Ist et adolescents

Parallèlement au développement des diverses campagnes de prévention des IST, la sexualité reste toujours très présente dans les médias. En ce qui nous concerne, nous ne pensons pas que cela constitueobligatoirement une cause de comportement à risque chez les adolescents mais peut influencer leurs comportements. Cependant, il parait judicieux d’étudier ce paradoxe.

I) Prévention des IST dansles médias

Vidéos : Prévention :
se protéger c’est bien, bien se proteger c’est mieux
Gars qui se fait renverser
Zizi folie
(Balle dans la tête)
(Sablier)

A travers ces différentsspots, différents moyens sont mis en œuvre pour marquer le spectateur : l’humour, des images chocs, la peur, des images émouvantes.

Dépistage :
ancienne et nouvelle

La campagne de publicitéde 2010 semble désormais plus accès sur le dépistage et les moyens de lutte contre le sida

Spot radio : parlez-en comme vous voulez mais parlez en (2spots)
Ce genre de spot avec un ton plutôthumoristique permet de ne plus considérer le préservatif comme un sujet tabou.

Musique : Raggasonic + autre
Certains artistes à travers leurs paroles essaient de sensibiliser les jeunes par rapportaux dangers des ist

Affiche : 2 affiches ist

Site internet :
Beaucoup de sites internet accessibles à tous

Nous voyons à travers ces vidéos / affiches / publicités que le public visé estessentiellement jeune. En effet, le langage utilisé, les couleurs assez pétantes et les traits d’humour récurrents nous permettent de pensé que les adolescents sont directement ciblés.
Cf.descriptions pendant projection.

II) La sexualité dans les médias

Vidéos : montage différents programme regardes particulièrement par les jeunes
série : skins, physique ou chimie
film : American pie,super grave
autre : 12 cœurs (jeu télévise)
publicités : axe

A travers ces différents extraits nous voyons que même si ces programmes sont destines a un public adolescent les référence au sexe…

Cafe

LE MARCHE DU CAFE

Ce TD est conçu à partir du mémoire de MONTEILLER Laetitia Date de création : 01.06.2005 les opportunites du marché du café pour le consulter en entier cliquez ici : http://librapport.org/getpdf.php?get=410

PARTIE I – LE DOSSIER DOCUMENTAIRE :
*
*I – LES INDICATEURS ECONOMIQUES

1- La segmentation du marché du café*
**
a – La segmentation selon le mode deproduction

Le marché du café peut être segmenté en fonction de deux modes de production principaux : la torréfaction et la fabrication de café soluble.
Le café torréfié est le principal segment du marché des boissons chaudes avec plus d’un milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2002 réalisé auprès de la grande distribution (cumul annuel mobile à août 2002). Concurrencées par les autresboissons chaudes (thé, chicorée, mélanges, poudres chocolatées) et les boissons sans alcool, les ventes de café torréfié ont toutefois diminué de 2 % en valeur en 2002.
Le café soluble constitue le second segment de marché. Ce dernier représentait près de 427,7 millions d’euros en 2002, en hausse de 3,8%.

b – Segmentation selon la matière première utilisée

Jusqu’en 1993, les cafés issusde mélanges de variétés robusta/arabica dominaient le marché français.
En 2002, les cafés dit 100% arabica étaient en tête des ventes avec 69,7% du marché du café torréfié en valeur (CAM novembre 2002). Cette variété est très appréciée pour ces qualités gustatives.
Le robusta représentait pour sa part 23,5% des ventes de café torréfié.
Quand aux décaféinés, ils restent toujours marginaux etne représentent que 6,8% du chiffre d’affaire en baisse de 4,3%.

**2- La demande*

a – Le marché mondial

La croissance moyenne du marché du café dans le monde, sur les dix dernières années est à peine de 1 % l’an. Une quantité d’environ 100 millions de sacs est écoulée chaque année sur le marché mondial considéré comme mature.
Certaines innovations technologiques et actionsmarketing sont susceptibles de créer des niches de marché. Ces phénomènes sont susceptibles de stimuler çà et là le marché. En effet, alors que la consommation de café courant tend à diminuer d’1% par an, une nouvelle tendance de la consommation semble poindre ; celle des cafés d’origine ou de spécialités gourmandes comme le cappuccino. Cette nouvelle consommation augmente de 2.5 % et se concentreprincipalement dans les pays développés.
Les principaux pays exportateurs sont le Brésil, la Colombie, et le Vietnam qui, à eux trois, représentent plus de la moitié de l’offre mondiale de café. Cette position de poids leur permet d’infléchir sur la cotation de prix du café, et par conséquent sur l’évolution des cours mondiaux.
Les pays occidentaux sont les principaux consommateurs de café. Le caféest néanmoins consommé dans les pays producteurs. Mais il s’agit souvent de café de moins bonne qualité ou de café instantané. En matière de consommation, le Belge se profile comme un grand buveur de café. Chaque année, le Belge consomme en moyenne 5,23 kg de café torréfié. A l’échelle européenne, plus l’on grimpe vers le nord, plus la consommation de café est élevée. C’est en Scandinavie quel’on relève les chiffres de consommation les plus élevés au monde, de 11 à 13 kg de café en moyenne.

Le marché européen
La croissance de la consommation de café a tendance à augmenter légèrement, même si 1998 a été une année noire, en particulier dans le plus gros pays consommateur :l’Allemagne. Le café représente 20 % des boissons, pour une consommation annuelle par habitant qui était de5.81 kg. Malgré une légère augmentation, la tendance générale est également à la perte d’un public jeune, amateur lui aussi, comme outre Atlantique, de boissons gazeuses.
La France et l’Allemagne sont les deux plus gros consommateurs européens, cependant les pentes de deux plus gros marchés européens connaissent des destinées différentes. Alors que le marché allemand stagne, voir amorce un…

Politique de la bce face a la crise

Réponses de la BCE face à la crise

Intervention de Jean-Claude Trichet, Président de la BCE
European American Press Club
Paris, le 20 février 2009

Mesdames et Messieurs,

Permettez-moi toutd’abord de remercier le European American Press Club d’avoir organisé cette rencontre-débat et de me donner l’occasion de partager avec vous quelques réflexions sur les turbulences financières. Jedécrirai, dans ce contexte, les mesures prises par la Banque centrale européenne.

J’ai eu l’honneur de m’adresser à vous en janvier 2005 et j’avais alors abordé les succès et défis de l’euro. Depuis,la zone euro s’est élargie à quatre nouveaux pays. Aujourd’hui, 329 millions de citoyens européens partagent la même monnaie.

Les turbulences financières se sont fortement intensifiées enseptembre dernier et se sont propagées rapidement du secteur financier à l’économie réelle. En vous faisant part de mes réflexions à ce sujet, je rappellerai le rôle du cadre opérationnel de l’Eurosystème,qui regroupe la Banque centrale européenne et les banques centrales nationales de la zone euro, je décrirai les mesures mises en œuvre par la Banque centrale européenne pour faire face à cette situationdifficile et sans précédent, et je soulignerai le rôle de la coopération internationale entre banques centrales.

Les turbulences actuelles constituent un défi majeur pour le système financier dansson ensemble ainsi que pour les responsables de la politique économique et les autorités de régulation à travers le monde. Depuis août 2007, les banquiers centraux s’attachent à gérer l’accroissementde la volatilité et des risques sur les marchés de capitaux, dans un contexte qui s’est profondément dégradé en septembre et octobre derniers. À cette période sont intervenues la fermeture effectivede plusieurs segments de marchés et la faillite d’une institution financière d’importance systémique.

L’objectif principal de la Banque centrale européenne est de maintenir la stabilité des prix…

Confiance en soi

Dossier confiance en soi

La confiance en soi a un rôle plus important lorsque l’on rencontre une personne avec laquelle on entretient un lien de familiarité.

Pour Madame Ponelle

Année 2010/2011

Introduction

La performance sportive des athlètes dépend certes de la préparation physique et de l’entrainement mais pas seulement, en effet de nos jours un travail très important est faitsur la préparation appelée mentale de l’athlète.

On a découvert que le fait de travailler sur le plan psychologique avec les sujets avait de grandes influences sur la performance. C’est pourquoi l’on cherche à perfectionner la préparation des athlètes en faisant des recherches, en se posant des questions sur des axes précis de la psychologie. Le dossier réalisé ici s’appui sur la confiance ensoi pour tacher de confirmer ou contredire l’hypothèse suivante :

La confiance en soi a un rôle plus important lorsque l’on rencontre une personne avec laquelle on entretient un lien de familiarité.

Ici on met en évidence la relation humaine entre adversaire et surtout que celle-ci a une grande importance lors d’une rencontre en compétition. On ne joue pas contre une machine mais un êtrehumain avec lequel on entretient une relation certes de rivalité mais elle a son importance dans le déroulement de la partie. Le plus souvent on ne connait pas la personne que l’on va affronter. On la connait quelque fois de réputation, on apprend quelque fois à la connaitre dans la rencontre, comme par exemple au tennis, au changement de coté il arrive que les joueurs discutent ce qui est trèsappréciable et permet de diminuer l’anxiété. Toute fois on peut tout à fait se retrouver en compétition contre un ami, une personne avec laquelle on s’entraine régulièrement ou même quelqu’un qui est de notre famille. Dans cette situation comment les joueurs envisagent le match ? La confiance en soi a-t-elle un rôle plus important, soit est-ce le mental qui déterminera le vainqueur ou au contrairel’aspect psychologique est il moins présent et se serait donc uniquement la technique et l’endurance qui entre en jeu ?

Méthode

Présentation de l’outil

Pour tacher de répondre a ce problème nous avons utilisé le test suivant : L’Echelle d’Etat d’Anxiété a la Compétition (EEAC). C’est un test qui date de 1990 et qui a été inventé par Martens, Vealey et Burton dans la version original. Il aensuite été traduit et validé par Pérès en 1996. Ce test nous permet grâce a 23 items de mesurer 3 composantes, la confiance en soi état, anxiété cognitive et l’anxiété somatique. Tout d’abord définissons ces 3 composantes :

– Confiance en soi état : c’est la conviction ou la croyance de pouvoir réussir ou non un comportement dérivé. C’est le sentiment de réussite d’espoir par opposition ausentiment d’échec ou de crainte vis-à-vis de résultat possible dans une tache particulière. Le fait que ce soit la confiance en soi état qui soit calculé signifie que les réponses données par le sujet sont en lien avec une situation, la confiance état est spécifique et transitoire. Pour cette composante, la valeur maximale possible est de 36 et la valeur minimale de 9

– Anxiété cognitive : ils’agit de préoccupations négatives que l’athlète peut ressentir avant la compétition, on peut observer une baisse de concentration des images négatives que l’athlète garde en tête. Pour cette composante la valeur maximale est de 28 et la valeur minimale et de 7

– Anxiété somatique : cette anxiété est caractérisée par des symptômes physiologiques ou corporels comme des tremblements, mainsmoite, nœud dans l’estomac. Pour cette composante les valeurs maximales et minimales sont identiques à celle de l’anxiété cognitive

Présentations des sujets

Pour obtenir des données expérimentales exploitables nous nous sommes appuyés sur les résultats aux tests de 3 sujets :

– Sujet 1 : 24 ans professeur d’EPS en très bonne condition physique il mesure 1m80 et pèse 78kilos, il…

Coursgea

ARTICLE

Entreprise et développement durable
Transformer leur politique de développement durable en avantage compétitif est désormais à la portée des entreprises, si celles-ci parviennent à aligner leurs ressources humaines, environnementales et financières.
Une voiture hybride au garage. Du café équitable dans les placards. Le thermostat du chauffage bien réglé. Des cartouches d’encrerecyclées pour l’imprimante. Ce qui était autrefois un cliché, celui du consommateur écologiste triant consciencieusement ses déchets, caractérise aujourd’hui un segment de population de plus en plus important, partout dans le monde. Cela signifie – pour les entreprises socialement responsables – qu’un seuil critique a été atteint. Et cela vaut tant pour les entreprises visant les consommateurs que pourle B to B. Des années durant, les produits «verts» étaient exclusivement destinés à des marchés de niche. L’emploi de composants, d’ingrédients, de produits ou de procédés plus respectueux de l’environnement sur l’ensemble de la chaîne de production se traduisait par des coûts plus élevés, et ces produits n’étaient finalement achetés que par les consommateurs les plus soucieux d’écologie. Maisaujourd’hui, les choses sont différentes. La dernière décennie a vu un changement profond s’opérer : hier encore, seul un petit nombre de personnes appelait à une meilleure gestion des ressources naturelles, à l’adoption de pratiques plus respectueuses de l’environnement, au commerce équitable ou à des « stratégies de durabilité » de la part des entreprises. Aujourd’hui, c’est le cas d’une largemajorité des consommateurs et des gouvernements à travers le monde. Changement climatique, consommation énergétique, conditions de travail, sécurité alimentaire, pollution ou gestion des déchets… Autant de questions qui ont aujourd’hui un poids décisif dans l’image que les entreprises produisent sur les consommateurs, les investisseurs, les autorités, les observateurs et les actionnaires. Le cabinetd’étude GlobeScan a montré, dans une enquête de 2007 sur les tendances sociales, que le facteur influençant le plus l’opinion des consommateurs sur les entreprises était leur attitude vis-à-vis de l’environnement. Les consommateurs prennent donc le problème au sérieux : 55% des personnes interrogées en Amérique du Nord ont affirmé avoir en quelque sorte puni les entreprises qu’elles jugeaientirresponsables. Aux Etats-Unis, les consommateurs les plus attentifs ont contribué à créer un marché « vert » de 306 milliards de dollars (soit près de 195 milliards d’euros), et dont les analystes pensent qu’il pourrait atteindre 850 milliards (soit près de 540 milliards d’euros) en cinq ans. Les effets des choix « verts » des consommateurs se font sentir très en amont dans la chaîne de production, cequi oblige pratiquement toutes les entreprises à modifier leur politique environnementale pour répondre à cette nouvelle demande. Du point de vue de l’investissement, les marchés financiers du monde entier manifestent leur intérêt pour le développement durable et, plus généralement, pour la responsabilité sociale des entreprises. Dans l’édition de mai 2007 du McKinsey Quarterly, Al Gore et DavidBlood (ancien directeur de Goldman Sachs Asset Management) affirment qu’investir dans des entreprises durables n’est pas une simple décision de bonne conscience pour écolos, mais plutôt une stratégie intelligente produisant des retours supérieurs à la moyenne. De même, le Dow Jones s’est doté d’indices de développement durable (voir l’encadré : «Investir dans des entreprises durables»), quipermettent de suivre les performances financières des grandes entreprises mondiales investissant dans le développement durable. Les investisseurs peuvent ainsi choisir les entreprises les plus performantes sans déroger à leurs principes.

INTRODUIRE LE DEVELOPPEMENT DURABLE DANS L’ENTREPRISE
Le développement durable sort de la marginalité, et les entreprises focalisent leur

attention sur…

Decentralisation et deconcentration

DECENTRALISATION & DECONCENTRATION.

La France a adopté très tôt après la Révolution une organisation déconcentrée, alors que la décentralisation est plus récente.
Il est important decomprendre que la déconcentration est un mode d’administration ou de gestion des affaires locales. Le pouvoir central délègue à des représentants l’exercice des compétences au niveau local. Tandis que ladécentralisation des compétences de l’état est transférée à des institutions autonomes pour être exercée au plus près des citoyens.
Ainsi, ces deux notions sont parfois confondues car les deuxconceptions se ressemblent, il est vrai que les deux cherchent le transfert de pouvoirs de l’Etat vers les autorités locales.
On peut se demander si ces deux phénomènes se rejoignent ?
Dans un premiertemps on observera que les deux principes se différencient (I) puis dans un deuxième temps on appréciera le fait qu’ils ne sont pas en contradictions mais qu’au contraire ils semblent se compléter (II).I. Décentralisation et déconcentration : deux notions bien distinctes.
La décentralisation et la déconcentration se distinguent d’une part, sur le plan historique (A) et d’autre part par leursformes (B).
A. Deux concepts opposés sur le plan historique.

A partir de la iiième République, les collectivités territoriales c’est-à-dire les communes et les départements, connaissent unecertaine indépendance qui s’est manifestée par l’élection de leurs conseils au suffrage universel, ainsi que par leurs compétences et de ressources financières (lois de 1871 et de 1884 sur lesdépartements et les communes).
Ces premiers points de décentralisation ont permis aux collectivités territoriales de s’auto-administrer ainsi que de construire et gérer une multitude d’équipements et deservices public.
Cependant, suite à la Seconde Guerre mondiale, l’État reprend ses fonctions locales à l’aide d’une politique volontariste de planification et d’aménagement du territoire. La…

Fiche de juridsprudence

Td : Introduction au droit

Fiche n° 2 : L’organisation de la justice

Fiches d’arrêt :

Document n° 4 :

Cet arrêt de cassation datant du 17 mai 1995 et jugé par la cour de cassation encassation partielle. Dans cet arrêt M. Cassagne fait une assignation en justice conte la commune de Beaulieu sur mer car il a construits une villa sur une parcelle appartenant à la commune et se situanten contrebas d’une falaise, dont laquelle c’est décroché des rochers provoquant ainsi des dégâts matériaux sur la villa de M.Cassagne. M. Cassagne a donc assigné la commune de Beaulieu sur mer, maisla cour d’appel à interjeté l’appel, et n’a pas donné raison à M. Cassagne, c’est donc pour cela que M. Cassagne continu son assignation en faisant recours à un pourvoi en cassation, c’est donc lui quiest le demandeur devant la cour de cassation et la commun de Beaulieu sur mer qui est le défendeur. Pour la cour d’appel qui a rendu son arrêt le 24 février 1993 à Aix en provence, la demande de M.Cassagne n’était pas fondée puisqu’il savait très bien qu’en construisant sa villa sur ce terrain il prenait des risques, notamment des éboulements de rochers. Car ce risque était déjà présent aumoment ou M. Cassagne a construit sa maison qu’il n’est pas arrivé ensuite. On peut donc se demander si les dégâts causé par des éléments naturels présents sur une commune, sont à la charge de la commune ?la cour de cassation décide de casser et d’annuler la décision de la cour d’appel qui a statuer sur l’affaire en prétendant qu’elle n’a pas tiré les conséquences légales qui découlaient de sescontestations. L’affaire est donc renvoyée devant la cour d’appel de Lyon.

Document 5 :

L’arrêt du 22 mai 1995 rendu par la deuxième chambre civile de la cour de cassation qui rejette le pourvoi del’affaire qui lui a été soumise. En effet l’union sportive du personnel électricité gaz de Marseille assigne en justice sous la forme de ce pourvoi la Fédération de rugby et autres contre la décision…

Victor hugo

Victor Hugo

Victor Hugo est un grand écrivain du XVIIIe siècle, il est même considéré comme l’un des plus grands de tout les temps ; certains même parle d’un géant de la littérature française. Ilest né en 1802 à Besançon et mort en 1885. Hugo à grandit dans une société mouvementée et marquée par de grands évènements puisque c’était à l’époque où Napoléon fût proclamé empereur (1804). Tout aulong de sa vie Léopold, le père d’Hugo était un officier ayant un rang très élevé dans l’armée de Napoléon. C’était un athée républicain qui considérait Napoléon comme un héros; à l’inverse, sa mèreétait une catholique royaliste. Hugo a passé la majeure partie de sa vie en France même si, ils voyageaient « grâce » aux mutations de son père.Hugo était très polyvalent. Il était un poète, dramaturge, romancier, essayiste, artiste en art visuels, homme d’état, un militant des droits de l’homme et surtout unreprésentant hors pair du mouvement littéraire romantique en France.

En effet Hugo est le précurseur du mouvement littéraire romantique en France, le romantisme est le mouvement des changements… Il consisteà laisser la place à l’expression des sentiments et des sensations en abolissant les règle strictes de la littérature classique qui jusqu’au XVIIIe siècle était utilisée par les auteurs. Ce mouvementpropose de jouer sur différents contrastes comme l’opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque, de plus, il préconise la liberté et le naturel dans tout les genres d’art : en effet, leromantisme est utilisé dans les romans, la poésie ainsi que dans le théâtre. Après le maestro de ce genre, il y a eu plusieurs autres auteurs qui ont suivis les idées d’Hugo comme Alphonse deLamartine avec son poème : « le lac ».

Durant toute sa vie d’auteur, Victor Hugo à publié une quarantaine d’œuvres : Des poésies c’est ce qu’il a fait en plus grand nombre (19). Les «…

Germinal

[pic] Institut de Rennes

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Transactions monetaires

MINISTERE DES ENSEIGNEMENTS SUPERIEURS REPUBLIQUE DU CAMEROUN

Paix-Travail-Patrie

Université de Yaoundé sud JOSEPH NDI –SAMBA
INSTITUT SAMBA SUPERIEUR

EXPOSE D’ECONOMIE

|Thème : ||Projet d’élaboration d’un programme de gestion des transactions monétaires dans une institution de microfinance |
| |

FILIERE : COMMERCIALE ET DE GESTION

SPECIALITE : INFORMATIQUE DE GESTION

NIVEAU :II

|Thème présenté par : Dominique nkoa (ig 2) |

Sommaire

Sommaire

Abréviations et figures

Introduction

I. Présentation du projet

I. Contexte

I. Objectifs spécifiques
I. Méthodologie
I. L’équipe de projet

II. Analyse des besoins

II. Définition des besoinsactuels
II. Définition des besoins futurs
III. Etude de la faisabilité et des alternatives

IV. Sélection d’une solution

V. Mise en œuvre et déploiement du SI

VI. Maintenance et optimisation du SI

Conclusion

Bibliographie

Abréviations.
IMF : institution de microfinance
SI: Système d’Information
CGAP: Consultative Group to Assist the PoorFigures.
Figure 1 : cycle développement d’un SI
Figure 2 : Matrice des domaines d’évaluation du SI
Figure 3 : Comparatif des différentes alternatives
INTRODUCTION

Un nombre croissant d’institutions de microfinance élargissent leur champ d’activité, et leurs responsables sont de plus en plus conscients de la nécessité d’améliorer leurs systèmes d’information.Un système d’information de gestion est une série de procédures et d’actions effectuées pour saisir des données brutes, les transformer en information utilisable et transmettre cette information aux utilisateurs sous une forme adaptée à leurs besoins.
Une institution de microfinance utilise en général deux principaux systèmes :
• un système de comptabilité ;
• un système de suivi duportefeuille.
Il est relativement facile de se procurer un programme de comptabilité capable, au minimum, de remplir les fonctions élémentaires qu’on attend d’une institution de microfinance.
Le présent projet s’adresse aux deux groupes d’intéressés que sont les utilisateurs des informations et les concepteurs des systèmes.

Chaque institution se doit de réfléchir sur ses propresbesoins et tenir compte de son environnement. Le processus présenté dans cet article a pour but de définir les étapes nécessaires pour permettre à une IMF de mieux comprendre et définir les besoins de son SI.

Le développement et la gestion d’un système d’information n’est pas un processus linéaire mais plutôt un processus itératif de transformation qui nécessite de faire le point sur ce donton dispose, ce dont on a besoin aujourd’hui et ce dont aurait besoin dans un futur proche (cf. figure 1).

Figure1 : Cycle de développement d’un SI

I. Présentation du projet

I. Contexte
Au cours des 5 à 10 dernières années, les institutions de microfinance (IMF) ont porté un intérêt croissant aux systèmes d’information, et en particulier aux systèmes d’information de gestion(SIG).
Alors qu’opérateurs et bailleurs de fonds prenaient conscience du besoin pour les institutions financières formelles et informelles de gérer de gros volumes de données, l’incitation à améliorer le traitement et la compréhension des données s’est faite plus forte.
L’information est au cœur de la microfinance. Que leur traitement soit manuel ou informatique, les IMF gèrent un grand nombre de…