Monologue hermione, andromaque.

SCENE PREMIERE – HERMIONE, seule. HERMIONE. Où suis-je ? Qu’ai-je fait ? Que dois-je faire encore ?
Quel transport me saisit ? Quel chagrin me dévore ?
Errante, et sans dessein, jecours dans ce palais.
Ah ! Ne puis-je savoir si j’aime ou si je hais ?
Le cruel ! De quel oeil il m’a congédiée !
Sans pitié, sans douleur au moins étudiée.
L’ai-je vu se troubler etme plaindre un moment ?
En ai-je pu tirer un seul gémissement ?
Muet à mes soupirs, tranquille à mes alarmes,
Semblait-il seulement qu’il eût part à mes larmes ?
Et je le plainsencore ! Et, pour comble d’ennui,
Mon coeur, mon lâche coeur s’intéresse pour lui
Je tremble au seul penser du coup qui le menace,
Et, prête à me venger, je lui fais déjà grâce.
Non,ne révoquons point l’arrêt de mon courroux :
Qu’il périsse ! Aussi bien il ne vit plus pour nous.
Le perfide triomphe et se rit de ma rage
Il pense voir en pleurs dissiper cet orage;
Il croit que, toujours faible et d’un coeur incertain,
Je parerai d’un bras les coups de l’autre main.
Il juge encor de moi par mes bontés passées.
Mais plutôt le perfide a biend’autres pensées.
Triomphant dans le temple, il ne s’informe pas
Si l’on souhaite ailleurs sa vie ou son trépas.
Il me laisse, l’ingrat ! Cet embarras funeste.
Non, non, encore uncoup : laissons agir Oreste.
Qu’il meure, puisqu’enfin il a dû le prévoir,
Et puisqu’il m’a forcée enfin à le vouloir.
A le vouloir ? Hé quoi ! C’est donc moi qui l’ordonne ?
Sa mortsera l’effet de l’amour d’Hermione ?
Ce prince, dont mon coeur se faisait autrefois
Avec tant de plaisir redire les exploits,
A qui même en secret je m’étais destinée
Avant qu’oneût conclu ce fatal hyménée,
Je n’ai donc traversé tant de mers, tant d’États,
Que pour venir si loin préparer son trépas,
L’assassiner, le perdre ? Ah ! Devant qu’il expire…

Hamlet1

Autour de Hamlet
Carole Vidal-Rosset, octobre 2008

Ce document d’accompagnement du spectacle créé au Théâtre Dijon Bourgogne en novembre 2008 n’a pas l’ambition d’aborder toutes les questions inhérentes au « continent » Hamlet. Il se propose de donner quelques pistes pour contextualiser le texte, appréhender (mais non résoudre) sa complexité, comprendre les enjeux de sa traduction et de saréécriture à la fois textuelle et scénique par Matthias Langhoff.

SOMMAIRE
I. Contextualiser le texte……………………………………………………………………………………….2 1. Shakespeare (1564-1616)………………………………………………………………………………..2 2. Le théâtre élisabéthain…………………………………………………………………………………….2 a. Codes et genres ………………………………………………………………………………………….2 b. Les sources d’Hamlet : la tragédie de la vengeance …………………………………………3 II. Appréhender la complexité de l’œuvre………………………………………………………………3 1.Amplification de la tragédie de la vengeance ………………………………………………………3 2. Dérèglement de la tragédie de la vengeance………………………………………………………3 3. Mais pourquoi Hamlet ne passe t-il donc pas à l’acte ?! ……………………………………….4 4. Une pièceréflexive………………………………………………………………………………………….6 a. Une réflexion sur le langage ………………………………………………………………………….6 b. Le théâtre dans le théâtre……………………………………………………………………………..8 5. Une pièce énigme…………………………………………………………………………………………..9 a. Une machine à questionnement …………………………………………………………………….9 b. Une bipolarité structurelle ……………………………………………………………………………..9 III. Traduire Hamlet……………………………………………………………………………………………….9 1. Principes detraduction suivis par Jörn Cambreleng …………………………………………….9 2. Quelques exemples de différentes traductions ………………………………………………….10 IV. Réécrire Hamlet …………………………………………………………………………………………….12 V. Quelques pistes pour analyser la mise en scène……………………………………………..13 1. Matthias Langhoff………………………………………………………………………………………….13 2. Une citation du théâtre élisabéthain …………………………………………………………………14 3. Faire entendre le texte au présent……………………………………………………………………15 VI.Quelques pistes pédagogiques………………………………………………………………………16 1. Le texte ……………………………………………………………………………………………………….16 2. La mise en scène ………………………………………………………………………………………….16 3. Adaptations cinématographiques…………………………………………………………………….17

1

I. Contextualiser le texte
1. Shakespeare (1564-1616)
Sa biographie lacunaire a pu conduire certains critiques à mettre en doute l’existence et l’identité réelle de Shakespeare. Ces doutes ne sont pas réellement fondés mais ils peuvent pourtant s’expliquer : l’œuvre de Shakespeare offre une telle…

Candide chapitre 6

CANDIDE : LECTURE ANALYTIQUE 3 :

I- L’art du conteur : un texte narratif traditionnel
1. Situation initiale
– Quand ? Après le tremblement de terre
– Où ? Lisbonne
– Qui ? « Les sages du pays », »l’université de Coïmbre » : les héros ne sont pas encore rentrés en scène : effet de surprise
– Quoi ? Un autodafé
2. Péripéties (2ème paragraphe)
– Il y a une certaine variété dans les rythmes etla manière de raconter. Pauses descriptives : imparfait : l.11-12 : / prison + l.14-16 : / costumes
Par moments le rythme s’accélère. Exemple : l.12 : « huit jours après » : éclipse par rapport auprocès »
– Contenu : Les supposés fautes des différents condamnés + Cérémonie
– Chute en 1 seule phrase. l.20-21 : Met en valeur l’inefficacité de l’action
3. Situation finale
Pause par rapport àl’action : imparfait
Contenu : propos au style direct, de Candide faisant une rétrospective et un bilan de ce qu’il a subit.

II- L’ironie est omniprésente
1. 1er paragraphe
Les 2 premières phrasessont redondantes (elles veulent dire la même chose) : phénomène d’insistance qui met en éveil sur le contenu de ces 2 phrases.
· Antiphrase : l.3 : « un bel autodafé » => ironie
· Périphrase parrapport à l’autodafé : l.4-5 : « Le spectacle de quelques personnes brûlées à petit feu », « spectacle » = voyeurisme et « petit feu » : antithèse = horreur
· « cérémonie » et « spectacle » sont mis sur le même plan: mélange le côté solennel et l’amusement pur. (Objectif : satisfaire le peuple et seulement cela)
2. 2ème paragraphe
Absurdité des condamnations qui reposent toutes sur des apparences (parfoisdouteuses)
La description des costumes :
on s’attarde sur des détails là où le lecteur attend plus une description de la psychologie des personnages. La description insiste de manière tout à faitdécalée sur le déroulement harmonieux de la cérémonie .L’évocation de la prison à travers une périphrase élogieuse relève elle aussi de l’ironie.
Le « en conséquence » analyse un lien de cause à effet…

Presentation rapport de stage

BERRANGER Collège
Louis St Laurent
3°A

Rapport de stage.

Stage effectué le 24,25,26 Février

Sommaire

– Sommaire page 2

– Introduction page 3

– Présentation de l’entreprise page 4

– Les locaux page 5

– Fabrication page 6

– Procédé de fabricationpage 7

– Le gérant et le métier présenté page 8

– Tâches réalisées page 9

– Mes impressions page 10

– Remerciements page 11

Page 2

Introduction

J’ai effectué mon stage à l’Entreprise « Creagenceurs » car je souhaitais découvrir une Entreprise qui propose àla fois la création de meubles, des études de devis, la fabrication et la mise en place de meubles dans des magasins ou chez des particuliers.
Ce métier m’intéresse beaucoup pour mes perspectives d’avenir.

Durant mon stage j’ai effectué diverses tâches qui m’ont permis de découvrir les principales activités de l’entreprise.

Page 3

Présentation de l’entreprise

Pendant trois jours,j’ai effectué un stage à l’ entreprise « Créagenceurs » (SAS Grandemange) à Thiéfosse.

En 1942 dans l’atelier de menuiserie de la famille Grandemange se crée une entreprise qui se développera dans le milieu de l’agencement.

En 2007, David CHARLES alors nouveau dirigeant décide d’apporter quelques modifications: le renforcement du bureau d’étude et développement des partenariats avec desarchitectes, designers, décorateurs …

En novembre 2009, des travaux débutent pour la construction d’un nouveau bâtiment. Mais le démarrage de la production sur le nouveau site ne fit que le 1er juillet. Ce bâtiment ( 2300m2 ) est basé sur l’écologie car il est très bien isolé et chauffé. Ce bâtiment est parfaitement autonome en énergie.
Ce déménagement correspond également à un changement denom et d’identité visuelle.
C’est l’avènement des

Aujourd’hui, les Créagenceurs compte 25 collaborateurs entre le bureau d’étude, l’atelier et les équipes de pose.
La moyenne d’âge des employés de cette entreprise est de 37ans.

Page 4

Les locaux.

Les locaux des Créagenceurs sont composés d’un atelier et de bureaux.

L’atelier:Sens de
construction
d’un meuble dans
l’atelier.

Les bureaux:

Cinq personnes travaillent dans les bureaux d’étude, plus le PDG Mr David Charles et une secrétaire comptable,ils possèdent chacun leurpropre bureau.

Page 5

Fabrication.

La principale activité des Créagenceurs est la conception et l’agencement intérieur d’enseigne commerciale, et des projet pour des particuliers. Mais aussi la construction de stands et de présentoirs.
Pour réaliser tous ses produits, il faut des outils à la pointe de la technologie comme des machines à commandes numériques. Il faut aussi de lamarchandise, les Créagenceurs fabriquent leur produit avec des matériaux très variés, mais le matériaux de base est le panneaux de bois.

-Pour transporter toutes ces marchandises l’entreprise possède beaucoup de chariots de transpalettes et de ventouses.

-Pour les coupes, elle possède de multiples scies comme, scie à panneaux, scie à format,scie circulaire, etc.

-Pour tous les perçages despanneaux, l’entreprise possède un centre d’usinage/perçage à commande numérique.

-Pour coller les chants des panneaux, elle a une plaqueuse de chants.

-Pour peindre les divers panneaux il y a une cabine à peinture et une cabine à vernis.

-Et aussi divers outils comme une raboteuse, divers ponceuses, perceuses.

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Procédé de fabrication
d’un meuble

|Demande d’un produit…

Rapport de stage sergic

rappoCeci est la version HTML du fichier http://eportfolio.supco-amiens.fr/julien-magnien/DOCUMENTS/Rapport%20de%20stage%20Sergic.pdf.
Lorsque G o o g l e explore le Web, il crée automatiquement une version HTML des documents récupérés.
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RAPPORT DE STAGE DE 2
ème
ANNEE
DUT « GESTION DES ENTREPRISES ET DES
ADMINISTRATIONS »
2003 – 2004
MAGNIEN
OPTION FC 1
Julien
IUT DE LENSUNIVERSITE D’ARTOIS

Page 2 |
REMERCIEMENTS
Remerciement à :
Monsieur DE COCK, Directeur d’agence
Jean-marie PERU, professeur de comptabilité et tuteur
Annick SPAHLHOLZ, Responsable service financier, et maître de stage
Jean-michel PINTO, syndic
Cindy BRUNEL, Comptable copropriété Douai
Audrey LEJEUNE, Comptable copropriété Arras
Dominique SEGARD, Gestionnaire de patrimoine
FrancineLEDAERON, Gestionnaire de patrimoine
Elisabeth DURIEZ, Chargée de recouvrements
Audrey BAUDERLIQUE, Assistante de gestion
Ainsi qu’à toute l’équipe de négociateurs et de commerciaux.

Page 3 |
SOMMAIRE
REMERCIEMENT………………………………………………………………………..
3
SOMMAIRE…………………………………………………………………………….
4
INTRODUCTION………………………………………………………………………. 8
PARTIE I – LA PLACE DE SERGIC DANS LE MONDE DEL’IMMOBILIER……. 10
CHAPITRE I – UN GROUPE QUADRAGENAIRE…………………………… 10
A. Un peu d’histoire….…………………………………………………….. 10
B. La carte d’identité du groupe…………………………………………… 10
C. Le groupe en chiffres……………………………………………………. 11
CHAPITRE II – UNE AGENCE AU CŒUR DE LA REGION………………… 12
A. Le pôle financier………………………………………………………… 12
B. Les différents métiers…………………………………………………… 15
CHAPITRE III – LESDOMAINES D’ACTIVITE……………………………… 16
A. La location……………………………………………………………… 16
B. La transaction immobilière……………………………………………… 17
C. Le Syndic de copropriété……………………………………………….. 17
D. La gestion………………………………………………………………. 18
CHAPITRE IV – LES OUTILS INFORMATIQUES DE GESTION…………… 19
A. LOTUS…………………………………………………………………. 19
B. MAYA : un système centralisé…………………………………………. 19

Page 4 |PARTIE II – LA COMPTABILITE IMMOBILIERE………………………………….. 21
CHAPITRE I – L’ASSEMBLEE GENERALE ET LA COMPTABILITE …….. 21
A. Approbation des comptes et quitus….…………………………………. 21
B. Vote du budget …………………………………………………………. 21
C. Approbation du contrat de syndic………………………………….…… 21
D. Approbation des travaux éventuels.…………………………….……… 22
CHAPITRE II – TRAVAUX DE FIN D’EXERCICE ET OUVERTURE DU
NOUVELEXERCICE…………………………………………….
22
A. Préparation de la régularisation des charges…………………………… 22
B. Régularisation de charges de l’exercice précédent…………………….. 23
C. Clôture de l’exercice…………………………………………………… 24
D. Mise en place du nouveau budget et réajustement des charges.………… 24
E. Appel de provision……….…………………………………………….. 25
CHAPITRE III – TRAITEMENT DES DOSSIERS TRAVAUX………………. 25
A.L’appel de fonds………………………………………………………… 26
B. Facturation des honoraires sur travaux…………………………………. 26
C. Saisie des factures et paiement fournisseurs……………………………. 27
D. Solde travaux si reliquat………………………………………………… 27
CHAPITRE IV – LA GESTION QUOTIDIENNE………………………………. 27
A. Encaissement des chèques……………………………….……………… 27
B. Gestion des télétransmissions…………………………………………… 28
C.Impayés………………………………………………………………… 29
D. Enregistrement des factures………………………………………………. 29
E. Paiement des fournisseurs………………………………………………. 30
F. Facturation des honoraires approuvés en assemblée générale………….. 30

Page 5 |
CHAPITRE V – PREPARATION DE L’ASSEMBLEE GENERALE………….. 31
A. Préparation des comptes en vue de l’assemblée générale……………… 31
B. Transmission des comptes au syndic…………………………………… 31
C.Vérification des comptes par le conseil syndical………………………. 31
PARTIE III – L’ASSEMBLEE GENERALE…………………………………………… 32
CHAPITRE I – LA CONVOCATION ET L’ORDRE DU JOUR………………. 32
CHAPITRE II – LE DEROULEMENT DE L’ASSEMBLEE GENERALE……. 32
CHAPITRE III – LES DECISIONS ET LES REGLES DE MAJORITE……….. 34
A. L’article 24 (loi n°65-557 du 10 juillet 1965)………………………….. 34
a. La majorité…

Google adwords

Google AdWords

Objectif : assurer la promotion de l’entreprise sur Google.

Concepts Adwords

Les annonces sont diffusées sur Google mais aussi sur des sites partenaires (blogs, réseaux sociaux, sites pertinents)

Participation à Google Adwords ne permet pas de modifier le classement du site de l’entreprise dans l’ordre d’apparition des sites sur la page de recherche.

Le montantfacturé ne dépasse jamais le montant spécifié dans le compte Adwords.

Le système Adwords récompense les annonces les plus pertinentes en leur attribuant une meilleure position sur la page de recherche et en faisant bénéficier les annonceurs de coûts moins élevés. Pour rédiger une annonce pertinente il faut cibler ses prospects avec précision.

Structure du compte Adwords

[pic]

Conseil :structurer le compte AdWords comme l’offre sur le site internet

La création du compte

Sur le site adwords.google.fr

Fuseaux horaires ont une incidence sur les statistiques.

Création de la première campagne AdWords

1ère campagne doit être axée sur le produit ou service principal sur lequel nous voulons concentrer notre publicité.

– Nommer la campagne : un nom facile àreconnaitre et représentatif

– Zone géographique : où se situent les clients (en fonction des régions où l’on exerce notre activité) Ajouter des régions où nous ne pouvons pas exercer engendrerait des clics non rentables.

Si l’on veut s’entendre sur la zone : créer des campagnes spécifiques pour certains produits ou services.

– Ciblage linguistique : langue utilisée doit être lamême que celle utilisée sur le site

– Réseaux et appareils : où l’annonce sera-t-elle diffusée ?

o Réseaux de recherche
o Ordinateurs, Smartphones

– Enchères et budget

o Enchère manuelle : pour contrôler nos propres enchères en fonction de la valeur attribuée à chaque clic
o Enchères automatiques : laisser le système AdWords gérer nos enchères pourobtenir le plus grand nombre de clics possibles dans les limites de notre budget (si novice commencer avec cette option)

Le budget quotidien permet de contrôler les coûts et déterminer la fréquence de diffusion de nos annonces chaque jour.
Lorsque nos coûts atteignent le montant de notre budget, la diffusion s’arrête pour la journée.

Budget = montant maximum par jour
Plus le budget estélevé plus on augmente les chances que les clients potentiels tombent sur notre annonce.

Rédaction de la 1ère annonce

– Texte : ce que l’internaute voit lorsqu’il fait sa recherche, doit être explicite, clair et attrayant
? Description du service principal

– Titre : inclure le nom du service (pas plus de 25 caractères espaces compris)

L’insertion du nom del’entreprise n’est pas pertinent si la société n’est pas connue.

– Ligne de description 1 : Les informations clés du service (modèle, prix, remise offerte) (35 caractères espaces compris)

– Ligne de description 2 : arguments qui nous différencie de la concurrence (livraison, spécificités, offres promotionnelles)

– URL : adresse site web (page d’accueil) (pas plus de 35 caractères)
?URL à afficher (ce que le client voit) ? URL de destination (sur quelle page le client va quand il cliaque)

Astuces :

• Utiliser des majuscules en début de mot
• Inciter par des actions
• Reprendre les mots clés dans l’annonce
• S’inspirer directement des phrases de notre site
• Ne pas copier mot pour mot les annonces des concurrent (sinon annonces d’autant plus enconcurrence)
• Se mettre à la place de l’internaute

Création de la liste de mots clés

Chaque mot clé dit être précis et en rapport avec l’annonce rédigée. Choix de 10 à 20 mots clés avec différents termes

Possibilité de cliquer sur « prévoir le trafic de recherche pour avoir une estimation de clics par jour.
Estimation repose sur : mots clés, budget quotidien et coût…

Aristote l’etonnement metaphysique

Assis devant une copie vierge, l’élève est tenté de se questionner sur l’utilité d’un devoir de philosophie. Stylo dans la main et découragement en tête, il pourrait se demander pourquoi il doit faire cela, pourquoi réfléchir… Pourquoi les hommes philosophent-ils? Quelle est la spécificité de la philosophie? Ces questions ont déjà été posées au quatrième siècle avant notre ère par Aristote,disciple de Platon à l’Académie et membre en quelque sorte de la première génération de philosophes. Dans un extrait de sa Métaphysique, le philosophe traite ainsi de la spécificité de la philosophie, soutenant que “ce fut l’étonnement qui poussa, comme aujourd’hui, les premiers penseurs aux spéculations philosophiques”. Nous allons donc étudier la façon dont il évoque les origines de la philosophiepour montrer sa finalité, puis montrer la justesse ainsi que les limites éventuelles de ce raisonnement.

Pourquoi les hommes philosophent-ils? D’après Aristote, c’est “l’étonnement” qui les y pousse, idée sûrement héritée de Platon qui disait dans le Théetète “s’étonner: voilà un sentiment tout à fait d’un philosophe. La philosophie n’a pas d’autre origine”. Cet étonnement est unesorte de choc intellectuel au contact du nouveau, de la “difficulté”, de ce que l’on ne comprend pas. En effet, la question fondamentale de la philosophie est celle du “pourquoi”. Aristote dresse un parallèle entre “les premiers penseurs”, à l’origine de la philosophie (“au début”), et ses contemporains. Mais dans ce “comme aujourd’hui”, on pressent une volonté d’établir une thèse universelle etintemporelle qui concernerait tous les temps. Le philosophe aborde ensuite les causes de cet étonnement en évoquant les “difficultés les plus apparentes”, celles qui étonnent le plus. En effet, Aristote dit de celles-ci qu’elles “frappèrent” les penseurs, en écho au mot-clef puisque “étonnement” signifie étymologiquement “frappé par la foudre”. Ce qui conduit à la philosophie est donc un réel choc, unbouleversement… Pour les premiers penseurs, celui-ci vient au contact de ce qui les entoure: les “phénomènes de la Lune, ceux du Soleil et les Etoiles, enfin la genèse de l’Univers”. Les premières réponses sont apportées par les mythes “composé[s] de merveilleux”, mais aussi par la religion dont ils sont le langage. Pour Aristote, “aimer les mythes est en quelque manière se montrer philosophe”puisque les mythes sont issus de cette même volonté collective de trouver une réponse, une explication, lorsqu’on est étonnés. Et la recherche de cette explication, c’est la “spéculation philosophique”, une activité théorique intellectuelle. Aristote développe le cheminement intellectuel de l’homme vers la philosophie par l’expression “apercevoir une difficulté et s’étonner, c’est reconnaître sapropre ignorance”, idée au coeur de sa thèse. Ainsi ce cheminement s’avère être le suivant: un homme est confronté à une difficulté, ce qui le conduit à l’étonnement. Il prend alors conscience de sa propre ignorance, et la volonté naît en lui d’y remédier, de trouver une explication: il se lance alors à la recherche de la sagesse… Et l’on retrouve ici l’étymologie du mot philosophe, que cet hommeest devenu: le philosophe est celui qui veut savoir, qui aime savoir, en suivant le cheminement de la spéculation pour arriver à la philosophie

Quelle est la spécificité de la philosophie? Dans la deuxième partie du texte, Aristote développe sa thèse, l’élargissant au fur et à mesure de son avancée chronologique. Il rappelle donc que “ce fut pour échapper à l’ignorance que les premiersphilosophes se livrèrent à la philosophe”, mais annonce la raison pour laquelle ils “poursuivaient la science”. Avant d’entre au coeur de cette raison, on peut s’arrêter sur l’emploi du mot “science” qui désigne la philosophie. En effet, celle-ci est une activité rationnelle, employant le logoV pour rechercher la connaissance: cette définition correspond bien à une science. Car à l’origine,…

1890-1914 : L’europe de la stabilité à la conflagration

1890-1914 : L’Europe de la stabilité à la conflagration

Outre le formidable développement industriel que connaît l’Europe au cours du XIXème siècle et toutes les conséquences (sociales, économiques et culturelles) qui s’en suivent, le XIXème est aussi le siècle des nationalités et des États nations.
Entre 1890 et 1914, l’Europe passera d’une situation de stabilité à une situationconflictuelle du fait des grands bouleversements géographiques qu’elle subit à cette période.
Comment ce sont produits ces changements ? Et quelles sont leurs conséquences ?
Dans un premier temps nous étudierons le phénomène de la multiplication des États-nation qui a commencé dès 1850, puis nous verrons que les régimes politiques européens évoluent à cette période; et enfin nous verrons le rôle dunationalisme dans l’engrenage de la guerre.

I- Vers une Europe des États Nations
1- Le mouvement des nationalités
Situation de l’Europe en 1850 : trois tendances : les États nations où les limites territoriales de l’état correspondent à celle d’une Nation : France, Royaume-Uni, Pays-Bas – les États multinationaux où l’état regroupe plusieurs nations, avec l’une d’entre elles domine les autres: empires Ottoman, russe et autrichien – les États infra nationaux où la nation est dispersée entre plusieurs états : la Pologne.
Là où ne coïncident pas états et nations se développent des mouvements nationaux :
– dans les états multinationaux on veut l’autonomie ou l’indépendance
– dans les états infra nationaux : la nation recherche son unité
– dans les espaces allemand et italienmorcelés politiquement : revendication de réaliser l’unité nationale.

2- La naissance de l’Italie
L’unité et la création d’un état italien se font autour du roi Victor-Emmanuel du royaume de Piémont Sardaigne et grâce à son 1er ministre Cavour.
Alliance avec la France en mai 1859 contre l’empire d’Autriche (en échange de Nice et de la Savoie) => Lombardie en 1859.
Soulèvement populaires.Expédition du républicain Garibaldi et de ses chemises rouges en 1860 => conquête Italie du Sud + Sicile .
1861, Victor Emmanuel proclamé roi d’Italie par le Parlement. 1866 conquête Vénitie avec l’aide de la Prusse.
1870 l’unité semble achevée, Rome devient la capitale au détriment de la papauté. Mais l’Italie réclame toujours les terres irrédentes encore autrichiennes (Trentin, Trieste, Istrie).3- L’unité allemande
Bismarck, chancelier du Roi de Prusse Guillaume 1er = homme de l’unification. Il fera l’union « par le fer et par le sang »: contre le Danemark (1864) puis contre l’Autriche (1866) => unification des territoires protestants du Nord de l’Allemagne et création de la confédération de l’Allemagne du Nord. 1870 contre la France de Napoléon III (vaincue à Sedan). Cette guerrepermettra d’unir tous les Allemands. (du Sud Catholique au Nord protestant).
18 janvier 1871, l’empire allemand est proclamé à Versailles, Guillaume Ier devient l’empereur du IIème Reich. L’Alsace et la Lorraine sont annexées.
Pour certains nationalistes l’unité reste inachevée car il reste encore des Allemands en Autriche.

II- L’évolution des régimes politiques
1- Trois types de régimesEn 1850, l’Europe est en majorité monarchique, il n’existe que 2 républiques (France
(1848-52) et Suisse (1864)). Des monarchies qui sont souvent liées entre elles par des liens
familiaux.
Mais ces régimes sont confrontés aux revendications libérales : constitution, libertés politiques, de presse, pouvoir du monarque limité par des assemblées élues, des parlements (composés des élites de lafortune où seuls les plus riches ont droit de vote).
Mais les libéraux sont confrontés aux revendications démocratiques : suffrage universel masculin + parlement exerçant une part réelle du pouvoir.
Ces trois tendances coexistent u XIXème et les revendications libérales et démocratiques trouveront un arrangement dans la mise en place d’une démocratie libérale.

2- La diversité des régimes…

Manga

Ecuptates sim que earcimod eicillorem non et officia ndelessecta plabore ni quatiaecus reribus aut adia volupta cusam, andam nonse voluptiam intiuntia consend aepediae sim elestibus nim doluptasmollupta des apel maio dolor serum harunt volorer cillabo. Non ex esti ium velitaq uaerae que corum velenim haris andit laborumqui qui doluptat quiat is plam idicit, sequam fuga. Ut re, nistio tem sequasvelesti arum ipsanihiliam et vent molendam, que venet aut aut acidebitatur arum consece ssitiunt liquosa peritaquo to estius, que voluptatque ad ut labo. Et laboreped quidit, oditias pictin plaborumveles eseque dus at od que preces sendio doluptas es prat.
Aborers perchition pereictotate ipitest entium ratis expla cor aut lanihillest quo eum quia idunt.
Accaecto officat endam, unt es idusdolendi dolorum sundi ullit debit hil eum as amusdam fugia net voluptam estiorit quasperspit rerferunt etus eos dest et quo earchicid endi optae voluptam nost, offic tem quas voluptatem ipsae eumquos adiomnis inctianis simus, volo estem quiamus conse eic toreptat.
Optiore necaeped mintur simus auta verchiti ad ea quiat accati ad quam verrorrum ut expedis asperov idebis sequas sitatiorit laborrumcommo quidemp oremporia quid et aut lab inimusa perciur rem que volectu mquaero bero blatio. Osandelecto vollatem di cullab iminveniam fuga. Nem lacepud aeperiberita pratqua tenias quamus eost, exerferferepuda cus.
Endite volupide dollo estionecab il maximo ommolor a nonsequodia si consenia dolorep udaesti od esendignamus aut aut voluptatem dolumen ducipicae non plab incia nemod mod ut ommo odiquaere quam, sunt accus simusam et velibus et harcips umquidunt.
Laborum nem re pa aut expernam quis dercit volore solumquis et optatur atibusam facesectatis eicab invere, sequas voluptius sita pliquiantibus ipsum as velia quiatur? Qui qui nonseque nam res aut atiusanis alis aut eatio. Itatqui aut facerferume voluptasiti nia et lam, velesecepera sit earis adigenis ium exped qui od ut ea dolor sed…

Dissert éco

QUELQUES CONSEILS

? Le CV
? La Lettre de Motivation

LE CURRICULUM VITAE

LE CV DOIT DONNER ENVIE AUX EMPLOYEURS DE VOUS RENCONTRER. C’EST L’ETAPEINDISPENSABLE POUR ENVISAGER UN RECRUTEMENT EN ALTERNANCE.

Le CV est le seul portrait que le futur employeur aura de vous. Il doit, donc être clair, soigné, cohérent, structuré. La photo que vous yajoutez doit être récente et de bonne qualité.

Votre CV doit comporter toutes les rubriques indispensables :

? Formation : inutile d’y indiquer les lieux d’études pour chaque cycle….? Savoir faire professionnel : ce que vous avez acquis pendant votre formation

? Expériences en entreprise : stages, jobs d’été …..

? Connaissances spécifiques :informatique, logiciels, langues …

? Vos hobbies – loisirs ou activités bénévoles.

N’oubliez pas vos coordonnées : votre N° de téléphone ne doit pas changer pendant toute la période durecrutement. Il va permettre, à l’employeur, de vous proposer un rendez-vous ou de faire un 1er entretien téléphonique.

.
Quelques conseils pour rédiger votre curriculum vitæ…

|FOND|FORME |REMARQUES |
|| ||
|Etat Civil : |Longueur : |Ne jamais stipuler « curriculumvitae » sur son CV : c’est inutile. |
|Si le prénom est mixte, préciser devant M. ou Mlle. |Une page maximum. |…