Commentaire composé du poème « les luttes et les rêves » extrait des « contemplations », de victor hugo.
ck.
« sueurs froides « , ou Vertigo (titre originale, est un film réalise par Alfred Hitchcock. Ce réalisateur est connut pour ces film exceptionnels. Ce film est un film policier et romantique. Lemystère domine toute l’histoire. Vertigo est réalise en 1958
Le début de ce film est dans >.L’action de la poursuite est rapide et claire. On peut directement apercevoir l’acrophobie de l’héros . Deplus la perte de son partenaire durant la poursuite le traumatise et le met dans un état de choc qu’il ne pourra pas surmonte. Par contre la suite de ce film s’enchaine avec des actions lentes.etpesantes. Toutes les actions dans ce film, font de Sottie(James Stewart) un antihéros, enfin de compte il est gouverne par sa peur, et son acrophobie et ne peut pas sauver, ni son partenaire, niMadeleine(Kim Novak). Il est amoureux de cette dernière, mais c’est un amour fictif, car on apprend que Madeleine n’est pas une personne qui existe. Apres qu’il eu perdu son amour par sa faute, ou plutôtfaute a son acrophobie, il erre dans les rues, dans les lieux que fréquentait sa bien aime. Il essaye de trouve une remplaçante, quand il trouve cette remplaçante il essaye de la transforme,physiquement, en l’image de sa bien aime. Donc finalement toutes ces conquêtes amoureuses sont irréelles. Les deux femmes n’existent pas.
Par contre la musique dans le film est bien adapte aux situations, ily a une sorte d’harmonie entre les actions et les mélodies. Les couleurs sont elles aussi homogènes au cadre de l’histoire(couleur sombre). Dans une scène bien particulière, la mise en valeur de larobe de madeleine (verte) ,donne une très beau contraste avec les couleurs de la scène ( noir pour les habits des autres personnage et rouge pour le mur),cette couleur donne une allure fantomique aMadeleine, et dans sa façon de marche on a l’impression qu’elle glisse comme une spectre, ceci est relie a ce que j’ai dit précédemment, l’inexistence de madeleine.
Pour conclure, pourquoi ne pas…