L’action et travail dans vol de nuit
Dans ce debut de 21 siecle est le monde observe un bouleversement sur le plan politique
notamment en afrique plus precisement en cote d’ivoire en lybie et d’autre pays par ailleur
il estnecessaire de mettre fin a ce calvere que nous sommes en trainToutefois, ce débat n’a pas permis jusqu’à présent de clarifier certaines confusions engendrées par la spécificité de chaque terme, de chaqueapproche, de chaque acteur. En résulte un champ souvent flou, pour une notion le plus souvent qualifiée de « fourre-tout », et dans lequel les spécialistes ont eux-mêmes du mal à se mouvoir alors mêmequ’une forte tendance novatrice se fait jour, questionnant non seulement la gouvernance des pays récipiendaires de l’aide, mais aussi la gouvernance de l’aide elle-même. Bien plus, au-delà dudéveloppement, ce sont les défis communs de l’humanité qui se trouvent mis en perspective par la gouvernance : réalités locales/universalité ; croissance économique/équité sociale ; etc. C’est bien parce que lagouvernance interroge le pouvoir et les relations entre les États et leurs sociétés que se dessine un espace de dialogue interculturel (notamment entre anglophones et francophones), porteur d’échanges,voire de convergences uniques sur le rôle de l’État et celui des sociétés dans l’institutionnalisation du pouvoir.
Pour les politiques de développement, cela se traduit par un renversement deperspective, du moins en théorie : la logique des besoins se substitue à celle de l’offre. La sémantique change : les notions de partenariats, de dialogue, de légitimité, de processus et de long termeapparaissent plus systématiquement dans le discours et les programmes gouvernance. La « bonne gouvernance » est repensée au sein de la gouvernance démocratique. Initialement portée par le Programme desNations unies pour le développement (PNUD) depuis 1997, elle est enrichie et devient un nouveau référentiel des politiques de développement. Cela révèle moins une dualité entre « bonne gouvernance »…