Salut galarneau! un hot-dog sans saveur
Jacques Godbout a écrit le court roman Salut Galarneau! en 1967. L’oeuvre fut vendu à plus de 45 000 copies et a même été traduit. Ce fut le troisième roman de Godbout.
Salut Galarneau se résumetrès rapidemment et facilement. François Galarneau, le personnage principal, décide d’écrire sur sa vie de tous les jours. Bien entendu, il nous parle de son boulot plutot particulier, celui de vendeur dehot-dog. L’homme ayant quitté l’école en bas âge ne cesse d’être négatif à l’égart des gens plus riches et plus importants que lui, probablement par pure jalousie. Le fait de se découvrir lui-mêmepar l’écriture le rend très unique et bizarre. Le pauvre gaillard va jusqu’à s’isoler de tout, et presque de lui-même.
Je respecte le courage de François Godbout qui a, selon moi, tenté d’exprimer sonopinion sur la société québécoise des années 60 puisque il aurait pu être critiqué de toute part. Cependant, ce genre de court roman et de message voulant changé la société ne m’attire aucunement.Lorsque mon professeur de français m’a annoncé que nous allions lire Salut Galarneau! je me suis dit : « Un court roman comme celui-ci, se sera une lecture rapide, simple et n’ayant aucune longueur,YOUPPI! ». Cependant, mes espoirs se sont envolés en fumé dès la première page. Un roman court mais qui parait extrèmement long ajouté à cela un joual mal parlé qui ne fait que ridiculiser le Québec. Enexemple, François explique comment faire des saucisses et il explique son travail de vendeur de hot-dog. Selon moi, il n’y a pas 8974653120 façons de faire des hot-dogs. Donc, je ne crois pas que cepassage soit vraiment nécessaire à la compréhension ainsi qu’au bon déroulement de l’histoire.
Selon moi, l’image personelle, d’une société, d’une nation ou d’un pays est importante. Dans SalutGalarneau!, je ne trouve pas que JAcques Godbout fasse une belle image du Québec dont je suis fier. Godbout à créer un personne qui voulait, selon moi, faire paraitre pour un québécois moyen des années…