L’ogre et la fée
Commentaire
Acte
Une pièce écrit au 17e siècle par Pierre Corneille oubliant toute les règles établis pour le théâtre. Il mélange les genres, ici comédie et tragédie se marient parfaitement. Nousnous trouvons dans une scène présentant Clindor et lyse. Clindor par ses belles paroles tente de charmer celle ci. Il lui dit ouvertement qu’il l’aimera d’une autre manière qu’Isabelle.
Clindordébute le dialogue se qui montre un engagement de sa part. Il espère de son initiative avoir quelque chose en retour. Il complimente Lyse de sa beauté, en reprenant ses parole en les tournant à sonavantage « Lyse : mon visage est ainsi malheureux en attraits(…) le mien fait peur de près » «Cindor : s’il fait peur à des fous, il charme les plus sages » lorsque qu’il parle de plus sage il s’inclutexplicitement.
On pourra voir que tout ces compliments aux attraits physique sont connu de ceux que l’on appelle aujourd’hui Don juan « il n’est pas quantité de semblable visage », « je ne connujamais un si gentil objet » l’utilisation de jamais fait tomber dans l’excès. Il y a une succession d’adjectif valorisant qui vont de morale au physique.
Durant ce dialogue c’est Clindor qui accaparetoute la discussion. En effet c’est le seul à faire des longues tirades, celle de l’éloge et celle de la révélation « Bien que pour l’épouser je lui donne ma foi, pense tu que je l’aime plus quetoi ? »
Lorsque que lyse s’exprime c’est pour repousser les avances de Clindor rejeter les compliments par des courtes phrase.
Lyse dans ses paroles montrent désintéressement, envers ce qu’il dit. Ellereste froide, derrière sa coquille impénétrable.
« Je prends tout en riant comme vous me le dites », « Ah vous prodiguez un temps précieux ! Allez ». Ces exemples montrent bien qu’elle veut sedébarrasser de celui-ci
De ce dialogue on verra que Clindor fait une proposition inattendue de sa part. Car en tant que lecteur nous savons qu’il est très amoureux d’Isabelle. Ici on découvre son…