Confiance en soi

Dossier confiance en soi

La confiance en soi a un rôle plus important lorsque l’on rencontre une personne avec laquelle on entretient un lien de familiarité.

Pour Madame Ponelle

Année 2010/2011

Introduction

La performance sportive des athlètes dépend certes de la préparation physique et de l’entrainement mais pas seulement, en effet de nos jours un travail très important est faitsur la préparation appelée mentale de l’athlète.

On a découvert que le fait de travailler sur le plan psychologique avec les sujets avait de grandes influences sur la performance. C’est pourquoi l’on cherche à perfectionner la préparation des athlètes en faisant des recherches, en se posant des questions sur des axes précis de la psychologie. Le dossier réalisé ici s’appui sur la confiance ensoi pour tacher de confirmer ou contredire l’hypothèse suivante :

La confiance en soi a un rôle plus important lorsque l’on rencontre une personne avec laquelle on entretient un lien de familiarité.

Ici on met en évidence la relation humaine entre adversaire et surtout que celle-ci a une grande importance lors d’une rencontre en compétition. On ne joue pas contre une machine mais un êtrehumain avec lequel on entretient une relation certes de rivalité mais elle a son importance dans le déroulement de la partie. Le plus souvent on ne connait pas la personne que l’on va affronter. On la connait quelque fois de réputation, on apprend quelque fois à la connaitre dans la rencontre, comme par exemple au tennis, au changement de coté il arrive que les joueurs discutent ce qui est trèsappréciable et permet de diminuer l’anxiété. Toute fois on peut tout à fait se retrouver en compétition contre un ami, une personne avec laquelle on s’entraine régulièrement ou même quelqu’un qui est de notre famille. Dans cette situation comment les joueurs envisagent le match ? La confiance en soi a-t-elle un rôle plus important, soit est-ce le mental qui déterminera le vainqueur ou au contrairel’aspect psychologique est il moins présent et se serait donc uniquement la technique et l’endurance qui entre en jeu ?

Méthode

Présentation de l’outil

Pour tacher de répondre a ce problème nous avons utilisé le test suivant : L’Echelle d’Etat d’Anxiété a la Compétition (EEAC). C’est un test qui date de 1990 et qui a été inventé par Martens, Vealey et Burton dans la version original. Il aensuite été traduit et validé par Pérès en 1996. Ce test nous permet grâce a 23 items de mesurer 3 composantes, la confiance en soi état, anxiété cognitive et l’anxiété somatique. Tout d’abord définissons ces 3 composantes :

– Confiance en soi état : c’est la conviction ou la croyance de pouvoir réussir ou non un comportement dérivé. C’est le sentiment de réussite d’espoir par opposition ausentiment d’échec ou de crainte vis-à-vis de résultat possible dans une tache particulière. Le fait que ce soit la confiance en soi état qui soit calculé signifie que les réponses données par le sujet sont en lien avec une situation, la confiance état est spécifique et transitoire. Pour cette composante, la valeur maximale possible est de 36 et la valeur minimale de 9

– Anxiété cognitive : ils’agit de préoccupations négatives que l’athlète peut ressentir avant la compétition, on peut observer une baisse de concentration des images négatives que l’athlète garde en tête. Pour cette composante la valeur maximale est de 28 et la valeur minimale et de 7

– Anxiété somatique : cette anxiété est caractérisée par des symptômes physiologiques ou corporels comme des tremblements, mainsmoite, nœud dans l’estomac. Pour cette composante les valeurs maximales et minimales sont identiques à celle de l’anxiété cognitive

Présentations des sujets

Pour obtenir des données expérimentales exploitables nous nous sommes appuyés sur les résultats aux tests de 3 sujets :

– Sujet 1 : 24 ans professeur d’EPS en très bonne condition physique il mesure 1m80 et pèse 78kilos, il…