L’ouvrière

L’ouvrière

Bibliographie :
Les femmes ont toujours travaillé.
L’histoire du travail des femmes.

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La fin du siècle : l’ère de la domestique et de l’ouvrière :

En cette fin de siècle,la travailleuse occupe le devant de la scène. L’enjeu est la defénition même de la féminité et de sa compatibilité avec une activité salariée.
La domestique, la couturière, l’ouvrière du textileconstituent les figures dominantes de la femme au travail. => Archétype du travail féminin.
La notion du travail féminin s’appuie sur des qualités attribuées par la nature aux femmes, telles quela méticulosité ou la dextérité opposée à la force physique masculine.

L’ouvrière :

• L’ouvrière de l’aiguille :
* Symbole de la féminité, la couture est tout d’abord partie intégrante del’éducation des jeunes filles.
* L’école : travaux manuels pour les garçons, couture et coupe des vêtements pour les filles. La femme est prédestinée, formée pour travaillée dans le textile.* La couturière appartient à différents niveaux sociaux, à la fois la petite bourgeoisie et les milieux populaires.
* La complexité de l’organisation du travail est accompagnée par une grandevariété de métiers :
* Grands magasins = chaine de fabrication : depuis les maisons de gros jusqu’aux ateliers d’entrepreneurs qui eux mêmes fournissent l’ouvrage aux ouvrières en chambre.
*Petits ateliers dispersés = confection, vêtements d’homme

* Les femmes effectuent les travaux les moins rétribuées ainsi que les plus parcellarisés = culottières, giletières
* Attention, auxyeux des réformateurs, la morale de la jeune ouvrière est en péril, surtout lorsqu’elle est isolée à Paris ( oui,oui elles s’exportent ). On voit apparaître le syndicat de l’aiguille en 1892. Ilréunit patronnes et ouvrières et apparaît plus comme institution charitable. Deux initiatives rallient particulièrement les suffrages :
* les activités qui permettent de regrouper les jeunes femmes…