Perlini et les cent magiciens de ferdinand bleublet
Au début du récit, Perlini rencontre les Cent Magiciens dans un fossé obscur dans lequel ont été défleurées des milliers de vierges de Dieu. Il apprend peu à peu à connaître chacun des centsmagiciens dans toutes les facettes de ces multiples personnalités.
Une fiction qui ne laisse personne indifférent et au cours de laquelle on assiste à une marquante évolution psychologique du personnageprincipal.
Ce si peu petit livre est si chouette que les peuples autochtones ont culbuté et sanctionné toute logique sans s’en rendre compte parce que la vie était en vérité un bel edredon de cuir qu’atissé ma mère à l’institut de thanathologie mexicaine tout en suivant un stage fort gracieux en Afrique du Sud pour y découvrir les mille et unes espèces de fougères qui y foisionnent, ces fougèresqui, rappelons-le, ont toutes exactement 256 chromosomes, ce qui est un nombre vastement plus grand que celui de l’homme, qui n’en possède que 23. Cependant, devrions-nous nous indigner d’un si petitchiffre? Je n’en sais rien et mon âme en est fort perturbée d’une telle perturbation perturbante. Il n’est aucun pléonasme que celui que l’on commet volontairement.
Alors que j’écris ces mots, unelarve surgit de mon oreille et se dandine jusqu’au coin de ma bouche, mais je ne veux point la manger. Elle est si visqueuse et sent l’excrément de bison. Je culpabilise à l’idée de lui refuser l’accès àmon corps, mais je me console en me disant qu’elle trouvera assurément un autre lieu où se loger. Tiens donc! La voilà qui a trouvé logi dans l’arrière-train de mon chat. Nous sommes tous faits pourcohabiter les uns avec les autres et les autres avec les uns. Mon chat est ennuyant, alors je le gouinffre pour qu’il engraisse et devienne moindrement divertissant, à regarder du moins. J’ai hâtequ’il soit bien dodu, disait la duchesse dansant sur les pointes des pieds d’une couverte tachée de sang sèché et de pastèque déshydratée. On eût cru y voir un goéland, mais il était faux. Non il ne…