La maison de claudine

Dans le chapitre 1 Colette présente la maison et le jardin de son enfance. Elle essaye de retrouver les traces de son passé et de ses jeux avec ses frères. Elle croit encore entendre la voix de samère cherchant ses enfants dans le jardin.

« Où sont les enfants ? » Elle surgissait, essouflée par sa quête constante de mère chienne trop tendre, tête levée et flairant le vent. Ses bras emmanchésde toile blanche disaient qu’elle venait de pétrir la pâte à galette, ou le pudding saucé d’un brûlant velours de rhum et de confitures. Un grand tablier bleu la ceignait, si elle avait lavé lahavanaise, et quelquefois elle agitait un étendard de papier jaune craquant, le papier de la boucherie ; c’est qu’elle espérait rassembler, en même temps que ses enfants égaillés, ses chattes vagabondes,affamées de viande crue…
Au cri traditionnel s’ajoutait, sur le même ton d’urgence et de supplication, le rappel de l’heure : « 4 heures ! ils ne sont pas venus goûter ! Où sont les enfants ?…» « 6 h 30 ! Rentreront-ils dîner ? Où sont les enfants ?… » La jolie voix, et comme je pleurerais de plaisir à l’entendre… Notre seul péché, notre méfait unique était le silence, et une sorted’évanouissement miraculeux. Pour des desseins innocents, pour une liberté qu’on ne nous refusait pas, nous sautions la grille, quittions les chaussures, empruntant pour le retour une échelle inutile, lemur bas d’un voisin. Le flair subtil de la mère inquiète découvrait sur nous l’ail sauvage d’un ravin lointain ou la menthe des marais masqués d’herbe. La poche mouillée d’un des garçons cachait lecaleçon qu’il avait emporté aux étangs fiévreux, et la « petite », fendue au genou, pelée au coude, saignait tranquillement sous des emplâtres de toiles d’araignée et de poivre moulu, liés d’herbesrubanées…
– Demain, je vous enferme ! Tous, vous entendez, tous !
Demain… Demain l’aîné, glissant sur le toit d’ardoise où il installait un réservoir d’eau, se cassait la clavicule et…

Politique prix

La politique de prix

Définition et commentaire
Le marketing c’est la transformation de la satisfaction du consommateur en profit à long terme pour l’entrepriseLe besoin c’est un sensation de manque que ne l’on peut pas créer et qui est nécessaire à la survie de l’individu.
Voici la pyramide de Maslow :

• Le prix est unélément de marketing qui influence toute l’entreprise et principalement la vente, la finance, les RH, les actionnaires, la production, les achats, la recherche et biend’autres…
• Le prix est présent à 2 niveaux :
o Marketing MIX : 4 P
o Trade Marketing : Condition Général de Vente(CGV), Echange de Données Informatisé

Le Trademarketing c’est l’ensemble des relations entre une entreprise et ces distributeurs.
Ex : mise en place d’un challenge, chez canon il lance des concours entre différentrevendeurs et envoies leur meilleurs commerciaux en vacances a New York.

?
Les 4P ou 4C sont 25% des efforts sur prix :
? Custumer value
o Qualité et style, marque,conditionnement et taille , garantie SAV, fonctionnalité et caractéristique
? Cost to customer
o Rabais Remise Ristourne, CGV, condition de paiement, crédit
? Rabais :c’est quand il y a une problème sur le produit( défaut, expo…)
? Remise :c’est sur grande quantité
? Ristourne : c’est à la fin de l’année sur le volume vend
?Convinience
o Canaux, zone de chalandise
? Communication
o Promotion, image, notoriété

Le prix n’est pas une constante
Le prix n’est pas un syllogisme
C’est unevariable relationnelle et immédiate.

Interdiction formel de vendre a perte
Autres :
• Les groupes sociaux de pression
• Regarder les prix de substitution

Les limetes de la mondialisation

Chapitre 2 : Les limites de la mondialisation

L’inégal développement

Qu’est ce que le développement ?

Le développement est l’ensemble des processus socio-économiques apportant aux hommes plus de sécurité et une plus grande satisfaction des besoins. Ces progrès doivent être accessibles à une majeure partie de la population. Pour qu’il y ait développement, il faut qu’il y ait unecroissance économique soutenue, durable et forte. Mais la croissance ne suffit pas. Ce développement se mesure par l’IDH sous forme d’indices allant de 0 à 1. Cet IDH prend en compte 3 indicateurs : PIB/hab, taux d’alphabétisation et de scolarisation et l’espérance de vie à la naissance.

Mise en évidence des inégalités Nord/Sud

Le Nord est l’ensemble des pays développés. Ce Nord dispose d’un IDHélevé (supérieur à 0.8). Le Nord possède un taux d’alphabétisation, de scolarisation et une espérance de vie à la naissance forte. De plus, ce Nord a une population qui vieillit et un taux d’accroissement naturel faible. Certains pays du Nord ont même un accroissement naturel négatif (ex : Russie).
Les pays du Sud, quant à eux, ont un IDH inférieur à 0.8, ils sont moins riches et donc tous lescritères de l’IDH sont faibles, inversés par rapport aux pays du Nord. Leur expansion démographique est forte, et certains sont même en transition démographique.
De nouveaux critères peuvent être pris en compte pour déterminer le niveau de développement d’un pays, comme par exemple les équipements en infrastructures (ex : autoroutes).

Des Nords et des Suds

On distingue tout d’abord de plus enplus de différences entre les pays du Sud. Le développement d’un pays vient de sa capacité à s’intégrer, à profiter de la mondialisation. Les pays émergents ont réussi à s’intégrer à la mondialisation, à en profiter (ex : Brésil, Chine). En revanche, les PMA (pays les moins avancés) comme l’Afrique subsaharienne sont les pays les plus pauvres et les moins intégrés à la mondialisation. « Lamondialisation ne suscite pas le développement. Elle peut juste l’accélérer. »
De plus, au sein de chaque pays, il y a aussi des inégalités, des régions, des parties de la population profitent de la mondialisation et d’autres parties de la population, d’autres régions n’arrivent pas à se développer. Par exemple, en Chine, seule la partie du littoral profite de la mondialisation ou encore, même dans lespays riches, il y a des pauvres. La mondialisation peut donc exclure.
Mondialisation ou pas, le monde apparaît de plus en plus inégal, complexe.

D’autres logiques et d’autres acteurs

Mondialisation et civilisation

Une civilisation est un groupe de personnes qui partage les mêmes valeurs et le même mode de vie. Il y a donc passé commun et traditions communes. Une civilisation est trèssouvent associée à une religion.
Le monde apparaît comme différent. Il y a civilisations principales : le christianisme, le monde musulman et le bouddhisme. Ces religions entraînent des modes de vie différents. On constate aujourd’hui un réveil religieux.
La mondialisation est également un facteur d’uniformisation des modes de vie. L’uniformisation est due au commerce, aux échanges, à lapublicité, à l’information, et elle se fait par le biais de firmes multinationales (ex : Coca-cola). Même si le produit de base est le même, on retrouve quelques différences par rapport au pays. La conséquence est que l’on assiste donc de plus en plus à un métissage culturel mais aussi à une réaction identitaire en retour.

Mondialisation et état

La mondialisation entraîne une perte d’influence desétats (ex : organisation régionales (ALENA) supranationales ayant une pouvoir économique au-dessus d’un état ; ONU, OMC ou FMI ; ONG dans les pays les plus pauvres peuvent imposer leurs lois ; firmes multinationales qui sont indépendantes et donc au-dessus des états ; les paradis fiscaux, les trafiquants qui montrent l’exclusion des états).
Mais le rôle de l’état reste important. Il est le…

Subprimes aux usa

Table des matieres

1. Synthèse de la crise 2

1.1. Un total de 500 milliards de perte et 300 milliards de recapitalisation 2
1.2. Colère et stupéfaction des épargnants 3
1.3. Les premières nationalisations, au Royaume-Uni, en Belgique et aux États-Unis 3
1.4. Les banques d’affaires américaines obligées de se restructurer après la faillite de Lehman Brothers 4
1.5. Degigantesques plans de sauvetage dans de nombreux pays 4
1.6. Le rôle des rehausseurs de crédit 5
1.7. Le rôle des agences de notation 5
1.8. Le rôle des règles comptables 5
1.9. Le rôle des produits financiers complexes 6

2. Causes invoquées 6

3. Aux Etats-Unis 8

3.1 Croissance du marché des subprimes 8
3.2 Déclenchement de la crise du subprime 8
3.3 Effet de contagion sur lesystème bancaire américain 9
3.4 Réaction du gouvernement américain à l’été 2007 9

4. La généralisation de la crise 10

4.1 Transmission de la crise par la titrisation 10
4.2 Transmission par les fonds d’investissement 11
4.3 Engagements indirects des banques 11

5. Épilogue judiciaire 11

6. Conséquences 12

7. Lexique 13

Crise des subprimesSynthèse de la crise

La crise des subprimes[1] s’est déclenchée au deuxième semestre 2006 avec le krach des prêts immobiliers (hypothécaires) à risque aux États-Unis (les subprimes), que les emprunteurs, souvent de conditions modestes, n’étaient plus capables de rembourser. Révélée en février 2007 par l’annonce d’importantes provisions passées par la banque HSBC, elle s’est transformée en criseouverte lorsque les adjudications périodiques n’ont pas trouvé preneurs en juillet 2007. Compte tenu des règles comptables en cours, il est devenu impossible de donner une valeur à ces titres qui ont dû être provisionnés à une valeur proche de zéro. En même temps, les détenteurs ne pouvaient plus liquider leur créance. La défiance s’est installée envers les créances titrisées (ABS[2], RMBS[3], CMBS[4],CDO[5]) qui comprennent une part plus ou moins grande de crédits subprime, puis envers les fonds d’investissement, les OPCVM [6](dont les SICAV [7]monétaires) et le système bancaire susceptibles de détenir ces dérivés de crédit.
Cette crise de confiance générale dans le système financier a causé une première chute des marchés boursiers à l’été 2007 provoquée par un arrêt temporaire de laspéculation. Le trouble était désormais localisé dans le marché interbancaire qui permet le refinancement des banques. La méfiance dans la liquidité des « collatéraux » et l’incertitude sur la localisation des titres contaminés ont progressivement bloqué les relations interbancaires et commencé à mettre en difficulté nombre de banques à travers le monde. Les autorités ont d’abord cru à une crise deliquidité bancaire et les banques centrales n’ont cessé d’injecter massivement des liquidités dans le marché interbancaire. Le feu va ainsi couver jusqu’à ce que les premières faillites apparaissent, puis gagnent les premiers rôles de la finance internationale en septembre 2008.

1 Un total de 500 milliards de perte et 300 milliards de recapitalisation

À partir de l’été 2007, les banques du mondeentier ont dû passer chaque trimestre dans leurs comptes des dépréciations de la valeur de leurs actifs liées aux subprimes, en particulier les ABS et les CDO. De l’été 2007 à l’été 2008, ces dépréciations ont totalisé 500 milliards de dollars américains, ce qui a fait chuter d’autant les capitaux propres des banques. Certaines ont épongé ces pertes grâce à des augmentations de capital, en vendant enBourse de nouvelles actions.
Ces augmentations de capital ont totalisé 300 milliards de dollars de la mi-2007 à la mi-2008. Plusieurs fonds souverains, de pays asiatiques notamment, ont ainsi pris des participations significatives au capital des grandes banques américaines.
Mais ces recapitalisations sont restées inférieures de 200 milliards de dollars américains aux pertes constatées, une…

La production des grands hommes

La Grande Guerre (1914-1918)

I. L’engrenage des alliances et la crise de Juillet 1914

Il faut savoir distinguer causes profondes et causes immédiates du conflit.

I-1. Les causes profondes : les prémices de la guerre

I-1-a. Des rivalités internationales entre puissances européennes
A la veille de la 1ère guerre mondiale, les tensions sont très fortes en Europe. Ilexiste des rivalités entre la France, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie et la Russie. Ces tensions sont liées à des rivalités économiques et financières, ainsi qu’à un nationalisme exacerbé.
Les tensions les plus fortes ont lieu entre l’Allemagne et la France. Ces tensions sont de divers ordres :
• Economiques : ce sont deux puissances industrielles qui s’affrontent.
•Coloniales : la France et l’Allemagne s’affrontent au Maroc en 1905 (coup de Tanger) et 1911 (coup d’Agadir).
• Nationales : la France veut récupérer l’Alsace-Lorraine
• Militaires : l’affaire Dreyfus a montré l’ampleur de la rivalité franco-allemande avec pour principale conséquence une course au service militaire et à l’armement.
Il existe également des rivalités austro-russes sur le contrôledes balkans , ou encore des affrontements maritimes entre l’Allemagne et la Grande-Bretagne.
Toutes ces tensions sont autant d’antagonismes entre différents pays européens susceptibles de provoquer un conflit en Europe.

I-1-b. Les traités d’alliance
Pour faire face à ces tensions, les pays européens vont faire des rapprochements et des alliances.
• La 1ère alliance :
Dès 1879, sousl’impulsion de Bismarck, le chancelier allemand, l’Allemagne et l’Autriche-Hongrie constituent une alliance qui portera le nom de Duplice. En 1882, l’Italie rejoint cette alliance : on parle désormais de Triplice (contraction de Triple Alliance). Ils s’accordent alors protection mutuelle, ainsi qu’un appui total et inconditionnel.
• La réponse des autres pays européens :
La France s’inquiète decette alliance, elle semble encerclée. Elle entreprend alors de desserrer cet étau diplomatique : à partir de 1893, la France s’allie avec la Russie, puis elle signe une série d’accords de non-agression avec l’Italie à partir de 1900.
Le 8 Avril 1904, la France et la Grande-Bretagne signent l’Entente cordiale, qui met fin aux rivalités coloniales franco-anglaises. De plus, le 31 Août 1907, laRussie et la Grande-Bretagne signent un accord similaire qui met fin au différend anglo-russe à propos de l’Iran et du Moyen-Orient. Tous ces accords aboutissent à la formation d’un bloc qui s’oppose à la Triplice : la Tripe Entente.
Mais cette Tripe Entente parait moins solide que sa rivale, car l’Angleterre refuse une alliance formelle sur le plan militaire. Jusqu’en 1913, seules la France et laRussie sont engagées dans une coopération militaire. Ce n’est qu’à partir de 1913 que la Grande-Bretagne accepte d’ouvrir les négociations entre Etats-majors des armées des trois pays.

I-1-c. La course aux armements
A la veille de la guerre, les blocs se précisent et aggravent les tensions. Par le simple fait des conventions militaires, les pays alliés peuvent être entrainés dans un conflitarmé ; les puissances européennes craignent donc un déséquilibre dans la capacité de défense et d’attaque des différents pays. On assiste alors à une course aux armements.
L’Allemagne s’engage dans un programme d’armement naval : c’est une menace pour la primauté de la marine britannique.
En 1912 l’Allemagne est disposée à limiter son armement naval en échange de la neutralité de Londres,qui refuse. Suite à ce refus, la Grande-Bretagne décide d’accélérer son programme d’armement naval.
La France, elle, allonge la durée de son service militaire par la loi des 3 ans à partir de Juillet 1913.
Dans cette course aux armements, la Triple Entente à un avantage : l’énorme réservoir humain de la Russie, ainsi que de ses empires coloniaux.
I-2. Les causes immédiates :
En 1913,…

Georges de la tour

Georges de la tour est né le 14 mars 1593. Fils de Jean de La Tour et de Sibylle de Crospeaux il grandit à Vic-sur-Seille son village natal entouré de ses sept fréres et soeurs .
Cesdébuts restent malgré tout peu connus .Il débute une carièrre de peintre modeste. Il se serait inspiré des oeuvres de Caravage (peintre Italien maitrisant la technique du clair obscur) mais egalement de saconnaissance de l’œuvre de Terbrugghen (peintre hollandais). Il se marie le 2 juillet 1617 avec une fille de famille noble ,Diane le Nerf ,originaire de Lunéville . Ils s’y intallent ensuite . C’està partir de là que la carriére de George de la Tour connait un grand essort . Il peint des tableaux religieux, des scénes de genre ( scènes contemporaines et prises sur le vif.) et des tableauxréalistes sur des musiciens et des mendiants . Il devient bourgeois ,mais il ne parviendra jamais à devenir le peintre officiel du roi Henri II de Lorainne . Il fait partie du mouvement dit des classiques .En septembre 1838 Lunéville est victime d’un incendie .Il quitte donc la ville et part à Nancy avec sa famille .Puis il quitte la Lorraine et va sur Paris puisqu’en 1639 il yreçoit le titre de peintre ordinaire du roi ainsi qu’un logement au Louvre, le roi Louis XIII possédant une de ses oeuvres : Saint Sébastien soigné par Irène .

« Saint Sebastien » vers 1650(Gemaldegalerie ,Berlin)
Il termine sa vie à Lunéville ou il est retourné aprés la reconstruction de sa maison .
Le 30 janvier 1652 il meurt subitement lors d’une épidémie qui prendra aussi sa femme et sonvalet .
On retiendra de son oeuvre son style unique ainsi que sa prédilection pour des sujets nocturnes au cadrage serré et où la source de lumière n’est la plupart du temps qu’une chandelle,permettant souvent de reconnaître un tableau de sa main.

 » Joseph le charpentier » de George de la Tour ,peinte en 1643 est exposée et conservée au Musé Du Louvre a Paris .C’est une peinture à…

Allan poe

Edgar Allan Poe
Biographie

Edgar Allan Poe est un écrivain américain, poète, romancier et nouvelliste du XIXe siècle. Il a aussi travaillé comme critique littéraire et éditeur bien qu’il soitplus connu en tant qu’auteur. Il est, en effet, considéré – avec Jules Verne – comme l’un des précurseurs de la littérature de Science-fiction et du fantastique moderne. Ses nouvelles – Doubleassassinat dans la rue Morgue, La lettre volée, Le mystère de Marie Roget – figurent parmi les premières œuvres reconnues comme policières. Il est né le 19 janvier 1809 à Boston dans le Massachusetts et mortle 7 octobre 1849 à l’hôpital de Baltimore de congestion cérébrale. Il est le deuxième des trois enfants d’un couple de comédiens. Sa mère meurt en 1811 à l’âge de 24 ans de tuberculose laissant sesenfants orphelins; leur père alcoolique était aussi mort l’année auparavant de tuberculose. Sa sœur Rosalie est une handicapée mentale et son frère William Henry, meurt lui aussi à 24 ans, alcoolique ettuberculeux.

Orphelin à l’âge de 3 ans, il est confié à la charité de la bourgeoisie de Richmond, et il est adopté par la famille Allan, négociante de tabac, qui s’installe pour quelque temps àLiverpool; cette famille lui donnera son second prénom. L’Angleterre mystérieuse va impressionner l’enfant et lui donner le goût du fantastique macabre. Il suit des études classiques et littéraires. Àl’Université de Virginie, il commence à contracter des dettes de jeu et rompt avec son père adoptif qui refuse de les payer.

En 1834 , il connaît un premier succès en remportant un prix à unconcours organisé par le Saturday Visitor de Baltimore avec son récit Manuscrit trouvé dans une bouteille. Il entre au Souther Literary Messenger de Richmond et en deviendra rédacteur en chef en 1835. Maisl’alcool et les drogues le plongent dans des accès de dépression et il perd son emploi. Dix ans plus tard, il publie le Corbeau qui bouleverse le public. Poe connaît alors une courte période…

Aucun.

C’est complètement ringar ce que je vais te dire, aujourd’hui on ce base que sur des « wesh je te keaf » mais moi, d’un amour unique et simple je t’aime. J’ai très peu confiance en moi, etd’ailleurs je ne crois pas en moi, toi oui. Dans la vie il faut savoir être heureux, et aujourd’hui oui je le suis. Je sais je me pleins souvent, je rale le trois quart du temps, mais si j’étais pasheureuse je prendrais même pas la force de parler. Il faut beau dehors, les beaux jours arrivent. Il fait chaud aussi. J’aime bien l’été pas toi ? Tu t’en fou, tant pis. Moi j’aime bien ça parler pourne rien dire. C’est amusant non ? Ah tu préfère rire, vas y rigole va. Ah qu’est ce que t’es beau quand tu rigole. Quoi moi ? Amoureuse ? oui surement. Si je l’ai déjà été avant toi ? Mmmhquestion erroné ? J’ai le droit à un jocker ? Le public, choisi 51 % de non et 49% de oui, va pour non. si je mens ? bon d’accord oui je l’ai été et ça reste un souvenir assez douloureux. Mais j’ai pasenvie d’en parler, je vois même pas pourquoi on parle de ça. Pourquoi quoi ? Ah tu veux savoir ce qui te différencie de lui ? Pourquoi tu veux savoir ça ? Ne me dis pas rien ! Moi je saispourquoi, en faite tu veux savoir pourquoi toi ? tu vois tu peux rien me cacher. Beh c’est toi parce que c’est comme ça et pas autrement. Tu t’occupe de moi comme personne auparavent. tu mange avec moiparce que tu sais que tout peux flancher d’un moment a un autre. Tu sais que j’étais dans la merde et tu m’a aidé. Et malgré chacune de mes sautes d’humeurs t’es là a toujours t’occuper de moi. Etdes fois tu me dis que je suis la seule et l’unique, en faite je crois que c’est ça le plus beau, c’est le sourire que tu as quand je te dis que je t’aime, c’est tes yeux quand tu me regarde et cesta bouche quand tu m’embrasse. c’est mon petit coin de bonheur à moi. Bon revenons en a nos moutons. Quoi ? mais non on a pas de moutons c »ets une expression. N’importe où, n’importe quand. Nous.

Dogmes

Réflexions sur l’article « Dogmes » du Portatif
Sylvain Menant Université Paris-Sorbonne (Paris IV)- CNRS Cellf 17e18e ,UMR 8599

On partira de quelques observations sur le texte de l’article « Dolgmes » du portatif pour aller vers une mise en perspective de cet article dans l’ensemble du recueil et dans l’ensemble de la pensée de Voltaire, marquée par une relation complexe à l’altérité. Il nefaut pas perdre de vue que les articles du Portatif ne sont pas des textes indépendants, même s’il sont sans doute pour la plupart été composés indépendamment les une des autres, et non d’affilée. « Dogmes » constitue un des ajouts de 1765. J. M. Moureaux qui a édité ce texte dans la savante édition des Oeuvres Complètes publiées à Oxford ( 1994, volume dirigé par Ch. Mervaud) se demande pourquoile texte ne figure pas déjà en 1764 dans la première édition du Portatif , puisque la critique interne permet de conjecturer qu’il était écrit dès 1763. On peut proposer un réponse à cette intéressante question : c’est que Voltaire a soigné les effets de composition dans le volume de 1764, et prend des précautions pour ne pas froisser un public à la fois sceptique et respectueux de l’ordreétabli. Les attaques se radicalisent dès 1765, après le succès qu’a connu la première édition, car Voltaire s’adresse maintenant à un public plus large avec lequel il faut être moins elliptique. Dans l’édition Varberg de 1765, l’enchaînement se fait avec l’article Dieu, qui lui est présent dès 1764. Cet article se termine par une mise en garde amusante contre les disputes métaphysiques. L’article «Dogmes » apparaît alors comme une radicalisation dramatisée de cette attitude : les dogmes, désignés par leur nom théologique, sont qualifiés en conclusion d’ « idées creuses », et cette condamnation est préparée dans l’esprit du lecteur par une série de mises en scène expressives. Le Portatif est l’œuvre d’un vieil écrivain : Voltaire a soixante-dix ans en 1764, et il écrit depuis beaucoup plus d’undemi-siècle. Il a acquis une immense culture, celle d’un lecteur infatigable et curieux, à la fois familier des écrits du passé et de l’actualité littéraire. Tous les textes du Portatif fourmillent donc de renvois à des savoirs divers, et aussi d’échos de ses oeuvres antérieures. Il y a un matériau voltairien, sans cesse repris et réutilisé, que les lecteurs du temps reconnaissent comme tel, etutilisent pour attribuer au patriarche des oeuvres anonymes comme le Portatif. Il faut donc aujourd’hui lire le texte avec un arrière-plan formé des lectures de Voltaire et de ses autres œuvres. Les références, ici, renvoient , du côté des sources, au Coran et aux Hadiths, ces commentaires ou compléments du Coran, à la légende dorée, aux historiens latins, à Brantôme, à Bayle, à Calvin, àl’Encyclopédie, mais aussi, dans l’œuvre de Voltaire lui-même, à La Pucelle, La Philosophie de l’Histoire ou à l’Essai sur les mœurs. Toutefois, ce qui n’a pas été signalé jusqu’ici, la source essentiel qui fournit son inspiration et son mouvement au texte est l’Apocalypse de Jean, visions prophétiques des chapitres 4 et 7. L’apôtre Jean, un des premiers disciples de Jésus, envoie aux premières communautéschrétiennes d’Asie le récit d’une vision qu’il a eue dans l’île de Patmos. C’est un texte familier non seulement à Voltaire, lecteur assidu quoique critique de la Bible au moins depuis Cirey, mais aussi à ses lecteurs qui fréquentaient inévitablement les églises, où des passages du texte de Jean étaient lus, comme aujourd’hui, au moins une fois dans l’année. Le texte de l’Apocalypse fournit au texte deVoltaire son ton exalté, le cadre d’une vision, la présence de trônes, celle d’une foule immense rassemblant l’humanité. Il s’agit dans les deux textes d’un tableau du jugement dernier, de la fin de l’Histoire. Les éléments bibliques sont repris ici dans une intention satirique évidente, mais aussi pour donner une sorte de solennité au jugement que l’écrivain va porter sur les peuples et…

Constructions en treillis

Constructions en treillis

SOMMAIRE

A.Généralités

.Introduction

.Terminologie

A2.1. Poutres en treillis
A2.2. Les fermes

.Dispositions constructives

A3.1. Fermes traditionnelles et constructions soudées
A3.2. Comparaisons entre les assemblages soudés, mivés ou boulonnés.

B.Calcul des systèmes réticulés.Introduction

.Définition
.Hypothèses de calcul

.Méthodes de calcul des efforts dans les systèmes triangulés

.But et moyens
.Méthode graphique : Cémona
.Méthode de culman
.Méthode manuelle : Ritter

.Calcul des ossatuves triangulées extérieurement hyperstatiques

.Exemples des ossatures.Exemples de calcul

.Dimensionnement des barres

.Barres soumises à la traction
.Barres soumises à la compression
.Exemples

.Justification de goussets

.Principe de vérification
.Goussets sans flexion
.Goussets avec flexion

A – GENERALITES :

A1 – INTRODUCTION

Les constructions métalliques, faitesd’assemblages de profilés (L,T,I) par rivets, boulons, soudure, pour la construction de ponts, charpentes, grandes poutres, pylône, etc…, sont réalisées généralement avec des « systèmes triangulés » (éléments à treillis) fig. 1.

Alors que les éléments simples en profilés et les portiques travaillent en flexion, les éléments à treillis reprènenet les charges essentiellement par des efforts normaux: traction ou compression.

Bien que leurs formes ne soient pas idéales pour le flambement servent (voir RT n°) les cornières sont le plus souvent utilisées en raison des facilités qu’elles donnent pour les assemblages. Lorsque leurs sections deviennent insuffisantes, d’autres profilés U, I ou H peuvent être employés.

La généralisation de l’emploi de profilés, en général moins coûteux en main- d’oeuvre, a diminué le nombre des éléments en treillis. C’est ainsi que les poteaux et les pannes ne se font que rarement en treillis. Par contre, les fermes en treillis restent plus économiques, d’autant que leur exécution est devenue moins onéreuse avec le banc de perçage, les machines de production et de perçage des goussets… Elles ont l’avantage d’assurer l’encastrement des poteaux avecune inertie plus importante que celle d’une traverse de portique.

Elles subsistent donc lorsque l’esthétique est sans importance, lorsque le dégagement de l’espace du comble n’est pas utile ou encore si un plafond est prévu au niveau des entraits. D’autres éléments sont également prévus en treillis : les contreventements notamment en toiture, les pylônes etc…

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Bâtiment en Treillis[pic]

Pylônes électriques

Fig – 1- Exemples d’éléments à Treillis

A2 – Terminologie :

A2-1 – Poutres en treillis :

Dans ce genre de poutres, l’âme est remplacée par un système de triangulation à base de plats, cornières, tès, tubes etc…

La partie supérieure, formant l’encadrement, se nomme membrure supérieure ou extrados, et la partie inférieure se nomme membrureinférieure ou intrados.

On notera que les membrures peuvent être parallèles cas des poutres à inertie constante, en queue de billard ou galbée symétrique ou non, cas des poutres à inertie variable.

L’ensemble de la triangulation formant les membres est appelé étrésillon, les éléments verticaux prennent le nom de montants et les parties inclinées celui de diagonales.

On distinguedifférentes formes de poutres :

1. Poutres en N dites de Pratt ou de Howe :

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1. Poutres en V dites de VARREN
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1. Poutre en X dites en croix de St André :

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1. Poutre en K :

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1. Poutres paraboliques dites de Bow-String :

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1. Poutre Schwedler :

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A2-2 – Les fermes :

Les fermes sont les poutres maîtresses d’un toiture. Elles sont…