Reglement construction

R É G L E M E N T D E S C O N S T R U CT I O N S T E M P O R A I R E S DA N S L E PA R C S A R A S I N

1

Propriétaire du parc Sarasin: Fondation du Palais des Expositions (ci-après FPE); Fondation de droit public propriétaire du Palais des expositions et des congrès de Genève (ci-après GENEVA PALEXPO) Exploitante du parc Sarasin: Fondation ORGEXPO (ci-après ORGEXPO), Fondation de droitprivé chargée par la FPE de la gestion et de l’exploitation de GENEVA PALEXPO. ART. 1: PRINCIPES

e) Le genre d’appui proposé doit faire l’objet d’un accord délivré par la Direction technique d’ORGEXPO qui sollicitera, dans tous les cas, le préavis du bureau d’ingénieurs civils, chargé du contrôle des structures de la construction temporaire: TREMBLET SA Quai du Seujet 18 CH – 1201 Genève Tél.: +41(0)22 716 08 00 Fax: +41 (0)22 716 08 99 Pour ce faire les exposants sont tenus de remettre à la Direction technique d’ORGEXPO au minimum 2 mois avant le début du montage de l’exposition les plans et notes de calculs conformément à l’article 5 ci-dessous. Le contrôle des constructions temporaires par le bureau d’ingénieurs civils TREMBLET SA est aux frais de l’exposant.

ORGEXPO en tantqu’exploitante de GENEVA PALEXPO est également en charge de la gestion et de l’exploitation du parc Sarasin. En cas de constructions temporaires (telles que constructions de stands, de tentes, d’installations diverses, etc.) dans le parc Sarasin, le présent Règlement s’applique.

ART. 2:

RÈGLES DE CONSTRUCTION DANS LE PARC SARASIN

2.3.

Pour les constructions exigeant une limitation de tassement:L’installation de constructions temporaires (stands d’exposition, tente pour la restauration, etc.) dans le parc Sarasin ne peut se faire que dans des secteurs spécifiques du parc Sarasin, sur du terrain stabilisé, définis par ORGEXPO. Ces constructions temporaires doivent respecter les exigences suivantes:

a) Les exposants consulteront la Direction technique d’ORGEXPO au préalable. b)Selon nécessité, protéger la surface constructible du terrain par un géotextile (du genre « bidim »). c) Ils remettront à la Direction technique d’ORGEXPO au minimum 2 mois avant le début du montage de l’exposition les plans et notes de calculs conformément à l’article 5 ci-dessous. d) La fondation des appuis du matériel doit faire l’objet d’un accord délivré par la Direction technique d’ORGEXPO quisollicitera dans tous les cas le préavis du bureau d’ingénieurs civils, chargé du contrôle des structures de la construction temporaire, TREMBLET SA et cela aux frais de l’exposant.

2.1

Résistance au sol

Remarques: La charge au sol est indiquée en kilo-Newton (kN) Celle-ci est fonction du temps et de la nature du terrain: a) Par temps et terrain sec: ? terrain meuble 30 kN / m2 ? terrainstabilisé 200 kN / m2 (soit 50 kN / roue) b) Par temps et terrain humide: la résistance diminue en proportion de l’eau contenue dans le sol, et selon les emplacements

ART. 3:

CONSTRUCTIONS DE BASSINS ET/OU PISCINES TEMPORAIRES

2.2.

Pour les constructions n’exigeant pas de limitation de tassement:

Il est formellement interdit de creuser dans le parc Sarasin ou d’enlever du terrain pourconstruire des bassins et/ou piscines, sans l’accord préalable écrit de la Direction technique d’ORGEXPO.

a) Protéger au préalable la surface constructible du terrain par un géotextile (du genre « bidim »). b) Les pieds des supports (appuis) des constructions sont posés sur ce géotextile. c) Dans la zone des appuis, l’herbe est raclée et le terrain est compacté avec une plaque vibrante. d) Lesdimensions (F) de la plaque d’appui sont obtenues en divisant la charge (P) agissant sur celle-ci, par la contrainte admissible du terrain (= 50 kN / m2), soit: F? P (en kN) en cm2, mais (F) minimum = 30 cm x 30 cm 50

ART. 4:

PUBLICITÉ ET AFFICHAGE

Toutes les publicités (sous forme de banderole, d’affiches publicitaires, etc.) apposées sur les constructions temporaires ou à proximité de…

Histoire dolce gabana

L’image de la publicité auprès des Français
Le 4 novembre 2002 – Notre étude réalisée pour l’hebdomadaire Stratégies à l’occasion de la Semaine de la Publicité, qui réunit l’ensemble des professionnels autour du thème  » Les marques : dictature ou démocratie ?  » du 4 au 8 novembre 2002, permet de faire le point sur l’évolution de l’image de la publicité au cours des 20 dernières années. Cetteenquête porte sur la perception qu’ont les Français de la publicité aujourd’hui, et offre la possibilité de mesurer l’évolution de l’opinion à son sujet depuis 20 ans à partir des thèmes suivants : l’adhésion des Français à la publicité, l’image de la publicité, les attentes des Français à l’égard de la publicité ; l’influence de la publicité sur la consommation et sur le mode de vie. Les Françaismoins publiphobes qu’on ne le dit Les Français sont moins publiphobes qu’on ne le dit : 43% se déclarent favorables à la publicité, 36% opposés et 20% indifférents ; soit des résultats quasiment identiques à ceux enregistrés en 1983. On notera toutefois, derrière cette stabilité globale, une radicalisation des attitudes, les jeunes devenant davantage  » publiphiles  » et les personnes âgées davantage » publiphobes « . C’est dans la presse et dans la rue que la publicité est la plus appréciée (respectivement 56% et 42% de réponses  » j’aime plutôt « ). La pub TV (37%) recueille un accueil plus tiède, certainement en raison d’un encombrement plus grand perçu par le public, à un niveau proche de la radio (36%), et devant le cinéma (32%) et Internet (16%). La publicité en forte évolution La publicitéa changé aux yeux des Français : 69% estiment ainsi que  » depuis quelques années, le style des messages, les annonces, les films ne sont plus du tout les mêmes qu’avant  » (45% en 1982). Et si la publicité est tout autant jugée amusante/distrayante (72%, -5 points) ou séduisante (64%, -4) qu’en 1982, elle est en revanche jugée beaucoup plus agressive qu’il y a 20 ans (71% contre 46%). Des attentesqui demeurent identiques Les principales attentes à l’égard de la publicité ont peu évolué entre les années 80 et aujourd’hui : intelligibilité (44%), information sur les nouveaux produits (36%) et distraction (36%) dominent. On note toutefois une progression de 17 points de la réponse « vous donne envie d’acheter un produit » (31%). L’onirisme, la beauté et l’étonnement sont des attentes plussecondaires pour le public. C’est chez les plus jeunes que la demande d’intelligibilité a le plus progressé et que la demande d’humour ou de créativité reste – comme en 1989 -, la plus forte. Pas d’évolution majeure en revanche chez les plus de 35 ans. Des Français plus matures face à la publicité

Les Français adoptent vraisemblablement un comportement plus mature face à l’influence que peutexercer la publicité sur leur consommation et leur mode de vie. 29% reconnaissent ainsi aujourd’hui que la publicité les incite à acheter, contre 18% en 1979. Dans le même temps, une proportion plus importante encore (77%) reconnaît que la publicité influence les consommateurs. Enfin, près de 9 sur 10 s’accordent pour reconnaître que la publicité exerce une grande influence sur la façon de vivre desgens (vêtements, loisirs, voitures etc.). Femmes et enfants dans la publicité Concernant les enfants et l’image de la femme dans la publicité, les attitudes des Français se révèlent très différentes. Alors qu’une forte majorité de 73% (62% en 1983) ne juge pas choquante la présence d’enfants dans la publicité, les résultats sont plus mitigés au sujet des publicités montrant des femmes  » très peuvêtues « . 45% les jugent choquantes (+7 points), contre 53% (-3). Notons que la présence de femmes très peu vêtues n’est pas jugée choquante par deux tiers des hommes… alors que deux tiers des femmes ont un avis contraire.

L’image de la publicité auprès des Français
Fiche Technique Enquête réalisée les 25 et 26 septembre 2002 pour Stratégies auprès d’un échantillon national de 1 000 personnes…

Powerpoint

Voici les 20 erreurs à ne pas commettre:
1- Essayer d’être le plus exhaustif possible lors de la préparation de votre Powerpoint, même s’il vous faut y passer des heures !
2- Envoyer un emailgénéral à toutes les personnes concernées (ou pas !) pour leur demander leur avis, avec tous les documents détaillés sur le sujet.
3- Rassembler tous les documents dans un répertoire géant, puis lesanalyser 1 par 1, même s’ils sont anciens ou dépassés, afin d’être sûr de ne rien manquer.
4- Rassembler toutes les suggestions dans un document totalement exhaustif.
5- Copier toutes ces suggestions dansle powerpoint, même s’il comporte des dizaines de lignes.
6- Envoyer ce powerpoint brut de fonderie à tous vos collègues afin d’avoir leur avis sur le sujet, et pour être sûr que vous n’avez rienoublié !
7- Intégrer toutes les suggestions que vous aurez suite à cet emailing géant, dans votre premier document.
8- Reclasser toutes ces priorités, et en retenir plusieurs dizaines qui vous semblentintéressantes.
9, 10 et 11: Mettre toutes les suggestions à la même police et à la même couleur (suite aux éternels problèmes de copier / coller)… et bien entendu rajouter des animations sur chaqueslide.
12 et 13 – Relire vos 50 slides, et les refaire au moins 2 fois avant d’arriver à une présentation qui se déroule correctement.
14 et 15– Planifier une répétition juste le soir avant laprésentation officielle.
16 – Continuer à rassembler des informations supplémentaires jusqu’à la dernière minute pour avoir une vision encore plus précise… au cas où !
17 – Trouver une bonne excuser pourexpliquer que vous n’avez finalement pas eu le temps de faire une répétition le soir avant (salle fermé, problème de vidéo projecteur…) et que vous espérez que tout va bien se passer (bonjour lestress !!).
18 – Parler très vite pendant votre présentation pour être certain d’avoir le temps de lire vos 50 slides sans que vos interlocuteurs ne s’endorment ou commencent à quitter la salle.
19…

Francais

Chiri?a în provincie de Vasile Alecsandri Comedie cu cântece, în 2 acte

Cuprins
[arat?]

[modific?] PERSONAJELE
CUCOANA CHIRI?A GRIGORI BÂRZOI, so?ul ei GULI??, copilul lor LULU?A, orfan? SAFTA, sora lui Bârzoi Dnul ?ARL, profesor francez LEONA?, tân?r ie?ean ION, fecior boieresc TREI ??RANI ??RANI, JANDARMI, POFTI?I LA MAS?, UN CURCAN Reprezentat? la Teatrul Na?ional din Ia?i, înbeneficiul dlui Millo, la 1852.

[modific?] ACTUL I
Teatrul reprezint? o ograd? de curte boiereasc? la ?ar?. În stânga, casa Chiri?ei cu cerdac ?i cu ferestre pe scen?. În dreapta, lâng? culisele planului I, o canapea de iarb? înconjurat? de copaci. În fund, ostre?ele ?i poarta ogr?zii. Lâng? cas?, o porti?? în z?plaz, care duce în gr?din?. În dep?rtare se vede satul. Scena se petrece la mo?iaBârzoieni.

[modific?] SCENA I
CHIRI?A (în costum de amazon? intr? c?lare pe poart? înconjurat? de ??rani) (Arie din “Scara mâ?ei”: “Tâlharii”) ??RANII Dreptate, dreptate Ne f?.

Cucoan?, dreptate Ne d?! CHIRI?A Ce vre?i voi?… dreptate? ??RANII A?a. CHIRI?A Cu biciul pe spate V-oi da! (Împreun?.) ??RANII Dreptate, dreptate Ne f?. Cucoan?, dreptate Ne d?! CHIRI?A Cu biciul pe spate V-oi da. V-oi daeu dreptate A?a. CHIRI?A (amenin?ând ??ranii cu crava?a): Tac?-v? gura, mojicilor. UN ??RAN: D-apoi bine, cucoan?… p?cat de Dumnezeu s? ne la?i a fi de batjocur?! CHIRI?A: Ce batgiocur?? Ce batgiocur??… Cine v-a batgiocorit? ??RANII: Cucona?ul Guli??. CHIRI?A: Guli???… Minciuni spune?i… Ce v-o f?cut? UN ??RAN: Mi-a ucis un vi?el la vânat. ALTUL: ?i mie mi-a dat foc bordeiului cu ciubuculcel de hârtie. ALTUL: ?i eu l-am prins ?inând calea M?riuc?i. CHIRI?A: ?âst, be?ivilor… bine v-o f?cut sufle?elu… De ce nu v? p?zi?i vi?eii ?i M?riucile?… A?a s? p??i?i… Hai, lipsi?i de-aici!

UN ??RAN: Da-i p?cat, cucoan?, s? ne la?i p?guba?i… Da! dac? nu ne-om j?lui la d-ta care ne e?ti st?pân? vecinic?… la cine s? ridic?m glasul, s?racii de noi! ALTUL: Am ajuns mai r?u decât?iganii! CHIRI?A: Auzi-i?… auzi-i, ?opârlanii!… Ei, apoi s? nu-i iei la m?surat cu pr?jina de falce?… Afar?, mojicilor, c? v? ?tiu eu de mult c? sunte?i buni de gur? ?i r?i de lucru… Afar?! ??RANII: Cucoan?… CHIRI?A: Pieri?i din ochii mei… c? v? iau de fug? cu calul. (Repede calul spre ei.) (Împreun?.) ??RANII (fugind) Dreptate, dreptate Ne f?. Cucoan?, dreptate Ne d?! CHIRI?A (furioas?) Cubiciul pe spate V-oi da. V-oi da eu dreptate A?a.

[modific?] SCENA II
CHIRI?A (dup? ce a alungat ??ranii c?lare, se întoarce ?i vine în fa?a scenei): Vai de mine cu ni?te ??r?noi, c? n-ai chip s? tr?ie?ti de r?ul lor!… De-abia am ie?it pu?intel la primblare ca s? m? mai r?coresc… ?i parc? dracu i-o scos în cale-mi s? m? tulbure… Iar m-oi fi f?cut ro?ie la fa?? ca un staco?. (Strig?:)Ioane… Ioane!… ?-apoi astfel hurduc? ?i gloaba asta, c? m-o apucat de vro ?apte ori sughi?u pân-acu… (Strig? iar:) Ioane… Ioane! Iaca somnorosu c? iar o fi adormit în podul grajdului… ?i nici c-o s? vie s? m? coboare de pe cal… Ioane… Ioane… m?!… s?racan de mine c-or s? m? lase s? ?ed toat? ziua c?lare ca un j?ndar… (Strig? furioas?:) Ioane… Guli??… Lulu??… monsiu ?arl?…Cumn??ic?…

[modific?] SCENA III
CHIRI?A, GUGULI??, ?ARL, SAFTA, ION (Ion vine alergând dintre culisele din dreapta. Ceilal?i ies din cas? ?i se cobor din cerdac.) GUGULI??: Cine m? cheam??… neneaca! SAFTA: Ce este?… Ce este? ?ARL: Qui diable?… Ah! madame!…

ION: Aud, cucoan?… Iaca, ia… CHIRI?A: Da veni?i azi de m? coborâ?i de pe cal… Ce, Doamne, iart?-m?!… a?i adormit cuto?ii? (Ion se pune dinaintea calului ?i-l apuc? de z?bale ca s?-l ?ie. Ceilal?i se adun? împrejurul Chiri?ei.) GUGULI??: Ba nu, neneac?… dar înv??am Telemac cu monsiu dasc?lul. SAFTA: ?i eu f?ceam dulce?i în c?mar?, cumn??ic?. ION: ?i eu… CHIRI?A: Taci din gur?… c? e?ti înc? cu ochii plini de somn… ?ine calu… ?ARL (apropiindu-se de Chiri?a): Madam cocona… sari în bra?i a me. CHIRI?A…

Chocolat

Le Chocolat

Aurélie Buekenhoudt, Élodie Crousse, Yannick Jonckheere, Christian Murenzi, Jasmine Schlesser, Benjamin Vanhemelryck

1

Avis aux lecteurs Nous n’avons malheureusement pas pu finaliser le dossier avant de le remettre. Les illustrations sont manquantes, ce qui n’empêche pas, cependant, le dossier d’être relativement complet. Nous vous souhaitons une agréable lecture. Lesmembres du groupe

Sommaire :
? Introduction
? Etymologie ? Historique du chocolat et grands noms de la chocolaterie

? Fabrication du chocolat
? Culture du cacaoyer ? Etapes de production

? Composition du chocolat
? Différentes variétés de chocolat ? Les vertus ? Bromatologie

? Aspect économique ? Divers
? Questions- Réponses ? Conservation du chocolat

? Remerciements

3 Introduction
Etymologie Dérivé du mot aztèque tchocolatl, lui-même emprunté au Maya « choco » signifiant bruit et « ati » signifiant l’eau ou xocoatl, allusion au bruit du fouet pour faire dissoudre et mousser le chocolat dans l’eau chaude. Appellations étrangères : Allemand : schokolade Anglais : chocolate Chinois : tchyaokeuli Danois : chocolade Espagnol : chocolate Finlandais : sukiaa Flamand :chocolade Grec : sokolata Italien : cioccolato Néerlandais : chocolaad Norvégien : sjokolade Polonais : zsekolada Portuguais : chocolate Russe : chokalade Servo-croate : cokolada Suédois : choklad Turc : çikolata Historique du chocolat : A l’origine du cacao se confondent l’histoire et la légende. Cette dernière dit que dans une ancienne cité de Tollan vivait un homme-dieu, le riche et puissantQuetzalcoatl. Celui-ci avait réussi à faire prospérer son pays; il possédait des maisons de pierres précieuses, et tout était d’argent, d’or, de coquillages. Les récoltes étaient abondantes et les sujets de l’adoré Quetzalcóatl, riches et heureux. Mais un jour, arriva la fin de cet âge d’or, et un vieux magicien vint trouver Quetzalcóatl. Il lui apportait un breuvage bon et enivrant qui selon lui l’aideraità trouver son chemin vers de nouveaux cieux. Alors Quetzalcóatl s’en alla en mer en direction du soleil levant. C’est ainsi qu’apparu pour la première fois le TCHOCOLATL. Pour ce qui est de l’Histoire, le cacaoyer semble être originaire d’Amérique du Sud, et être arrivé dans les plaines basses et chaudes d’Amérique centrale grâce aux perroquets et autres oiseaux qui en étaient friands bien avantl’homme. Tout d’abord les hommes sucèrent la pulpe de la cabosse, puis les fèves acidulées et rafraîchissantes; ils en extrayaient du beurre servant d’onguent aux vertus curatives, de l’huile et aussi une boisson fermentée, une sorte de vinaigre. Mais ce sont les Mayas, qui dès le 5ème siècle avant notre ère, se mirent à la culture du cacao. Le cacao devint vite une denrée très importante dansl’économie du pays. En effet, il était assez rare 4

et servait de monnaie d’échange. La fève devint même l’unité de base des Mayas qui ne connaissaient pas les poids. De cette habitude de compter avec des grands nombres, découle peutêtre les calculs astronomiques et les calendriers très développés des Mayas. Ce peuple fut aussi à l’origine de la découverte du CHACAU HAA, boisson faite de fèves,séchées et moulues, mélangées avec de l’eau. Cette boisson devint vite un breuvage rituel, et le cacao fut associé aux cérémonies religieuses. Mais déjà le déclin des Mayas commence… Au cours de 14 et 15èmes siècles, les Aztèques devinrent la civilisation la plus forte en Amérique centrale. Le cacao continua de servir de monnaie d’échange et de met délicieux et cher. Son rôle religieux restaimportant, mais les vertus curatives des fèves furent quelque peu oubliées. En 1502, L’empereur Moctezuma monta sur le trône. Durant son règne, les bols de cacao épicés servaient de boisson presque unique. En 1519, l’arrivée du conquistador Hernan Cortes est fêtée dans la joie et l’allégresse car les Espagnols, avec leurs chevaux et leurs armures brillantes, leurs lames et fusils ont un aspect…

Jenifer bartolii

Le 23 avril 2009

COMMUNIQUE DE PRESSE

ENQUETE MEDIAMETRIE 126 000 RADIO ILE DE FRANCE L’audience de la Radio en Janvier-Mars 2009
Source : Médiamétrie – 126 000 Radio Ile de France – Janvier-Mars 2009 Copyright Médiamétrie – Tous droits réservés
L’audience de la Radio en Ile de France, lundi-vendredi ______________________________________________________p. 2 L’audience et la compositiondes couplages publicitaires et GIE ________________________________________________p. 3 L’audience et la définition des agrégats par format et par statut ________________________________________________p. 4 Les événements sur la période, les caractéristiques de l’enquête et la définition des indicateurs _______________________p. 5

Médiamétrie publie les résultats d’audience de la Radio en Ile deFrance sur la période allant du 29 décembre 2008 au 29 mars 2009, mesurée auprès de 3 895 personnes âgées de 13 ans et plus. Les résultats d’audience portent sur la base temporelle « Lundi-Vendredi » construite en mettant à part les Jours de Moindre Activité (JMA), jours pour lesquels le taux d’activité national est inférieur à 55%. Sur la période Janvier-Mars 2009, 5 Jours de Moindre Activitéont été relevés : la semaine du lundi 29 décembre 2008 au vendredi 2 janvier 2009.
Caractéristiques de la période en semaine (lundi-vendredi)
JANVIER-MARS 2009 65 5 15 74,2 SEPTEMBREDECEMBRE 2008 85 7 14 76,5 JANVIER-MARS 2008 65 5 15 76,7

Nombre de jours de semaine de la vague (dont JMA) Nombre de Jour(s) de Moindre Activité Nombre de jours de vacances scolaires Taux d’activité hors JMA en Ilede France (en %) (1)
(1)

Taux d’activité : part des actifs occupés ayant exercé leur activité professionnelle le jour-même de l’interview.

L’audience du Média Radio en Ile de France, population des 13 ans et plus, en Lundi-Vendredi
JANVIER – MARS 2009
AM % AM 000 AC % AC 000 DEA h/mn

SEPTEMBRE – DECEMBRE 2008
AM % AM 000 AC % AC 000 DEA h/mn AM %

JANVIER – MARS 2008
AM 000 AC %AC 000 DEA h/mn

5H – 24H 7H – 9H

12,9 24,5

1 240 2 364

80,6 48,5

7 773 4 680

3h02 1h01

12,3 23,2

1 175 2 204

82,7 47,4

7 873 4 511

2h50 12,6 0h59 23,1

1 198 2 202

81,8 47,3

7 781 4 504

2h56 0h59

Pour toute information: Isabelle MAURICE -Tél: 01 47 58 97 55 -Fax: 01 47 58 09 26 -E-mail : [email protected] Ces résultats sont également disponiblessur notre Web : http ://www.mediametrie.fr

Dans ce communiqué de presse, sont mentionnés les stations, réseaux et couplages souscripteurs atteignant 1% d’audience cumulée pour un jour moyen de semaine lundi-vendredi (5h-24h).

http://www.mediametrie.fr 55/63, rue Anatole France – 92532 LEVALLOIS-PERRET CEDEX – FRANCE
société anonyme au capital de 930 000 Euros – rcs nanterre b 333 344 000(90 b 05 262) – certifiée iso 9001

2/5

L’AUDIENCE DE LA RADIO
EN LUNDI-VENDREDI (5h-24h)
(1) (2)

1 % = 96 470 personnes de 13 ans et plus 1 % = 95 150 personnes de 13 ans et plus

RADIO EN GENERAL Programmes généralistes
Dont

JANVIER-MARS 2009 AC(1) PDA 80,6 100,0

SEPTEMBREDECEMBRE 2008 AC(2) PDA 82,7 100,0

JANVIER-MARS 2008 AC(2) PDA 81,8 100,0

36,9 11,2 11,1 7,7 13,433,9 4,1 3,8 1,3 1,6 4,1 7,1 4,7 3,7 3,7 8,4 3,0 19,2 1,7 11,9 1,5 3,8 1,1 26,1 4,1 1,0 1,7 1,6 2,7 2,2 2,6 2,1 1,4 2,6 2,7

42,3 9,6 12,0 6,5 13,3 23,6 3,0 1,3 0,5 1,0 2,3 3,2 2,8 1,7 1,7 5,0 1,0 12,7 1,1 4,5 1,3 4,2 0,6 19,7 1,6 0,6 1,5 1,0 1,5 1,6 1,3 1,2 0,8 1,9 1,0

37,7 11,8 11,7 6,5 13,4 35,2 3,6 3,8 ND 2,1 4,9 7,4 4,0 3,8 3,4 9,7 3,3 19,5 2,2 12,4 1,3 2,9 1,6 26,0 3,5 1,3 2,0 1,8 2,2 2,42,5 1,8 1,2 1,4 3,1

39,7 9,4 10,4 6,3 13,1 27,5 2,4 1,9 ND 1,5 3,5 3,7 2,8 1,6 1,9 5,8 2,0 12,2 1,3 5,1 1,1 2,5 0,9 18,6 1,5 0,9 1,3 0,9 1,2 1,2 1,7 1,1 0,9 0,8 1,1

34,4 10,3 10,2 4,9 14,5 38,1 4,4 4,4 1,2 2,3 4,9 6,9 4,6 3,5 4,2 9,9 4,3 18,6 1,9 12,0 2,2 2,5 1,3 26,6 3,8 1,1 2,0 ND 2,2 3,0 3,0 1,7 ND 1,8 3,5

37,7 9,4 9,8 4,0 14,1 29,1 3,8 2,7 0,5 1,6 3,2 3,8 3,5 1,6 2,0 4,8 1,5 11,9…

Assurance et le risque

Sommaire
Introduction
Chapitre1 : l’étude* de risque et sa relation avec l’assurance*.
Définitions
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La relation entre l’assurance et le risque
Economie du risque
Le risque à grande échelle
*Chapitre 2 : la technique* de l’assurance : le risque
I – la sélection des risques
*Homogénéisation * des risquesAssurance du groupe
* II – * La division des risques
A- La division des risques entre assurés
B- La division des risques entre assureurs
1- Coassurance
* * * *2- Réassurance
3- Les pools
Conclusion
INTRODUCTION

Les premières assurances étaient les «sociétés mutuelles» qui sont des groupements de personnes de droit privé à but non lucratif qui, au moyen descotisations de leurs membres, se proposent de mener une action de prévoyance, de solidarité ou d’entraide visant notamment la prévention des risques et la prise en charge commune de leurs conséquences. Les assurances mutuelles mettent l’accent sur la solidarité et pratiquent la gestion socialisée des risques.
Un autre type d’assurance apparaît au Moyen Age, lié au développement du commercemaritime Qui est basé sur un contrat dénommé «lettre de change maritime» ou «prêt à la grosse aventure». Il s’agit d’un emprunt gagé sur les marchandises transportées par voie maritime. Si les marchandises étaient perdues en route, le prêteur perdait tout droit au remboursement de la somme prêtée. Dans le cas contraire, celui-ci recevait son capital en retour, augmenté d’un intérêt appréciable.
Lesystème moderne des assurances se met en place dès la révolution industrielle et le développement rapide des assurances modernes est directement lié à l’essor du capitalisme. C’est à partir de cette époque que «les sociétés sont devenues des manufactures de risques», dont le nombre et la gravité s’intensifiaient. Parallèlement, les assurances assument un rôle primordial dans la préservation dupatrimoine individuel et collectif, privé et public, que l’avènement du risque menace, tout en permettant de maintenir les activités économiques malgré l’adversité du sinistre. On peut observer que, appliquant des méthodes traditionnelles, les assureurs mettent en œuvre des instruments standardisés, économétriques, fragmentés et probabilistes que la survenue et l’ampleur des risques catastrophiquesremettent fondamentalement en cause. Avec l’évolution de la nature des risques à couvrir, les assureurs ont été amenés à élaborer des méthodes toujours plus sophistiquées et complexes pour appréhender les conséquences financières des dommages.
Chapitre 1 : L’étude de risque et sa relation avec l’assurance
I-DEFINITION*S* :
DEFINITION DE L’ASSURANCE DEFINITION TECHNIQUE:L’assurance est l’opération par laquelle un assureur organise en mutualitéune multitude d’assurés exposés à la réalisation de risques déterminés, et indemnise ceux d’entre eux qui subissent un sinistre grâce à la masse commune des primes collectées.

DEFINITION JURIDIQUE: L’assurance est le contrat par lequel une partie, dénommée le souscripteur se fait promettre par une autrepartie, dénommée l’assureur, une prestation en cas de réalisation d’un risque, moyennant le paiement d’un prix appelé prime ou cotisation.

DEFINITION ECONOMIQUE Il s’agit d’un produit commercialisé par les entreprises d’assurance, sous la forme d’un package de garanties, souvent à prendre ou à laisser.

C’est pourquoi, on parle souvent de contrats d’adhésion, notamment à l’égard desparticuliers.

Il s’agit d’un produit purement juridique, puisqu’il n’est constitué que des seules obligations prises par l’assureur.

L’assurance est un moyen de couvrir les conséquences financières des risques qui ne peuvent être éliminés par les mesures de prévention.

Comme les autres mesures de prévention, l’assurance a un coût proportionnel au montant des garanties prévues et qui se…

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Joris PortierElève de 3ème A
Collège Robert Schuman

Dossier

C.F.G

2011

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Sommaire

Le métier que j’ai choisi et pourquoi il me plaît. Page 3Les diplômes qu’il faut posséder pour exercer ce métier. Page 4

Le lycée professionnel que j’ai choisi pour mon
apprentissage de menuiserie et dans quelle spécialisation de la
menuiserie.Page 5

Photos de divers chantiers de menuiserie. Page 6

(Outils en rapport avec la menuiserie)

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Le métier que j’ai choisi et pourquoi il me plaît

La menuiserie…

Lamétier que j’ai choisi est la menuiserie. En effet lors d’un stage que j’ai effectué à la M.F.R de Châteaubriant, ce métier et l’ambiance de travail m’ont vraiment plu. De plus, voir le résultat dutravail que j’ai réalisé m’encourage fortement : j’aime la création et la construction d’objets.
Mon patron fait tout pour que je me sente bien au sein de l’entreprise, ce qui fait que je m’adapterapidement aux situations que je rencontre. Je compte en faire mon métier et devenir menuisier car ce métier m’attire, j’aime y aller, apprendre et faire des progrès.

Photo
Chantier
Bois

(Parque Page 3

(Parquet et lambris en chêne)

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Les diplômes qu’il faut posséder pour exercer ce métier

C.F.G: Il est obligatoire de l’avoir pour pouvoir passer l’Examen C.A.P ouautre. Le C.F.G est en quelque sorte la base qui correspond à un minimum de connaissances à avoir.

C.A.P: Avec un C.A.P il est plus facile de trouver du travail car le C.A.P montre qu’il y a déjà desconnaissances dans le domaine et un minimum d’études.

B.P: C’est un examen au dessus du C.A.P qui permet d’avoir un niveau de formation supérieur grâce à plus de connaissances. Le salaire estainsi plus élevé et cet examen permet aussi de pouvoir ouvrir son entreprise.

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Le lycée professionnel que j’ai choisi pour mon apprentissage de menuiserie et dans quelle spécialisation de la…

Capital develeloppement

Les opérations de croissance externe menées en 2009 ne font pas le compte

8 avril 2010

Selon l’étude European Buy & Build Monitor publiée aujourd’hui par Silverfleet Capital en collaboration avec mergermarket, les sociétés de capital?investissement européennes ayant souhaité créer de la valeur, en 2009, dans leur portefeuille grâce à des opérations de croissance externe (add?ons) se sont retrouvées pour la plupart contrariées dans leurs efforts. Cette étude souligne une diminution de près de 50% des acquisitions réalisées en Europe par les groupes en portefeuille des sociétés de capital?investissement, soit un nombre de 203 en 2009 contre 397 en 2008. Il s’agit du chiffre le plus bas enregistré depuis 2004. La valeur totale a également chuté à un peu plus de 3,3 milliards d’euros, bien loin des 26,2 milliards d’euros enregistrés en 2007. Cette valeur s’inscrit également comme la plus faible depuis 2003. Nombre d’opérations de croissance externe par an en Europe 600
500 400 300 200 100 0 2004 2005 2006 2007 2008 2009 169 272 203362 486 397

Sources : mergermarket/Silverfleet Capital

L’étude met en exergue le recul de l’activité des fusions?acquisitions dans sa globalité; les chiffres démontrent aussi plus particulièrement la forte baisse des add?ons en proportion du volume du marché des transactions de type fusions?acquisitions.
2.0Volume d’opérations (Europe)

1.5

1.0 0.5 0.0

Volume (indexed to 1 in 2005)

2005

2006

2007

2008

2009

Ensemble des fusions?acquisitions

Operations de croissance externeSources : mergermarket/Silverfleet Capital En France En France, 22 acquisitions d’entreprises dites « plateformes » ont été réalisées en 2009 sur un total de 165 acquisitions à …

Dossier ecjs les violences urbaines

Violence Urbaine :

Quels sont les moyens mis en œuvre pour résorber et réprimer la violence urbaine et sont ils efficaces ?

La violence urbaine, phénomène de sociétéfaisant depuis quelques années la une de l’actualité, est devenue une des préoccupations majeures du monde politique.

Confronté à l’aggravation du sentiment d’insécurité, à laviolence perpétrée par des individus de plus en plus jeunes, et à l’extension du phénomène, l’état, devant assurer son devoir de protection, a dû s’adapter à cette nouvelle forme dedélinquants juvéniles de masse.

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SOMMAIRE :

INTRODUCTION :

Evolution des moyens mis en œuvre pour résorber et réprimer la Violence Urbaine

1- Définition générale deViolence Urbaine p3
2- Quelques exemples p3

I – CAUSES DE VIOLENCES URBAINES:

1- Augmentations et causes p4
– Etude de cas : La violence engendrée par lesmédias p5

II – PREVENTION :

1- Politique p9
2- Partenariat
– Les conseils communaux de prévention de la délinquance (CCPD) p10
– Les conventions p10- Les groupes locaux de traitement de la délinquance (GLTD) p10
3- CLS p11
4- Polices Municipale p12
5- Autres p13

III REPRESSION :

1- Policespécialisée et stratégie policière p14
2- Sécurité publique p15
3- Le rôle de la justice p16
4- Ordonnance de 1945 sur les mineurs p17

CONCLUSION :

1- De nouveaux moyens ?p19
2- Une société qui se meurt ? p19

BIBLIOGRAPHIE : p20

ALLER PLUS LOIN :

1- Les Français et la violence urbaine : sondage p21
2- Espritartistique
– Chanson p23
– Photos p23

Introduction

Au début des années 180, la France à vu naître les premières grandes émeutes urbaines à travers les