The fifth child extract 1

Harriet and David met each other at an office party neither had particularly wanted to go to, and both knew at once that this was what they had been waiting for. Someone conservative, old-fashioned,not to say obsolescent; timid, hard to please: this is what other people called them, but there was no end to the unaffectionate adjectives they earned. They defended a stubbornly held view ofthemselves, which was that they were ordinary and in the right of it, should not be criticized for emotional fastidiousness, abstemiousness, just because these were unfashionable qualities.
At this famousoffice party, about two hundred people crammed into a long, ornate, and solemn room, for three hundred and thirty-four days of the year a boardroom. Three associated firms, all to do with putting upbuildings, were having their end-of-year party. It was noisy. The pounding rhythm of a small band shook walls and floor. Most people were dancing, packed close because of lack of space, couples bobbingup and down or revolving in one spot as if they were on invisible turntables. The women were dressed up, dramatic, bizarre, full of colour: Look at me! Look at me! Some of the men demanded as muchattention. Around the walls were pressed a few non-dancers, and among these were Harriet and David, standing by themselves, holding glasses – observers. Both had reflected that the faces of the dancers,women more than men, but men, too, could just as well have been disorted in screams and grimaces of pain as in enjoyment. There was a forced hecticity to the scene…but these thoughts, like so manyothers, they had not expected to share with anyone else.
From across the room – if one saw her at all among so many eye-demanding people – Harriet was a pastel blur. As in an Impressionist picture, or atrick photograph, she seemed a girl merged with her surroundings. She stood near a great vase of dried grasses and leaves and her dress was something flowery. The focusing eye then saw curly dark…

Mission humanitaire inde

[pic] [pic]

« Mission Humacité » 2010-2011 : Final Report

Table of contents

Introduction

Part I : Missions, Achievements and Failures

1 ) Missions and Achievements

2 ) Failures

Part II : Professional and Personal Knowledge

1 ) Professional Knowledge

2 ) PersonalKnowledge

Part III : Obstacles and Difficulties

Conclusion

Annexes
Introduction : Taabar Society

Taabar is an NGO registered at the Rajhastan government, in India, who caters for street children roaming around Jaipur Railway Station, without reference point at the mercy of a world they don’t know.

First, Bal Basera is a temporary refuge. During this period, they get food,clothes, an adapted education and some professional trainings and advices for rehabilitation in society.

Some children suffer of diseases like AIDS, others don’t go to school because parents do not take the responsibility to send them to schools and others are orphans.

| ||
| |- Work Sheet – |
| | |
| |Bal Basera shelter is situated just next to Jaipur Railway Station.At present, this home is providing and |
|Place |facilitating support to 15 children from Jaipur streets. |
| | |
| |Children are brought or referred byOutreach Workers, Counselors, Children, Child line or Police. |
| | |
| |Here, Children can sleep well, eat, wash, and receive an education at their own rhythm in order to rehabilit them |
| |in society.|
| | |
| |More than an intellectual (Mathemactics, English, Hindi) and Craft (Sewing, Drawing, Mehandi) education, Taabar ||Organization |NGO offers : |
| | |
| |- Psychological Support|
| | |
| |- Care & Protection by medical help |
| ||
| |- Preserving & Protecting their childhood and rights |
| | |
| |- Exposure visits and picnics…

Analyse

TITRE 1 : La notion d’entreprise commerciale
Chapitre 1 : Généralités
Section 1 : Définition
L’entreprise est une entité économique et juridique qui regroupe un ensemble de personnes : le dirigeant et son personnel mais également des biens affectés à l’activité : le fonds de commerce qui est composé de la clientèle, du droit au bail, enseigne, brevet, marque.
Le caractère commercial del’entreprise dépend des actes accomplis qui doivent être des actes de commerces. Quand à la qualité de commerçant qui peut toucher des personnes physiques ou morales, elle est conférée si 3 conditions sont réunies :
* L’exercice d’acte de commerce
* A titre habituel
* Pour son compte
Il ne suffit pas d’être immatriculé au registre du commerce et des sociétés (RCS) ou de posséder une carteprofessionnelle ou de payer des impôts pour avoir une activité de commerce.

Section 2 : Statut général
L’entreprise individuelle n’est pas reconnue en tant qu’entité juridique. C’est la personne de l’entrepreneur qui est immatriculée au RCS, c’est ce qui fait la différence d’une société commerciale, car ici c’est la société personne morale qui est immatriculée au RCS. C’est l’unité de patrimoinequi prévaut dans le cas de l’entreprise individuelle.

1) L’entrepreneur
a) Son patrimoine
Il est composé de ses biens privés (maison, voiture => ce qui compose son patrimoine propre) et ses biens professionnels qui composent l’entreprise individuelle. Le problème c’est que les créanciers de l’entreprise individuelle peuvent se servir sur les biens propres de l’entrepreneur individuelpour obtenir règlement de leurs créances. C’est ce qu’on appelle la confusion des patrimoines.
Depuis la loi Madelin de 1994, les créanciers de l’entreprise individuelle doivent dans un premier temps doivent se servir des biens de l’entreprise et ce n’est qu’accessoirement qu’ils peuvent prélever sur les biens propres de l’entrepreneur si ceux de l’entreprise ne sont pas suffisants.
Il estconseillé aux entrepreneurs individuels d’être mariés sous régime de séparation de biens, destiné à protéger le conjoint. C’est la même chose pour les dirigeants de sociétés.
En 2004 et en 2008, les législateurs ont pensé protéger mieux les entrepreneurs individuels en leur permettant de déclarer en 2004 leur domicile principal et en 2008 leur bien immobilier insaisissables par un acte notarié. Doncils ont la faculté de soustraire les dits biens de la garantie qu’ils confèrent aux créanciers. Il y a à peine 1% des entrepreneurs qui ont pris cette option car sinon il n’y a plus de prêts car ils n’ont plus de garanties à fournir aux créanciers. L’insaisissabilité qui se voulait être exceptionnelle n’a servi à rien.
En 2011, le législateur a crée l’EIRL. C’est une entreprise individuelle àresponsabilité limitée. L’EURL est une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée. Donc c’est une personne morale dans laquelle l’associé unique est responsable à hauteur du capital qu’il a versé. Donc il peut perdre le capital qu’il a investit. Si on veut de l’aide financière on va devoir donner notre patrimoine en gage. Ici, la garantie est limitée dans le temps et dans l’argent. L’EIRLc’est une personne physique. L’entrepreneur individuel va désigner au moment de la création les biens individuels qu’il affecte à son entreprise et sont le gage des créanciers. Dès lors que l’entrepreneur individuel limite les biens qu’il soumet à ses créanciers, il limite les aides accorder par les créanciers donc limite le développement de son exploitation. Le législateur a prévu qu’un seul individupuisse créer plusieurs EIRL.

b) Le statut fiscal
C’est celui d’un travailleur indépendant ce qui signifie qu’il reçoit l’intégralité des BIC de son entreprise et qu’il est soumis à l’impôt sur le revenu sans abattement. Il est soumis à toutes les taxes inhérentes à une exploitation commerciale : TVA, taxe foncière, taxe sur les salaires. A son décès si l’entreprise est transmise il y…

Lestatut des parlementaires

le statut des parlementaires :
I. l’immunité parlementaire
L’immunité parlementaire est l’ensemble des dispositions qui assurent aux parlementaires un régime juridique dérogatoire au droit commun dans leurs rapports avec la justice afin de préserver leur indépendance.

A. L’irresponsabilité
Elle soustrait les parlementaires à toute poursuites pour les actes liées à l’exercice de leurmandat. Elle est établit par le Constitution. L’irresponsabilité couvre tous les actes de la fonction parlementaire. Elle protège les parlementaires contre toute action judiciaire, pénale ou civile, motivée par des actes qui, accomplis hors du cadre d’un mandat parlementaire, seraient pénalement sanctionnables.
Même si elle assure une protection très large, elle n’entraîne pas l’immunité totale pourleurs interventions en séance publique, les députés restent toujours soumis au régime prévu par le règlement de l’assemblée.
L’irrecevabilité a un caractère absolu, car aucune procédure ne permet de la lever. Elle s’oppose aux poursuites motivées par les actes accomplis durant le mandat, même après la fin de celui-ci.

B. L’inviolabilité
L’inviolabilité tend à éviter que l’exercice dumandat parlementaire ne soit entravé par certaines actions pénales visant des actes accomplis par les députés en tant que simple citoyen.
Depuis la réforme du 4 août 1995, le régime de l’inviolabilité ne protège plus le député contre l’engagement de poursuites, par contre, le député ne peut faire l’objet d’une arrestation ou de toutes autres mesures privatives ou restrictives de liberté sansl’autorisation du bureau, sauf les cas de crime ou délit flagrant de ou de condamnation définitive.
Elle ne joue qu’en matière criminelle et correctionnelle.
Les demandes d’autorisation d’arrestation ou de mesures privatives ou restrictives de liberté concernant un député sont formulées par le procureur général, transmises par le garde des Sceaux au président de l’assemblée nationale. La demande ne faitl’objet d’aucune publication.
Les demandes de suspension des poursuites, des mesures privatives ou restrictives de liberté, ou de la détention, sont adressées au président de l’assemblée par un ou plusieurs députés, distribuées puis renvoyées à la commission.

II. les incompatibilités
L’incompatibilité est l’impossibilité légale de cumuler certaines fonctions avec le mandat parlementaire. Ellen’empêche pas l’élection mais impose un choix à l’élu.
A. les incompatibilités avec les fonctions publiques électives et non électives
1. les incompatibilités avec les fonctions publiques électives.
Est interdit le cumul des mandats de député et de sénateur ou de député et de membre du parlement européen, le cumul avec les fonctions de président de la république est également interdit.
La loiorganique du 5 avril 2000 a rendu le mandat parlementaire incompatible avec la fonction de conseiller régional, conseiller général, conseiller de Paris, conseiller à l’assemblée de Corse, conseiller municipal d’une commune d’au moins 3500 habitants.

2. les incompatibilités avec les fonctions publiques non électives.
Dans le souci de dégager les parlementaires des liens de dépendance qu’ilspourraient avoir avec un autre pouvoir ou une autre autorité.
De manière plus générale, l’exercice de fonctions publiques non électives est incompatible avec l’exercice du mandat parlementaire.

B. les incompatibilités avec les autres activités professionnelles
L’évolution du rôle de l’Etat a conduit à interdire aux parlementaires l’exercice de fonctions déterminées dans des catégoriesd’entreprises limitativement énumérées.
Est prohibé le cumul avec des fonctions de direction dans des entreprises nationales, avec l’exercice de fonctions de direction dans certaines sociétés ou entreprises privées bénéficiant d’avantages accordés par l’Etat ou les collectivités publiques.
Il est interdit aux parlementaires exerçant la profession d’avocat de plaider contre l’Etat, les sociétés…

Plus fort que la haine

INTRODUCTION

« Plus fort que la haine » de Tim GUENARD est un témoignage qui m’a particulièrement touché, plus jeune de par l’histoire troublante de cet homme et a joué dans ma décision de vouloir devenir éducatrice spécialisée. En effet, cette autobiographie de l’auteur de sa plus tendre enfance jusqu’à l’âge adulte narre les péripéties d’une vie parsemées d’embuches et de difficultés.L’écriture de l’auteur permet au lecteur de s’identifier à cet enfant ou rien ne tourne en sa faveur, de compatir pour cet adolescent qui multiplie des actions illégales pour s’en sortir et à cet homme qui trouve enfin le bonheur. Au fil du livre, le lecteur se prend de sympathie pour le personnage principal et ressent de l’empathie en comprenant la souffrance physique et psychologique de ce dernier.De même, j’ai eu l’occasion de rencontrer Tim GUENARD lors d’une conférence. L’auteur expliqua les raisons qui l’ont poussé à écrire son livre. Il avoua que le fait d’avoir raconté son enfance l’avait libéré d’un poids, ainsi, il avait pu faire sa « thérapie » et avait pardonné à son père. Egalement, il a narré des passages de son livre qu’il a su expliquer plus en détail et nous a permis demieux comprendre ses actes.
Selon Tim GUENARD, « Moi, fils d’alcoolique, enfant abandonné, j’ai tordu le coup à la fatalité. J’ai fait mentir la génétique, c’est ma fierté. » L’objectif de l’auteur est de montrer qu’un enfant violé ou battu dans son enfance, ne va pas obligatoirement répéter le schéma de ses parents s’il a réussi à faire un travail sur lui-même. Enfin, il témoigne que le pardonest l’acte le plus difficile à poser. Le plus digne de l’homme. Son plus beau combat.
Ainsi, je vais présenter le plan de cette fiche de lecture. Dans un premier temps, je vais étudier le développement du livre, en présentant l’auteur et en résumant l’ouvrage. Dans un deuxième temps, je vais analyser et commenter en repérant la structure de l’ouvrage, mettre en avant ce que l’auteur exprime danssa biographie et faire un parallèle avec le métier de l’éducation spécialisé. Enfin, une conclusion ou je pourrais discuter des perspectives de l’auteur ainsi que de mes expériences et de la pratique de l’éducation spécialisé.
Enfin, je peux proposer la problématique suivante : «

I. Développement
a) Présentation de l’auteur
Philippe Guénard, plus connu sous le nom de Tim Guénard, néen 1958, est un militant chrétien français, écrivain, éducateur et apiculteur. Il a raconté dans plusieurs livres son expérience d’enfant battu ayant réussi à rebondir. Il habite dans le Sud-ouest de la France, près de Lourdes, où il accueille avec sa femme des personnes en difficultés.
Il est abandonné par sa mère à l’âge de trois ans. Son père tombe dans l’alcoolisme et le maltraite.
À cinq ans, TimGuénard est envoyé à l’hôpital et son père est déchu de ses droits paternels. Tim Guénard reste trois ans sur son lit d’hôpital, ne recevant aucune visite, et déclare avoir vécu dans l’espérance continuelle de remarcher. Il est alors envoyé à l’Assistance publique et est adopté par un couple d’agriculteurs.
À onze ans, accusé injustement d’avoir incendié une grange, il part en maison decorrection où il souffre de mauvais traitements qui le renferment sur lui-même et le rendent violent. Il est muté dans la section des plus durs. À 12 ans, il fugue, et se cache à Paris à côté de la tour Eiffel dans des garages à bicyclettes. Violé, il échoue chez des braqueurs de prostituées qui l’embauchent comme guetteur, mais aussi comme prostitué masculin. Il découvre aussi l’entraide entre les pluspauvres.
À 15 ans, il est pris par la police et se fait renvoyer de maison de correction. Un juge lui fait confiance et l’envoie en apprentissage chez un tailleur de pierres. Parallèlement, Tim Guénard découvre la boxe, dont il écrit qu’elle l’a aidé à canaliser son énergie. Il décroche finalement un CAP de tailleur-sculpteur de pierres des Compagnons du Devoir.
Par hasard, il découvre…

Language and politics

[pic]

School of Social Sciences and International Studies
Faculty of Arts and Social Sciences

Arts 2844
Language and Politics

Semester 1, 2011

Table of Contents

1.Staff Contact……………………………………………………….. ……..p. 3

2. Course Details………………………………………………………….,pp.3-4

3. Rationale of Course……………………………………………………….. p.4

4. Teaching Strategies………………………………………………………..p.45.Course Schedule…………………………………………………………… pp.4-8

6. Resources for Students…………………………………………………………………..pp.8-9
7. Assessment………………………………………………………………pp. 9-10
8. Assessment Details…………………………………………………………………….pp.10-15

9.Submission of Assignments………………………………………………pp.15-16

10.Duties of Teachers……………………………………………………… p16.

11. Course Policies…………………………………………………………pp.16-18

1.TeachingStaff: Contact Details

Professor Gavin Kitching, Room MB 143, 1st Floor, Morven Brown Building.

Email: [email protected]

Tel: 9385 3624

2.Course Details

Arts 2844 is an upper level 6 point credit course in the Faculty of Arts and Social Sciences.

Course Summary
Language and politics are closely related. This is true in the obvious sense that language use is central to thepractice of politics – to all political debate and persuasion, and to the construction of arguments that we call ‘political’. But it is also true in the less obvious sense that philosophical debates about the nature of language have played an important role in the study of politics. People who believe that the study of politics can and should be ‘scientific’, have frequently tried to find, orcreate, an ‘analytical’ language about politics that is free from the ‘bias’, ‘prejudice’ and conflictual ‘ideology’ of the language used in politics. And people who are more skeptical about the possibility of creating a political science (or a social science more generally) have often doubted whether such a ‘scientific’ language of politics, or of society, can be created.

This course is about boththese subjects. Its first part is concerned with the philosophical issue of whether a ‘scientific’ language of politics can be created, (and if not, why not). Its second part looks at several different uses of language that we call ‘political’.

Aims of the Course

(1) To enable students to grasp the extent how our understanding of language impacts on our understanding of politics as anactivity, and in particular on the aspiration to study politics ‘scientifically’.

(2) To explore some major linguistic dimensions of the actual conduct of politics by politicians and others.

Student Learning Outcomes

Upon completion of the course, students should:

1. understand some important modern developments in the philosophy of language and their relevance to politics.
2. Be able toapply such philosophical insights to one or more political uses of language.
3. Understand the complex relationship between the practice and the study of politics.

Graduate Attributes
1. the capacity for analytical thinking and problem-solving
2. the ability to engage in independent and reflective learning
3. the research skills to appropriately locate, evaluate and use relevantinformation
4. the capacity to grasp and analyse complex philosophical arguments
5. a deeper understanding of political science and social science more generally.

3. Rationale of Course
The idea of this course is to explore:
(a) the way in which approaches to the study of politics are affected by conceptions of language and
(b) the different ways in which language is used in the actualconduct of politics.
Therefore the course is divided into two main parts, devoted to each of these topics in turn.
The first part of the course in particular, focused on the philosophy of language, will be quite intellectually demanding, but the readings for this part have been carefully chosen for their accessibility. In addition, the central objective of my lectures, and of the tutorial…

Hopper vs. rockwell

Without any doubt, Norman Rockwell and Edward Hopper are major figures of the American twentieth-century painting. Contemporary and realist painters, they have been put side by side, as much as pulled apart. Though Hopper himself hated the comparison, we will attempt to analyse in the following paper what unites and divides those artists. After a short presentation of both painters, we willexamine their subject matters, their techniques and methods of painting, as well as the meaning of their work of art.

Before analysing and juxtaposing the work of Norman Rockwell and Edward Hopper, let’s introduce briefly our two main characters. As you will see, this will considerably help us understand the similarities as well as the differences between the artists’ paintings.
Norman Rockwellwas born in 1894 and shortly aspired to become an illustrator. At fifteen years old he started to study art full-time: he briefly attended the National Academy of Design before joining the Arts Students League in New-York. He soon began to do illustrations for a magazine published by the Boy Scouts of America. In 1916, he drew his first cover of the Post, the most popular magazine of these days.That was the beginning of an association that lasted for 47 years, involving 321 covers. Norman Rockwell had also designed advertising and commercial illustrations.
Edward Hopper was a contemporary painter of Norman Rockwell. He was born in 1882 and, even as a youngster, showed a real aptitude for art. He therefore went to New-York and enrolled at the New-York School of Art. However, contrary toNorman Rockwell, he had to wait for nearly twenty years before becoming famous. Meanwhile, he worked as a commercial illustrator though he despised doing illustrations for print. His real career as a painter started in 1923 when he won the Logan Prize from the Chicago Society of Etchers and has later been regarded as a major figure of the American twentieth-century painting.
If only one thing wouldhave to be bear mind, it would the following: Rockwell has once said “I’ve always called myself an illustrator” and definitely liked being one, whereas Hopper disregarded being one and dreamed of exhibitions and museums.

Though having different ambitions, Edward Hopper and Norman Rockwell decided to represent American life in a realist manner. Indeed, the latter said “without thinking toomuch about it in specific terms, I was showing the America I knew and observed to others who might not have noticed.”
Edward Hopper generally placed his paintings within an urban landscape, getting inspiration from various scenes: hotels (Hotel Room, 1931), theatres (New York Movie, 1939), restaurants (Chop Suey, 1929), trains (Compartment C, car 293, 1938), gas stations (Gas, 1940) and many others.He would also place characters within the paintings, appearing as single persons, couples, or groups. Norman Rockwell usually placed himself within the Middle American class, idealizing the country life as he expressed saying “I guess I have a bad case of the American nostalgia for the clean, simple country life as opposed to the complicated world in the city”. He showed boys enjoying a swimming(Hey Fellers Come on In!, 1920), Boy Scout rescuing a kid (A Scout is Helpful, 1941), bonds between generations (Family Grace, 1938)…
Despite the fact that they depicted the same period in America, Edward Hopper and Norman Rockwell expressed entirely opposite feelings in their oeuvres. The latter painted pieces of art full of warmth and jovial feelings. He would even use humorous touches toemphasize the conservatism of the old, the naivety of the young, or the incongruity of the situation. At the opposite, Edward Hopper’s paintings are, in some manners, austere and greatly affected by the great depression of the twentieth century. They all contain an element of uncertainty and doubt, as if the characters had to bear the weight of life and were simple leaves swirling around in the wind…

La defense

Les correspondances entre ces modes de transports sont assurées par la salle d’échange (Cœur Transports) située sous le parvis.

Début 2012, le quartier d’affaires sera desservi par une nouvellestation de la Ligne 2 du tramway d’Île-de-France, station Faubourg de l’Arche, au pied de la Tour GDF Suez.

Cette accessibilité en transports en commun est l’un des facteurs ayant participé audéveloppement du quartier d’affaires. Cependant, l’accessibilité de la Défense souffre aujourd’hui de la saturation chronique du RER A.

Le CNIT, premier jalon du nouveau quartier, est édifié au bord de laligne de banlieue Versailles – Rive Droite – Saint-Lazare. La gare de La Défense est alors construite sur cette ligne qui passe aujourd’hui sous le parvis et l’Arche de la Défense. La Défense connaîtsa première phase d’expansion lorsque la ligne de Ligne A du RER d’Île-de-France est inaugurée fin 1969 : la gare souterraine RER de La Défense aux dimensions particulièrement monumentales assure lacorrespondance avec la ligne de banlieue ; désormais La Défense est à 11 minutes du centre de Paris et les résidents de la banlieue Est peuvent atteindre en une demi-heure ce nouveau lieu deconcentration de l’emploi tertiaire.

Pour faire face à la croissance du trafic, la ligne 1 du métro de Paris dont le terminus se situait antérieurement au Pont de Neuilly, est prolongée en 1992 jusqu’à laDéfense[8]. La correspondance avec le RER A, complètement saturé, et le Transilien permet de soulager un peu ces lignes. Une station intermédiaire, Esplanade de la Défense, dessert l’Est de la dalleprès du pont de Neuilly.

En 1997, la ligne 2 du tramway est inaugurée. Assurant une desserte en site propre entre la Défense et Issy-les-Moulineaux, elle est prolongée jusqu’à la Porte de Versailles le21 novembre 2009. La ligne est rapidement victime de son succès et le passage aux rames doubles en 2005 ne fait que retarder un peu sa saturation. En 2012, la ligne sera prolongé au nord,…

Chambre de commerce et d’industrie

Chapitre 1 : Les théories des organisations

1. Les théories classiques (ou traditionnelles)

a. Analyse

C’est une vision stratégique : l’entreprise cherche à maximiser son profit et à réduire les coûts.
Cette vision est unique et universelle c’est-à-dire que toutes les entreprises ont cet objectif. L’entreprise est un lieu de production. La vision de l’entreprise est mécaniste. Lesauteurs vont chercher à rationaliser au maximum la production et de gérer au mieux l’organisation de l’entreprise.

b. Les auteurs et leurs concepts

? Frédéric Wilson Taylor (1856 – 1913)

Il est le fondateur de l’OST. Taylor a été mécanicien puis ingénieur. Son objectif est d’augmenter la productivité et le rendement des ouvriers. Le moyen est d’éliminer tous les gaspillages liés auxmauvaises méthodes de travail des ouvriers qui entraînaient de la fatigue et un rendement bas. Le but de l’Ost est de trouver des méthodes de travail les plus efficaces possibles. Il pense que les ouvriers sont uniquement motivés par des salaires élevés.

? Principes :
– trouver la meilleure façon de produire : « the best way to work ». Il cherche le « one best way ».
– développement du bureaudes méthodes
– division du travail ou parcellisation des tâches : une tâche complexe est divisée en plusieurs tâches simples.
– Adoption du système de rémunération incitatif : paiement à la pièce.
– Séparation des tâches de conception et d’exécution. Communication entre le bureau des méthodes et les ouvriers.
– Travailleurs qualifiés.

? Avantages
– augmentation de la productivité
-augmentation des profits
– baisse du coût de revient
– baisse des prix
– augmentation des salaires

? Henri Fayol (1845-1921)

Selon lui, c’est la fonction administrative la plus importante.
Il a trouvé 14 principes dans la fonction administrative :
– La division du travail : les travailleurs doivent se spécialiser dans une tâche bien précise. La productivité est une fonction croissancede l’expérience.
– Autorité et responsabilité : droit donné à certaines personnes de commander et de se faire obéir.
– Discipline : obéissance.
– Unité de commandement : chaque travailleur ne doit avoir qu’un seul supérieur hiérarchique.
– Subordination de l’intérêt individuel sur l’intérêt général.
– Centralisation du pouvoir. Il faut doser le degré de centralisation.
– Stabilité dupersonnel : facteur de réussite de l’entreprise.
– Union du personnel : il faut éviter la division du personnel.

? Max Weber (1864-1920)

C’est un bureaucrate. Il s’intéresse à la bureaucratie des entreprises. Les individus doivent être sélectionnés selon leurs compétences. Il est nécessaire qu’il y ait une définition stricte de l’autorité de chacun et du travail de chacun. Ces définitionsdoivent être écrites. Il insiste sur le poids de la bureaucratie.

Conclusion :

– Division du travail hiérarchique (horizontale) et par fonction (verticale).
– Unité de commandement.
– Ouvriers qualifiés et expérimentés.
– Parcellisation des tâches.

c. Les critiques

Les salariés ne sont pas motivés car ils ne font qu’une seule tâche. Leur productivité n’a pas augmenté et étaitbasse. Il y a de l’absentéisme, un turnover élevé, une production de mauvaise qualité. Les salaires n’ont pas augmenté.

Le travailleur n’est pas une machine. Les ouvriers ne sont pas uniquement motivés par le salaire.

2. Les théories des relations humaines

C’est une réponse à l’excès du taylorisme.

a. Analyse

Pour eux, les entreprises cherchent à maximiser leur profit mais ilsapportent une nouvelle dimension de l’homme au travail par rapport à Taylor. Ils considèrent l’homme en tant qu’individu et appartenant à un groupe.
? Dimension humaine de l’organisation

b. Auteurs et concepts

? Georges Elton Mayo (1880-1949)

Dès que les salariés sont considérés dans leur travail, ils sont motivés et deviennent plus productif.
? Principes :
– Les salariés ne sont…

Informatique acrc

cterrier.com

11/09/2007

1/7

BTS MUC Le système d’information commerciale dans l’épreuve d’ACRC
Auteur : C. Terrier ; mailto:[email protected] ; http://www.cterrier.com Utilisation : Reproduction libre dans un cadre non commercial

Sources : Le site : http://www.cultureco.com/ Le site de Philippe THIBERGE : http://www.commmarketingmuc.com/ fournit de nombreuses informations surl’organisation, le dossier et le déroulement de l’épreuve d’ACRC. Il met à disposition de nombreux exemples de dossier d’ACRC présentées lors de session précédentes. Le forum des bts : http://www.cultureco.com/blog/blog/p_thiberge_et_ses_etudiants peut apporter des réponses à vos questions sur le BTS MUC et ses épreuves. Dans le cadre du BTS MUC l’informatique intervient principalement dans l’épreuveorale d’ACRC. Cette épreuve prend appui sur un dossier produit par le candidat. Ce dossier support est descriptif de son activité et des diverses missions qu’il a réalisées en entreprise au titre de sa formation ou de son expérience professionnelle dans le cadre de sa « prise en responsabilité des activités courantes » d’une unité commerciale. Il faut comprendre par mission, un ensemble cohérentd’activités ponctuelles matérialisé par une fiche bilan Le SIC (Système d’Information Commerciale) doit être décrit dans le dossier remis pour l’épreuve (1), et il doit être présenté lors de l’orale (2).

1. Le dossier
1.1. Présentation de l’unité commerciale
Elle est composée d’une présentation de l’unité commerciale, au sein de laquelle l’étudiant a réalisé son stage. Ce document, de 5 pagesmaximum, se compose de la façon suivante : • un descriptif de l’unité commerciale dans son contexte géographique, organisationnel et commercial (trois pages maximum), • un descriptif du système d’information commerciale de l’unité commerciale (deux pages au maximum). Exemple de dossier :

cterrier.com

11/09/2007

2/7

1.2. Annexes récapitulatives des missions réalisées
Le dossier contientdeux fiches récapitulatives des missions – un récapitulatif des missions et activités confiées dans le cadre de ses relations avec la clientèle ainsi que les utilisations qu’il a pu faire des ressources informatiques dans ce cadre (annexe 10) ; – un récapitulatif des missions et activités confiées dans le cadre du management opérationnel de l’équipe commerciale ainsi que les utilisations qu’il apu faire des ressources informatiques dans ce cadre (annexe 11).

cterrier.com

11/09/2007

3/7

Au bas de ces deux fiches l’étudiant doit décrire l’utilisation du SIC

Exemples de fiches complétées :

cterrier.com
1.3. Dossier de présentation des missions

11/09/2007

4/7

Pour chaque mission vous devez préparer un dossier qui servira présentera la mission et notammentl’utilisation du SIC qui a été faite. Pour ce dossier vous pouvez utiliser le plan suivant Titre de la mission 2. Cause / problématique / ou justification de la mission 3. Déroulement de la mission
Utiliser des explications chronologiques Pour chaque étape de la mission utiliser la méthode du QQOQCPC (qui, quand, où, quoi, comment, pourquoi, combien) en précisant notamment les moyens informatiquesutilisés et les utilisations du système d’information commerciale. (Quelle opération a été faite, par qui, à quel endroit, avec quels matériels et quelles logiciels, combien de temps à pris ce travail

4. Résultats et conclusion professionnel concernant la mission Bilan personnel de la mission

Attention le rapport ainsi décrit contient de nombreuses informations et preuves utiles pour l’entretienqui suit l’orale mais certaines informations ou certains détails deviendraient rébarbatifs si ils étaient communiqués lors de l’oral.

1.4. Quelques conseils importants
• L’orale prend appui sur le rapport mais ne doit pas tout dire. Il convient donc de schématiser, de visualiser, de simplifier, de filtrer le contenu du rapport pour l’orale afin de retenir les éléments essentiels et de…