Sara de féliz

Les éclairages de Sara pesaient la Trinité. : « De nouveau ? », la voir enceinte, il(elle) lui déplaisait et l’inconsciente allait d’un embarras(grossesse) dans unembarras(grossesse).
– Il est indispensable que tu prennes des mesures pour ne pas être embarassé chaque neuf mois – il(elle) a ordonné la Trinité.
– Celui qui m’embarrasse tu es,seule je ne peux pas.
– Oui, mais il(elle) a mesuré préventives.
– Et pourquoi ne les prends-tu pas ?
– C’est que cela est chose de femmes
– Puisque(Donc) oui, etcomme je suis femme je suis celle-là des enfants.
– Sara, tu ne peux pas te la vivre enceinte. Il y a des injections, des potions, des thés, des herbes, ce que je sais, tudois savoir.
– Ainsi est-il(elle) dont tu me demandes d’avorter ?
– Ce que je n’entends pas c’est comment une femme si progressiste n’accepte pas même de parler dusujet(affaire).
– Bon: te les enfants pèsent-ils ? Peut-être les vois-tu ? Peut-être les allaites(élèves)-tu ? Ta vie est la lutte, assez j’il restriegas5, les enfants sont lesmiens, c’est moi qui les élève, pour cela je suis maîtresse.
Il(Elle) a été sur le point de crier : « Je suis celui qui j’ils maintiens! », mais sa noblesse innée a retenucela. Sans le travail de Sara ils(elles) n’auraient pas pu vivre, mais cela par su il(elle) se taisait.
– Il(Elle) est anormal qu’une femme a un fils après un fils. Tu agiscomme si j’allais t’enlever un peu. Tu es une lionne en défendant à son chiot!
– Puisque(Donc) oui: qu’est-ce que tu ne t’as pas donné raconte-t-il que mes enfants sont marichesse ? – Sara a crié.
Après ne pas l’avoir eu à lui, il(elle) se repliait sur les enfants, ou : les enfants étaient-ils la chose unique qu’il(elle) avait de la Trinité ?