Bach

HEGEL, Introduction à l’esthétique – Le beau (Collection Champs-Flammarion).
A lire attentivement : pages 9-53, 59-62, 66-70, 105-131, 139-155, 197-208, 313-314, 353-373.
Plan, 9-12.
Beau artistique et beau naturel.
« La philosophie, la science du beau artistique et non du beau naturel » (9).
1/ L’opinion.
A/ Le beau artistique est inférieur au beau naturel.
B/ L’art doitimiter la nature.
2/ Le renversement de l’opinion.
Le beau artistique est supérieur au beau naturel parce qu’il est un produit de l’esprit, parce qu’il participe de l’esprit et donc de la vérité.
« N’est beau que ce qui trouve son expression dans l’art, en tant que création de l’esprit ; le beau naturel ne mérite ce nom que dans la mesure de ses rapports avec l’esprit » (11).
3/ « L’hommes’est toujours servi de l’art comme d’un moyen de prendre conscience des idées et des intérêts les plus élevés de son esprit » (11).
Plan, 18-34.
1/ Objections contre l’idée d’une philosophie de l’art, d’une étude scientifique de l’art, d’une science du beau (18).
A/ Il y a une infinité d’objets beaux (18-24).
L’art. L’imagination. La libre activité de l’imagination créatrice.L’imagination indisciplinée, anarchique. Productions et formes libres. La réalité. Le particulier, l’accident, l’arbitraire. L’œuvre d’art vivifiante. S’adresse à la sensation, l’intuition, l’imagination… Œuvres d’art infiniment variées, et multiples.
La science. La pensée scientifique, conceptuelle. Règles, règlementations. La rigueur des lois. L’idée. Le général, le régulier, le nécessaire.L’abstraction. L’ombre de la réalité. Le concept sec et aride.
B/ Le beau est l’objet de l’imagination, de l’intuition, du sentiment. Il n’y a pas de critère permettant de reconnaître ce qui est beau (24-29).
« L’art, loin d’être la forme la plus élevée de l’esprit, ne reçoit sa véritable consécration que dans la science » (26).
C/ L’art n’est que le règne de l’apparence, de l’illusion (29-31)D/ L’art peut devenir objet de la philosophie, mais pas de la science (31-32).
E/ L’art n’est qu’un jeu (32).
2/ Art, religion et philosophie.
A/ « La plus haute destination de l’art est celle qui lui est commune avec la religion et la philosophie. Comme celles-ci, il est un mode d’expression du divin, des besoins et exigences les plus élevés de l’esprit » (32).
B/ « L’art est loind’être le mode d’expression le plus élevé de la vérité » (33).
« L’œuvre d’art est donc incapable de satisfaire notre ultime besoin d’Absolu » (33).
Plan, 55-62.
Règles de l’art. Talent. Besoin d’art.
I Œuvres d’art et règles.
1/ L’opinion.
L’artiste doit se conformer à des règles pour la production de ses œuvres. La critique d’art peut connaître le procédé de fabrication de l’œuvre etétablir les règles, formuler les préceptes de la production des œuvres.
2/ Le renversement de l’opinion.
Ce n’est pas en se conformant à des règles qu’on peut produire des œuvres d’art. Seul le travail, mécanique, extérieur, se laisse subordonner à des règles. Le travail obéissant à des règles ne peut aboutir qu’à des résultats formels, généraux, abstraits, réguliers. Les règles sont desgénéralités qui ne contiennent aucune indication relative aux détails d’exécution.
3/ L’opinion opposée.
L’œuvre d’art est le produit d’un esprit spécialement doué qui n’a qu’à s’abandonner à sa singularité spécifique. L’œuvre d’art est une création du génie, du talent. L’activité artistique, pour être efficace et vraiment créatrice, doit être inconsciente. La production artistique relève del’inspiration.
{text:soft-page-break} 4/ Le renversement de l’opinion opposée.
L’œuvre d’art présente un côté technique dont on n’arrive à se rendre maître que par l’exercice. La fécondité du génie tient à une pensée cultivée qui lui fournit des sujets de représentations et à un exercice, un apprentissage, une expérience qui lui permette de maîtriser une matière plus ou moins dense,…

Anglais

Tome 1

Anglais
Seconde

Devoirs

Notice individuelle Évaluations 1 à 6 Questionnaire

Rédaction

Wendy Benoit Jacqueline Castellain Claude Quiniou Claude Quiniou

Coordination

Ce cours a été rédigé et publié dans le cadre de l’activité du Centre National d’Enseignement à Distance, Institut de Rennes. Toute autre utilisation, notamment à but lucratif, est interdite. Les cours duCned sont strictement réservés à l’usage privé de leurs destinataires et ne sont pas destinés à une utilisation collective. Les personnes qui s’en serviraient pour d’autres usages, qui en feraient une reproduction intégrale ou partielle, une traduction sans le consentement du Cned, s’exposeraient à des poursuites judiciaires et aux sanctions pénales prévues par le Code de la propriétéintellectuelle. Les reproductions par reprographie de livres et de périodiques protégés contenues dans cet ouvrage sont effectuées par le Cned avec l’autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie (20, rue des Grands Augustins, 75006 Paris).

Imprimé au Cned – Institut de Rennes 7, rue du Clos Courtel 35050 Rennes Cedex 9

É valuations
1à6
Chaque séquence de cours comporte deuxévaluations. Seules les évaluations de compréhension écrite et d’expression écrite font l’objet de l’envoi d’un corrigé-type. Séquence 1 Évaluations Évaluation 1 Évaluation 2 Évaluation 3 Évaluation 4 Évaluation 5 Évaluation 6 Épreuve Expression orale Compréhension écrite Compréhension orale Expression écrite Expression orale Compréhension écrite Note sur 20 20 20 20 20 20

2

3

Compréhension orale: 1 évaluation Compréhension écrite : 2 évaluations

Expression orale : 2 évaluations Expression écrite : 1 évaluation

Évaluations – AN21-09

7

É valuation 1

Expression orale à réaliser en vous enregistrant

Ce devoir est à réaliser sous forme numérique en vous connectant à votre espace Cned à l’adresse www.campus-electronique.fr où vous trouverez toutes les informations etdocuments nécessaires dans la rubrique [Envoi de vos devoirs : Oraux – internet] Lisez bien toutes les informations et les conseils qui vous sont donnés avant de procéder à l’enregistrement de votre devoir.

N’hésitez pas à prendre contact avec : – l’assistance en cas de difficultés techniques ; – votre professeur tuteur pour des questions sur le cours ou sur le devoir. Si vous ne pouvez pas utiliserle dispositif des devoirs oraux via internet, reportez-vous impérativement au « Guide de l’élève » pour prendre connaissance de la procédure.

Important

Veuillez réaliser cette évaluation après avoir étudié la séquence 1.

Temps à consacrer à l’évaluation : 45 minutes maximum.

1 – Expression orale semi-guidée
Temps de prise de parole 1 min 30 – 2 minutes

(10 points)

For your firstdistant contact with your teacher, you are going to talk about yourself (or the person that you would like to be if you don’t want to talk about your real self). To help you, here are questions or suggestions that you may use: – Your name (real or assumed). – Place where you live (countryside or city, small or big …) Do you like it or not? Why? Do you prefer the countryside or the city? Why? – Doyou have pastimes or hobbies?

Évaluation 1 – AN21-09

9

– Why did you decide to join Distance learning (the Cned). Do you find it easy, difficult? Why? – Other subjects you would like to talk about. Critères d’évaluation : votre intervention ne doit pas être une suite de réponses à des questions; vous devez relier vos phrases et donner l’impression d’une conversation – pas de lectured’une rédaction – on doit vous comprendre – vous devez communiquer – vous vous exprimerez dans une langue la plus correcte possible (phonologie, lexique, syntaxe). Barème Communicativité : 3 points Compréhensibilité :2 points Contenu (qualité et quantité) : 5 points Langue (lexique, syntaxe, phonologie) :10 points

2 – Expression libre

(10 points)

Temps de prise de parole 3 minutes…

L’organisation de l’entreprise.

CHAPITRE 1 :
L’organisation de l’entreprise.

I. Les différentes approches.
L’entreprise est une entité à vocation économique dont l’objet est la production de biens et services marchands, destinés à être vendu à un certain prix sur le marché. Elle constitue une cellule décisionnelle et organisée. Elle se distingue des autres acteurs économiques par la production de biens ou leurcommercialisation et de services marchands.
Elle le fait dans un but de profit, ses principales ressources sont financières (capitaux) ; humaines (salariés) ; physiques et technologiques. Ses finalités sont tout d’abord économiques : son profit sa croissance. Ou pas directement économique : maintien de l’emploi, intérêt général).
Elle se définit souvent comme un nœud de contrats : groupement contractueld’individus dont la coopération est vitale. C’est une construction sociale, son organisation est primordiale. Elle n’est pas indépendante de son environnement, elle a une fonction de répartition des ressources (distribution d’un salaire), de sa production ; elle est aussi influencé par son environnement, direct (rapport avec employeurs, fournisseurs…) et indirect (au travers du contexte économiquepolitique et social).
D’un point de vue théorique, on a plusieurs approches :
• Les néo-classiques considèrent l’entreprise comme un agent économique qui réalise des transactions marchandes, fluides et transparentes. Basée sur la concurrence pure et parfaite, c’est un modèle parfait dans lequel il n’y a aucune imperfection.
? Les agents n’ont pas d’action directe sur les prix : l’atomicité dumarché (grand nombres d’offreurs et demandeurs)
? Une information parfaite doit être partagée par tous
? Les produits doivent être homogènes pour être comparables
? Il y a une libre circulation des biens et des personnes.
Le comportement de chacun est rationnel. Les prix sont uniquement déterminés par la confrontation d’offre et demande. Le recours au marché va impliquer les coûts detransaction. L’entreprise peut se substituer au marché quand les coûts d’organisation de l’entreprise sont inférieurs aux coûts de transaction directs du marché.
Ils sont liés à trois éléments :
o la spécificité des actifs,
o la fréquence des contrats,
o l’incertitude.
La théorie des coûts de transaction va justifier l’existence et le recours à l’entreprise comme un moyen de réduire les risquesd’opportunismes et d’incertitudes et de transaction sur un marché.

II. Les théories des organisations :

• Théories classiques : pour Taylor (1911) la performance de l’entreprise repose sur l’OST qui sépare les tâches de conception et d’exécution. Entre des experts qui trouvent les meilleures façons d’organiser la production : il s’agit de diviser le processus en tâches simples etstandardisées, réalisées par des ouvriers peu ou pas qualifiés. Cela permet une augmentation de la productivité des opérations de productions, mais rend couteux humainement la tâche.
• Fayol en 1916, fonde les bases du management selon lesquelles une bonne gestion implique une division claire des fonctions et le respect de grands principes.
• Weber en 1909, identifie l’organisation bureaucratique desentreprises qui fonctionnent selon des procédures formalisées et des fonctions spécialisées et légitimes, rationnelles et légales. La structure traduit la manière dont est organisée la répartition des tâches : modes de coordination et le pouvoir dans une organisation cette structure peut favoriser une circulation de l’information verticale (la hiérarchie) ou horizontale (la coordination). La structuremet en forme les attributions de chaque service et les tâches de chacun, elle définit les liens hiérarchiques, la répartition des responsabilités et les modes de transmission de l’information entre les services et entre les individus. Cette structure doit servir les objectifs de la firme et être évolutive, s’adapter vers plus de décentralisation (répond à un manque de réactivité ou de…

Econonomie

Pendant la période des trente glorieuses La structure sociale en France a connu des bouleversements au cours du XX ème siècle avec par exemple la montée du salariat ou desqualifications. On pourrait donc en déduire que la moyennisation est un processus selon lequel une part croissance de la population se retrouve dans une situation sociale proche. Aujourd’hui,certains auteurs contemporains comme Karl Marx qui met en évidence une opposition entre deux classes sociales : la classe ouvrière et la bourgeoisie. Il n’est pas facile de définir laclasse moyenne. Globalement, les classes moyennes regroupent l’ensemble des personnes qui ne sont ni propriétaires des moyens de production, et ils ne font pas partis de la classe ouvrière.Peut-on donc dire que ce mouvement de moyennisation n’a été finalement qu’une étape et qu’elle s’est estompée voire qu’elle a disparu de nos jours ?
Afin de répondre a cette question,nous allons d’abord présenter les caractéristiques du mouvement de moyennisation qu’a connu la France pour ensuite expliquer les limites qu’elle connait aujourd’hui.

Durant lesTrentes Glorieuses, on a assisté à un fort enrichissement du salariat. En effet, durant cette période, le taux annuel moyen des hausses de salaire était de l’ordre de 3,5 %. On constatequ’entre les différentes catégories socioprofessionnelles les écarts de salaire se sont réduits. Ainsi si nous prenons la différence de salaire entre un cadre et un ouvrier en 1968 le cadregagnait 4 fois plus que l’ouvrier.16 ans après, on constate que le cadre perçoit environ 3 fois plus que l’ouvrier. Ainsi les écarts de salaire entre les cadres et les ouvriers sur cettepériode ont été divisés d’environ 1.4 fois.
Grâce à la sécurité de l’emploi durant les « 30 Glorieuses » l’ascension à la prospérité s’est développée dans toutes les couches sociales.

Analogie de poemes

HUBBEN Victor
ANTHOLOGIE DE POEMES
( classés en fonction de leur courant littéraire )
SOMMAIRE
La pléiade :
Joachim DU BELLAY : Heureux qui comme Ulysse
Pierre de Ronsard : Mignonne, allons voire si la rose
Le baroque :
Saint-Amant : Plainte sur la mort de Sylvie Le classicisme :
François de Malherbe : Consolation à Monsieur Du Périer(gentilhomme d’Aix-en-Provence)
sur la mort de sa fille
Nicolas Boileau : Air
Le romantisme :
Alfred de Musset : A une fleur
Alphonse de Lamartine : Le lac
Le symbolisme :
Charles Baudelaire : L’ennemi
Stéphane Mallarmé : Brise marine
Le surréalisme :
Paul Eluard : le plus jeune
André Breton : L’aigrette
PLEIADE
Heureux qui,comme Ulysse, a fait un beau voyage
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !

Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village
Fumer la cheminée, et en quelle saison
Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,
Qui m’est une province, etbeaucoup davantage ?

Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux,
Que des palais Romains le front audacieux,
Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine :

Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,
Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,
Et plus que l’air marin la doulceur angevine.
Joachim DU BELLAY (1522-1560)
Mignonne, allons voir si la rose
A Cassandre

Mignonne,allons voir si la rose
Qui ce matin avoit desclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vostre pareil.

Las ! voyez comme en peu d’espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las ! las ses beautez laissé cheoir !
Ô vrayment marastre Nature,
Puis qu’une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !

Donc,si vous me croyez, mignonne,
Tandis que vostre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez vostre jeunesse :
Comme à ceste fleur la vieillesse
Fera ternir vostre beauté.
Pierre de Ronsard
BAROQUE
Plainte sur la mort de Sylvie
Ruisseau qui cours aprés toy-mesme,
Et qui te fuis toy mesme aussi,Arreste un peu ton onde icy,
Pour escouter mon dueil extresme;Puis quand tu l’auras sceu, va t’en dire à la Mer
Qu’elle n’a rien de plus amer.
Raconte-luy comme Sylvie,
Qui seule gouvernoit mon Sort,
A receu le coup de la mort
Au plus bel âge de la vie;
Et que cet accident triomphe en mesme jour
De toutes les forces d’Amour.
Las ! je n’en puis dire autre chose,
Mes souspirs trenchent mon discours:
Adieu Ruisseau, repren toncours,
Qui non plus que moy ne repose,
Que si par mes regrets j’ay bien pû t’arrester,
Voila des pleurs pour te haster.
St Amand
CLASSICISME
Consolation à Monsieur Du Périer
(gentilhomme d’Aix-en-Provence)
sur la mort de sa fille
Ta douleur, Du Périer, sera donc éternelle,
Et les tristes discours
Que te met en l’esprit l’amitié paternelle
L’augmenteront toujours !Le malheur de ta fille au tombeau descendue
Par un commun trépas,
Est-ce quelque dédale où ta raison perdue
Ne se retrouve pas ?
Je sais de quels appas son enfance était pleine,
Et n’ai pas entrepris,
Injurieux ami, de soulager ta peine
avecque son mépris.
Mais elle était du monde ,où les plus belles choses
Ont le pire destin,
Et rose elle a vécu ce que vivent les roses,L’espace d’un matin.
Puis quand ainsi serait ,que selon ta prière,
Elle aurait obtenu
D’avoir en cheveux blancs terminé sa carrière,
Qu’en fut-il advenu ?
Penses-tu que, plus vieille, en la maison céleste
Elle eut plus d’accueil ?
Ou qu’elle eut moins senti la poussière funeste
Et les vers du cercueil ?
Non ,non, mon Du Périer, aussitôt que la Parque
Ôte l’âme du corps,…

Bonheur

Il semblerait que l’homme aspire au bonheur. Si nous interrogeons n’importe qui d’entres nous, personne ne dira qu’il désire être malheureux, mais qu’au contraire son souhait serait d’êtreheureux. Certains d’ailleurs diront qu’ils le sont déjà. D’autres par contre répondront par défaut, en espérant tout au plus échapper au malheur. Même si les réponses divergent, il y a bien un sensunique qui transparait dans chacune d’elles. Le bonheur, qu’il soit considéré en soi ou par opposition au malheur, est un but à atteindre, une finalité. Que celle-ci soit la même pour tous,nonobstant tout détail et moyen pour y parvenir, mais aussi quelque soient la culture et l’endroit, laisse à penser que le bonheur s’inscrit sur un plan naturel. L’homme, comme tout organismevivant, tend à persévérer dans son être, parce qu’il est la vie et que celle-ci se défend et se développe. Peut-on pour autant considérer que le bonheur est un moteur vital ? Ce serait reconnaître quele monde animal puisse être animé par le bonheur, ce qui peut-être n’est pas exclu pour certaines espèces. Un chien par exemple connaît la tristesse lorsque son maître disparaît, et inversementil exprime une manifestation de contentement, pourquoi pas de joie, quand son entourage le cajole. Sans parler de bonheur, l’animal apparaît dans des dispositions de bien-être. Nous dirons queles signes de contentement sont proportionnels au degré de conscience dont dispose l’être vivant. L’homme ainsi est apte au bien-être parce qu’il a conscience de lui-même. Pour être heureux,encore faut-il être capable de se penser heureux. Un bonheur n’est pas dans l’indifférence. En admettant que des conditions sont à réunir pour être heureux et qu’elles le sont, peut-on parler debonheur si l’on ne se sait pas heureux ? Ainsi, notre première conclusion est de dire que le bonheur est accessible à condition de pouvoir en avoir conscience, et l’homme répond à cette…

Compo histoire

Innovation et Futur

[pic] : Institut National de Recherche en Informatique et Automatique.

Il travaille à Rocancourt dans une équipe de recherche appelée IMARA (Informatique,Mathématiques et Automatique pour la route automatisée).

Les Chercheurs sont recrutés après la thèse, ils doivent avoir fait 8 ans d’étude après le bac et donc avoir un Bac+8. Il n’y a pas de journée typepour un chercheur.
C’est un métier que l’on fait par passion, car on est curieux et que l’on aime découvrir de nouvelles choses.
Ils encadrent parfois une personne en doctorat et travaillentbeaucoup dans des projets européens.
Le rôle du chercheur est de montrer la possibilité de la réalisation, de l’étudier, de collaborer avec des industriels et des autres chercheurs dans un projeteuropéen.
Des exemples de collaboration : Cybercars, avec Fiat, Robosoft, des centres de recherches comme Teno et des Universités comme celle de Bilbao, Sydney, Shanghai et Tokyo.

|La voitureCybercars contient : | ||un GPS qui permet de connaître la position de la voiture sur le Globe terrestre, ||
|un récepteur pour capter les informations des satellites, |[pic]|
|des cameras vidéos numériques pour recueillir des images de la route, détecter les obstacles, suivre les lignes ||
|blanches et reconnaitre les panneaux routiers, |[pic]…

Merise

MODELISATION SYSTEMIQUE DE L’ENTREPRISE

Fonctions du SI dans l’Entreprise
Le Système d’Information est • Destiné au système de pilotage • Destiné au système opérant • Conçu à l’initiative dusystème de pilotage

Un Système est un ensemble d’éléments organisés autour d’un but, et dont la modification d’un constituant entraîne la modification d’une partie, ou de l’ensemble des constituantsdu système.

Informatisation du Système d’Information
• Deux sous – systèmes: • Système d’Information Organisationnel • Système d’Information Informatisé

La Méthode MERISE

• • • •Création: 1978 – 1979 Objectifs: Modélisation et conception de SI Projets de toutes tailles Secteur Public ou Secteur Privé

• Méthode la plus employée en France

Concept de la méthode
• Une approcheglobale permettant :
– une analyse par niveau de préoccupation – un dialogue entre les différents acteurs de l’évolution du SI – la validation des modèles obtenus

• Une démarche définissant lesétapes de la vie du système d’information et leur contenu :
– modèles, formalismes, normes – pré-requis et résultats – décisions possibles

La Méthode MERISE
• Démarche articulée autour de troiscycles:

Le Cycle de Vie – Etapes
• • • • • • • Le schéma directeur L’étude préalable L’étude détaillée L’étude technique La réalisation La mise en oeuvre La maintenance

PROJET

Schéma Directeur• Définition des domaines d’études. • Planification du développement de chaque domaine. • Evaluation des moyens en personnel et matériel. • Mise en œuvre de la méthode.

Le Cycle de Vie – Etapes• • • • • • • Le schéma directeur L’étude préalable L’étude détaillée L’étude technique La réalisation La mise en oeuvre La maintenance

PROJET

Etude Préalable
• Objectifs:
– Analyse –Elaboration de Solutions – Evaluation des Solutions

• Phases:
– – – – – Lancement Analyse de l’existant Conception de solutions Evaluation des solutions Dossier de choix

Etude Préalable -…

Essai sur la solitude

Dissertation : Qu’est ce qu’un homme seul ?

La solitude que peut ressentir un homme privé d’autrui n’est pas un simple sentiment, exprimable « d’emblé » comme la colère ou la peur, c’est d’abordun fait d’être. Et de ce fait d’être seul naît le sentiment de solitude à partir du moment où l’individu prend conscience du schéma dans lequel il est et, qu’instinctivement, il se remet en question(questions existentielles de type : « pourquoi suis-je seul le soir du 31 décembre ? Pourquoi ne m’aime-t-on pas ? » etc.) . On peut alors se demander : comment s’exprime la solitude chez l’homme ?Quels sont les aspects d’un homme seul ?
D’après les idées de certains penseurs, nous verrons de façon progressive ce qu’est un homme seul au sens absolu du terme, puis au sens relatif (remise enquestion des idées communes de la solitude). Enfin, nous tenterons d’étudier le sujet d’un point de vu plus « universel » en se questionnant notamment sur la place qu’a eu et qu’a actuellement l’homme seuldans les sociétés humaines.

I°/ Comment définir la notion d’homme seul ?

1/ Un homme seul est privé d’autrui (M. Tournier, G. Deleuze)

Selon toute vraisemblance, un homme seul est un hommeprivé d’autrui. Cette théorie, soutenue par Miche Tournier (Les Robinsonnades) propose l’idée qu’autrui n’est pas un simple « autre moi-même », mais un repère quant à la perception. Tournier montre, parle personnage de Robinson, qu’autrui est un élément constructif de sa personnalité et de son équilibre car il représente d’autres points de vue du sien propre. A ce titre, l’exemple connu de Robinsonmet en lumière cette dernière idée ; Robinson est seul sur l’île, il perd la présence d’autrui. Du coup, son esprit perd également la « structure du plan perceptif » (Gilles Deleuze) c’est-à-dire lavision qu’autrui a du monde et qui reflète sur Robinson, qui lui indique telle ou telle chose. Robinson a alors l’impression que, ce qu’il ne voit pas depuis là où il se trouve sur l’île, n’existe…

Analyse de « les croix de bois » de roland dorgeles

1/Faites un court résumé au présent de ce livre
2/Dressez le portrait de deux personnages de votre choix
3/Quels thèmes vous ont paru important? Pourquoi?
4/Donnez vos impressions argumenté surl’oeuvre

1/ Dans ce livre on suit Jacque Larcher et son escouade à travers la grande guerre, l’auteur nous montre, avec beaucoup de réalisme qui peut s’avérer parfois choquant, tout ce qui faitl’horreur de la guerre: les gaz, les bombardements les mort… mais aussi tout ce qui permet au soldat de tenir: la fille que l’on voit passer, le trou dans lequel on fait son lit, la nourriture , lescopains…
Bien que ce livre traite d’un sujet horrible, Roland Dorgeles nous fait comprendre que c’était le bon temps.

2/ Bouffioux:
J’ai choisi Bouffioux car il estassez décris et que c’est celui qui ajoute du comique au texte (exemple: Bouffioux fait de la cuisines, fin du chapitre 4)
C’est un poilu comme les autres mais il se détache dugroupe grâce à son physique imposant, en effet il est bien portant.Il est assez peureux (attention je ne le critique pas car je ne sais comment je serais à sa place) et assez crédule. Il sait faire tousles métiers du monde quand il sagit d’aller au front: cuisiniers, cycliste…C’est ce qui le rend si comique.

Demachy:
J’ai choisi Demachy car c’est le symbole del’héroïsme de l’histoire et un grand ami du narrateur.
Gilbert Demachy, juriste dans le civil, est presque la caricature du soldat héroïque: il va jusqu’au bout de l’histoire et nemeurt qu’à la fin de l’histoire en étant très décri par le narrateur; il fait aussi preuve de compassion devant ses camarades morts au combat (voir la mort de Bréval chapitre 8) et félicite les blessés.3/ Il y a bien sur le thèmes de la guerre car c’ est celui que traite l’auteur durant pratiquement toute l’histoire mais il y a aussi la vie des poilu après la guerre: comment il se souvienne…