La lumiere

Chapitre 5 : dispersion et réfraction de la lumière
I Les lois de la réfraction :
1) Définition : A noter
· La réfraction est le changement de direction que subit un
rayon lumineux quand iltraverse la surface séparant deux
milieux transparents différents.
· Une surface qui sépare deux milieux transparents différents
est appelée dioptre.
· Le plan qui contient le rayon incident et lanormale au dioptre
est appelé plan d’incidence.
(Pratiquement tous les dessins seront réalisés dans ce plan)
Rq : Insister sur la notation des angles en lettres minuscules.
2) Les lois : A noter
·1ère loi de Descartes de la réfraction :
Le rayon réfracté appartient au plan d’incidence.
· 2ème loi de Descartes :
Lorsqu’un rayon lumineux est réfracté à travers le dioptre séparant l’air d’unautre milieu
transparent, les angles i1 et i2 qu’il forme avec la normale au dioptre vérifie :
sin i = n*sin r
n est une constante caractéristique du milieu (n>1) appelé son indice de réfraction parrapport à l’air.
Rq : L’indice d’un milieu est une grandeur sans unité.
On a vu que c était la vitesse de la lumière dans le vide, cela veut dire que dans un milieu,
celle-ci doit être différente :on la note v.
Comme on a dit que l’indice d’un milieu était une grandeur sans unité, d’après vous quelle
est l’expression de cette indice en fonction des deux vitesses vues précédemment ?
v
c
n =Dans quel milieu, la lumière va t-elle le
moins vite ?
Milieu Indice (n)
Air, vide 1
Eau 1.33
Ethanol 1.36
Plexiglas 1.50
Verre 1.50
Diamant 2.42
=
dioptre
i
r
I : pt d’incidenceClasse de 2nd Chapitre 5
Physique
3) Conséquences : Etude des deux cas : schéma
· Quand un rayon arrive de l’air et se
réfracte dans un milieu transparent
quelconque, il se rapproche de la
normale.· Inversement s’il arrive d’un milieu
transparent quelconque et se
réfracte dans l’air, il s’éloigne de la
normale.
II Dispersion de la lumière blanche par un prisme :
1) Expérience historique…

Histoire des instutions publiques

HISTOIRE DES INSTUTIONS PUBLIQUES

La révolution marque le commencement d’une société politique entièrement refondé et l’histoire constitutionnelle et administrative de la France depuis 2 siècles a été conditionnée par cet évènement majeur. Cette histoire des institutions publiques découle de la rupture de 1789 : la séparation des pouvoir ( si elle estvraiment appliquée en France il n’y a pas de pouvoir judiciaire mais une autorité judiciaire, l’exécutif note et promeut les juges ), le régime parlementaire avec ses progrès très illégaux, l’extension du droit de suffrage jusqu’à l’universalité (avant le suffrage appartenait à l’élite, au fur et à mesure le concept s’est amélioré jusqu’à ce que la France ait mise en place un suffrage sans conditionde richesse en 1848=>mais un suffrage trop longtemps masculin car il y avait beaucoup de catholiques pratiquantes donc les révolutionnaires pensaient qu’elles voteraient à droite. En effet l’église catholique était très anti-révolutionnaire dans leur serment et les prêtes demandaient de voter à droite. Puis en 1944: suffrage pour les femmes=>Ente 1944 et 1965 les femmes votaient pour 65% à droite.En 1965 si seul les hommes avaient le droit de vote Mitterrand aurait battu De Gaule), l’instabilité des régimes constitutionnels =>elle résulte de la difficulté a concilier la démocratie et l’autorité de l’exécutif, les rapports entre les églises et l’État (les catholique était ultra majoritaire et il y avait 2 minorités : la minorité juives et la minorité des protestants. A la révolution lesJuifs et les protestants avaient été reconnaissant envers l’état français car c’était le 1er à les reconnaitre citoyens au mm niveau que les autres), la création des départements et des communes, l’institution préfectorale avec Napoléon.

PARTIE 1 : La révolution française et ses prolongements de 1789 à 1815.

La révolution remet en cause un millénaire d’histoire institutionnelle et son impactest considérable car elle ne signifie pas seulement la disparition de l’ancien régime. Elle donne également naissance à la Première république. Enfin l’ampleur du changement est tel que les régimes napoléoniens apparaissent à la fois comme des héritiers de la révolution mais également comme un retour partiel à la monarchie.

Chapitre 1 : L’abolition de l’ancien régime.

Première section : LaFrance sans le roi ou l’agonie de la monarchie.

Les relations entre les révolutionnaires et Louis 16 reposent sur un malentendu initial qui va être à l’origine d’une cassure entre le monarque et la révolution. Dans les cahiers de doléances il n’y en a pas un seul qui demande le passage à la République en fait ils disent on aime notre Roi mais il est mal conseillé, les intendants se conduisentcomme des tirants. Le Roi est intouchable, mais quand il part de Paris pour aller rejoindre les monarchies étrangères qui l’aideront à reprendre la tête de son royaume par un bain de sang, il y a une cassure (Il y a eu une autre cassure sous Louis 15 qui ne communiquait plus avec son peuple alors que normalement il avait été choisit par Dieu). Louis 16 donne l’impression qu’il s’accommode deschangements opérés et en conséquence un grand nombre de Français on cru que le Roi acceptait les transformations révolutionnaires et qu’il deviendrait un roi citoyen, un délégué de la nation devenue souveraine à sa place (Léon Duguit dit que la Révolution existe à partir du moment où le peuple à pris la couronne de la tête du roi pour se la mettre à lui). Le roi se laisse peu à peu priver de laréalité de son pouvoir il est mis à l’épreuve et lorsqu’il entend retrouver son autorité il est trop tard car la rupture avec le peuple est consommé.

Paragraphe 1 : La mise à l’épreuve du roi.

Une triple révolution.

La révolution juridique 17 Juin 1789.

Au mois d’Aout 1788 Louis 16 se résout à convoquer les États Généraux afin de trouver une solution aux difficultés financière du royaume…

Commissariat aux comptes

LES OBLIGATIONS DU COMMISSAIRE AUX COMPTES
Le commissaire aux comptes est donc tenu dans l’exercice de ses fonctions, de respecter certaines principes et obligations qui portent sur :
1 – Le secret professionnel.
Cette obligation consacrée par l’art 18 de la loi 91 – 08 du 27/04/91 qui prévoit que « les experts comptables, les commissaires aux comptes et les comptables agrées sont tenus ausecret professionnel dans les conditions et les peines prévues par l’article 301 du code pénal ». Sont soumis également à la même obligation les experts comptables stagiaires et les collaborateurs des commissaires aux comptes et des comptables agrées.
Le CAC doit donc prendre toutes les mesures utiles afin préserver la confidentialité des informations dont, il a eu à connaître durant l’exercicede ses fonctions. Il ne doit également tirer aucun profit personnel de ces informations.
Malgré leur droit d’assister aux différentes réunion de l’assemblée générale, l’obligation de présenter des rapports relatifs aux missions qu’il a eu à effectuer. L’obligation de veiller aux intérêts, des actionnaires et à leur égalité, le commissaire aux comptes est tenu par l’obligation de discrétiondécoulant du secret professionnel et ne doit répondre aux questions qui lui sont posées par les actionnaires que dans la mesure où celles-ci rentrent dans le cadre de sa mission sans pour autant nuire à la société.
2 – La non immixtion dans la gestion
La loi portant organisation de la profession de CAC inscrit le principe dont l’énoncé est : Le contrôle légal des comptes des entreprises commercialespar action et des sociétés à responsabilité limitée publiques est une mission de révision légale permanente et exclusive de toute participation à la gestion de l’entreprise.
S’immiscer dans la gestion d’une société, c’est donner une appréciation sur l’opportunité des actes. Le rôle du CAC est limité, il a pour mission de contrôler les documents comptables et de vérifier si l’enregistrement deces actes dans les comptes de l’entreprise est correct.
Si à l’occasion de la prise de connaissance de l’entreprise, de l’appréciation des procédures de contrôle interne, ou de l’examen des comptes, il est appelé à donner des avis, ces derniers concerneront essentiellement la fiabilité des procédures et doivent être objectifs et non critiques sauf dérogations énoncées par la loi, appelant leCAC à énoncer un avis sur des opérations limitées et précises.
3 – Permanence de la mission.
L’exercice du contrôle permanent des comptes est une obligation que le CAC est autorisé à effectuer à tout moment de l’année.
Le code de commerce appui cette idée par l’article 678, 2eme alinéa qui stipule que : « les commissaires aux comptes peuvent à toutes époque de l’année opérer les vérification oucontrôles qu’ils jugent opportuns ».
Cette disposition démontre le principe de non limitation dans le temps de leurs pouvoirs.
Le principe est à la fois utile pour les dirigeants d’entreprises et pour les commissaires aux comptes.
4 – L’obligation de certification.
Si le contrôle permanent est un principe, la communication est un droit et le secret professionnel une règle de déontologie,il n’en demeure pas moins que la mission essentielle du commissaire aux comptes est le contrôle des comptes en vue de formuler une opinion sur leur régularité et leur sincérité sous forme de certification.
Quelques soient les méthodes employées, le CAC ne peut jamais acquérir la certitude qu’aucune anomalie, aucune erreur ni aucune fraude n’a échappé à ses investigations. S’il fait seulementpreuve de diligence dans ses travaux, il aura cependant rempli son rôle car le CAC a une obligation de moyens et non de résultats. L’article 49 de la loi 91 – 08 du 27/04/91 prévoit que : « les experts comptables et les commissaires aux comptes ont une responsabilité générale de diligences et une obligation de moyens et non de résultats ».
L’analyse de ces dispositions permet de déduire que…

Conte

?DURAND Jean Baptiste Mémoire professionnel
IUFM de Dijon

Le conte merveilleux :
de la lecture à la production d’écrits

Tuteur : Mme CLERGIRONNET Année 2001-2002

J’adresse mes plus vifs remerciements à ma directrice de mémoire et professeur de français, Mme Clergironnet, pour ses conseils précieux et ses relectures attentives .
SOMMAIRE
Introduction
Approchethéorique
1) Qu’est-ce qu’un conte merveilleux ?
11) Définitions
111) Définition du merveilleux
112) Définition structuraliste du conte merveilleux
113) Quelques caractéristiques essentielles du conte : 8
12) Différences avec d’autres types de récits proches :
121) Le mythe :
122) La légende : 10
123) L’épopée
124) La fable 11
125) Les autres types de contes
13) Le conte, issu de latradition orale :
131 Les sources populaires orales dans les contes de Perrault
132) Les sources du recueil des frères Grimm
14) Le conte inventé
141) Andersen
142) Les écrivains conteurs contemporains
2) le conte merveilleux à l’école ? :
21) Le conte merveilleux, un récit pour enfants ?
211) Arguments contre
212) Arguments pour
22) Ce qu’en disent les IO
221) Livret Maîtrisede la langue (1992)
222) Les programmes de 1995
223) Les nouveaux programmes de l’école primaire
Compte rendu d’activités proposees en stages
1) Un projet d’écriture en CM2
11) Le contexte
12) L’analyse de contes des Grimm et la production d’un conte
121) L’analyse de deux contes de Grimm
122) Préparation à l’écriture
123) La production du conte
13) Bilan général
2) Un projetd’écriture en GS
21) Le contexte
22) Les activités autour de « La drôle de maison »
221) Première semaine
222) Deuxième semaine
23) Belle-si-belle aux yeux tristes
24) Bilan
Conclusion
Bibliographie 35
Annexes 36
Introduction

Lire et écrire sont des objectifs essentiels de l’école primaire. Ils ont été réaffirmés avec force lors de la parution des nouveaux programmes de 2002.J’ai été confronté au cours de ma scolarité à un enseignement traditionnel de la production d’écrits où la rédaction tenait toute la place. C’est sans doute en partie pour cette raison que j’ai souhaité, pendant cette année de formation, trouver une réponse différente à cette question fondamentale : comment faire produire aux enfants de l’école primaire des textes construits et porteurs de sens ?Le choix du texte à faire produire aux élèves s’est fait suite à l’examen de plusieurs critères. Tout d’abord, il devait s’agir d’un texte narratif, car je souhaitais que les élèves éprouvent en écrivant le plaisir d’inventer un monde imaginaire. Il ne s’agissait pas, dans cette optique, d’écrire un texte à dominante technique. D’autre part, plusieurs textes devaient pouvoir être lus etétudiés au cours des trois semaines que durent les stages en responsabilité. Le conte merveilleux m’a paru, de par sa longueur et de par sa structure assez simple à mettre en évidence, répondre le mieux à ces exigences. Encore fallait-il se demander si les recueils de contes merveilleux traditionnels sont lisibles par des élèves de l’école primaire. De plus, l’essentiel était de trouver comment, à partirde la lecture de contes merveilleux, en faire produire un à des élèves de CM2 et à des élèves de grande section de maternelle (niveaux où j’ai effectué mes deux stages en responsabilité).

Une première partie est consacrée à une approche théorique du conte merveilleux. Après l’avoir défini et avoir examiné les sources des principaux recueils écrits étudiés aujourd’hui dans les écoles, nous nousinterrogerons pour savoir si le conte merveilleux est un récit pour enfants.
Dans une deuxième partie, je présenterai et analyserai les projets d’écriture menés lors de mes deux stages en responsabilité.
Approche théorique

1)Qu’est-ce qu’un conte merveilleux ?

11) Définitions

111) Définition du merveilleux

Le mot « merveilleux » vient du latin populaire miribilia, altération de…

Devoir mps

Les tâches de sang
Sommaire
-I. Caractéristiques des tâches de sang -II. Sur la scène de crime -III. Au laboratoire

Conclusion

I. Caractérisation des taches de sang
Les éléments figurés dusang (45% de la composition) : – Globules rouges. – Globules blancs. – Plaquettes. Le Plasma (55% de la composition) : – Eau – Soluté

Les sang fait partie du quotidien des scènes de crimes. Il estnon négligeable à la résolution d’une enquête, il apporte des indices sur son déroulement. Quelques échantillons de sang donnent des détails précis sur les séquences d’un homicide.

Après analyseson peut déterminer :
?

Le nombre de coups apporter à la victime. Le point d’origine de la projection. La position de l’auteur ou des objets. La chronologie des faits.

?

?

?

II. Surla scène de Crime.

Premier élément à relevé : la vélocité.
?

Plus les gouttes de sang sont petites, plus elles se déplacent vite. Les gouttes de sang sont souvent provoquées par une arme, etchassée de l’objet provoquant l’impact. La vélocité donne des information sur la cause de l’hémorragie

.

– Une brume d’un fines gouttelettes

indiquent une grande vélocité, provoquée par desarmes à feu ou des engins explosifs – Des éclaboussures larges et lentes sont souvent liées à des blessures de faible impact (coups de couteau)

Angle de la chute.
L’angle d’impact est égal à l’arcsinus de la largeur de la goutte, divisée par la longueur.

A = ARC SIN (l/L)

Toutes les gouttes on un seul point d’origine. Si l’examinateur détermine l’angle de chaque goutte, et qu’ildécouvre où mènent ces angles, alors il sera à l’endroit exact où se tenait la victime au moment de l’impact.

La méthode la plus sure pour chercher des traces de sang est de les chercher à l’œil nu.Cependant il est possible que les traces de sang ne soient pas visible au premier coups d’œil. Dans ce cas, les examinateurs utilisent différentes techniques scientifiques :

LE POLILIGHT.
?…

Didactique de la langue

????: La musique francaise 10 «?»
1)???????
????? ???????:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Musique
http://fr.wikipedia.org/wiki/Instruments_de_musique_du Moyen_%C3%82gehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_classique
http://www.linternaute.com/histoire/categorie/36/a/1/1/histoire_de_la_chanson.shtmlhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_musiquehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Type_de_musiquehttp://www.google.ru/search?q=musique+francaise+histoire&hl=ru&lr=lang_fr&newwindow=1&as_qdr=all&tbs=lr:lang_1fr,tl:1&tbo=u&ei=uL2XTKnuAoPeOKjm9IkJ&sa=X&oi=timeline_result&ct=title&resnum=11&ved=0CGIQ5wIwCg
http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire
http://www.hku.hk/french/dcmScreen/lang2048/lang2048_net.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_compositeurs_fran%C3%A7ais2)??????????? ????????
????????? ?????:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Musique
http://fr.wikipedia.org/wiki/Instruments_de_musique_du Moyen_%C3%82ge
http://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_classiquehttp://www.linternaute.com/histoire/categorie/36/a/1/1/histoire_de_la_chanson.shtmlhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_musique http://fr.wikipedia.org/wiki/Type_de_musiquehttp://www.google.ru/search?q=musique+francaise+histoire&hl=ru&lr=lang_fr&newwindow=1&as_qdr=all&tbs=lr:lang_1fr,tl:1&tbo=u&ei=uL2XTKnuAoPeOKjm9IkJ&sa=X&oi=timeline_result&ct=title&resnum=11&ved=0CGIQ5wIwCghttp://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire
http://www.hku.hk/french/dcmScreen/lang2048/lang2048_net.htm
??????????????:
http://www.music-story.com/musique/chanson-francaise/video
http://www.musique2france.com/http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_compositeurs_fran%C3%A7ais
????????/??????????:
http://www.google.com/images?hl=fr&q=la+musique+au+moyen+age&um =l&ie=UTF-8&source=univ&ei=7iTTS_fnEIyjOKW44dsN&sa=X&oi=image_result_group&ct =title&resnum=5&ved=0CEIQsAQwBA
http://www.google.com/images?hl=fr&q=la+musique&um=l&ie=UTF-8&source=univ&ei=RCblS5PPEsG10KbI3NsN&sa=X&oi=image_result_group&…

Disert

La peine de mort n’est pas dissuasive
Pour l’ONG, la peine de mort n’est en rien dissuasive. Nous le constatons, il y a en effet plus de crimes commis dans les pays abolitionnistes que dans ceux où la peine de mort est toujours d’actualité.
« le frein le plsu puissant pour arreter les crimes nest pas le spectacle terrible de la peine de mort d’un scélérat, c’est le tourment d’un hommeprivé de sa liberté transformé en bete de somme et qui paie par ses fatigues le tort quil fait a la societé ». Ce serait nous leurrer que de croire que l’exécution d’un nombre… relativement peu élevé de personnes chaque année… peut résoudre le taux de criminalité intolérablement élevé. Ce qui a le plus grand effet de dissuasion contre les crimes est la probabilité que les responsables soientarrêtés, condamnés et punis. C’est ce qui manque à notre système pénal»
Amnesty international pense qu’en réalité les criminels n’imaginent pas qu’ils vont se faire prendre au moment où ils commettent un crime. La meilleure dissuasion contre les crimes violents réside dans la garantie d’un taux d’arrestation et de condamnation élevé, et non dans des peines plus sévères. Des informations provenant dumonde entier indiquent également que la peine de mort n’a aucun effet dissuasif. Aux États-Unis, au Canada et dans d’autres pays, il n’y a aucune preuve que le nombre de crimes violents augmente en cas d’abolition de la peine de mort. Ainsi, aux États-Unis en 2004, le taux d’homicides moyen dans les États ayant recours à la peine de mort était de 5,71 pour 100000 habitants, tandis que dans les Étatsabolitionnistes ce taux était seulement de 4,02 pour 100000 habitants. Les données statistiques du FBI ci-dessous montrent ce même écart sur les 10 dernières années et confirment la totale inefficacité de la peine de mort dans la lutte contre le crime.
Beaucoup d’hommes politiques de cultures et de nationalités différentes ont affirmé que la peine de mort est nécessaire en tant qu’élément decontrôle de la criminalité, et ils défendent le recours aux exécutions capitales en s’appuyant sur leur prétendu effet dissuasif sur la criminalité. Accorder de la crédibilité à cet argument revient à estimer que les criminels violents évaluent les conséquences de leur arrestation et condamnation, puis décident que le risque d’être exécuté n’est pas acceptable tandis que celui d’être condamné à unelongue peine d’emprisonnement l’est.
Le fait que rien ne prouve que la peine de mort ait un effet plus dissuasif que les autres peines montre combien il est inconsidéré et dangereux de s’appuyer sur l’hypothèse de l’effet dissuasif pour justifier le recours à la peine capitale auprès de l’opinion publique. Si la peine de mort élimine le condamné, elle ne met pas un terme à la criminalité.Chine, Iran, Arabie saoudite, Etats-Unis, Pakistan. 98% des exécutions capitales dans le monde ont lieu dans ces cinq pays. C’est un des chiffres effrayants dévoilés à Genève à l’occasion du 4e Congrès mondial contre la peine de mort qui se termine aujourd’hui.

Mille abolitionnistes venant de toute la planète se sont donné rendez-vous pour rayer cette pratique de la surface de la Terre. Parmi lesnombreuses personnalités présentes, Robert Badinter. Ministre français de la Justice de 1981 à 1986, il a obtenu l’abolition de la peine de mort en France le 30 septembre 1981. A 81 ans, il n’a rien perdu de sa flamme.

Quelle est la situation actuelle en ce qui concerne la peine de mort au niveau mondial?
La France a été, en 1981, le 35e pays à abolir la peine de mort. Aujourd’hui, sur les 192Etats membres des Nations Unies, 138 sont abolitionnistes. Je suis donc très positif sur l’évolution des choses. Des réunions comme celle-ci sont extrêmement efficaces pour donner de l’impact et de la résonance au mouvement abolitionniste.
La Chine est le pays qui exécute le plus au monde. Comment faire pression sur ce pays pour que cela cesse?
Ce n’est pas par la pression extérieure que…

Ihil

SOMMAIRE :
Introduction
La droite au conseil général du Var.
La gauche au conseil général du Var.
Conclusion
{draw:frame}
La droite et la gauche au conseil généraldu var
{draw:frame}
Introduction :
_ Le Var s’étend sur une superficie de 5973 km² et compte 432 km de côtes littorales. Son relief est très varié : il révèle tantôt ses plages de sable,tantôt ses rivières (l’Argens, l’Issole et le Gapeau), tantôt ses massifs (la Sainte-Baume, les Maures et l’Esterel) qui offrent plus de 340 000 hectares de forêts.__ Le Var compte 153 communes, 43 cantons,7 circonscriptions législatives et 3 arrondissements, Brignoles, Draguignan, Toulon qui est aussi la préfecture du var depuis 1974. Au-delà de cette organisation administrative, le Conseil général asouhaité donner au Var une identité territoriale afin d’assurer une développement unitaire, cohérent et équilibré du département. Le département est une collectivité territoriale, administrée par uneassemblée élue au suffrage universel direct. Le Conseil général est l’organe de décision du département. Il intervient dans de nombreux secteurs en prise directe avec la vie quotidienne des citoyens.Comme toute institution politique, le Conseil général dispose d’organes délibérants et d’organes exécutifs. Depuis 25 ans , la droite est à la tète du Conseil géneral du var , avec comme président MrHorace Lanfranchi_
_ {draw:frame} __. {draw:frame} _
I-La droite à la tete du conseil general du var .
_ La droite au sein du conseil général se repartit en différent partit, UMP, Modem,nouveau centre, divers droite. Elle possède la majorité des sièges au conseil, au total 31 conseillers sur 43 possibles .La droite disposedonc d’un avantage lorsque les conseillers sont sollicités pourprendre une décision .Le président de cette majorité est Dominique Nachury. Depuis 1985, la droite est a la tète du conseil général du var ,en effet Maurice Arreckx arrive à la présidence du conseil…

La politique fiscale de l’uemoa

SOMMAIRE

INTRODUCTION GENERALE

Première partie : La politique fiscale de l’UEMOA

Chapitre I : Les tenants et les aboutissants de la politique fiscale de l’UEMOA

Section 1 : L’harmonisation de la fiscalité de porte
Section 2 : L’harmonisation de la fiscalité intérieure indirecte

Chapitre II : La transposition des mesures fiscales communautaires dans le système fiscal Burkinabéet l’évolution des recettes fiscales du Burkina Faso de 1996 à 2007

Section 1 : Bref aperçu sur le système fiscal burkinabé
Section 2 : L’évolution des recettes fiscales du Burkina Faso de 1996 à 2007

2eme PARTIE : L’impact des mesures fiscales communautaires sur les finances publiques et les propositions d’amélioration des recettes fiscales intérieures

Chapitre I : Lesincidences des reformes fiscales communautaires sur les finances publiques au Burkina Faso

Section 1 : L’impact sur les recettes douanières
Section 2 : L’impact sur les performances de la fiscalité intérieure indirecte

Chapitre II : Les propositions d’amélioration du niveau des recettes fiscales Intérieures
Section 1 : La mise en œuvre des reformes adéquate
Section 2 : L’amélioration de laqualité et la quantité des moyens de l’administration fiscale

CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE
INTRODUCTION GENERALE

A l’image des pays européens qui, après d’incessantes guerres et rivalités entre eux, ont compris dès après la deuxième guerre mondiale, la nécessité de se regrouper, les pays Ouest africains ont pris conscience très tôt de l’intérêt que représentent lacoopération et l’intégration régionale. En effet, cette volonté d’intégration en Afrique de l’Ouest est manifeste depuis la fin des années 50. Ainsi, on a assisté, entre autres, à la naissance de l’Union Douanière de l’Afrique de l’Ouest (UDAO) en 1959, de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA) en 1962, de l’Union Douanière des Etats de l’Afrique de l’Ouest (UDEAO) en 1966, de la CommunautéEconomique de l’Afrique de l’Ouest (CEAO) en 1972, de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) en 1975.

Cependant “ces différentes institutions ont eu des résultats plus ou moins mitigés dus essentiellement à la faiblesse des mécanismes juridiques et institutionnels qui les soutendaient ”.

Par ailleurs, depuis les années 90, l’environnement économique internationalest marqué par le phénomène de la mondialisation qui se caractérise par la libéralisation croissante des économies. Cette libéralisation de plus en plus poussée des économies induit entre autres, une exacerbation de la concurrence entre les Etats, l’internalisation des activités économiques, la multiplication et/ou le renforcement des blocs économiques sous-régionaux telle la mutation de laCommunauté Economique Européenne (CEE) par l’Union Européenne (UE) en 1993 et la naissance de l’Accord de Libre Echange Nord Américain (ALENA) en 1994.

Face à cette nouvelle configuration de l’économie mondiale conjuguée aux résultats plus ou moins mitigés des premiers regroupements, la construction d’organisations économiques plus solides s’avère nécessaire, surtout pour les pays endéveloppement.

C’est dans ce contexte que l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) a été instituée par le Traité du 10 Janvier 1994 à Dakar et signée deux (02) jours avant la dévaluation du CFA, en remplacement de l’Union Monétaire Ouest Africain (UMOA) créée en 1962.

Aujourd’hui, l’UEMOA regroupe huit (08) pays à savoir le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Niger, leMali, le Sénégal, le Togo et la Guinée Bissau qui adhère en 1997. Elle s’est assignée, entre autres, les objectifs suivants :

-Renforcer la compétitivité des activités économiques et financières des Etats membres;

-Créer entre les Etats membres un marché commun basé sur la libre circulation des personnes, des biens, des services, des capitaux et le droit d’établissement des personnes;…

Dsfhg

L’arsenal (das Zeughaus):

le musée fut bâtit sure une maison historique en 1698 , c’était une partie des fortifications ( die Befestigung) , plus tard dans letemps se fut une prison ( das gefängnis) , elle accueillait des femmes puis des jeunes hommes.
Nous avons vu une cellule ( die Zelle ) moderne pour l’époque .Ils vivaient dans de petits logements où ils mirent 4 personnes .
Nous avons vu également des supplices d’honneur (die Strafe ) , il les faisait pour mettre lahonte aux personnes ( die schand ) .
j’ai essayer un masque ( die Maske ) , il s’apelle le masque de la honte ( die schandmaske).Il y a aussi pour les femmeinfidèle a leur fiancé une couronne qu’elle devra porter lors de son marriage ( der kranz).
La forge ( die schmiede):

Après une petite pause de 10 minutes nous sommesdescendus à l’atelier ( die wekstatt ) . Nous avons vu comment allumer le feu dans une forge .
La guide y a mit du papier et du charbon ( die kohle ), Endessous de la forge il y a une soufflerie ( das Gebläse ) . Après 4 essais le feu a pris et nous avons commencé a chauffer le fer ( das Eisen ) . Nous avons chacun notretour tapé , sur l’enclume ( der Amboss ) avec le marteau ( der Hammer ) .

La maquette ( das Modell )

Nous avons vu une maquette de Vechta au moyen âge (das Mittelalter ) . La ville avait une forme d’étoiles avec des remparts.
Un jour toute les maison ont brûlé et il ne restait plus que 5 maisons.
La sortie:Avant de sortir nous avons vu un chevalier ( der Ritter ) . Il possédait , un casque ( das Helm) , une cuirasse ( die Rüstung) et une épée ( das Schwert).