La ferme des animaux

Georges ORWELL

La ferme des animaux.
Folio plus classiques n°94. 109p. + 80 pages d’analyse de l’œuvre.

Niveau : 3ème Genre : fable politique / satire sociale. Thème : la révolte d’une communauté et l’évolution de son statut politique. Contexte : ce roman évoque la révolution russe, sous l’égide d’idées communistes, et la prise de pouvoir de Staline. Personnages principaux Napoléon: cochontrès influent et respecté qui finit par devenir le chef de la ferme des animaux. Boule de Neige : un des cochons meneur de la révolte puis de la communauté libérée des hommes, qui finit par être évincé par Napoléon. Brille Babil : cochon très doué pour les discours et pour convaincre les animaux d’à peu près n’importe quoi… Malabar : un des chevaux de la ferme, fort et très méritant, il travaillesans arrêt. Benjamin: l’âne de la ferme, têtu, bien entendu, qui sait lire mais ne le montre pas et reste sceptique quant à toute tentative d’améliorer la vie des animaux (il pense que quoi que l’on fasse, elle sera toujours aussi difficile). Les autres animaux de la ferme : Douce, la jument, Edmée, la chèvre, les chiens, les moutons (qui, en bons moutons de Panurge, bêlent des slogans sansréfléchir), les poules, les canards, les oies. L’histoire Angleterre, ferme du Manoir, dont Jones est propriétaire. Un cochon nommé Sage l’ancien, tient un discours devant tous les animaux quelques jours avant sa mort : les animaux pourraient vivre bien plus heureux et mieux nourris si les Hommes ne les exploitaient pas pour s’enrichir sur leur dos. Aussi les appellent-ils à se révolter, en leurrappelant les paroles d’un vieux chant révolutionnaire : « Bêtes d’Angleterre ». Quelques temps plus tard, alors que les ouvriers agricoles ont oublié de les nourrir pendant toute une journée, les animaux de la ferme du Manoir se révoltent et font fuir Jones et ses hommes. Les animaux commencent par brûler tous les objets symbolisant leur asservissement (rênes, licous, œillères, muselières, couteaux…).Ils se mettent d’accord pour dire qu’aucun d’eux ne s’installeraient dans la maison. Les cochons, Napoléon et Boule de Neige en première ligne, expliquent qu’ils ont appris à lire au cours des 3 derniers mois et réfléchi aux principes de « l’Animalisme », doctrine politique qu’ils ont créée… Ils rebaptisent la ferme du Manoir « ferme des animaux » et peignent sur un mur les 7 commandements de «l’Animalisme »: – Tout deuxpattes est un ennemi.

– Tout quatrepattes ou tout volatile est un ami. – Nul animal ne portera de vêtements. – Nul animal ne dormira dans un lit. – Nul animal ne boira d’alcool. – Nul animal ne tuera un autre animal. – Tous les animaux sont égaux. On doit traire les vaches dont les pis trop gonflés les font souffrir, mais on ne parvient pas à décider ce que l’on fera dulait. Napoléon affirme qu’il va s’en occuper et envoie tout le monde travailler car il faut s‘occuper de la récolte.. Les animaux travaillent très dur, mais ils ont la satisfaction de faire une très belle récolte. Ils ont ainsi droit à de rations plus copieuses et sont heureux de travailler librement pour leur propre compte. Les cochons distribuent le travail et veillent à sa bonne exécution. Ledimanche, lors d’une assemblée, on distribue le travail pour la semaine et on débat et adopte certaines résolutions. Ce sont Napoléon et Boule de Neige qui débattent, et ils ne sont jamais d’accord. On décide cependant que tout le monde doit apprendre à lire (au final, seuls les cochons et Benjamin parviennent à bien savoir lire, et Edmée à déchiffrer lentement ainsi que les chiens). Les septcommandements sont ramenés à une maxime : « Quatre pattes, oui ! Deux pattes, non ! », vite apprise et bêlée à tue-tête par les moutons. 9 jeunes chiots juste sevrés sont pris en charge par Napoléon, qui explique qu’il se chargera de leur instruction. On apprend bientôt que le lait des vaches est mélangé à la pâtée des cochons, tout comme les pommes ramassées dans le verger à l’automne. Les cochons…

Les sceaux cylindres

Julien BUTTNER ; Chloé GUY – Art antique

Les sceaux-cylindres du Proche-Orient ancien

(Glyptique : Art de graver sur pierre fines)

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A la fin de l’époque Halaf, vers le IVème millénaire avant J-C, apparait le sceau. Au départ simple moyen pour marquer l’appartenance, l’utilisation du cachet se fait de plus en plus régulière, et les scènes visibles sur les scellementssemblent devenir de plus en plus structurées, nous présentant quelque chose d’autre que la simple marque du propriétaire ou d’un groupe. Effectivement, les motifs sculptés sur ces cachets semblent s’enrichir d’une dimension symbolique en plus de signaler l’appartenance. Une image apparaît régulièrement à cette époque, celle d’un homme entouré d’animaux qui représentent le troupeau, symbole de richesseéconomique et de prospérité. Sur certains cachets (sceaux), l’homme au centre du troupeau est entouré d’étoiles, symbole très fort du sacré, et semble porter un masque de la forme de tête animale, comme s’il représentait un personnage sorcier, sachant communiquer avec la nature. C’est donc clairement une scène exposant le pouvoir économique et spirituel du dirigeant, du chef, amenant cette dimensionsymbolique qui avant n’apparaissait pas.

[pic]

Les premières formes de scellement s’effectuaient donc à l’aide de cachets. Mais cette technique n’était pas très délicate, l’argile étant aplatie, compressée, fortement pour que le cachet laisse sa marque, ce qui abîmait évidemment le support. Une technique différente va alors voir le jour et aura un succès très important dans toutle Proche-Orient : celle des sceaux-cylindres, qui donne naissance à un système de scellement qui sera utilisé jusqu’au Ier millénaire av. J-C.

Le sceau-cylindre est l’une des créations de l’industrie humaine la plus caractéristique du Proche-Orient et celle qui précéda l’invention de l’écriture. Ces sceaux-cylindres apparaissent pour la première fois à Uruk, dans l’Irak du sud, et àSuse, dans l’Iran du sud-ouest, au milieu du IVème millénaire avant J-C. Il remplace vite le cachet (qui dominait la période préhistorique), car il permet un déroulement continu de l’empreinte sur de plus larges surfaces, et une individualisation plus grande des marques de propriété ou de responsabilité, étant un support artistique autorisant des représentations plus complexes. L’utilisation dusceau-cylindre est lié au développement de l’administration et du commerce qui marque les civilisations nouvelles d’Uruk et de Suse. Il avait une fonction double. La première est la plus évidente. Les sceaux servaient à sceller et, de cette façon, à authentifier les biens et les documents. Ils étaient déroulés sur des morceaux d’argiles appelés bullae qui protégeaient les fermetures de jarres, lesballots de biens, les serrures de portes ou encore les documents administratifs et juridiques. La deuxième fonction d’un sceau-cylindre est plus superficielle. En plus de marquer la propriété, ils étaient aussi utilisés comme ornement, ou comme amulette aux propriétés magiques. A l’époque historique, les sceaux ne montrent plus seulement l’appartenance à un groupe social ou à une catégorieprofessionnelle, mais peuvent marquer une appartenance individuelle. Ils pouvaient porter l’inscription d’un nom royal ou celui d’un particulier. Ces types de sceaux étaient alors surmontés d’un boucle pour pouvoir être suspendu à un bijou ou à un vêtement.

Le sceau-cylindre, est comme son nom l’indique de forme cylindrique, creusé en intaille, qui une fois déroulé sur son support d’argile, nousmontre une image en frise, aux motifs apparaissant en relief. Avec son utilisation, l’argile se trouve beaucoup moins malmenée qu’avec celle du cachet, le sceau étant simplement déroulé délicatement sur la surface à empreindre. Cette technique de scellement permet de marquer des morceaux d’argile qui peuvent n’être plus seulement plats, mais courbes et de diverses formes. Le sceau-cylindre était…

Vanesse abrams case sudy

Final Assignment – Negotiations

Vanessa Abrams – Case Study

Introduction

This case describes a typical win-lose negotiation in which lack of trust is at stake. On one side, Jerome Bailey (Jerry) is standing for employer and is imposing on the opposite side to sign a non-disclosure agreement, on the other side, the employee (Vanessa Abrams) is trying to take the opportunity to renegotiatecompensation package in return (as reciprocity), and this by leveraging on her outstanding business outcomes. The main issue in this negotiation is about power and influence use within the same organization which may be disruptive if stakeholders cannot reach an agreement in a win-win way.

Questions answers:

First of all, Vanessa knew that her boss was under pressure from the corporateheadquarters because she was the only one not signing the nondisclosure agreement, and she was using her good results as leverage for not signing the document, then making a counter-move in order to open negotiations. She tried to negotiate using a third party influence in order to stick up for herself and this led to conflict between her and her company. Moreover she negotiated in such a way whichwas not natural for her and this had weakened her bargaining power as an unexpected result. By the way, she’d like her boss to recognize that she was important for the company but she did not control the climate at all (time, place, and mood) from the beginning to end of the negotiation.

From the company point of view, signing such an agreement would protect company’s data and prevent Vanessa toleave the company with crucial information concerning customers. Then, Jerry did not understand why she didn’t want to sign the agreement. The company’s stood for an inflexible position which is characteristic of a competitive negotiation. The company had shown little or no interest to Vanessa’s needs.

This is overall a typical distributive negotiation in which one party claim the most value(zero-sum) and ending with a win-lose outcome. Each party has fixed the value at stake to be negotiated and their goals are to get as much as possible. However, the weird thing in this negotiation is that usually in a competitive negotiation relationship doesn’t matter, and in this case, both stakeholders had been having a long term partnership. “Relationship-based negotiation sets an even moreambitious target. Instead of focusing on a single transaction, it aspires to develop the mutual trust, reliability, and future cooperation that will create value stretching far beyond the immediate deal”[i].

In this negotiation, Vanessa is experiencing inconsistency which leads to dissonance when behaving in a way that is not really her way when negotiating with others and in addition through athird party (Nick the lawyer). According the Consistency Theory, and because of our strong need for consistency, we must try to change the way we behave in order to keep away from the unpleasant experience – that is a state of dissonance -of inconsistency. Moreover, the third principle from the Social Judgment Theory saying that our level of ego-involvement affects the size of our latitudes is wellillustrated in this case. That is to say that when Vanessa becomes ego-involved in this negotiation, her latitude of rejection gets larger while her latitude of acceptance gets smaller. Therefore, she believed that what she was thinking was correct. Is the threat related to the agreement real? Is this a distortion or reality from Vanessa POV (Point Of View)? This means that we should rather work inthe latitude of acceptance than in the latitude of rejection, and watch out for ego-involvement issues. By the way, this situation can be explained as well through the Theory of Reactance: Vanessa perceived an unfair restriction to her action, then, activated a state of reactance which is an intense emotional state which may conduct to irrational behavior, and finally she must act to remove the…

Vercors

Prouver que c’est le destin qui domine et non la liberté
Sujet amené : Dans cette pièce de théâtre de l’antiquité ou les auteurs Grecque été revalorisés, c’est le destin qui fait la vie et non laliberté. Sophocle, un auteur grecque de la renaissance, a écrit une pièce de théâtre425 avant J.C. et jouer pour la première fois en 421 avant J.C. il raconte une histoire d’un roi quienquête sur lamort du roi précédent de cette ville de la Grèce, la ville de Thèbes.
Sujet posé : La vie D’Oedipe est reposé sur le destin et non à la liberté humaine.
Sujet divisé : l’existence du roi Œdiperepose sur le destin et il n’a pas fait le choix de son avenir
Développement :
1er idée principale : l’existence du roi Œdipe repose sur le destin
1er idée secondaire : Œdipe roi est lemeurtrier de son père
Citation : «oui, je n’en serai pas venu à être l’assassin de mon père;»
Explication : «Après de longue recherche d’Œdipe pour trouver le meurtrier de Laïos l’ancien roi de Thèbes,il découvrira que c’est lui le meurtrier de son père et que Polybe l’avait juste adopté»
2eme idée secondaire : Jocaste est la mère et la femme d’Œdipe
Citation : «le monde n’aurait pas dit demoi que je suis devenu l’époux de celle à qui j’ai dû le jour! À la face des dieux je suis réprouver, fils d’une infâme, et mes enfants sont nés de celle même à qui j’ai dû le jour!»
Explication :Œdipe, est une personne très innocente, il a marié une femme qui l’a mis au monde, et il a eu des enfants avec. Il a tout fait pour avoir rien ase reprocher, mais il est tombé dans le trou qu’il avaitfuit, il a couché avec sa mère et il a eux quatre enfants avec elle»
2eme idée principale : Œdipe a choisi son destin en croyant a l’oracle du dieu Apollon et fuir pour ne pas tuer son père
1eridée secondaire : il a essayé de fuir à l’oracle pour ne pas tuer son père et marier sa mère Citation : «Le voici : Apollon m’a dit un jour que j’étais voué à m’unir à ma propre mère, et à verser…

Essilor – leader mondial

Essilor

Leader mondial (part de marché de l’ordre de 30%, plus importante en valeur qu’en volume) en ayant chaque année creusé l’écart avec ses challengers grâce à unestratégie jusqu’a lors basée sur les produits haut de gamme à très forte valeur ajoutée (Varilux – correction de la presbytie, traitements – anti reflets et anti rayures …, indices ultraminces …) fruit de ses efforts en R&D (? 5% du CA) avec la création et le développement de marques (Crizal, Varilux ..)

Depuis plusieurs semestres, le Groupe construit undeuxième pôle, le moyen de gamme, marché dont la croissance est bcp plus rapide (2à3x) que celle du haut de gamme (plus largement présents sur les marches émergents, moins corrélés àl’évolution de l’environnement macro) en priorité sur les marchés émergents (Chine, Inde). Il procède surtout par acquisitions (laboratoires, distributeurs) qui d’ores et déjà lepositionnent parmi les leaders sur ces marchés

Par ailleurs, des acquisitions récentes lui ont ouvert de nouvelles voies de croissance, par exemple :
– les readers (verres précorrigés vendus notamment en pharmacie et en grande distribution) – acquisition de FGX dont le CA devrait doubler d’ici à 2015 !
– une nouvelle marque de verres, Kodak viaSignet Armorlite, positionnée milieu de gamme, avec des tests d’un réseau de distribution en propre (UK)

Notons que lors de la journée investisseurs de mi-décembre, la Direction duGroupe :
– a revu en hausse les perspectives globale de croissance annuelle moyenne du marché des verres correcteurs, à 3%/4% vs. 2%/3% antérieurement
– semblaitconfiante pour renouer avec les taux de croissance organique historique ;;; des objectifs qui seront vraisemblablement exposés à la réunion de présentation des résultats du 2 mars !

Les circulaires

Commentaire d’arrêt – CE, 18 décembre 2002, Mme Duvignères

« La circulaire est un pavillon qui peut recouvrir toutes sortes de marchandises : ordres du jour, conseils, recommandations, directives d’organisation et de fonctionnement, règles de droit ».
C’est au sujet du statut contentieux des circulaires que le Conseil d’Etat se prononce dans son arrêt Mme Duvignères rendu le 18 décembre2002, en soulignant que les circulaires peuvent avoir un effet pour les administrés.
Mme Duvignères avait demandé le bénéfice de l’aide juridictionnelle. Celle-ci lui a été refusée au motif que ses ressources, parmi lesquelles se trouvait l’aide personnalisée au logement (APL), dépassaient le plafond conditionnant l’octroi de cette aide. Les conditions d’octroi de l’aide avaient été préciséesdans un décret de 1991 et réaffirmées dans une circulaire de 1997 du Ministre de la Justice. Le décret, comme la circulaire, excluaient la prise en compte de l’allocation de logement familiale (ALF) dans le calcul des ressources, mais intégraient en revanche l’APL dans le calcul. La demanderesse réclame l’abrogation du décret du 19 décembre 1991- portant l’application de la loi du 10 juillet 1990 -et de la circulaire du 26 mars 1997, qui précisent les modalités de l’octroi de l’aide juridictionnelle. Sa demande est rejetée par le Garde des Sceaux, et la demanderesse saisit le Conseil d’Etat par voie du recours pour excès de pouvoir en demandant l’annulation la décision du Garde des Sceaux dans laquelle ce dernier avait refusé d’abroger partiellement le décret et la circulaire. Le Conseild’Etat annule le refus d’abroger partiellement le décret à cause de la méconnaissance du principe de l’égalité ainsi que le refus d’abroger partiellement la circulaire qu’elle reprenait le décret jugé illégal.

La Haute juridiction administrative était dès lors placée devant deux soucis : premièrement elle devait statuer, au fond, sur la légalité du décret et deuxièmement sur la recevabilité durecours contre la circulaire.
Concernant l’annulation du refus d’abroger le décret : Pendant que pour l’exclusion de l’ALF il y avait une compétence liée du pouvoir réglementaire, car celle-ci figure au nombre des prestations familiales, il semble qu’aucune obligation semblable ne valait pour l’APL. Il en suit que la possibilité d’un traitement différent « résulte,dans son principe, de la loi » . Toutefois, le pouvoir réglementaire a méconnu le principe d’égalité en incluant « l’intégralité de l’APL au logement dans les ressources à prendre en compte pour apprécier (le) droit à l’aide juridictionnel ». Cette contestation est due au fait que bien qu’il existe des différences de nature, de montant accordé et en ce qui concerne le public visé ainsi que lesconditions tenant au logement entre les deux prestations, les convergences sont importantes du point de vue des bénéficiaires. Ainsi les deux prestations poursuivent des « finalités sociales similaires » en accordant une aide sous condition des ressources. De plus, l’attribution de l’une ou l’autre prestation « dépend essentiellement du régime de propriété du logement occupé ». Des familles vivantdans des conditions identiques par rapport aux revenus reçus et loyers à payer peuvent recevoir des prestations différentes à cause du fait que l’une habite dans un HLM et l’autre dans un parc privé ancien. Il en résulte que le refus d’abrogation partielle du décret est illégal à cause de la méconnaissance du principe de l’égalité.
Deuxièmement, le Conseil d’Etatdevait s’interroger sur la possibilité d’exercer un recours contre une circulaire interprétant un texte illégal sans présentant un caractère innovatoire. C’est à ce sujet que le Conseil d’Etat réalise une innovation importante en accueillant le recours pour excès de pouvoir.
Les circulaires sont prises par les chefs de service à l’égard de leur administration, pour encadrer l’activité des…

Philosophie

Tu es notre âme, tu es notre cœur,
Tu es notre flamme, notre bonheur,
C’est toi qui nous a donné la vie,
Tu fais partiede nous.

Tu et notre sang, tu es nos yeux,
Tu es notre ange le plus précieux,
C’est toi qui nous a donné la vie,
Tu faispartie de nous.

Tu es tout ce qu’on a de plus cher au monde,
Notre raison d’être, notre raison de vivre,
Près de toinous serons jusqu’à la dernière seconde,
C’est toi qu’on aime, tu es notre vie.

Tu es notre ombre, tu es notre voie,
Tu esnotre or, tu es notre voix,
C’est toi qui nous a donné la vie,
Tu fais partie de nous.

Tu es notre chance, tu es notresouffle,
Notre existence et plus que tout,
C’est toi qui nous a donné la vie,
Tu fais partie de nous.
Tu es tout ce qu’on ade plus cher au monde,
Notre raison d’être, notre raison de vivre,
Près de toi nous serons jusqu’à la dernière seconde,C’est toi qu’on aime, tu es notre vie.

{au Refrain}

Tu es notre âme, Tu es notre cœur,
Tu es notre flamme, notre bonheur,C’est toi qui nous a donné la vie
Tu fais partie de nous.

Tu es notre sang, tu es nos yeux,
Tu es notre ange le plusprécieux,
C’est toi qui nous a donné la vie,
Tu fait partie de nous {x3}

T’es toute notre vie,
On t’aime à l’infini Mallo.

Musculation

Séance n°2 :
Les abdominaux : Ce premier exercice sollicite les grands droits de l’abdomen.
Ce que vous devez faire :
Allongé(e) le dos au sol, les jambes sont tendues, les pieds croisés et les bras sont tendus légèrement décollés du sol (environ 10 cm). En relevant le buste venez toucher les pieds avec les mains.
Redescendez lentement en déroulant le dos progressivement au contact du solpuis recommencez cet exercice.
Respiration : en effectuant cet exercice expirez (vider les poumons) en remontant le buste et inspirez (gonfler les poumons) en redescendant le dos au sol.
Précaution : En début d’entraînement il est possible que vous n’arriviez pas à réaliser cet exercice complètement. N’essayez pas d’atteindre les pieds avec les mains. Montez le plus haut possible puisredescendez progressivement le dos au sol.
Répétitions : il faut faire 7 répétitions et effectuer une pause de quatre minutes entre chaque série. Il faut réaliser 8 séries.

Le deuxième exercice sollicite également les grands droits de l’abdomen.
Ce que vous devez faire :
Allongé(e) sur le dos, les bras posés au sol le long du corps. Les jambes sont parallèles au sol et surélevées de 5 à 10 cmenviron. Relevez les jambes en amenant les genoux vers le buste jusqu’à ce qu’elles forment un angle de 90° environ avec le buste.
Respiration : en effectuant cet exercice expirez (vider les poumons) lorsque les jambes montent et inspirez (gonfler les poumons) lorsqu’elles redescendent au sol.
Répétitions : il faut réaliser huit séries de 7 répétitions. Et respirer pendant environ quatreminutes entre chaque série.

Les fessiers : Le premier exercice sollicite le tenseur du facia lata et les moyens et grands fessiers.
Ce que vous devez faire :
Allongé(e) au sol, sur le côté, une jambe tendue, l’autre pliée pour trouver une position stable, le bassin légèrement penché vers l’avant. Levez la jambe le plus haut possible tout en contrôlant votre mouvement qui doit être réalisésans à-coup.
Revenez lentement à la position de départ en abaissant la jambe.
Respiration : Revenez à la position de départ en inspirant (gonfler les poumons) et expirez (vider les poumons) en levant la jambe.
Répétitions : il faut réaliser huit séries de 7 répétitions et effectuer une pause de quatre minutes entres chaque série.

Le deuxième exercice sollicite également le tenseur dufacia lata et les moyens et grands fessiers.
Ce que vous devez faire :
Les mains et un genou en appui sur un banc horizontal (cette position permet de soulager les tensions au niveau du dos), une jambe tendue en direction du sol (le pied ne doit pas toucher le sol). Contractez vos abdominaux afin de bloquer votre bassin.
Soulevez latéralement (sur le côté) la jambe qui est tendue le plus hautpossible (idéalement jusqu’à ce qu’elle soit parallèle au sol).
Revenez lentement à la position de départ en contrôlant votre mouvement.
Précautions : gardez toujours le dos bien droit pour effectuer cet exercice. Le fait de contracter vos muscles abdominaux verrouille votre bassin et permet de réaliser un mouvement beaucoup plus efficace.
Respiration : en effectuant cet exercice expirez (viderles poumons) lorsque vous montez la jambe et inspirez (gonfler les poumons) lorsque vous revenez à la position de départ.
Répétitions : il faut effectuer 8 séries de 7 répétitions et faire une pause de quatre minutes entre chaque série.

Séance n°3 :
Les abdominaux : Le premier exercice sollicite les muscles du grand droit de l’abdomen.
Ce que vous devez faire :
Allongé(e) sur ledos, les bras posés au sol le long du corps. Les jambes sont parallèles au sol et les pieds sont croisés. Les paumes des mains contre le sol.
Soulevez le bassin et montez les genoux le plus haut possible tout en gardant le milieu du dos au contact du sol, décollez votre mouvement au niveau des lombaires seulement (bas du dos).
Redescendez lentement et progressivement les genoux pour que les…

Est-il raisonnable de craindre les techniques ?

« Mon rêve familier »
Ce poème a été écrit par Paul Verlaine et il est paru en 1866.
Paul Verlaine (1844-1896) est un poète du 19ème siècle, il est le premier a lancé la notion de « poètes maudits» de part ses écrits. Il a écrit de nombreux recueils dont Poèmes Saturniens (1866) et c’est dans ce recueil que se trouve « Mon rêve familier », c’est le 6 ème poème de la partie nommée« Melancholia ». La vie de Verlaine a été très marquée par son histoire d’amour avec Arthur Rimbaud (jeune poète français 1er écrit à 15ans)
I) Une femme rêvée ou un rêve de femme.
(v-1) rêve récurrent etagréable, aimable femme=fantasme
(v-2) femme inconnue pas d’individualité définie ?elle représente un idéal de femme, la femme née des désirs du poète (Verlaine).
Dans le dernier alexandrin, laformulation est bien faite et elle résume tout le texte.
(v-6/7) anaphore, insistance « elle »
C’est une femme unique en son genre elle apporte (seule) la paix au poète tourmenté. Le regret d’une femmemorte : (v-11) « Comme ceux des aimés que la Vie exila », (v-14) « L’inflexion des voix chères qui se sont tues ». 2 euphémismes [figure de style qui consiste à atténuer ou adoucir une idée déplaisante]II) Un lyrisme discret.
Poète présent d’un bout à l’autre : « Je » sujet et objet l’objet de l’amour est l’autre
Douleurs intimes qu’il a éprouvé : (v-6) « problème » et (v-7) « front blême » Lafemme a un statut privilégié.
Il y a également une redondance du « et »
[La redondance se rapporte à la qualité ou à l’état d’être en surnombre, par rapport à la normale ou à la logique].
Lyrismediscret nous montre un poète heureux. Drame de l’incommunicabilité.
III) Un chant d’amour.
Souligné par une prose lyrique = Chateaubriand le romantisme
Verlaine exprime un sentiment—> lafemme est un avatar [l’incarnation d’une divinité sur terre, en réponse à un besoin de l’humanité.]
La souffrance est exprimée d’une façon atténuée.
Poème lyrique avec une musicalité présente…

Les loups et les brebis-plan

?Texte 4 : Les loups et les brebis
pb : En quoi cette fable est-elle un apologue ?
Intro :
Ce texte écrit par l’un des plus grands fabulistes français, Jean de La Fontaine, connu principalementpour ses oeuvres fabliques, dont il a écrit 12 livres. Cette fable qui est la 13e fable du livre 3 nous présente l’histoire à la fois plaisante et didactique de loups et de brebis qui se livrent uneguerre continuelle.
Plan :
I- Apologue distrayant
A- Récit
– protagonistes => loups et brebis représentant hommes et pays opposés en clans
– personnification des animaux => « otages », « louvats =messieurs », « les loups avaient averti leurs gens »
– chp lexical du droit => action humaine = « déclarée », « le bien des deux partis », « jouir de ses biens », « la paix se concluté, él’échange aux formesordinaires », « commissaires » => insistance sur pacte conclut entre les deux partis.
Temps => imparfait itératif (époque révolue pendant laquelle il y avait la guerre),passé simple (aspect ponctuel du pactede paix), présent de narration (rapidité des actions, et donner l’impression que la scène se passe sous nos yeux).
– hypotypose donnée grâce aux verbes d’actions « donne », « prennent », « étranglent », »emportent », « se retirent »
B- La poésie
– Alexandrin, octosyllables => variations de rythmes
– Rimes embrassées, alternées, suivies
– Enjambements
– hémistiches
C- Ironie
Origine de la paix =>Au bout de mille ans de guerre, les loups décident de faire la paix et pas les brebis.
II- Apologue efficace
A- Récit allégorique
– représentation loups et brebis comme deux pays en guerre => idéeabstraite
– chp lexical droit/violence, paix/guerre (paix au détriment des loups)
B- Récit pathétique
– brebis écrasées par les loups
– brebis désignées par terme au singulier féminin (« mainte bêteégarée », « victime ») au contraire des loups au pluriel masculin
– chps lexical violence => loups = bêtes sanguinaires
C- Morale
– Enseignement de la vie => morale explicite (« nous pouvons…