Morale

La Morale

Savoir comment agir. Le bonheur est considéré comme le souverain bien.

I. Les morales de l’intérêt

A. Le bonheur comme fin (but)

« Le souverain bien » Aristote. Commepermettant l’accès au bonheur. Probité (conformité à la vertu). Qu’est ce qui apporte le bonheur ? -> La satisfaction d’un désir. Il y a des désirs dont la satisfaction a pour conséquence le malheur comme parexemple la colère qui lorsque l’on dit tout ce que l’on pense provoque parfois le malheur avec la perte d’un ami par exemple. Ou encore dans la satisfaction des désirs des accoutumances comme lesdrogues, les jeux . Satisfaction inutile qui provoque de mauvaises conséquences. « Profites des plaisirs de Venus mais ne tombes pas dans ses filets » Lucrèce. (moral du calcul) il s’agit donc de « seconduire par sa raison.
« C’est la raison vigilante qui détermine les motifs de ce qu’il faut poursuivre et de ce qu’il faut éviter. » Epicure

B. Problèmes des morales du Bonheur.

Unedéfinition difficile du bonheur. « Quoique chacun veuille être heureux, personne ne peut dire ce qu’il veut vraiment. » Kant. Le repos c’est la pire chose pour l’homme. Chose de vraie dans l’Epicurisme : sepréparer au bonheur quand et si il advient => une question de chance dans le bonheur et que c’est pour cette raison que le bonheur est un art. ( pour cette raison que la religion ne participe pasréellement au bonheur car certains hommes heureux ne peuvent être converti et que la religion se nourrit du malheur comme le Christianisme).
=> Des gens honorables dans leur malheur et des gens immondesdans le bonheur. Je ne peux donc pas former une morale dans le bonheur.
Etre homme de bien ne garantie pas le bonheur. Quelqu’un qui est heureux dans l’illusion peut être encore heureux quand il veut.II Les morales du sentiment

A. La Pitié

N’ai je pas en moi un sentiment qui me ferait sentir une répugnance à faire le mal. Un sentiment qui me viendrait de ma nature : La pitié. Fait…