Francais

Gianbagli Français 2°6
Grondin

Là, un dragon à peine plus haut que moi apparut, crachant des flammèches et enroulant sa longue queue de plumes autour de lui comme un chien apeuré, il recula d’un bon en me voyant. C’était à se demander le quel de nous deux avaient eut le plus peur.Murmurant des paroles douces, je m’approchais de lui en tendant un bras devant moi pour essayer de le rassurer, mais d’un geste brusque, il me donna un cou de tête qui me fit tomber à terre. Un grondement sourd monta du fond de sa gorge comme s’il se moquer de ma chute. Je me relevais sans le perdre de vue mais il ne semblait pas hostile, bien au contraire, à mon grand étonnement il m’aida même àme redresser. Tenant la casquette de mon frère dans mes maints je la lui tendit en demandant si il s’avait où était le garçon à qui elle appartenait. Le dragon n’eu aucune réaction et après réflexion je me sentit quelque peu idiot de parler à un animal. Je fis demi-tour pour reprendre ma route mais le quadrupède me rattrapa par le col de ma veste, mes pieds battaient l’aire et je voyais le sols’éloigner de moi à grande vitesse, ma première réaction fut de crier mais, en constatent que cela ne faisait ni chaud ni froid au dragon, je décidais d’arrêter plutôt que de m’usé les corde vocal. Quelques minutes seulement après mon décollage, le dragon me déposa (à mon plus grand des plaisir) sur une piste d’atterrissage en chamalo. Voyant toute cette sucrerie à engloutir je n’écouta que mon estomacqui criait famine et me jeta sur le bonbon rose pour mordre dedans, c’étais de loin de plus fabuleux de tout les bonbons ! Lorsque je décidais de relever la tête, je m’aperçut que tout se qui m’entouraient était fais de sucrerie, par-ci des arbre à sucette, par-là des haie à dragibus, encore ici des herbes en langue de chat… on se serait crut dans « Hancel et Gretel » lorsqu’ils découvrent lamaison en pain d’épice sauf que là, c’était bien plus qu’une maison et pas que du pain d’épice. Je décidais de remplir mes poches afin de pouvoir tenir le cou jusqu’à la retrouvaille avec mon frère, en espèrent qu’on pourrait rentraient chez nous bientôt et qu’il ne lui soit rien arriver. La nuit aller tomber sur ce pays merveilleux, et il était temps de trouver un abri pour dormir. Un arbrerelativement petit mais bien touffu, avait ses branchages qui se répandaient horizontalement par rapport au sol offrait ainsi un abri convenable pour la nuit.

Au petit matin, lorsque j’ouvrit les yeux il me fallu un temps avant de réalisé que je n’avais pas rêver les évènement de la veille et un autre petit temps de réaction pour réaliser que j’avais rapetissait au point de ne mesurer plus que10centimètre ou bien que pendant la nuit tout avait subitement grandir ! La panique me gagnait, qu’était-il arrivé pendant la nuit ? Le dragon avait disparut et c’était peut être pas plus mal comme ça. Avec ma taille ridicule il aurait eu tôt fait de ne faire qu’une boucher de moi pour le petit déjeuner. Il valait mieux bouger plutôt que de rester planter là, je commençais donc à marcher en direction dese qui me semblais être le nord. Au milieu de l’après-midi, un village proportionnel à ma taille actuelle apparu devant moi, il était caché sur une colline entourée d’eau et à la végétation luxuriante, il se fondait parfaitement dans le décor. J’arrivais a un pont en bois qui traverser l’eau pour rejoindre le village, mais celui-ci n’avait pas l’air très solide. Je me dépêchais donc de letraverser et lorsque j’arrivais à destination, des êtres pas plus grands que moi sortirent de leur maison. Ils avaient tous la peau blanche et pour les hommes un short bleu alors que pour les femmes c’était une robe de la même couleur assortie à des souliers difforme. Celui qui s’emblait être le sage du village s’approcha de moi et me dit :
« -Ca fait tellement longtemps que l’on a pas vu…