Etude des banques
Sur un marché saturé et ultra-concurrentiel, le comportement de switching devient incontournable.
En 2010, plus de 4,8 millions de français ont changé d’organisme de couverture complémentaire
santé, ce qui représente un chiffre d’affaires de près de 2,45 milliards d’euros (9,5% du marché
valeur). A titre de comparaison, le « churn interne » (changement de contrat au sein du même organisme)représente moins de 900 millions d?euros. Le switching reste un processus majoritairement
volontaire : en 2010, plus de 2,9 millions de français (61,1% des switchers) ont en effet décidé de
switcher d’organisme par opportunité, mécontentement ou parce que les cotisations étaient trop
élevées pour leur budget.
Fortement corrélé aux gains de parts de marché des sociétés d’ssurance (qui représententprès de
44% du marché valeur du switching et plus de 52% du marché valeur du switching volontaire), le
changement d’organisme concerne également les mutuelles et les institutions de prévoyance qui
pèsent respectivement 1 milliard et 300 millions d?euros sur le marché du switching.
Si central soit-il, aucun observatoire transversal à l’ensemble du marché, aucune donnée récurrente
ne mesurele comportement de switching en France. Au delà des nombreux éléments de quantification
de ce marché, cette étude vise à vous donner les leviers afin que le switching ne devienne
plus un manque à gagner mais bien un axe de fidélisation et surtout de conquête.
Sur un marché saturé et ultra-concurrentiel, le comportement de switching devient incontournable.
En 2010, plus de 4,8 millions defrançais ont changé d’organisme de couverture complémentaire
santé, ce qui représente un chiffre d’affaires de près de 2,45 milliards d’euros (9,5% du marché
valeur). A titre de comparaison, le « churn interne » (changement de contrat au sein du même organisme)
représente moins de 900 millions d?euros. Le switching reste un processus majoritairement
volontaire : en 2010, plus de 2,9 millions defrançais (61,1% des switchers) ont en effet décidé de
switcher d’organisme par opportunité, mécontentement ou parce que les cotisations étaient trop
élevées pour leur budget.
Fortement corrélé aux gains de parts de marché des sociétés d’ssurance (qui représentent près de
44% du marché valeur du switching et plus de 52% du marché valeur du switching volontaire), le
changement d’organisme concerneégalement les mutuelles et les institutions de prévoyance qui
pèsent respectivement 1 milliard et 300 millions d?euros sur le marché du switching.
Si central soit-il, aucun observatoire transversal à l’ensemble du marché, aucune donnée récurrente
ne mesure le comportement de switching en France. Au delà des nombreux éléments de quantification
de ce marché, cette étude vise à vous donner lesleviers afin que le switching ne devienne
plus un manque à gagner mais bien un axe de fidélisation et surtout de conquête.
Sur un marché saturé et ultra-concurrentiel, le comportement de switching devient incontournable.
En 2010, plus de 4,8 millions de français ont changé d’organisme de couverture complémentaire
santé, ce qui représente un chiffre d’affaires de près de 2,45 milliards d’euros(9,5% du marché
valeur). A titre de comparaison, le « churn interne » (changement de contrat au sein du même organisme)
représente moins de 900 millions d?euros. Le switching reste un processus majoritairement
volontaire : en 2010, plus de 2,9 millions de français (61,1% des switchers) ont en effet décidé de
switcher d’organisme par opportunité, mécontentement ou parce que les cotisationsétaient trop
élevées pour leur budget.
Fortement corrélé aux gains de parts de marché des sociétés d’ssurance (qui représentent près de
44% du marché valeur du switching et plus de 52% du marché valeur du switching volontaire), le
changement d’organisme concerne également les mutuelles et les institutions de prévoyance qui
pèsent respectivement 1 milliard et 300 millions d?euros sur le…