Le travail des enfants

Synthèse de l’exposée sur :
Citoyenneté et travail : Le travail des enfants

Introduction :
Aujourd’hui plus de 200 millions d’enfants travaillent dans le monde, exerçant des activités quinuisent à leur développement mental, physique et émotionnel. Les enfants sont contraints de travailler parce que leur survie et celle de leur famille en dépendent. Le travail des enfants perdure, même là ouil a étais déclaré illégal, et il est souvent entouré d’un mur de silence, d’apathie et d’indifférence. Mais le mur commence à s’effriter. Alors que l’éradication du travail des enfants est unobjectif à long termes dans de nombreux pays, certaines formes du travail des enfants doivent être combattues d’urgence. Près de trois quart des enfants qui travaillent sont en prise aux pires formes dutravail des enfants, notamment la traite, les conflits armés, l’esclavage, l’exploitation sexuelle et les travaux dangereux. L’abolition effective du travail des enfants est l’un des plus urgents défisde notre époque.

I. Qu’appelle-t-on enfants au travail ?
Selon le rapport du BIT (Bureau International du Travail), dans le groupe des enfants de 5 à 17 ans, un sur six soit 200 millions estastreint au travail. Ceux qui mettent en danger sa santé physique, mentale ou sa moralité.
Par ailleurs :
* Environs 111 millions d’enfants de moins de 15 ans sont astreints à des travauxdangereux et devraient y être immédiatement soustraits.
* 59 millions de jeunes de 15 à 17 ans eux aussi affectés à un travail dangereux devraient bénéficier de toute urgence d’une protection ou êtresoustraits à ce travail.
* 8,4 millions d’enfants exécutent des travaux relevant des pires formes de travail des enfants, car i s’agit d’activités intrinsèquement condamnables : l’esclavage, traite,servitude pour dettes.
Le travail des enfants reste un phénomène mondial, auquel aucun pays ni aucune région n’échappe. Les crises de toutes sortes –catastrophes naturelles, choc économiques,…

Medias mexicains

Confrontés à des menaces du crime organisé, les médias majeurs mexicains ont annoncé la semaine dernière de nouvelles instructions afin de limiter l’usage d’images macabres de violences liées auxtrafic de drogues. Ils se sont également engagés à travailler ensemble pour protéger leurs journalistes de préjudices. Environ 700 cadres, incluant les duopoles télévisés que sont Telivisa et TV Azteca,sans oublier les éditeurs de journaux majeurs et les commentateurs, ont également fait le voeu « d’éviter de devenir involontairement le jouet du crime organisé ».
Les médias mexicains présententquotidiennement des clichés et des vidéos de victimes du trafic de drogues où l’on peut voir, entre autres, des décapitations, des corps pendus à des ponts ,des présumés membres de gangs, et la policese faisant torturer par des hommes masqués. Les journalistes ont relevé que ces affichages publiques sont conçus pour terroriser la population, intimider la bureaucratie et faire passer des menacescodées à des bandes rivales.
Les instructions, non contraignantes, prévoient de continuer l’usage d’images sanglantes. Mais, à travers une prise en compte claire des plaintes du gouvernement duprésident Felipe Calderón pour dire que les choses ne vont pas aussi mal que les médias le disent, les groupes de presse ont fait le voeu de « toujours présenter les informations dans leur juste contexteet proportion » et de transmettre l’information « en rapport avec ce qui s’est passé, ou est entrain de se produire, dans d’autres régions ou pays ».
Calderon dit souvent que les taux d’homicidessont plus élevés ailleurs, comme au Brésil ou à la Nouvelle-Orléans, qu’ils ne le sont au Mexique.
Les journalistes ont relevé que le Mexique est un des pays les plus dangereux pour les reporters.Dans des zones de conflits, beaucoup de médias ont arrêté de publier des meurtres quotidiens, incluant des combats de rues entre les forces du gouvernement et des gangs présumés.
« Les endroit…

Pascal, fragments d’un traité du vide

Pascal, Fragments D’Un Traité Du Vide

« N’est-ce pas là traiter indignement la raison de l’homme, et la mettre en parallèle avec l’instinct des animaux, puisqu’on en ôtela principale différence, qui consiste en ce que les effets du raisonnement augmentent sans cesse, au lieu que l’instinct demeure toujours dans un état égal ? Les ruchesdes abeilles étaient aussi bien mesurées il y a mille ans qu’aujourd’hui, et chacune d’elles forme cet hexagone aussi exactement la première fois que la dernière. Il en estde même de tout ce que les animaux produisent par ce mouvement occulte. La nature les instruit à mesure que la nécessité les presse; mais cette science fragile se perd avecles besoins qu’ils en ont: comme ils la reçoivent sans étude, ils n’ont pas le bonheur de la conserver; et toutes les fois qu’elle leur est donnée, elle leur est nouvelle,puisque, la nature n’ayant pour objet que de maintenir les animaux dans un ordre de perfection bornée, elle leur inspire cette science nécessaire, toujours égale, de peurqu’ils ne tombent dans le dépérissement, et ne permet pas qu’ils y ajoutent, de peur qu’ils ne passent les limites qu’elle leur a prescrites. Il n’en est pas de même del’homme, qui n’est produit que pour l’infinité. Il est dans l’ignorance au premier âge de sa vie; mais il s’instruit sans cesse dans son pro grès: car il tire avantage nonseulement de sa propre expérience, mais encore de celle de ses prédécesseurs, parce qu’il garde toujours dans sa mémoire les connaissances qu’il s’est une fois acquises, etque celles des anciens lui sont toujours présentes dans les livres qu’ils en ont laissés. Et comme il conserve ces connaissances, il peut aussi les augmenter facilement »

Philo foucault honneth

SYNTHESES ET INTERPRETATION :

A partir de la lecture des 3 textes (C.Castoriadis,A.Honneth,M.Foulcaut) il revient constamment l’idée que l’évolution de la société a un impact sur l’individu lui-même et son pouvoir d’agir. Ils évoqueront à ce sujet plusieurs termes (« autolimitation», « pouvoir d’autonomie », « autoréalisation », « individuation »…) que l’on reprendra tout au long de notredéveloppement.
Les trois auteurs feront sans cesse un va et vient sur la société d’avant et la société moderne et aborderont cette question sous divers angles.
Les questions qui mettent en tension ou en relation les différents textes sont de divers ordres :
* En quoi l’évolution de la société a-t-elle un impact sur la construction de l’individu en tant que sujet ?
* Le sujet n’est t’il pasaliéné par la société moderne ?
* La relation de pouvoir sur l’autre

Tout d’abord j’ai pu constaté à travers les textes que les auteurs ont croisés leurs regards en faisant appel à plusieurs champs disciplinaires qui sont la politique, la sociologie, la psychanalytique et la philosophie.
Par exemple dans son raisonnement Castoriadis ne se restreint pas à une seule vision philosophique.Son discours politique est indissociablement lié à sa pensée psychanalytique et à sa pensée philosophique.
Au long de son ouvrage, Castoriadis donne des éléments pour contester, pour envisager l’avenir et penser le changement du monde, pour désirer changer la vie politiquement. Toutefois, pour lui, il n’y a pas de passage direct de la philosophie à la politique.
Dans la dimensionsociale-historique pourtant est apparue – une première fois avec les Grecs, à travers l’invention conjointe de la philosophie et de la politique démocratique, puis une seconde fois avec l’Europe moderne – une création imaginaire particulière, « le projet d’autonomie » qui suppose une capacité d’interrogation illimitée sur les principes.
La politique, la psychanalyse, la philosophie portent la charged’approfondir ce projet d’autonomie pour le pousser jusqu’à une pleine réalisation dans l’espace public.
Dans le texte d’axel Honneth «la société du mépris» l’approche est essentiellement sociologique et critique. A.Honneth s’appuie sur des sociologues historiques et contemporains comme Durkheim, Weber, Simmel…et chacun d’entre eux (les auteurs cités) vont permettre de construire une trame de réflexionnotamment concernant «l’individuation ».
Enfin M.Foucault quant à lui à un regard plus porté sur la politique et la philosophie. A travers ce texte il va mettre en tension et en relation le pouvoir de vie et mort.

En quoi l’évolution de la société a-t-elle un impact sur la construction de l’individu en tant que sujet ?
Le texte de C.Castoriadis met en avant l’évolution de la société. Il partirade l’Antiquité pour arriver à la société moderne A travers cette comparaison entre imaginaire politique grec et imaginaire politique moderne il tentera de nous montrer en quoi notre société a évolué dans le sens où la place de l’individu n’est pas la même d’une société à une autre. Par exemple Castoriadis défendra l’idée que la forme la plus représentative de l’autonomie est la démocratie directeet non le système représentatif actuel. De plus à propos de notre pouvoir d’agir et de se positionner dans la société auparavant les grecs disait « la polis c’est nous »contrairement à aujourd’hui où on laisse faire des spécialistes «un abandon de la sphère publique aux spécialistes ».
A propos de l’évolution de la société le cours de M.Foucault au collège de France en 1976 s’interroge à son toursur la «pertinence» de la guerre, des faits historiques sur la prise en compte de la vie et de la relation de pouvoir. Il parlera de la biopolitique qui mettra en évidence le progrès fait en ce qui concerne la natalité et la mortalité, les maladies. Ceci aura de ce fait un impact sur la notion de pouvoir et du pouvoir d’agir sur l’autre.
Enfin Axel Honneth présente cette évolution de la…

La diminution de l’intervention de l’ etat est-elle une source de croissance économique?

DISSERTATION Sujet National, juin 2001

La diminution de l’intervention de l’ Etat est-elle une source de croissance économique?
Document 1
Le rejet du déséquilibre budgétaire par Adam Smith repose sur l’inefficacité de l’ Etat à accroître le revenu national : d’une part, l’action de l’ Etat constitue une entrave à la concurrence et par conséquent à la croissance; d’autre part, l’ Etat parune consommation publique non contenue, gaspille des ressources au détriment des entreprises dont l’investissement est ainsi pénalisé. Des capitaux sont ainsi soustraits à l’initiative privée pour un usage improductif; il y a donc un effet d’éviction(1) au détriment de l’investissement privé. A. Smith réfute le financement de dépenses publiques supplémentaires tant par l’accroissement des impôts quepar le recours à l’emprunt, au nom de l’improductivité de l’ Etat. Source : J. F. Peretti-Watel, Déficit et dette publics, Cahiers français, n°279, janvier- février 1997. (1)Il y a effet d’éviction quand l’augmentation des dépenses publiques et les déficits publics qui en résultent entraînent une baisse de la demande privée.

Document 2 Quelques indicateurs pour les principaux pays de l’OCDETaux de croissance annuel réel du PIB (%) 1990/1995 (2) Etats-Unis Allemagne France Royaume-Uni Japon 2,4 3,6 1,0 1,6 1,4 1997 4,2 1,5 1,9 3,5 1,6 1999 4,2 1,5 2,9 2,1 0,3 Taux de chômage (% de la population active) 1990/1995 (2) 6,4 7,1 10,7 8,8 2,5 1997 4,9 9,8 12,4 6,9 3,4 1999 4,2 9,0 11,1 5,9 4,7 Solde budgétaire des administrations publiques (1) (% du PIB) 1990/1995 (2) -4,5 -2,7 -4,3 -5,20,0 1997 -0,9 -2,6 -3,0 -2,0 -3,3 1999 1,0 -1,1 -1,8 1,1 -7 Dette publique brute (% du PIB) 1990/1995 1997 1999 (2) 72,9 47,1 48,4 49,2 64,6 68,6 63,3 65,2 56,2 60,2 63,5 63,9 49,7

97,4 112,8

(1) – = déficit (2) : Moyenne sur la période
Sources : D’après T. de Montbrial, P. Jacquet (sous la dir. de), IFRI, Ramsès 2001, Dunod 2000.

Document 3
Le couplage d’une production et d’uneconsommation de masse grâce à une évolution parallèle des salaires et des gains de productivité et à la constitution d’un salaire indirect est qualifié de fordisme. La protection sociale, qui assure ce salaire indirect, est donc un des rouages essentiels de la croissance fordiste. En effet, elle régularise les ressources des ménages quels que soient les évènements rencontrés. En situation d’arrêt detravail par exemple, le revenu de remplacement permet de continuer à vivre et consommer, et donc le maintien d’une demande solvable. La socialisation(1) d’une partie de la consommation (soins de santé, allocations familiales…), favorise son extension. La consommation de masse peut donc se développer. Elle accompagne une production de masse stimulée par cette régularisation des revenus. Et un rythme decroissance rapide autorise en contrepartie une redistribution forte des revenus et une augmentation importante des dépenses sociales. Toute forme d’élargissement de la protection sociale dans ces années fastes contribue à l’extension du modèle d’organisation productive de l’après guerre.
Source : N. Richez-Battesti, La protection sociale en danger, Hatier, coll. Enjeux, 1992.

(1)socialisation des ressources : part des ressources qui n’est pas la contrepartie d’u travail, mais résulte des politiques de redistribution de l’ Etat et des régimes de protection sociale.

Document 4
La remise en cause du consensus keynésien dépasse la simple politique conjoncturelle et conduit vers un mouvement plus général de désengagement de l’Etat. Si le chômage et la croissance ralentie ont descauses essentiellement structurelles, la seule chose que l’ Etat puisse vraiment faire consiste en effet à réduire les charges qu’il fait peser sur l’économie et les obstacles que ses interventions opposent à un fonctionnement plus efficace des marchés. En matière de croissance, on entre dans l’ère des politiques de l’offre : il ne s’agit plus de stimuler la demande, mais d’encourager l’offre de…

Cours droit public

CHAPITRE 1 : L’organisation administrative

Partie institutionnelle du cours.

En France, organisation assez complexe car elle combine différentes formes administratives :
? L’administration centralisée constituée par l’appareil d’Etat.
? L’administration décentralisée constituée par les collectivités territoriales (CT).

? L’administration spécialisée constituée par les établissementspublics.

Ces trois formes sont agencées par des principes généraux :

A) Les principes généraux de l’organisation administrative.

B) L’administration d’Etat.

C) L’administration décentralisée.

D) L’administration spécialisée.

A) Les principes généraux de l’organisation administrative.

D’un point de vue organique, l’administration se présente comme une collection depersonnes morales juridiquement distinctes les unes des autres. Ces personnes peuvent être administrées selon 2 principes d’organisation différents : la centralisation et la décentralisation.

1. La personnalité morale.

a. La notion de personnalité morale.

Cette notion de personnalité juridique traduit l’aptitude à être sujet de droit et d’obligation (ex : les personnes humaines majeures ontla personnalité juridique).

Il y a d’autres personnes qui peuvent aussi avoir cette qualité : un groupement, une entité collective distincte des membres qui l’a compose (association, entreprise…). C’est ce type de groupement qui a la qualité de personne morale.

Personne morale : Selon le professeur Marcel Valine, elle constitue un centre d’intérêt juridiquement protégée.

Il n’est pasindispensable qu’un texte juridique qualifie expressément un groupement de personnes morales pour lui donner cette qualité. Depuis 1950, la Cour de Cassation estime que la personnalité morale appartient en principe à tout groupement pourvu d’une possibilité collective pour la défense d’intérêts licites dignes d’être juridiquement reconnus et protégés. Ce groupement peut alors avoir un budget propre(une indépendance), des biens propres, un personnel propre, et a la possibilité d’ester/d’agir en justice.

b. Les différentes personnes morales.

1. Distinction entre personnes morales de droit privé / personnes morales de droit public.

Ces différentes personnes présentent des caractéristiques différentes :

• Les personnes morales de droit privé sont en principe créées par uneinitiative privée, mais dans certains cas elles peuvent être créées par une autorité publique (par ex, les sociétés d’économie mixte (SEM) qui sont des personnes anonymes créées par une autorité publique faisant un partenariat avec une ou plusieurs personnes privées, comme le cas d’associations créées par des collectivités publiques).

En revanche, les personnes morales de droit public sont toujoursconstituées par une autorité publique.

Donc on a déjà des différences au niveau de la création.

• On constate que l’adhésion aux personnes morales de droit privé est libre alors que les personnes morales de droit public relèvent automatiquement d’une personne publique sans qu’elles doivent en manifester la volonté (par ex, si on s’installe dans la communauté d’Evry, on doit automatiquement enrelever, c’est-à-dire payer des impôts).

• Une personne morale de droit public agit toujours dans un but d’intérêt général et jamais dans un but seulement financier, alors qu’une personne morale de droit privé peut poursuivre ou non un but lucratif.

• Les personnes morales de droit public sont en principe soumises au droit public, et à ce titre, elles disposent de tous les moyens d’actiondu droit public. Elles peuvent bénéficier de prérogatives de puissances publiques, elles peuvent employer des agents publics, elles peuvent posséder des biens relevant du domaine public, elles peuvent faire des travaux publics. Par ailleurs, elles échappent aux procédés du droit privé, comme les mesures de redressement et de liquidation judiciaire, et en principe leurs biens sont insaisissables….

Francais

L’histoire débute par l’obtention de son Capès et la mort de son père 3 mois après. Puis à lieu un feed-back (retour en arrière comme dans Titanic) où elle nous parle de la vie de ses grands parents, de ses parents, la sienne pour revenir à la mort de son père.

Ses parents ont loués un petit logement de 4 pièces (2 en haut, 2 en bas). Une petite fille est née de cette union, la mère resta chezelle pour s’en occuper, le père trouva un travail comme couvreur mieux payé que son métier d’ouvrier à la corderie. Un jour, son père tomba d’une charpente et subit une forte commotion le laissant sans voix durant plusieurs jours, ce qui donna à sa femme l’idée de monter un petit commerce. Ils achetèrent un local dans la ville de « L… » à 30 Km du havre près d’une usine.
Le commerce tournaitbien jusqu’au jour où les clients demandés pour acheter à crédit. Pour faire face au manque d’argent, ils ne pouvaient jamais s’accorder de « luxe » (apéritifs, …) sauf le dimanche. Le commerce fini par rapporter qu’une simple paye d’ouvrier, le père alla alors travailler sur un chantier pendant que la mère tenait le commerce. Son père alla ensuite travailler dans une raffinerie, où il était ouvrierpuis contremaître.
A l’âge de 7 ans leur petite fille mourut de la diphtérie dont elle n’était pas vaccinée.

1939, son père n’a pas été appelé, trop vieux, sa mère était enceinte de 6 mois, les raffineries ont étés incendiées par les allemands. Suite aux bombardements, son père reçu des éclats d’obus au visages. Lorsqu’ils revinrent, leur commerce avait été pillé, 1 mois après Annie vint aumonde. Jusqu’aux années 50, ils subirent la faim, la peur, et le froid (hiver 1942). Chaque semaine, son père allait en vélo à un entrepôt situé à 30 Km pour acheter les marchandises que le grossiste ne livrait plus à cause des bombardements ce qui lui valut le titre de héros dans le village.

1945, ils retournèrent à « Y… ». La ville avait brûlé. Pendant 3 mois, ils vécurent dans un 2 pièces sansélectricité et au sol battu prêté par un membre de la famille. Ils achetèrent un commerce, un café – épicerie – bois – charbon. Le commerce tournait bien se fut le bonheur. Leur condition de vie s’améliora. Son père commença alors a vouloir oublier ses racines de fermier et devenir un bourgeois avec des manières de bourgeois. Du fait qu’il était fils de fermier, il se sentait inférieur face auxdocteurs, et aux autres commerçants et villageois car à cette époque être agriculteur signifiait manquer de classe.
A 17 ans, contrairement aux autres filles, elle allait encore à l’école ce qui provoquait un sentiment de gêne, voir de honte pour son père vis à vis des autres.

Plus tard, son père attrapa un polype à l’estomac dont il fallait opérer, cependant, à l’époque, les commerçants netouchaient pas la sécurité sociale, l’opération coûtait donc très cher. Il avait 59 ans, suite à cette opération, il ne pouvait plus travailler longtemps sous peine d’une déchirure.

Annie Ernaux entra comme élève – maîtresse à l’école normande de Rouen mais parti en cours d’année. Puis elle passa de long moments à Londres. Puis elle passa une licence de lettre à Rouen. A 20 ans, elle fit desétudes pour devenir professeur de « lettres modernes ». A la fin d’un été, elle amena chez elle un étudiant en sciences politiques avec qui elle était liée. Ils se marièrent et habitèrent dans une ville touristique des Alpes.

Un supermarché vint s’installer en ville, son père songea de vendre le commerce et s’installer dans une maison adjacente.

Annie vint rendre visite à ses parents avec son filsde 2 ans et demi, le lendemain, son père était mal. Tout le monde pensé qu’il avait attrapé un coup de chaleur. Dans la nuit du vendredi au samedi, sa respiration devint profonde et déchirée. Le dimanche, à 13h00, son père décéda.

Durant toute l’histoire, elle évoque ses relations tendues avec son père, ses disputes constantes à chaque remarques, … Ainsi que l’importance pour son père de…

Etude des champagnes au ru

Introduction 2

I. Analyse générale du pays 3
A- Analyse macro-économique 3
1. Conditions géographiques 3
2. Conditions politiques 3
3. Conditions économiques 4
4. Conditions socioculturelles 5
5. Contraintes réglementaires 5
B- Le risque-pays 5
1. Les risques politiques et économiques 5
2. Les risques sectoriels 6
II. Analyse du marché du vin puis du champagne au Royaume-Uni 6
A-Etude du marché du vin au Royaume-Uni 6
1. L’offre 6
2. La demande 8
3. La distribution 9
4. Les contraintes réglementaires 10
B- Etude du marché du champagne au Royaume-Uni 10
1. L’offre 10
2. La demande 11
3. La distribution 12
C- Etude des foires et des salons du vin et du champagne 13
1. Les foires et salons à l’international 13
2. Les foires et salons au Royaume-Uni 14
III.Diagnostic externe 15
A- Analyse de Porteur 15
B- Analyse externe de la matrice SWOT 15
1. Opportunités 15
2. Menaces 15
IV. Préconisations 16
A- Stratégie marketing à adopter sur le marché 16
1. Segmentation 16
2. Positionnement 16
3. Cible 16
B- Marketing Mix 16
1. Produit 16
2. Prix 16
3. Distribution 16
4. Publicité 17

Conclusion 17

Lexique 18

Bibliographie 19

IntroductionD’un coté, il y a le Royaume-Uni est un pays composé de la Grande-Bretagne (Angleterre, Écosse et Pays de Galles) et de l’Irlande du Nord entouré par la mer du Nord, la Manche, la mer d’Irlande et l’océan Atlantique qui constituent d’importantes façades maritimes et ouvrent le pays au reste du Monde. Londres, sa capitale, est la première place financière européenne et l’un des principaux centresd’affaires internationaux au monde. Selon le PIB, le Royaume-Uni est la sixième puissance mondiale et huitième au niveau de la parité de pouvoir d’achat. Il fait parti de l’Union Européenne depuis 1973 mais n’a cependant pas intégré la « zone euro » et conserve toujours sa livre sterling (GPD Great Britain Pounds).

De l’autre, le marché du champagne dont la communauté Européenne donne ladéfinition suivante : « Le vin est le produit obtenu exclusivement par la fermentation alcoolique, totale ou partielle, de raisins frais foulés ou non, ou de moûts de raisin. » Le Champagne, un vin pétillant festif associé au luxe protégé par une appellation d’origine contrôlée, connue et reconnue dans le monde entier.
Ces deux phrases sont mal construites, à revoir
Il est principalement produit àbase de Chardonnay, Pinot noir et Pinot meunier. Son effervescence est sa marque de qualité. Une bouteille de champagne peut contenir jusqu’à 20 millions de bulles. Il tire son nom de la Champagne, une région du nord-est de la France où il est produit.

Il est important de savoir que malgré le fait qu’il s’agisse d’un petit pays, le Royaume-Uni est le premier importateur mondial de quoi ? car laquasi-totalité de sa consommation repose sur les importations.

Il est donc logique de se demander si le Royaume-Uni est une destination attractive pour les producteurs de vins et plus particulièrement de Champagne français.

Cependant, depuis la récente crise, la tendance est à la consommation de vins mousseux à l’instar du champagne relativement plus onéreux. A l’instar signifie « à lamanière de », « à l’exemple de ». Je pense que c’est le contraire que vous voulez dire.

Afin de répondre à la problématique suivante : « le Royaume-Uni est-il aujourd’hui un marché porteur pour le champagne ? », nous ferons d’abord une analyse générale du pays, puis une analyse du marché du vin et du champagne plus précisément, des salons et foires à venir représentant une forte opportunité pour finirpar des préconisations avec l’élaboration d’un marketing mix.

Analyse générale du pays

Analyse macro-économique

Conditions géographiques

? Les barrières naturelles :

Le Royaume-Uni, composé de la Grande Bretagne et de l’Irlande du Nord, est un pays insulaire. Il est bordé au sud par la Manche, à l’Est par la mer du Nord et à l’Ouest par la mer d’Irlande…

Le fantastique dans l’oeuvre shining (livre et film)

Le fantastique à
travers deux œuvres

THE SHINING
de Stephen King

SHINING
de Stanley Kubrick

Sommaire

Introduction

I – Les thèmes fantastiques
B) Les thèmes liés à l’hôtel
C) Les thèmes liés aux personnages

II – Les visées de ces thèmes fantastiques
A) Pour les personnages
B) Pour les lecteurs/spectateurs

III – La transposition : du littéraire aucinématographique
A) Tableau comparatif
B) Les moyens d’adaptation cinématographique

Conclusion

Bibliographie

Introduction

C’est en 1977 que Stephen King publie pour la première fois The Shining (ou Shining, l’enfant lumière). Très vite, le roman prend le statut de chef-d’œuvre de la littérature fantastique. Stephen King (né en 1947) a écrit plus de deux cent textes, dont plus de cinquante sontdes romans d’horreur ou fantastiques. Il s’est également attelé à l’écriture d’essais ou de nouvelles et même à celle d’un scénario. L’écrivain est aujourd’hui reconnu comme l’un des plus grands auteurs d’horreur/fantastique du vingtième siècle. Il se place dans la lignée de ces écrivains comme H.P. Lovecraft, Edgar Allan Poe, Bram Stocker, Shirley Jackson, J.R.R. Tolkien, et d’autres qui l’ontinspiré tout au long de sa carrière de romancier. The Shining le troisième roman que l’auteur publie. Ce roman raconte l’histoire de Jack Torrance et sa famille. Ancien alcoolique tout juste sorti de son addiction, il part avec sa femme Wendy et son fils Danny dans le Colorado, occuper le poste de gardien à l’hôtel Overlook. Durant la saison hivernale, cet hôtel est vide et surtout inaccessible àcause de la neige. Son fils, Danny, possède des pouvoirs de voyance, le « shining », et se rend très vite compte que l’hôtel est possédé et veut s’approprier ses pouvoirs. Dick Halloran, le cuisinier de l’hôtel qu’il rencontre avant à son arrivée le met en garde contre les esprits présents, lui aussi possédant le même don. Par l’intermédiaire de Jack, l’établissement hanté va tout faire pour tuerWendy et son fils. Il devient l’instrument de l’hôtel qui le possède. Sa femme et son fils fuient comme ils peuvent l’homme qui les poursuit, jusqu’au retour de Dick qui, pressentant le danger qui menace Wendy et Danny, vient les secourir.

Dès 1980, Stanley Kubrick (1928-1999), réalisateur américain, adapte le roman sur grand écran avec pour acteurs principaux Jack Nicholson (Jack), ShelleyDuval (Wendy) et Danny Lloyd (Danny). Après un échec commercial de son dernier film Barry Lyndon, Kubrick décide de toucher un public plus large avec l’adaptation d’un romancier à succès. Le choix se porte donc sur The Shining. Le cinéaste réalise un film qui, après une sortie houleuse, finit par devenir l’un des films culte du cinéma d’horreur/fantastique dans la lignée des films comme Rosemary’sbaby, ou L’Exorcisme. Néanmoins, Stephen King, en tant que romancier, est déçu de cette adaptation qui ne traduit pas bien les thèmes abordés dans le livre. En effet, Kubrick, tout en gardant le récit originel, aborde d’une manière différente des thèmes comme la décomposition de la famille, ou l’addiction de Jack. Il se détache également du livre avec quelques différences (ajouts, retraits etmodifications d’éléments). Néanmoins, avec ce film, le réalisateur donne une nouvelle dimension au film fantastique avec son style particulier.

King et Kubrick, à travers leurs arts respectifs, s’inspirent des grands qui les ont précédés dans le domaine du fantastique et apportent leurs touchent créatrices afin de créer des chef-d’œuvres. Ainsi, comment ces deux artistes manifeste le fantastiqueà travers le livre et le film et dans quel but ? Nous nous intéresserons d’abord aux thèmes fantastiques qui les traversent. Ensuite nous parlerons de la visée de ce fantastique. Et, pour finir, nous aborderons la transposition de l’œuvre littéraire à l’œuvre cinématographique.

Les thèmes fantastiques

Les thèmes du fantastiques qui sont abordés dans ces deux œuvres sont récurrents dans…

Cours science social

Science sociale

Partie I / La classification générale des sciences

Le classement ou la typologie sont très utilisés par les sciences toutes disciplines confondues. Ceci pro une raison majeur , ils permettent ‘établir des comparaisons , entre sciences ou à l’intérieur d’une même sciences d’analyse de résultats de théories différentes. La méthode comparative est donc essentielle pour toutesles sciences et en particulier les sciences sociales.

La classification des sciences a beaucoup évoluée avec le temps en effet la connaissance par l’homme des phénomènes naturels et aussi des phénomènes sociaux , Ces connaissances ont beaucoup progréssées , et donc les sciences ont beaucoup évoluées. De nombreuses sciences nouvelles sont apparues. Ce qui compte pour l’homme , c’est d’atteindrela connaissance objective du monde qui l’entour et dans lequel il vie. Cette connaissance objective c’est la connaissance scientifique , l’objectivité serait la capacité d’éteindre la vérité des phénomènes naturels et sociaux culturels.

I / Classification positiviste traditionelle : Auguste COMTE

COMTE (1798 – 1857) est considéré comme l’un des fondateur de la sociologie , on luiattribue la paternité du terme SOCIOLOGIE. A travers celle ci Comte a un but , de fonder une science des phénomènes sociaux.
Caractéristique du milieu du 19 : période riche en bouleversements politiques ( révolution de 1789 ; les journées révolutionnaires 1830 qui marquent la permanence en France d’une lutte entre le modèle monarchique et républicain; en 1848 nouvelle révolution en France ouvrière; ),transformation profonde des idéologies ( monté en puissance des idées socialistes ( Marx qui va combattre le modèle monarchique et le modèle républicain ) ) , révolution technologique c’est la révolution industrielle entrainant la migration des campagnes vers les villes. Face à tous ces bouleversements COMTE estime qu’une science du social est possible et nécessaire. COMTE veut que la sociologiesoit une science rigoureuse et objective, exacte. Il parlait de physique sociale que l’o puisse étudier les phénomène sociaux comme on peut étudier les phénomènes naturels , elle doit être exacte car elle doit contribuer à faire évoluer la société et lui permettre de trouver un équilibre, une harmonie. Il veut rendre les hommes plus heureux par la science.
COMTE avant d’arriver à saclassification traditionnelle des sciences il va élaborer une philosophie de l’histoire , une sorte d’évolution de la connaissance des origines de l’homme jusqu’au 19ème , cela le conduite à élaborer une loi, la loi des trois états (étapes)

A/ La loi des trois états d’Auguste COMTE.

Il est persuader que l’homme à toujours était préoccuper par la connaissance de l’univers , il estime quel’on peut reconstituer quelques grandes étapes qui caractérises l’évolution de la connaissance de l’univers et surtout son progrès. C’est ce progrès qu’il essaye de synthétiser dans sa loi des trois états.

1. L’état théologique ou fictif.

Cet état remonte à l’antiquité grecque et romaine.
La nature et les phénomènes naturels s’expliquent par le surnaturel, par la magie et parl’intervention des dieux, les hommes de cette période explique la nature par l’irrationnel.

EX : Les tempêtes sont expliquées par l’intervention du Dieu des vents qui contenait les vents dans une caverne. Il agissait sur ordre du « Dieu des Dieux » .
De la même façon pour les phénomènes sociaux , la guerre était du au Dieu de la guerre.

COMTE estime qu’il y a une certaine progression à l’intérieur de cet état théologique , on passe des causes magiques comme le fétichisme à l’élaboration d’un polythéisme sophistiqué , on passe ensuite du polythéisme au monothéisme avec l’émergence des trois grandes religions révélées , la religion chrétienne , le judaïsme , et l’islamisme. C’est trois religions apporte pour COMTE une clarification dans l’explication du monde par le fait qu’il…