Le désenchantement dans le Dernier jour d’un condamné de Victor Hugo

(S.A) Durant le XIXe siècle, dans l’époque du romantisme, le roman autobiographique du Dernier jour d’un condamné de VictorHugo, publiée en 1829, démontre un repli sur la vie intérieure dans les lignes 1941 à 2022. Le héros rencontre pour la dernière fois sa fille et il se rend compte que celle-ci ne le reconnaît pas carelle croit que son père est mort. (S.P) Ces lignes traduisent le thème du désenchantement vécu par le héros. (S.D) Cette analyse portera d’abord sur l’amour paternel et ensuite sur l’idée de la mort.(I.P.1) Tout d’abord, on peut constater que l’extrait exprime un amour paternel entre le héros et sa fille. (I.S.1) D’une part, le héros ressent un amour fou pour sa fille et il est heureux à l’idéequ’elle vienne le voir. (EXPL.) En effet, sa fille est sa raison d’être et de vivre alors il l’admire d’une grande fierté et il semble que jamais il n’a aimer autant une personne que sa fille. (ILL)Comme le montre le champ lexical de la fille durant la rencontre : «elle est fraîche», «belle», «grands yeux» (ligne 1941), «caressée», «embrassée» (ligne 1947). (TRANS.)(I.S.2)En plus d’aimer safille, le condamné ressent aussi un amour déçu ce qui le rend dans une grande déception. (EXPL.) Du fait que sa fille ne le reconnaît pas et qu’elle pense que son père est mort produit chez le condamnéune consternation, comme un crève-cœur, cependant sa fille semble aimer son père parce qu’elle fait des prières pour lui car elle croit qu’il est mort ce qui traduit l’amour paternel. Sa fille qu’ilaime est avec lui et il ne peut pas lui dire ces dernières volontés, il ne peut se faire reconnaître de se fille, (ILL.) Hugo utilise l’hyperbole pour décrire comment le condamné était désappointé : «Iln’y a pas de paroles pour ce que j’éprouvais.» (ligne 2015). (M-C) Bref, le héros aime sa fille et sa fille l’aime aussi, mais elle croix que son père est mort et cela permet de manifester de…