Fiche de communication bts ag 2011

Commun Européen – SESSION 2011
ÉPREUVE E4 : Communication avec les acteurs externes et internes
Épreuve U41 : Gestion des relations avec les clients et les fournisseurs

Fiche descriptive
Nomet prénom du candidat :
UZAN Déborah N° d’inscription :
Intitulé de la situation de gestion : Répondre à un cahier des charges ? Réalisée
? Observée Fiche de situation de gestion n° : 1

Cadre dela réalisation
Raison sociale : MB Formation

Secteur d’activité : Tertiaire, formation d’agents dans les collectivités.
Tâche(s) du référentiel concernée(s) :
A1.1.2 Constituer le dossierde réponse en respectant la procédure

Dates de réalisation : Du 1er février 2010 au 19 février 2010
Durée de la réalisation : 18 jours

Contexte de réalisation :

Lorsqu’une collectivité(conseil général, conseil régional, mairie…) désire former ses agents, elle doit établir un cahier des charges, qui vise à définir ses attentes quant à la formation à réaliser.
Le Conseil Général desArdennes nous a envoyé directement un cahier des charges pour la réalisation d’une formation sur le thème “ Ecrits professionnels en PMI ”. Ils désirent recevoir notre proposition pédagogique ainsiqu’un devis chiffré. L’action durera 3 jours au total et doit se dérouler idéalement entre mai et octobre 2010. Notre contact sur place sera Madame Nadine Reiter.

Contexte relationnel :

J’aieffectué principalement cette activité avec ma responsable, Nathalie Comiant. J’ai également été en contact avec Madame Reiter, responsable de formation au Conseil Général des Ardennes afin de connaitrela date limite de réception des propositions car il n’y avait pas d’indications sur le cahier des charges. J’ai ensuite contacté plusieurs intervenants pour savoir s’ils seraient intéressés par laréalisation de cette action de formation.

Contraintes :

– Temporelle : constituer rapidement ma proposition car le délai de réponse est de 3 semaines, soit le 26 février 2010, et je ne suis à…

L’existentialisme

Le désir de choses sans véritable nécessité est frequent chez l’homme.en effet elle ne reside ni dans la necessiter du besoin ,ni dans son utilité.
par exemple,desirer acheter une robe.au momentde son achat je vais me poser des questions comme : en ai-je vraiment besoin ?et je me met a juger de sa necessité en me demandant si c’est juste un desir passager.
En effet l’homme a besoin detres peu de chose pour vivre.Alors pourquoi cherche t’il a acquerir des chose inutile et a vivre dans un monde superflu ?
Le désir est un manque, entrainnant une souffrance et il est representercomme une source de satisfaction ou de plaisir. il peut etre spontanée et conscient et fait appel a l’imagination,.ce qui le differencie des animaux. l’homme a tendance a penser et a idealiser l’objetde son desire avant meme de le posseder.il pense que si il exauce son desir ,il sera plus heureux dans vie. or tres vite apres son aquisition vient une deception. Car le plaisir imaginé ,attendu n’estjamais obtenu. nous pouvons dire alors que le bonheur et le desir sont contradictoire, car desirer quelque chose ,c’est etre alienné a lui,ne pas etre libre , souffrir donc ne pas etre heureux.le desir s’oppose au besoin cad ,que lorsque nos envies comme manger,boire,dormir…des besoins commun a tout etre vivant ,qui ne differencie pas l’homme de l’animal.or l’homme desire plus.il souhaitepar ex, le luxe,le confort ,la gloire et pour atteindre cela il n’a ni limite poussant meme jusq’a tout exces.nous pouvons dire qu’il cherche des sensations bcp plus intence que ce que leur procureles besoin naturels.
il vaut mieux donc,ne pas desirer ce qui n’est pas necessaire.sous peine d’etre decu ou en danger. mais cela reste difficile, surtout avec les publicité,la tele ki nous incite aconsommer davantage en nous créant des envies et qui ainsi nous font entrer dans la frustration si ce bien n’est pas acquit.
Selon epicure pour acceder au bonheur il faut mettre les artifice de…

Energie solaire

Énergie

Énergie solaire

La technologie CNIM des centrales solaires à concentration : une solution efficace, économique, écologique et durable.

Innovate andet Agir Imaginer Act

Le GroupeCNIM
Le Groupe CNIM développe, conçoit et réalise des ensembles industriels clés en main à fort contenu technologique, et propose des prestations d’expertise, de services et d’exploitation dans lesdomaines de l’environnement, de l’énergie, de la défense et de l’industrie.
Présent dans 15 pays il emploie 3 340 collaborateurs. Il est organisé en trois secteurs d’activité :
? ENVIRONNEMENT ?INNOVATION ET SYSTÈMES ? ÉNERGIE

CNIM et l’énergie solaire
La Division Énergie Solaire développe des projets de centrales solaires clés en main et s’appuie sur toutes les compétences du Groupe pourproposer des technologies innovantes.
CNIM INTERVIENT COMME ENSEMBLIER, FOURNISSANT CLÉS EN MAIN LA CENTRALE SOLAIRE À CONCENTRATION ET PEUT ÉGALEMENT INTERVENIR COMME EXPLOITANT OU CONCESSIONNAIRE.CAPITALISER SUR NOTRE EXPÉRIENCE POUR MAITRISER LES DÉFIS DU FUTUR
CNIM a fait partie des pionniers dans le domaine du solaire à concentration en construisant dans les années 80 la chaudière solairede la centrale Thémis (10 MWth / 2,5 MWe) installée à Targassone dans les Pyrénées Orientales.

CNIM assure :
? la conception générale du projet, sa réalisation et sa mise en service,

etéventuellement son exploitation ;
? la conception détaillée des éléments essentiels de l’usine selon

ses propres procédés, en particulier pour : • le champ solaire, • le récepteur, • la valorisationénergétique (cycles thermiques).

La technologie de Fresnel utilisée par CNIM en énergie solaire concentrée :
Une solution efficace, économique, écologique et durable.
LA GÉNÉRATION DIRECTE DE VAPEURPERMET DE NE PAS UTILISER DE FLUIDES INTERMÉDIAIRES NOCIFS POUR L’ENVIRONNEMENT COMME LES HUILES THERMIQUES.
? La quasi disponibilité de tous les

1. Les supports de miroirs brevetés peuvent…

L’europe en 1945

*L’EUROPE EN 1945 *(En quoi l’année 1945 semble-t-elle marquer, pour ceux qui l’ont vecue, l’année zero d’une nouvelle époque ?* / *En quoi l’année 1945 marque-t-elle l’avènement d’un nouvel ordre international ?)
*Introduction : Une rupture fondamentale est marquée* et de redoutables questions sont posées *dans le monde, par la Seconde Guerre mondiale. Cette guerre cause des destructionsmatérielles considérables mais surtout un traumatisme moral bien plus important, en essayant d’abat*tre le fascisme et la barbarie. Les espérances des combattants sont de garantir une meilleure justice sociale, faire triompher la démocratie, et créer une vraie coopération internationale. Tout promet faire de l’année 1945, le début d’une nouvelle ère.
1.UNE CALAMITE JAMAIS VUE AUPARAVANT :
1.a uncarnage démographique
*?60 millions de morts :*
55 à 60 millions de morts calculés(6fois + q dns 1ere GM) Guerre tres meurtriere. Pr 1ere fois, Guerre totale et planétaire. Elle touche + civils q les militaire
Victimes = victimes de bombardements aériens( All, Dresde : 35000morts 13fev1945; 60000 hiroshima ; 40000 Nagasaki japon 6 et 9 aout 1945,TUES SUR COUP) + otagestués, peuples massacrés+ tziganes, slaves, juifs exterminés dns camps nazis .
*Ces victimes ont subi une surmortalité à cause de la sous alimen*tation + maladies comme tuberculose. Ex : au Pays bas 25000 pers. Emportées par famine en avril 1945 ; en France espérance de vie recule de 8ans.
?Des mouvements de pop. Considérables :
Ce carnage démographique représente desconséquences durables (Pologne perd 16% de sa pop. De 1939 ; URSS perd 12% de sa pop.)
Cette meme année l’europe connait le + grand déplacement de pop. dns l’histoire. Des all. Sont expulsés ou fuyent vers l’ouest + de 10millions. Alors q prisonniers de guerre et travailleurs forcés quittent l’All et rentrent chez eux.
1.b Un Bilan Economique cher
? La démolitionmatérielle
Des pertes considérables. Env. bilan des destructions = 2000milliards dollars 5fois le PIB mondial de 45. Product° industrielle baisse de 50% en Europe. (Le plus touché par destructions ac le japon.
En URSS enormément de villages sont dévastés, en All, 70% des immeubles =dévastés (ruhr) en France 2’600’000 immeubl détruits+ reseau communicat° presq détruit. Pologne perd80% moyen transport + ¾ de son potentiel industriel
Difficile de retourner au quotidien
Cout guerre tres lourd : li a fallu financer conflit + supporter enormes ponctions monétaires (effectuées par all dns pays occupés) les dettes publiques ont augmenté ex : au R-U : de 7.3 a 22,5 millions de livres; France : de 446 à 1756 millards d francs ; All : de 33 à 345 millards demarks.
Après la guerre, inflation se déchaine. Partout retour au quotidien = difficile particulieremnt en allmagne car regne chaos ac inflation marché noir,réfugiés, etc
1.c Un Traumatisme Moral
? le choc d’1 telle barbarie
Science et techniques responsables de tueries de masse. Découverte des camps d’exterminat° = traumatisme on s’interroge sur poids desresponsabilités.
Esprits troublés par arme atomique
Bcp d guerres en grece, chine, yougouslavie,Italie provoquées
?Une aspirat° au renouveau
Tribunal international siège à* Nuremberg* puis Tokyo de mai 46 à nov 48 pr punir génocides + accuser crime contre l’humanité(persecutions raciales) -> juifs.
Mais ce traumatisme port aussi espoir. Miracle éspéré. Signed’optimisme : rebond natalité en France dès 1943. Monde de 1945 = a reconstruir.
2.UN MONDE A RECONSTRUIR
2.a Créat° de l’ONU.
?créer une organisat° pour la Paix.
EUA veut transformer les nations unies (coalition militaire contre puissances de l’axe et du japon) en organisat° de paix.Principes fondamentaux de cette organisat° dns La Charte de L’Atlantique (14 aout 1941)…

Programmation interfaces graphiques

Programmation d’Interfaces Graphiques
IV – Programmation événementielle & ‘Widgets’ de base
Stéphane HUOT Dpt. Informatique
DUT Informatique – S2 – 2010-2011

[PIG]
Cours IV
Prog. Evt

Introduction
I didn’t do it
• Programmation événementielle • Événements/Contrôles de base • Syntaxe VB

2

[PIG]
Cours IV
Prog. Evt

Application Interactive
externes:
• dispositifs d’entréeutilisateur (souris, clavier, tablette, …) • capteurs (température, vitesse, …)

3 [PIG]
Cours IV
Prog. Evt

4

Programmation Evénementielle

• Une application interactive (graphique ou non) doit réagir à des événements
o

• Une interface graphique (Graphical User Interface/GUI) est constituée de contrôles (Widgets) avec lesquels l’utilisateur interagît
o

o

en entrée:l’utilisateur effectue une saisie ou actionne un contrôle en sortie: les contrôles présentent des informations à l’utilisateur une action de l’utilisateur sur un contrôle une activité interne

o

internes:
• horloge • changements d’états (variables, ressources, …)

• Un événement est généré par le système suite à
o o

Programmation événementielle

Arrivée aléatoire des événements

[PIG]Cours IV
Prog. Evt

Gestion des événements

5 [PIG]
Cours IV
Prog. Evt

Illustration
Gestionnaire d’événements Réflexes
Reflexe 1

6

• Un événement non géré ne produira aucune action • Le programmeur gère les réactions aux événements
o

Evénements
Evt 1

(de type A)

(pour evts de type A)

o

programme le(s) ‘réflexe(s)’ à un/aux événement(s) un réflexe est déclenchélorsque sont événement se produit: le code correspondant est exécuté

(de type B)

Evt 2

(de type A)

Evt 3

Boucle infinie en attente des événements

(pour evts de type B)

Reflexe 2

[PIG]
Cours IV
Prog. Evt

Éléments de la programmation événementielle

7 [PIG]
Cours IV
Prog. Evt

Syntaxe VB.NET
Contrôle qui a émis l’événement

8

• Les contrôles (ou ‘Widgets’: objetsgraphiques interactifs) • Les événements (signaux système) • Les réflexes ou procédures évenementielles (ou ‘Listeners’)

Par défaut: NomControle_NomEvenement

Private Sub reflexe(ByVal sender As System.Object, ByVal e As System.EventArgs) Handles nomControle.nomEvenement ‘Code de l’action à réaliser End Sub Le ou les événements gérés par ce réflexe L’événement émis

[PIG]
Cours IV
Prog.Evt

Exemple
clic!

9 [PIG]
Cours IV
Prog. Evt

Contrôles

10

• Composants graphique ‘standards’ (widgets) • Containers = contrôles qui en contiennent d’autres: Form (feuille), Panel, GroupBox • Objets (POO)
o

btnHello.Click

Attributs: propriétés position, taille, couleurs, etc. Événements: actions à gérer click, double-click, redimensionnement, etc.

Private SubReflexeHello(ByVal sender As System.Object, ByVal e As System.EventArgs) Handles btnHello.Click MessageBox.show(“Hello”) End Sub
o o

Méthodes: réflexes/réactions aux événements

[PIG]
Cours IV
Prog. Evt

Quelques propriétés
• Apparence
o o o

11 [PIG]
Cours IV
Prog. Evt

Principe du ‘Focus’
un seul contrôle par fenêtre possède le focus le contrôle avec le focus reçoit les entrées

12• Forme du contrôle
o

Size
• Width; Height

o

Location
• X; Y

Cursor Backcolor Forecolor Name Enabled Visible

• Focus = contrôle actuellement actif (sélectionné)
o o

• Texte
o o o

• Identité/Activité
o o o

TextAlign Font Text

• Tous les contrôles actifs (enabled) peuvent recevoir le focus à tour de rôle
o

touche ‘Tab’ et propriété ‘TabIndex’

• Événements‘Enter’ et ‘Leave’

[PIG]
Cours IV
Prog. Evt

Les événements

13 [PIG]
Cours IV
Prog. Evt

Événements de ‘form’

14

• Un même contrôle peut déclencher plusieurs types d’événements • Ils peuvent être déclenchés depuis le code • Un même réflexe peut gérer plusieurs événements • Un même événement peut être géré par plusieurs réflexes

• Activated: quand la feuille prend le focus…

La politique est-elle l’affaire de tous?

La politique est-elle l’affaire de tous ?

Analyse du sujet

– « La politique » désigne surtout une activité et une pratique déterminée dont il faudra expliciter les normes. Elle met en jeu des conceptions politiques différentes dont il faut tenir compte
– « Est-elle », il s’agit théoriquement d’une simple relation de fait (un constat objectif); mais il faudra aussi se demander ce que lapolitique doit être.
– « L’affaire de tous ». Expression courante qu’il faut préciser. Affaire de tous ou seulement de spécialistes? Est-ce l’intérêt commun ou celui des minorités dominantes? Tout le monde doit-il se sentir concerné par la politique et son application ?

Introduction

Il existe un mythe de l’autorité politique, de son exercice même: c’est celui d’une activité spécialisée, plus oumoins mystérieuse, et dont seuls pourraient avoir le secret les initiés ( la classe politique ).
Les mystères de la vie politique, son aspect très théâtral, tendent à suggérer l’idée qu’il y aurait d’un côté des acteurs, de l’autre des spectateurs plus ou moins passifs. Ainsi, la pratique politique serait l’oeuvre de quelques-uns.
Pourtant l’étymologie du mot « politique » (polis=cité) semble indiquerque tout ce qui concerne la vie collective est politique, et intéresse, ou doit intéresser, tous les membres du groupe.
N’y a-t-il pas un contraste entre une telle conception et la scène politique elle-même? Il faut pour élucider ce problème, envisager de manière approfondie ce que peut être le statut de la politique, et réfléchir sur une question que périodiquement l’actualité tend à poser: « lapolitique est-elle l’affaire de tous »?

1° partie: La politique est l’affaire de quelques-uns

– La description de la vie politique montre que ceux qui détiennent le pouvoir sont détenteur de fait d’une compétence et d’une expérience déterminées; c’est le cas non seulement des dirigeants mais aussi des militants capables de comprendre les subtilités du jeu politique. Parallèlement lapassivité des citoyens renforce cette rupture.
– L’autorité politique semble répondre à une logique fondée sur l’idée du « don politique », (le pouvoir charismatique de Weber). phénomène que renforce à notre époque les moyens de communication et le culte de la vedette dans l’Etat spectacle.
– Dans son fonctionnement, le pouvoir est lui-même divisé et la complexité des tâches impose une spécialisation,garantie de l’équilibre des pouvoirs; cf Montesquieu.
– La pratique concrète de « l’art politique » bien décrite par Machiavel ne peut être que l’affaire du Prince qui par la force ou la ruse prend seul ses décisions: le secret d’Etat.
– Ceux qui prétendent que leur pouvoir sert l’intérêt commun ne font que masquer des intérêts particuliers; ainsi Marx dénonçait-il le pouvoir des classes dominantes.2°partie : En quel sens la politique concerne-t-elle tout le monde?

– Bilan et critique; Cette analyse ne concerne en fait que l’apparence de l’action politique; si les moyens employés exigent le plus souvent un personnel qualifié, les objectifs concernent l’intérêt général.
– Machiavel lui même doit reconnaître que ce qui fait la grandeur du Prince c’est qu’il est capable de maintenir lapaix dans son Etat, car son pouvoir en dépend directement; ainsi nul pouvoir n’est plus assuré que celui qui satisfait le bonheur du grand nombre.
– De même ceux qui dénoncent les politiques partisanes, le font encore pour que puisse s’instaurer un ordre au service du plus grand nombre; la révolution au sens de Marx doit se faire au profit de tous les prolétaires c’est-à-dire de l’homme engénéral.
– Enfin c’est notre idée de la politique qui s’avère illusoire car nous l’identifions spontanément au seul pouvoir de décision; or selon Platon même s’il revient aux magistrats-philosophes d’organiser la cité, la véritable justice et donc l’harmonie sociale n’est possible que si chaque classe tient la place qui lui revient de droit. Or que deviendrait la vie d’une cité sans ses « guerriers »…

Controldegestion

SOMMAIRE

INTRODUCTION

PARTIE 1 YVES ROCHER: L’ENTREPRISE ET SON SECTEUR D’ACTIVITE 11

[pic]

1. Identification générale de l’entreprise _________________________ 11

1. Fiche d’identité de l’entreprise _________________________________________ 12
2. Historique de l’entreprise _____________________________________________ 13

2. Laboratoire SantéNaturelle: »filiale  » ________________________ 15

1. Identité ___________________________________________________________ 15
2. Le marché des compléments alimentaires ________________________________ 17
1.2.3 Structure et déroulement des opérations _________________________________ 19
1.2.4 Plus loin: Santé Naturelle à l’international _______________________________ 21

PARTIE 2 MONSTAGE 23

[pic]

2.1 Compte rendu des missions ____________________________________________ 24

2.1.1 Exposé des objectifs à atteindre ________________________________________ 24

2.1.2 Détail des missions __________________________________________________ 25

2.Analyse du milieu professionnel _______________________________________ 32

1. Relation dans l’équipe, culture de travail ________________________________ 32
2. Communication interne de l’entreprise __________________________________ 34
3. Accueil des stagiaires ________________________________________________ 34

PARTIE 3 BILAN36

[pic]

1. Bilan professionnel __________________________________________________ 37

2. Bilan personnel _____________________________________________________ 38

CONCLUSION41

CERTIFICAT DE STAGE 43

ANNEXES 45

BIBLIOGRAPHIE63-64

INTRODUCTION

Dans le cadre de la 3ième année du Bachelor Sup’Est Groupe ICN, nous avons à réaliser un stage de spécialisation de minimum 3 mois. Ce stage a pour but de renforcer notre spécialisation et de nous aider soit dans l’acquisition de nouvelles connaissances pour la suite de nos études, soit nous aider à acquérir de l’expérienceprofessionnelle afin de nous insérer dans la vie active.

Pour ma part, je souhaitai intégrer un groupe ou une société à envergure internationale, pour me rendre compte de leur fonctionnement. J’ai commencé par prospecter au mois de novembre sur Internet. Il existe de nombreux sites qui répertorient des offres de stages triées selon différents critères. J’ai ainsi pu trouver deux annonces: lapremière était au sein de Vediorbis à Rennes, en tant que chargée de relation clientèle. L’autre annonce proposait un stage en tant que Chef de Secteur Grand Ouest pour les produits Eugène Perma. Les deux sociétés m’ont accordée un entretien, et ont répondu favorablement à ma candidature. Mais après réflexion, mon objectif de départ était d’intégrer un grand groupe. Je voulais également m’orientervers le marketing produit/client. J’ai continué mes recherches et j’ai postulé pour un poste de Chargée Développement France/ International au sein du Laboratoire Santé Naturelle- Groupe Yves Rocher.

Les missions du stage étant très diverses, j’allais pouvoir comprendre et faire partie du fonctionnement d’une grande entreprise, tel que Yves Rocher. De nos jours, la conjoncture économique n’est…

Cas campagne vas-y 2008

Bougez plus mangez mieux!
Cas individuel
Communication marketing intégré

1-Quel bilan faites-vous de cette première campagne?
Le bilan que je fais de cette campagne est qu’il a été conçu pour des buts économiques avant tout. En incitant les gens à prendre soin de leur santé, l’État pourra ainsi consacrer plus de financement dans d’autres secteurs que les soins hospitalier. En donnant lesoutils nécessaires aux gens pour se tenir en forme, il soigne du coup leur état physique et psychologique. Des gens en santé réduisent le nombre d’absences au travail et contribuent ainsi davantage au PIB national. Bien sûr ce programme est annoncé comme étant un plan d’action gouvernemental qui présente une stratégie collective pour améliorer la qualité de vie et le bien-être de la populationquébécoise et, par conséquent, promouvoir un Québec en santé , ce qui est tout à leur honneur dans ce sens.
Les objectifs de la campagne, sur la qualité de vie des Québécois, touchent certains enjeux de la société actuelle, dont le mythe du corps parfait, autant chez la femme que chez l’homme. Ils espèrent réduire de 2 % le taux de prévalence de l’obésité et de 5 % de l’embonpoint chez les jeunes etles adultes d’ici 2012. Ils ont élaboré de nombreux plans d’interventions, dans différents secteurs, qui touchent des cibles d’âges différents directement ou indirectement. Ces interventions ne sont pas toutes programmées pour être à long terme, des événements d’un jour sont nombreux, ils espèrent ainsi faire passer le message du slogan, bougez plus, mangez mieux. Tout cela pour faciliterl’adoption et le maintien, à long terme, de saines habitudes alimentaires et un mode de vie physiquement actif, ainsi que de réduire la prévalence de l’obésité et des problèmes reliés au poids et leurs conséquences sur les individus et la société québécoise. Et pour terminer, ils veulent valoriser les saines habitudes de vie .
Un énorme déploiement à du être effectué à tous les niveaux pour la mise enœuvre de la campagne Vas-y. Le manque de synchronisme sur certains points a demandé des ajustements immédiats et des correctifs apportés pour la suite. La campagne à déjà touché un certain % de la société et probablement changé plusieurs comportements face à l’activité physique pour l’adopter comme un mode de vie et avoir une bonne alimentation, mais est-ce qu’ils ont touché les bonnes cibles? Après 2années de vie, des ajouts et des suppressions bénéfiques de certaines actions ont été effectués. On pourrait croire que la troisième année serait bien ajustée, mais les gens changent donc le monde de la consommation change à une vitesse parfois affolante. Ce qui était des bonnes idées de campagne durant la première année et réajustées pour la deuxième, peut ne plus être adéquat pour la troisième.2-Quel devrait être le point focal pour la troisième année du programme?
Comme le faisait ressortir l’OMS dans son rapport Obésité : prévention et prise en charge de l’épidémie mondiale, « Le surpoids et l’obésité représentent une menace grandissante pour la santé des populations dans un nombre croissant de pays ». La troisième année devrait donc cibler plus spécifiquement les gens auxprises avec l’obésité et l’embonpoint. Les campagnes précédentes ayant eu davantage de cibles indirectes que directes par leurs actions qui touchaient de façon imprécise les cibles qui faisaient parti de leurs objectifs principaux. Donc, le point focal devrait être des actions de groupe précis accentué par des actions individuelles. Tout en continuant bien entendu les projets long terme déjà en coursgardant ainsi une notoriété et une crédibilité non négligeable.
3-Quelles devraient être les actions entreprises?
En premier lieu, je préconise un recrutement direct des personnes obèses dans les centres hospitaliers pour un programme Kino spécialement conçu pour eux. Un soutien constant pour une motivation au niveau de l’alimentation également. Ces personnes qui consultent déjà pour…

Mouvements

L’HUMANISME XVème et XVIème siècle

[pic]a fréquentation des auteurs anciens à travers les manuscrits apportés en Italie par les Grecs développe dès le XVème siècle l’étude des humaniores litterae (ces lettres qui rendent plus humain) que les Romains opposaient aux diviniores litterae (lettres divines) : ces « lettres humaines », ou « humanités », longtemps mises sous le boisseau par l’Église,rassemblent les connaissances profanes dont l’homme est le centre. « Faire ses humanités » signifiera longtemps étudier les auteurs grecs et latins et s’employer à les traduire et à les commenter.
Mais ce travail de traduction et d’exégèse qui, appliqué à l’Écriture sainte, fortifie l’évangélisme[pic], ne pouvait manquer d’inspirer aussi tous les espoirs de progrès que devaient permettrel’esprit d’examen et l’expérimentation scientifique. C’est ce deuxième sens que privilégiera le mot « humanisme », à partir du XIXème siècle, en désignant une confiance exaltée dans les facultés humaines, qu’à vrai dire la Renaissance, ensanglantée par les luttes religieuses, mettra vite à mal.
L’Humanisme fut d’abord une activité, un métier. Dès le XIIIe siècle, le premier usage d' »umanista » désigne leprofesseur de langues anciennes avec une connotation péjorative (le « pédant », le « grammairien ») qui n’a rien de surprenante à une époque où les deux modèles de perfection humaine étaient le Saint et l’Héroïsme militaire. Qu’avait-on besoin d’un obscur anachorète de l’intellect passant son existence à traduire et commenter de vieux textes surannés et oubliés de tous ?Cependant, cet enseignement discret des langues anciennes allait susciter un intérêt sans cesse croissant pour les grands auteurs grecs et latins. L’Italie allait constituer un parfait terreau d’éclosion et d’épanouissement d’un véritable mouvement de retour à l’antiquité, deuxième définition que l’on puisse donner à l’Humanisme. Eneffet, le développement d’élites urbaines, l’arrivée de grecs fuyant l’avancée des turcs et porteurs de manuscrits et de traditions exégétiques puis la multiplication des traductions qui s’ensuivit permit à l’étude des langues anciennes (alliée à une exigence de pureté grammaticale nouvelle) de devenir systématique. L’invention de l’imprimerie, le développement définitif des villes, la créationmassive d’universités contribuèrent à une diffusion accélérée de cette (re)découverte des grands Anciens. Ce ressourcement de la pensée engendra un état d’esprit, un changement de perspective dans la perception que l’homme avait de lui-même et du monde dans lequel il vivait. C’est la troisième définition de l’Humanisme. La plusprofonde et la plus durable. « On ne peut rien voir de plus admirable dans le monde que l’homme » disait Pic de la Mirandole en 1486. Le retour à la pensée antique remit en vogue certains thèmes et certaines notions; notamment celle latine de l' »humanitas »: l’homme idéal est celui qui se réalise lui-même, atteignant le plus grand accomplissement intérieur grâce àl’étude des « lettre anciennes » (les fameuses « humanités »: notion latine de l' »humanores litterae »).

L’esprit humaniste est donc le grand introducteur de cette conception moderne de l’Humanité: l’homme digne de ce nom est celui qui a pour essence la culture. Plus qu’une philosophie, l’Humanisme est donc un vaste mouvement qui fédère par delà les disciplines, les pays et les moeurs tous lesesprits animés par une quête de l’homme idéal et par une confiance dans le progrès de l’humanité.

BAROQUE 1598-1661
Le baroque est un style qui naît en Italie à Rome, Mantoue, Venise et Florence à la charnière des XVIe et XVIIe siècles et se répand rapidement dans la plupart des pays d’Europe. Il touche tous les domaines artistiques, sculpture, peinture, littérature, architecture et musique…

Alex

Hérodias
(1)

I

La citadelle de Machaerous se dressait à l’orient de la mer Morte, sur un pic de basalte ayant la forme d’un cône. Quatre vallées profondes l’entouraient, deux vers les flancs, une en face, la quatrième au-delà. Des maisons se tassaient contre sa base, dans le cercle d’un mur qui ondulait suivant les inégalités du terrain ; et, par un chemin en zigzag tailladant lerocher, la ville se reliait à la forteresse, dont les murailles étaient hautes de cent vingt coudées, avec des angles nombreux, des créneaux sur le bord, et, çà et là, des tours, qui faisaient comme des fleurons à cette couronne de pierre, suspendue au-dessus de l’abîme.

Il y avait dans l’intérieur un palais orné de portiques, et couvert d’une terrasse que fermait une balustrade en bois desycomore, où des mâts étaient disposés pour tendre un vélarium.

Un matin, avant le jour, le Tétrarque Hérode-Antipas vint s’y accouder, et regarda.

Les montagnes, immédiatement sous lui, commençaient à découvrir leurs crêtes, pendant que leur masse, jusqu’au fond des abîmes, était encore dans l’ombre. Un brouillard flottait, il se déchira, et les contours de la mer Morte apparurent. L’aube, qui selevait derrière Machaerous, épandait une rougeur. Elle illumina bientôt les sables de la grève, des collines, le désert, et, plus loin, tous les monts de la Judée, inclinant leurs surfaces raboteuses et grises. Engaddi au milieu, traçait une barre noire ; Hébron, dans l’enfoncement, s’arrondissait en dôme ; Esquol avait des grenadiers, Sorek des vignes, Karmel des champs de sésame ; et la tourAntonia, de son cube monstrueux, dominait Jérusalem. Le Tétrarque en détourna la vue pour contempler, à droite, les palmiers de Jéricho ; et il songea aux autres villes de sa Galilée : Capharnaüm, Endor, Nazareth, Tibérias où peut-être il ne reviendrait plus. Cependant le Jourdain coulait sur la plaine aride. Toute blanche, elle éblouissait comme une nappe de neige. Le lac, maintenant, semblait enlapis-lazuli ; et à sa pointe méridionale, du côté de l’Yémen, Antipas reconnut ce qu’il craignait d’apercevoir. Des tentes brunes étaient dispersées ; des hommes avec des lances circulaient entre les chevaux, et des feux s’éteignant brillaient comme des étincelles à ras du sol.

C’étaient les troupes du roi des Arabes, dont il avait répudié la fille pour prendre Hérodias, mariée à l’un de sesfrères, qui vivait en Italie, sans prétentions au pouvoir.

Antipas attendait les secours des Romains ; et Vitelius, gouverneur de la Syrie, tardant à paraître, il se rongeait d’inquiétudes.

Agrippa, sans doute, l’avait ruiné chez l’Empereur ? Philippe, son troisième frère, souverain de la Batanée, s’armait clandestinement. Les Juifs ne voulaient plus de ses moeurs idolâtres, tous les autresde sa domination ; si bien qu’il hésitait entre deux projets : adoucir les Arabes ou conclure une alliance avec les Parthes ; et, sous le prétexte de fêter son anniversaire, il avait convié, pour ce jour même, à un grand festin, les chefs de ses troupes, les régisseurs de ses campagnes et les principaux de la Galilée.

Il fouilla d’un regard aigu toutes les routes. Elles étaient vides. Desaigles volaient au-dessus de sa tête ; les soldats, le long du rempart, dormaient contre les murs ; rien ne bougeait dans le château.

Tout à coup, une voix lointaine, comme échappée des profondeurs de la terre, fit pâlir le Tétrarque. Il se pencha pour écouter ; elle avait disparu. Elle reprit ; et en claquant dans ses mains, il cria :

– « Mannaëi ! Mannaëi ! »

Un homme se présenta, nujusqu’à la ceinture, comme les masseurs des bains. Il était très grand, vieux, décharné, et portait sur la cuisse un coutelas dans une gaine de bronze. Sa chevelure, relevée par un peigne, exagérait la longueur de son front. Une somnolence décolorait ses yeux, mais ses dents brillaient, et ses orteils posaient légèrement sur les dalles, tout son corps ayant la souplesse d’un singe, et sa figure…