Intro.
Moliere s’inspire du denouement de dom juan de c’est prédécesseurs (cf, tirso de molina, dorimont, villiers..) Feux scènes fibales qui suivent les passages dans lequels le heros revendiqueson hypocrisie devant sganarelle et s’attaque ensuite à dieu, arrivant au paroxysme de son vise. Dans ce dénouement, le divin se manifeste par l’apparition d’un spectre (+ la statue du comandeur) contreles quels le héros livre un dernier combat avant sa chute. Le tragique semble dominer, mais plusieur éléments ne renvoient pas à cette tonalité. Cette diversité conduit a poser la question sur lesenjeux de ces deux scènes finales. Car la dimension tragique du chatiement est tempéré par les procédés de la comédie ce qui rend cette fin ambiguë.

I – L’obstination tragique.
1. le refus du divin- absence de remords, intensité dramatique
– impiété de D. Juan (cf : mélange des notions : superstition et religion ligne 9 + vocabulaire des sens ligne 5, 9, 10 => Dom Juan materialiste,libertin)
2. La presence du destin.
tragique = existance d’une force qui depasse les héros.
– destin incarné par les figures surnaturelles du spectre et de la statue => representants de l’ordredivin, liés au temps (cf : métamorphose du spectre en alégorie du temps qui s’opose au plaisir de l’instant et à la materialité de D. Juan )
– annonce de la sentence par le spectre et la statue.
3.la mort tragique
– allusion à la mort
– didascalie avec l’orage et le motif de la chute.

double chatiement D. Juan obligé de subir l’eternité alors qu’il vit dans l’instant et donc, lasouffrance perpetuelle. Dernière défi tragique mais certains émélent de la scènes constituent un contrepoint comique.

II – Un tragique tempéré.
1. L’ecriture de la comédie
– pièce n’est pas en vers,présence du valet, niveau de langue ordinaire => univers du genre comique
– le jeux des répétition et de rupture. les exclamations (l. 7, 13, 20 …) rythme dynamique….
2. L’attitude de…