Fdsfs
formité nécessaire, définissent la liberté comme la conformité à la nécessité. Contre ces deux positions, on peut définir la liberté comme le pouvoir de choisir et d’agir fondé surla connaissance de ce qui nous détermine. En société, l’absence de loi assurant théoriquement la liberté de tous, aboutirait en fait à l’écrasement du plus faible par le plus fort. Ilsemble évident que nous ne pouvons faire ce que nous voulons face à la rigueur de la loi ; et si elles nous obligent à les respecter, par leurs sanctions, est-ce contre nos intérêts,voire pour nous déposséder de notre libre volonté ? La loi peut-elle être, de manière légitime, condition de ma liberté ?
Dans un premier temps nous verrons que la liberté n’est pasconditionnée par la loi et dans un second temps, que celle-ci est de manière légitime conditionné.
I/ La lois opposé au droits
Au premier abord, on pourrait être tentéd’opposer la liberté et le droit. C’est le cas lorsqu’on imagine que la liberté consiste à faire ce que l’on veut et que le droit vient limiter cette volonté par des règles. Mais les loissont nécessaires à la liberté des hommes car ils vivent en société, terrain concret où ils cohabitent et doivent s’organiser de façon collective. Une communauté étant un ensembled’individus, la loi prend en compte chacun d’entre eux et fait respecter l’intérêt général dans l’égalité de tous. D’un point de vue politique et social, être libre signifie au moinsbénéficier d’un certain nombre de droits fondamentaux (liberté d’expression et d’opinion, sécurité des biens individuels…) garantis par la loi. Elle est indispensable au respect de cesdroits. La liberté est assurée lorsque l’intérêt général prime sur l’intérêt particulier et lorsque tous les hommes sont traités sur un même pied d’égalité
Mais quand on parle de…