Composition l’eau en espagne

L’eau en Espagne
De tout temps, l’eau est indispensable à la vie sur Terre. Cependant cette ressource très convoitée est inégalement répartie sur notre planète.
De nos jours, en Espagne l’eauest très présente, elle irrigue les cultures et approvisionne les villes de la péninsule.
Alors dans quelle mesure peut-on dire que la gestion de l’eau en Espagne pose un problème ?
Dans unpremier temps, nous aborderons l’inégale disponibilité en eau du pays. Ensuite nous constaterons que les différents usages de l’eau entre en concurrence. Puis enfin, nous verrons que les aménagementsréalisés par l’Etat pour répondre aux besoins en eau ont des limites.
L’Espagne doit faire face à une inégale disponibilité en eau.
Dans les régions de la Galice et du Pays Basque lesprécipitations sont très fortes contrairement en Murcie, région très sèche. Les régions arides ayant des températures élevées n’ont quasiment pas d’eau, comme c’est le cas dans le désert des Bardenas en Aragon.Le Nord du pays, très humide a des températures assez basses alors que dans le sud qui est peu humide les températures sont élevées.
La population est concentrée près des fleuves, sur le littoralSud-est et dans des régions peu arides comme Tolède sur le Tage et Séville sur le Guadalquivir.
De plus les différents usages de l’eau entre en concurrence.
L’industrie utilise beaucoup d’eaunotamment dans la réfrigération, les systèmes de refroidissement, la chimie et la métallurgie. L’usage domestique quand à lui est tout aussi gourmand : arrosage des pelouses, remplissage des piscines,utilisation quotidienne diverse…
Le tourisme est aussi à l’origine d’une utilisation intensive, principalement situé sur le littoral Sud-est ce secteur économique consomme de plus en plus d’eau.L’agriculture représente plus de deux tiers de la consommation d’eau, les cultures irriguées sont très présente en Espagne, l’eau provient d’un fleuve à proximité ou du puisement dans une nappe…

La france a la veille de la première guerre mondiale

2°Partie :Les handicapés dans le domaine sportif

De nos jours, la France compte environs 25OOO sportifs handicapés intégrés à la fédération française handisport pour 550 associations (source : fédération française handisport). Cette fédération permet de favoriser l’intégration sociale des personnes en situation de handicap. L’Etat en a fait une de ses priorités tout comme le développementdes sports de nature.

On peut alors se demander,

Comment leurs handicape leurs permettes de continuer leur passion ?

Comment y parvienne t-ils ?

Qu’elles sont les procédés mise en œuvre pour les aidés ?

[pic]

I. l’origine du mot handicapé sportif :

Le mot « handicapé sportif », nous vient de l’anglais « hand in cap » (littéralement : main dans le chapeau). Il s’agissaitd’un jeu consistant à évaluer la valeur d’un certain nombre d’objets cachés dans un chapeau que l’on avait simplement le droit de tâter.

Puis, le sens de l’expression s’étend au monde des courses de chevaux, à partir de cette idée de pari, de hasard. Elle symbolise ainsi un désavantage imposé à un cavalier lors de courses hippiques, dans le but de rééquilibrer les chances de victoire entre lesconcurrents, lorsqu’un participant dominait les épreuves trop largement.

Par le passé, les institutions ont défini ces notions en termes d’anormalité, de manque, d’absence de…, pour de nos jours, grâce à l’évolution de nos représentations (du handicap), se centrer sur les capacités de la personne, et non plus sur ses incapacités.

Le concept de « handicap » et plus largement, le terme de «personne handicapée », a ainsi suivi l’évolution de nos sociétés, et de nos représentations et nos craintes de la déficience, de la différence.

La loi du 11 février 2005 portant sur l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées donne une nouvelle définition du handicap :

« Constitue un handicap, au sens de la présente loi, toute limitationd’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicapé ou d’un trouble de santé invalidant. »

En effet, le handicap, n’est pas constitutif de la personne, mais résulte del’interaction entre le contexte environnemental et une particularité de l’individu, qui crée ou non une situation handicapante.

Prendre le train en fauteuil roulant par exemple, ne représente pas un problème si la gare possède un ascenseur, ou encore si les marches pour atteindre le quai sont remplacées par un plan incliné.

De même, les pratiques physiques et le sport peuvent être rendusaccessibles par l’adaptation des locaux, des règles, des durées de jeu, du matériel, etc.

L’erreur courante est ainsi de ne pas distinguer le handicap et la personne, de parler d’un « handicapé » comme si la déficience définissait l’identité parce que c’est la première chose que l’on voit.

Le « handicap » est un phénomène social qui décrit une interaction entre les exigences du milieu et lescaractéristiques de fonctionnement d’un individu. Le handicap met l’accent sur l’environnement, questionne l’action sociale et l’éthique d’une société.

Cette conception du handicap ne concerne donc pas uniquement les personnes déficientes ; en fait elle concerne tout un chacun.

La couleur de peau, la nationalité, le sexe, la religion la catégorie socio économique, ou encore l’orientation sexuelle,sont autant de critères pouvant aboutir à une situation de handicap, dans un contexte environnemental particulier.

En ce sens, nous sommes tous porteurs de handicap !

II. les causes qui entraînent le handicap :

La sclérose en plaques (SEP) est la deuxième cause de handicap chez les jeunes adultes, après les accidents de la route. La sclérose en plaques (SEP) concerne plus de…

Reproduction soc

Quel est le rôle de la famille dans la reproduction sociale ?
Dans notre perpétuelle recherche de l’unique responsable de la reproduction sociale, c’est à dire même position sociale de génération en génération, se confronte plusieurs points de vus. L’école est considérée depuis les années 40 comme le principal ascenseur sociale. Certains le pense préprogrammé selon l’origine sociale ou plusprécisément selon la situation sociale de la famille et d’autre au contraire le perçoivent comme un acteur impartiale, simple outil de la réussite. Ainsi cette institution permettant l’ascension sociale est trop souvent synonyme de reproduction sociale. Cependant nous pouvons dire que la « destinée » des statuts sociaux des individus ne réside pas dans l’ascenseur en lui même mais dans les bagages àdisposition lorsque les portes se referment. Quel est donc la part de contribution de la famille (instance de contribution) dans la reproduction sociales ?
Nous verrons premièrement en quoi la famille contribue à la reproduction sociale à travers la réussite scolaire mais aussi, deuxièmement, quelle est sa participation hors de l’institution scolaire.
_ _D_ès l’aube des années 2000, noussomme forcé de constater l’inégalité de la réussite scolaire selon le milieu sociale. « _L’avenir des enfants se joue avant 6 ans » titre Le Figaro du 9 novembre. « La réussite scolaire dépend des classes » affirme avec malice le quotidien 20 Minutes. Avec leurs préoccupations éditoriales propres, les deux journaux réagissent à une étude publiée par l’Insee dans son « Portrait sociale » de la France.Ces inégalités sont non seulement bien présente mais de plus, accentuées à mesure que le niveau d’étude augmente.
Effectivement « la sélection sociale » est souvent plus présente dans l’enseignement supérieur que dans le secondaire ou encore dans les grandes écoles que dans les universités (doc 2). Le document 4 prends pour témoin la situation des jeunes âgés de 16 ans en fonction de leurorigine sociale; ainsi est mis en évidence la réussite dans les voix générale des fils de cadres et P.I.S. (72% en 2nd ou 1ère et 12% en terminale ) contrairement aux employés par exemple, qui partant déjà 31 point de pourcentage de moins que les fils de C et P.I.S en 2nd et 1ère G, se retrouve seulement 6% d’entre eux en terminal G, soit moitié moins que chez les cadres.
Bien que Jean Prévôt nousdit que « cela ne signifie pas qu’à chaque forme de scolarisation ou de diplôme correspondent des destins sociaux déterminés. » (doc4) s’observe aussi des inégalités selon les filières choisit: la section scientifique passe un baccalauréat plus « exigeant », ainsi dès le choix de sa filière en plus de la préalable sélection (selon l’origine soc. ) se dessine les élites, les dirigeants d’une mêmegénération.
Bien que depuis les années 60 il y est un effet de massification des études puisque 60 % des jeunes obtiennent désormais le bac contre à peine 10 % à l’époque, les inégalités scolaire persiste.
Plusieurs explications sont évoquées pour expliquer ces inégalités. Si nous nous concentrons sur l’obtention des diplômes en résulte rapidement une sorte de stratégies familiale. En effetde nos jours l’orientation est considérée comme une réponse aux demandes familiales: partant de là, seul l’ambition des familles et leur capacités à la faire appliquer si ce n’est à la transmettre à leur enfants peuvent assurer leur réussite scolaire présente et à venir (doc5). Marie Duru-Bellat dit à ce sujet « on croit d’autant plus à l’utilité des diplômes et on en désire d’autant plus pour sonenfant qu’on est soi-même instruit et/ou de milieu social élevé » C’est une auto-sélection inégale.
{text:soft-page-break} Cette ambition est d’autant plus décisive lorsque le niveau scolaire de l’enfant est médiocre, car un bon élevé même provenant d’un milieu sociale « pauvre » ne sera pas remit en cause lors de son passage. Cependant une étude démontre que sur un panel d’élèves de…

Projet vba

DERHY Margaux (N°20504391) Année 2006-2007
GAHNASSIA Gary (N°20502170)

PROJET:

INFORMATIQUE DE LA FINANCE (UV 111)

Résultats

L’objectif du projet est de mesurer la vitesse à laquelle les marchés convergent vers l’efficience faible. Pour cela, nous créons un programme qui va effectuer des tests sur la corrélation qui peut exister entre les rendements successifs d’une actionsur des intervalles réguliers et croissants (15 minutes, 30 minutes, 60 minutes).

Pour répondre à cet objectif, nous allons procéder en quatre étapes :

• Première étape :

Nous allons déclarer les variables dont les dimensions ne seront plus modifiées.

• Seconde étape :

On effectue ensuite l’étape 1 pour toutes les feuilles. Celle-ci consiste à découper les cotations partranche horaire. On effectue ce découpage pour les trois intervalles demandés : 900, 1800 et 3600 secondes. Les cotations se verront affectées un coefficient 0 si elles n’ont pas été relevées entre9h00 et 16h59m59s.On retourne ensuite sur la feuille 1.

• Troisième étape :

On effectue sur chaque feuille, une par une, les étapes 2 et 3 du projet.
– Tout d’abord, nous faisons appel à laprocédure debut qui va initialiser les différents paramètres nécessaires à nos calculs selon la taille de l’intervalle considéré.

– Ensuite, nous appelons la procédure etape 2. Celle-ci va effectuer les calculs de rentabilités pour les différentes tranches horaires. Ces différentes rentabilités seront stockées dans le vecteur_rentas et copiées dans la colonne E de la feuille.

– Enfin, nous faisonsappel à la procédure etape 3. Celle-ci va calculer la corrélation qu’il existe entre les différents rendements de deux tranches successives. Cette corrélation sera stockée dans la ligne « numéro de la feuille » et colonne 1, 2 ou 3 selon l’intervalle considéré de la matrice de corrélation finale.

Une fois ces étapes réalisées on passe à la feuille suivante. Une fois toutes les feuilles traitées,on ré effectue toutes ces opérations à partir de debut avec un intervalle différent.

• Quatrième étape :

On fera ensuite appel à l’etape 4 qui va recopier toute ma matrice de rentabilité dans la feuille synthèse afin de pouvoir effectuer le test de la loi de Student pour lequel la statistique calculée à partir de la moyenne et de l’écart type est nécessaire.

Puisqu’il s’agit d’un testbilatéral, la probabilité qu’il convient de comparer à nos résultats est celle de 5%. Si le test de Student renvoie un résultat inférieur à 5%, alors cela voudra dire que le coefficient de corrélation est significativement différente de 0 ; si par contre le résultat est supérieur à 5%, alors on pourra en conclure que le coefficient de corrélation n’est pas significativement différent de 0.

Onconstate que le résultat donné pour la corrélation à 15 min est inférieur à 0,05. Ainsi avec un intervalle de 15 minutes la vitesse de convergence vers l’efficience n’est pas atteinte.
On constate en revanche que les résultats donnés pour les corrélations à 30 et 60 min sont supérieurs à 0,05 ; on en déduit donc qu’à partir de 30 min, la vitesse de convergence vers l’efficience est atteinte.Il s’agit ici d’efficience au sens faible. La forme faible retient les valeurs passées des cours boursiers. Un marché financier est dit efficient au sens faible si les prix des titres reflètent bien toute l’information concernant les cours passés. Ainsi, on ne peut pas prévoir les cours futurs.

Code

.
Option Base 1
Public u, v, h, z, j, l As Double
Public Matrice_Coefft_Corr() As DoublePublic longueur () As Double
Public vecteur_rentas() As Double

Sub programme()

ReDim Matrice_Coefft_Corr(39, 3)
ReDim longueur(3, 1)
longueur(1, 1) = 900
longueur(2, 1) = 1800
longueur(3, 1) = 3600
Nous faisons ces déclarations ici car ce sont des objets qui ne changeront pas de taille tout au long du projet

Call etape1
Effectue l’etape 1 pour toutes les feuilles du classeur à…

Cas pratique sur le divorce

Cas pratique
Séance numéro n°6
Faits :
Camille et Laurent se sont mariés le premier juillet 1998.
Après son mariage, Camille se rend compte que son mari est violent suite à des problèmes mentaux qu’on lui avait caché volontairement.
Camille quitte le domicile conjugal en décembre 2001.
En janvier 2002 Laurent a du être admis dans un établissement psychiatrique duquel il n’estjamais sorti.
Problème de faits :
1) Camille peut elle annuler son mariage ?
2) Quelles seraient les conséquences de cette annulation ?
Problème de droit :
1) La violence de l’époux, volontairement caché jusqu’au mariage, constitue t elle une cause de nullité du mariage ?
2) Quelles conséquences pour les époux entrainent l’annulation du mariage pour erreur sur les qualitésessentielles de l’époux ?
Solution :
Camille après s’être mariée avec son conjoint, découvre qu’il est violent du a un dérèglement des facultés mentales : cet état psychique lui a été caché par l’époux lui même et sa famille. Règle de droit :
L’article 180 du code civil dispose que « Le mariage qui a été contracté sans le consentement libre des deux époux, ou de l’un d’eux,ne peut être attaqué que par les époux, ou par celui des deux dont le consentement n’a pas été libre, ou par le ministère public. L’exercice d’une contrainte sur les époux ou l’un d’eux, y compris par crainte révérencielle envers un ascendant, constitue un cas de nullité du mariage.
S’il y a eu erreur dans la personne, ou sur des qualités essentielles de la personne, l’autre époux peutdemander la nullité du mariage. »
En effet, en vertu de l’article susnommé, pour que le mariage soit valable, le consentement doit être libre, c’est-à-dire exempt de vice. Les vices du consentement sont au nombre de trois:

Le dol : Il s’agit de l’hypothèse dans laquelle le consentement de l’un des époux n’est pas bon pour cause de tromperie ou de manipulation. Le contrat de mariage n’est pas uncontrat habituel. Le dol est exclu comme cause de nullité du mariage.

La violence : La violence physique est très rarement invoquée car il faudrait que l’acte de violence se passe devant l’officier d’état civil. Par contre, la violence morale est concevable mais la jurisprudence l’admet assez difficilement. Cependant, ceci ne semble pas convenir aux faits de l’espèce.

L’ erreur :Initialement la jurisprudence exigeait une erreur d’une certaine importance, par exemple se tromper sur l’identité physique de la personne. La notion d’erreur en droit civil a toutefois connu une évolution. Dans un premier temps, la jurisprudence a admis qu’il pouvait y avoir erreur sur une qualité de la personne, c’est-à-dire sur l’identité civile de la personne. Dans ce cas la victime peut demander lanullité du mariage mais seulement à condition que ce soit une erreur sur l’identité civile et quelle ait été déterminante. Dans les autres cas, l’erreur n’emporte pas la nullité.
Jurisprudence « Berthon » de 1862_ : Une jeune fille épouse un ancien forçat qui avait perdu ses droits civiques : la demande de nullité du mariage fut rejetée au motif qu’une _erreur_ sur le passé pénal ne pouvait entraînerla nullité._
Dans un second temps, la loi du 11 juillet 1975 sur le divorce a élargi la nullité du mariage pour erreur. Ce texte retient en effet l’erreur sur les qualités essentielles de la personne en plus de l’erreur sur la personne comprise étroitement.
La notion de qualité essentielle se définit comme une qualité qui doit non seulement être essentielle pour l’époux, mais elle doit êtrepour lui si importante que si son conjoint en été dépourvu il ne l’aurait jamais épousé : c’est, dans ce cas présent, une erreur déterminante du consentement.
Cette qualité doit être aussi essentielle au mariage : ce doit être une qualité si essentielle au mariage que sans elle, le mariage n’aurait jamais eu lieu.
La jurisprudence admet :
« L’erreur de l’époux sur l’intégralité mentale…

Voyage haute mer

Le roman est surtout connu pour son style imité de la langue parlée et influencé par l’argot et qui a largement influencé la littérature française contemporaine. Il s’inspire principalement de l’expérience personnelle de Céline au travers de son personnage principal Ferdinand Bardamu : Louis-Ferdinand Destouches a participé à la Première Guerre mondiale en 1914 et celle-ci lui a révélél’absurdité du monde. Il ira même jusqu’à la qualifier « d’abattoir international en folie ». Il expose ainsi ce qui est pour lui la seule façon raisonnable de résister à une telle folie : la lâcheté. Il est hostile à toute forme d’héroïsme, celui-là même qui va de pair avec la guerre. Pour lui, la guerre ne fait que présenter le monde sous la forme d’un gant, mais un gant que l’on aurait retourné, et donton verrait l’intérieur, ce qui amène à la trame fondamentale du livre : la pourriture et sa mise en évidence.

Résumé
Personnages principaux
• Ferdinand Bardamu, le narrateur
• Léon Robinson
• Lola, américaine rencontrée à Paris et retrouvée à Manhattan
• Musyne, violoniste rencontrée à Paris
• Molly, américaine rencontrée à Détroit
• Bébert, petit garçon rencontré dans la banlieueparisienne
• La tante de Bébert
• La famille Henrouille (la bru, son mari et sa belle-mère)
• Madelon, amante de Robinson (et, à l’occasion, de Bardamu)

Voyage au bout de la nuit est un récit à la première personne dans lequel Bardamu raconte son expérience de la première guerre, du colonialisme en Afrique et de l’Amérique de l’entre-deux guerres.
Bardamu a vu la Grande Guerre et l’ineptiemeurtrière de ses supérieurs dans les tranchées. C’est la fin de son innocence. C’est le point de départ de sa descente sans retour. Ce long récit est une dénonciation des horreurs de la guerre mais aussi le point de départ du pessimisme qui traverse tout le récit.
Bardamu part ensuite pour l’Afrique où le colonialisme est le purgatoire des Européens sans destinée. Pour Bardamu, c’est même l’Enfer etil s’enfuit vers l’Amérique de Ford, du dieu Dollar et des bordels. Bardamu n’aime pas les États-Unis mais c’est peut-être le seul lieu où il fit la rencontre d’un être, Molly, qu’il aima jusqu’au bout de son voyage sans fond. Mais la vocation de Bardamu, ce n’est pas de travailler avec les machines des usines de Détroit, mais de côtoyer la misère humaine, quotidienne et éternelle. Il retournedonc en France pour terminer ses études en médecine et devenir médecin des pauvres. Il devient alors médecin dans la banlieue parisienne et côtoie la misère humaine tout comme en Afrique ou dans les tranchées de la première guerre mondiale.
Analyse de l’oeuvre
Ce roman peut être qualifié par quelques adjectifs :
• Antinationaliste : Le patriotisme est, selon Céline, l’une des nombreuses faussesvaleurs dans lesquelles l’homme s’égare. Cette notion est visible notamment dans la partie consacrée à la Première Guerre mondiale, au front, puis à l’arrière, où Céline s’est fait hospitaliser.
• Anticolonialiste : Ceci est surtout visible lors du voyage de Bardamu en Afrique. C’est le deuxième aspect idéologique de cette œuvre, et pas le moindre. Il qualifie le colonialisme de « mal de la mêmesorte que la Guerre » ; il en condamne donc le principe, l’exploitation sur place des colons, dresse un portrait extrêmement caricatural des occidentaux là-bas.
• Anticapitaliste : Ceci se repère naturellement dans la partie consacrée aux États-Unis, lors de son voyage à New York, puis à Détroit, principalement au siège des usines automobiles Ford. Il condamne bien évidemment le taylorisme, cesystème qui « broie les individus, les réduit à la misère, et nie même leur humanité » reprenant sur ce point quelques éléments de Scènes de la vie future (1930) de George Duhamel qu’il a lu au moment de l’écriture du Voyage1. Le regard qu’il porte sur le capitalisme est étroitement lié à celui qu’il porte au colonialisme.
• Anarchiste : À plusieurs reprises, l’absurdité d’un système hiérarchique…

Fabl

* – Chaque sujet comporte une première partie soit en histoire, soit en géographie qui fera l’objet de l’interrogation principale (la majeure) et une seconde partie dansl’autre discipline qui fera l’objet d’une interrogation rapide (la mineure). Majeure et mineure sont explicitement indiquées dans le libellé.
* – La liste des questionsdoit être signée par le professeur, avec le cachet de l’établissement et indiquer les quatre questions obligatoires (deux en histoire et deux en géographie) et les deuxquestions au choix (une en histoire et une en géographie) étudiées pendant l’année. Il n’est pas possible de proposer des sujets en dehors de cette liste.
* – La liste indiqueéventuellement le manuel en usage dans l’établissement et peut présenter les grandes articulations du cours, pour informer l’examinateur, adapter le libellé des sujets et nepas désorienter les candidats, mais elle ne doit pas être laissée au candidat pendant son temps de préparation.
* – Peuvent être annexés à la liste, les documents (3 à 5par question) ou ensemble de documents étudiés en classe, sans annotation. Le candidat peut être invité à les utiliser en appoint de son exposé et non comme objet d’uncommentaire.
* – L’examinateur peut éventuellement proposer un document ou un ensemble de documents correspondant à une question étudiée. Dans ce cas, le ou les documents sontutilisés à titre d’aide, à l’appui de l’exposé et non comme objet d’un commentaire.
* – Lors du questionnement, des fonds de carte vierges peuvent être proposés pourdes localisations, mais pas pour réaliser un croquis géographique.
* – L’évaluation des réponses est globale et positive et doit utiliser l’éventail des notes de 0 à 20.

Cambiaire

Du Contrat social : livre III
Livre III
Chapitre I : Du gouvernement en général
Dans
le corps politique on distingue la force et la volonté. La volonté est
la puissance législative et la force est la puissance exécutive. La
puissance législative appartient au peuple et la puissance exécutive au
gouvernement qui est le ministre du Souverain. Le gouvernement est un
corps intermédiaireétabli entre les sujets et le Souverain pour leur
mutuelle correspondance, chargé de l’exécution des lois et du maintien
de la liberté tant civile que politique. Les membres de ce corps
s’appellent Magistrat ou rois, c’est-à-dire Gouverneurs et le corps
entier porte le nom de Prince. Le Gouvernement est l’exercice légitime
de la puissance exécutive et Prince est l’homme ou le corps chargé de
cetteadministration. Le Gouvernement reçoit du Souverain les ordres
qu’il donne au peuple. Si le Souverain veut gouverner ou le magistrat
veut donner des lois ou si les sujets refusent d’obéir alors règnent le
despotisme ou l’anarchie. Pour Rousseau, plus l’Etat s’agrandit, plus
la liberté diminue car le suffrage du sujet a moins d’influence dans la
rédaction des lois. Dans l’agrandissement d’unEtat plus le
gouvernement doit avoir de force pour contenir le peuple, plus le
Souverain doit en avoir pour contenir le gouvernement. L’Etat existe
par lui-même alors que le Gouvernement n’existe que par le Souverain.
La volonté dominante du Prince ne doit être que la volonté générale ou
la loi. Dès lors que le Prince use de la force publique pour exercer sa
volonté particulière, le corpspolitique se dissout. Pour que le
Gouvernement ait une existence il lui faut une volonté propre qui tende
à sa conservation. Cette existence particulière suppose des assemblées
et un pouvoir de délibérer. Le corps du gouvernement (les gouverneurs)
doit toujours être prêt à sacrifier le Gouvernement au peuple et non le
peuple au Gouvernement.
Chapitre II : Du principe qui constitue les diversesformes du gouvernement
Rousseau
distingue le Prince du Gouvernement. Ce rapport du Gouvernement aux
Magistrats est d’autant plus grand que ses membres sont plus nombreux.
Donc plus les Magistrats sont nombreux plus le Gouvernement est faible.
Dans la personne du Magistrat, Rousseau distingue trois volontés : la
volonté propre à l’individu, la volonté commune des Magistrats et la
volonté dupeuple. Dans une législation parfaite, la volonté
particulière doit être nulle, la volonté commune très subordonnée et la
volonté générale (celle du peuple) toujours dominante. Selon l’ordre
naturel, chaque membre du Gouvernement est premièrement soi-même, puis
Magistrat, puis citoyen. Ce qui est contraire à l’ordre social. Que
tout le Gouvernement soit aux mains d’un seul et la volonté ducorps
est parfaitement unie à la volonté particulière. Il s’ensuit que le
plus actif des Gouvernements est celui d’un seul. Au contraire si le
Gouvernement est uni à l’autorité législative et le citoyen sont les
Magistrats alors la volonté du corps est confondue avec la volonté
générale et le Gouvernement sera dans son minimum de force d’activité.
Pour Rousseau, plus le peuple est nombreux,plus la force réprimante
doit augmenter. Mais plus l’Etat s’agrandit et plus le gouvernement
doit se resserrer, tellement que le nombre des chefs diminue en raison
de l’augmentation du peuple.
Chapitre III : division des gouvernements
Rousseau
définit les différents types de gouvernements. Le Souverain peut
commettre le dépôt du Gouvernement à tout le peuple en sorte qu’il y
ait plus decitoyens magistrats que de citoyens simples particuliers,
c’est la Démocratie. Le Souverain peut resserrer le Gouvernement entre
les mains d’un petit nombre et il y a plus de simples citoyens que de
magistrats c’est l’Aristocratie. Le Souverain peut concentrer tout le
Gouvernement dans les mains d’un magistrat unique c’est la Monarchie.
Il estime que chaque forme de gouvernement est la…

Le charlatanisme

Charlatanisme
C’est ainsi que l’on nomme le comportement de certains individus profitant de la naïveté ou de la crédulité d’autres personnes, le plus souvent pour des avantages financiers carl’escroquerie est une activité très rémunératrice pour qui la pratique. Elle repose sur le mensonge, la dissimulation et la manipulation qui sont des traits de caractères propres à l’homme, et cela dèsl’apparition de la parole. Peu nombreux sont les individus qui pourraient reconnaître ne jamais mentir. C’est une des raisons pour lesquelles le charlatanisme est toujours présent dans notre société. On leretrouve sous diverses formes à des niveaux plus ou moins dangereux : le secteur commercial, sanitaire, politique ou religieux.
Les progrès de la science, l’instruction obligatoire, la quantitéénorme d’informations disponible dans les livres ou sur internet pourraient faire croire que le Charlatanisme tendrait à disparaître. Ce n’est pas le cas, il est plus présent que jamais. Ainsi, lesautoproclamés religions que sont les sectes utilisent des méthodes simples et efficaces pour embrigader leurs faibles et innocentes victimes. Méthodes pseudo scientifiques, tests de personnalité coûteux,achats de documents à prix exorbitants, allégations mensongères et manipulations mentales sont le prix à payer pour avoir le droit d’être dépossédé de ses biens et de son identité. Tels des charognards,les sectes attaquent toujours de la même manière : une fois leur proie repérée, ils la font douter et se remettre en question puis abuse d’elle financièrement et psychologiquement. Ensuite, lavictime est elle-même utilisée pour faire la promotion de la secte. Certaines organisations disposent ainsi d’ambassadeurs de premier ordre : des vedettes de Hollywood sur le déclin, plus connues pours’être laissée bernée par une soi-disant « église » que pour leur filmographie. Quand on sait que la profession de ces gens est de jouer la comédie, on est surpris que des milliers de personnes leur…

Traitement de l’information

Dès l’avènement des premières technologies de traitement de l’information, le problème de
la référence à l’intelligence humaine a été posé. L’apparition de l’ordinateur et du logiciel a
donnénaissance à l’intelligence artificielle qui a essayé de mimer ou d’utiliser comme métaphore
le traitement cognitif humain, puis s’en est écartée pour explorer les voies du raisonnement et
des systèmesexperts.

La progression très forte dans les années 1970 puis 1980 de la compréhension
du cerveau a relancé l’approche métaphorique avec les réseaux de neurones arti-
ficiels. Les progrès continusen imagerie cérébrale et les capacités d’analyse fonc-
tionnelle qu’elle permet, et les progrès sensibles réalisés notamment dans les
technologies du raisonnement et du traitement des langagesfournissent
aujourd’hui une nouvelle conjoncture dans laquelle des progrès couplés de la
compréhension cognitive du cerveau et de l’intelligence artefactuelle 1 peuvent
être envisagés.

Le programme derecherche vise à investir le champ du traitement de l’infor-
mation comme paradigme explicatif des fonctionnalités cognitives de base tels le rai-
sonnement, l’apprentissage, la mémoire, mais aussides phénomènes d’émergence des
connaissances ainsi que de leur organisation, description et traitement. Ce programme fera
appel à de multiples disciplines : imagerie du cerveau humain, psychologiecognitive, traitement
de l’information, modélisation et simulation. Le résultat de ces recherches doit constituer à la fois
une progression dans la compréhension du fonctionnement cognitif humain etune base d’ins-
piration ou de référence compétitive pour les voies alternatives du traitement artificiel de l’infor-
mation.

Les trois axes essentiels de ce programme sont :

• les grandesfonctions cognitives de base: mémoire, visualisation, raisonnement, recon-
naissance des formes, perception et commande ;

• la perception et l’action : comportements automatiques non-conscients…