Lodysse

napoli, je certaines pierres et recherche gens: voilà combien d’il se trouvera dans ce livre peut-être.
j’ai vécu beaucoup d’ans loin de mon pays, en voulant me signaler très dans le monde dupapier imprimé plus accessible au nord; de napoli soudain et ma jeunesse et gens et événements qu’ils la lui habitèrent ils se sont mis à m’appeler vraiment avec une insistance de gens des ruellespartenopei tendre et péremptoire: ou ils m’ont mieux fait savoir que nous ne nous étions jamais séparés, que je les avais toujours et ma mer?
eccolo qu’il va et il vient sur le sable de san giovanni debagnoli de pozzuoli. et dans cette eau heureuse pas dans cette grogneuse « qu’il faut tremper les règle-les. il s’agit de ciambellette avec du struto et poivre, localement célèbres à qui confèreencore encore un goût plus gai. les trataralli les mangent note dans un canot en abandonnant les rames en fixant par exemple les maisons de mergellina qu’ils frémissent et ils battent comme si ellesfussent peintes sur un chemisier. maintenant une mer qu’on est mangé beaucoup de fois en les règle-les quelque chose il doit avoir laissé dans notre sang. nous le savons par coeur cette mer; nousconnaissons ses gifles et ses caresses; l’abbiamol entendu crier et chuchoter; derrière l’ils vaporisent de boucs il se déroulait et il brûlait comme la traîne d’une mariée; nous le portons avec nouspartout où comme tatoué sur la poitrine avec des rochers et sirènes.mer et ruelles gens de mon giovanezza ils m’ont fait écrire ce livre qu’et dédié à ma mèreportés avec moi. l’autobus qui devait melaisser en voie cathédrale où il commence san biagio des libraires il était si bondé que moi fut impossiblile descendre au moment guisto.
à l’inizzio de fourche je m’arrêtai perplexe. il y avaitailleurs plus haut un grand mouvement en cime à l’étreinte un flotter de couleurs couleurs entre lesquelles ils détachaient le clair rouge et le noir un bourdonner douloureux de voix. un marché pensa une…