8 « tu » ,personnif: v9 tu mugissais », 4eme strophe, … « souvient-il » terme humain.
lieu: entouré de nature: personnifié //dialogue, nature romantique: épanchement des sentiments. 4Emestrophe Le poète parle à un lac au lieu de parler à un ami ? romantisme

? lieu particulier à ses yeux, par attaches perso, romantique par lieux et connotation, dialogue rend cette remémorationvivante, comme théatralisation de ses sentiments. Lecteur témoin

2° TEMPS DU SOUVENIR
souvenirs pcq poète parle au passé vbs
champ lexical du souvenir à citer
champ lexical de la vue–>souvenir se déroule sous les yeux: usage pst,
terme conclusif au départ: « ainsi » commence par fin pour aller vers le début remonte le temps vers le souvenir

TT concourt à orga du souvenir dsdéroulement et ds construction. Poète met en scène son souvenir pour le rendre plus vivant, le lecteur en est témoin et parfois est uni avec le poète ds des pronom inclusif « « nous » 9e quatrain

II LETEMPS

1°EMMENE L’HOMME
thème du 1er quatrain: regret du poète: temps, fuit, comparé à océan ds lequel l’homme se noua par opp au lac + pt , calme cf strophe 4, tt est calme. Métaphore filée du tempsqui commence dès 1ers vers, temps coule…
relever termes négatifs du temps qui passe surtout 2nde partie
temps ennemi cf strophe 10 »temps jaloux « …
Il incarne le regret de la femme aimée2° SOUHAIT DU POETE

Maitriser le temps: cf strophe 7: tps coule pour malheureux mais se suspends pour bonheur., souhait également ds bouche de la femme aimée strophe 6 ? appel épicurien pouvoirprofiter de chaque instant comme si volonté de tous: du seul « je » et » tu » « nous » et « eux « , d’intimiste à général, eux et nous .
Nouvelle métaphore du temps: en oiseau: « suspends ton…