E supply chain

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Hervé Suvigny |

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SOMMAIRE |
E-supply chain

1 Introduction

2 Apprendre à collaborer
2.1 Le pouvoir et la culture d’entreprise

3 E.R.P. (Entreprise Ressource Planning)

4 Commencer par prévoir ensemble

5 Le suivi des flux

6 Transport et distributeur
6.1 Le transport
6.2 Le distributeur

7 Conclusion

8Bibliographie
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Achats
Consultation
Marchandage ou concurrence
Partenariat
Sous-traitance
Les incoterms
Les coûts
– Coût de passation
– Taux de possession
Coût d’achat
PaiementLes nouveaux achats
L’entreprise et internet
E-supply chain
E-procurement
Les places de marchéLa qualité
La non-qualité
L’assurance qualitéLes stocks Quantités à commanderLinux
Les outils informatiques…BibliographieJuridique
Pages juridiques de Jérôme Rabenou
Code civil
Code du commerce
Dans le monde
LegiFrance
Droit International
Droit aux U.S.A.

| E-supply chain
1 IntroductionLorsque j’ai commencé l’écriture de cette page je voulais faire 2 paragraphes, * un pour expliquer le supply chain * un autre surle E-supply chain et l’apport d’internet.Mais très vite je me suis rendu compte que les deux étaient intimement mêlés, Même si un grand nombre d’entreprises utilise l’EDI dans un mode relationnel client/serveur, un certain nombre ont déjà fait le pas, donc j’ai décidé que les lecteurs de cette page s’adapteront par eux – mêmes au mode qui leur conviendra.Avant de commencer la moindre explication,il est bon de faire une différence entre E-logistique et E-Supply chain. * Le premier concerne le B2C (business to consumer) c’est à dire les activités de stockage des sites marchands pour le grand public * Le second fait parti du B2B (Business to business) et utilise internet comme support pour véhiculer les informations de la supply chainL’autre élément important à connaître, est quequalité et supply chain se rejoignent, avec la supply chain comme avec la qualité on se situe dans LE mouvement d’une amélioration permanente.Cet aspect qualitatif que sous-entend le supply chain donne une longueur d’avance aux entreprises qui ont déjà pris le train de l’assurance-qualité et des normes ISO.retour2 Apprendre à collaborerPartager l’information c’est remettre ses pouvoirs en cause, vousdevinez j’en suis sur la réticence d’un grand nombre, et pourtant c’est ce que devront faire, non seulement les collaborateurs d’une même entreprise, mais aussi Fournisseurs, fabricants, transporteurs et distributeurs entre eux.Lorsqu’une commande arrive sur le bureau du fabriquant, toute une chaîne d’opérations se déclenche, cela va de la commande des matières premières ou composants nécessaires àla fabrication du produit, jusqu’à la livraison chez le client en passant par la fabrication elle-même, le stockage, le transport, etc…toute cette chaîne logistique véhicule des produits mais aussi des informations et c’est cet ensemble de processus que la SUPPLY CHAIN va essayer de synchroniser. Avec les mêmes objectifs: * d’un coté améliorer la qualité et satisfaire le client * de l’autrecoté produire et livrer les produits aux meilleurs coûts dans les meilleurs délais.pour arriver à ce résultat tout ce petit monde doit apprendre à optimiser leurs ressources en commun pour réduire les coûts en produisant à la demande dans une politique de flux tendu.Pour synchroniser toutes ces opérations les acteurs de la chaînes vont devoir collaborer en fournissant: * des prévisions * desinformations sur les ventes * des informations sur la productionCela nécessite une grande flexibilité pour réagir vite mais aussi de briser des frontières à l’intérieur des entreprisesretour2.1 Le pouvoir et la culture d’entrepriseLa notion même de pouvoir est modifiée, tous les acteurs peuvent accéder aux mêmes sources, la rétention d’information que nous rencontrons de temps à autre…