Buzz marketing

Un bon exemple de buzz marketing

Le buzz marketing, anciennement appelé « Marketing viral », connaît un véritable essor depuis quelques temps, si l’on se fie au nombre de blogs qui traitent dusujet. Toutefois, il est difficile de cerner les frontières de cette nouvelle forme de marketing. Un exemple très récent nous éclaire un peu plus sur le buzz : l’abris bus 3M

Depuis plusieurssemaines, une blague concernant un produit de 3M circule sur le web. Elle montre des billets de banque rangés dans un abris bus. L’opération originelle consistait à démontrer le côté incassable du verre 3M.Seulement la simple campagne de communication évènementielle s’est très rapidement transformée en action de marketing viral.

En effet, la photo de l’abris bus circule sur le net comme une blague. Laprésence du logo 3M sur la vitre signe la campagne et fait la promotion du produit. Ce qui est le plus drôle et d’une certaine manière, le plus « buzz », c’est que cette action de communication n’apas été organisée par 3M, mais par son distributeur canadien. Au final, l’entreprise 3M profite des effets de cet écho sur le net, mais est un peu embêtée car son verre n’est pas incassable !

Lebuzz marketing consiste donc à faire circuler sur le net des informations sous différentes formes ( blagues, textes, vidéos, sons, … ) pour promouvoir une marque ou une idée. Seulement, on ne contrôlejamais tout dans une campagne de marketing viral, car par principe un virus contamine certaines personnes qui elles mêmes transmettent le virus qu’à certaines personnes.
Un lien vers un blog traitantde la pub
Un article paru sur Culture Buzz

Ce billet a été publié le 30/03/2005 dans la(les) catégorie(s) Marketing et est lié au(x) tag(s) suivants : buzz marketing, événementiel.
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2 commentaires

CHOOB
12 January 2008 at 17:29
bonjour actuellement en classe de terminale stg…

Antonin artaud

{draw:frame} Antonin Artaud, de son vrai nom Antoine Marie Joseph Artaud, né à Marseille le 4 septembre 1896 et mort le 4 mars 1948, est un poète, romancier, acteur, dessinateur et théoricien du théâtre français.
Inventeur du concept du « théâtre de la cruauté » (terme introduit par Artaud pour désigner la forme dramatique à laquelle il travailla dans son essai Le théâtre et son double.Derrière « cruauté» il faut entendre « souffrance d’exister ». L’acteur = un supplicié sur son bucher), Artaud aura tenté de transformer de fond en comble la littérature, le théâtre et le cinéma. Par la poésie, la mise en scène, la drogue, les pèlerinages, le dessin et la radio, chacune de ces activités a été un outil entre ses mains, « un moyen pour atteindre un peu de la réalité qui le fuit ».
Géniepour certains, fou pour d’autres, Artaud fut poète, auteur et metteur en scène de théâtre, comédien, plasticien, c’est-à-dire un homme hors norme. Membre du mouvement surréaliste, il incarna un verbe unique, étrange, toujours aux confins de la folie, sa poésie et son théâtre furent le reflet de son âme et de ses pratiques toxicomanes.
Il écrira aussi : Correspondance avec Jacques Rivière,L’Ombilic des Limbes, Fragments d’un Journal d’Enfer, L’Art et la Mort, Héliogabale ou l’Anarchiste couronné (1934), Le Théâtre et son Double, Les Cenci, Messages révolutionnaires, Les Tarahumaras (1955), Les Nouvelles Révélations de l’Etre, Le Moine, Suppôts et Supplications, Van Gogh le suicidé de la société, Lettre contre la Cabale (1949), Pour en finir avec le jugement de dieu.
Le Pèse-Nerfsest une œuvre construite comme une succession de lettres à d’imaginaires lecteurs forts différents les uns des autres. Elle fut publiée en 1925. Artaud leur décrit son malaise existentiel, une sorte de feu intérieur qui le consume et rend sa vie insupportable. Dans un vocabulaire parfois cru, violent, il injurie le monde. Sa quête, qu’il perçoit lui-même comme impossible, est celle de l’Absolu. Dansun ouvrage à peine antérieur, la Correspondance avec Jacques Rivière (1927), il avait ébauché ce travail d’extériorisation de lui-même. C’est dans le Pèse-Nerfs que l’on mesure pleinement combien la tension qui affecte Artaud use sa santé mentale. Dans ces textes concentrés à l’extrême, le poète se livre à un intense combat intérieur qui débouche sur une écriture ressentie comme une thérapieéphémère.
A travers ce texte, Artaud nous expose sa difficulté à écrire, comment s’y prend-t’il ? Peut-on arriver à s’exprimer en séparant le langage de l’esprit en sachant que le langage est la faculté propre à l’homme d’exprimer et de communiquer sa pensée au moyen de la parole et de l’écriture ?
“Qui suis-je? D’où je viens? Je suis Antonin Artaud et que je le dise comme je sais le direimmédiatement vous verrez mon corps actuel voler en éclats et se ramasser sous dix mille aspects notoires un corps neuf où vous ne pourrez plus jamais m’oublier. ”
« Il faut que l’on comprenne que toute l’intelligence n’est qu’une vaste éventualité, et que l’on peut la perdre, non pas comme l’aliéné qui est mort, mais comme un vivant qui est dans la vie et qui en sent sur lui l’attraction et le souffle.»
« J’ai pour me guérir du jugement des autres, toute la distance qui me sépare de moi-même. »
Surréalisme _dans le manifeste du surréalisme 1924 : automatisme psychique pure par lequel on se propose d’exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toutes autres manières le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l’absence de tout contrôle de la raison, et en dehorsde toutes autres occupations esthétiques ou morales. _
On assiste à une réflexion intérieure de l’auteur avec lui-même qui refuse de faire naitre la pensée (.25). Artaud veut pouvoir contrôler sa pensée il ne veut pas la laisser divaguer. Mais il ne veut surtout pas non plus la définir, lui donner un nom (l.23). Pour lui d’ailleurs elle n’a pas de nom, il ne l’appelle…

L’illusion

Meghouar
L’illusion
Spontanément l’illusion apparait comme une tromperie des sens m’induisant en erreur.Mais cette qualification première apparait très vite trop réductrice Au-delà de ce jeu d’apparence elle se veut projection de mes désirs sur la réalité devenant construction mentale. En ce sens ses effets sont tout autre en plus de l’erreur elle trouve en mon désir la juste mesure pourexister. Non simple conséquence de mes sens, ce produit de mes idées au pouvoir consolateur se veut synonyme d’espoir. Voilà pour l’homme le moyen de s’éloigner d’une réalité concrète pour en rejoindre une autre Puis-je pour autant m’y abandonner au risque de rompre avec la réalité ? Car si l’erreur se réconcilie avec la réalité, l’illusion parce qu’elle me fascine enveloppe mon esprit d’une étoffeopaque au réel. Alors en quoi l’illusion est-elle antinomique ?
Première partie
De mes sens je tire une perception du réel. Je me situe ainsi dans l’espace et trouve dans ce monde les repères qui me permettent d’y exister. Seulement lorsqu’ils sont défaillants mes sens me trompent ; ils sont bien à l’origine d’illusion. C’est l’illusion perceptive .Ainsi l’illusion est une transformation duréel qui émane de ma personne indépendamment de ma volonté et diffère selon des déterminismes particuliers. En ce sens, elle est mienne rattachée à mon individualité et ne sera pas nécessairement partagée . Hormis l’illusion engendrée par mes sens il en est une autre à l’approche ambivalente que le sujet conscient adopte envers la réalité. Fondée sur mon désir, elle se veut construction mentale.Ainsi sa condition première est celle de représentation. De fait elle s’oppose à toute objectivité. Laissé porté par mes désirs je choisis de me diriger vers une réalité toute autre : la leur. Elle pousse mon espérance à son paroxysme : la possibilité que mes désirs se réalisent m’encourage à trancher en sa faveur. Je préfère mes désirs aux intérêts rationnels me rattachant à une réalité véritable.Alors l’illusion apporte à celui qu’elle berce une raison de persévérer dans ce monde. Mère de ces espoirs voila ce qui reste à l’Homme soumis au mouvement de l’existence : c’est que l’illusion lui offre une certaine constance à travers ces désirs. Voilà ce que j’aspire à être moi l’être dans la contingence de l’existence. Elle donne du sens à mon existence en en donnant à mes désirs. Elle luipermet d’échapper à un sentiment de déréliction d’où son messianisme. L’illusion est principe donateur de sens à mon existence en me signifiant que je poursuis une vérité celle de mes désirs. Je ne vis plus pour moi mais pour elle, pour la voir se réaliser. Voilà ma raison de vivre. Elle et moi sommes liés par la corde de mes désirs. L’illusion sauve ainsi mon existence du non sens et du sentimentd’abandon. L’attente de sa réalisation devient alors supportable. L’illusion par sa dimension de non savoir est bien source de mon bonheur. Ainsi dans la pièce de Beckett En attendant Godo Vladimir et Estragon échappent à lasouffrance en espérant l’arrivée leur raison d’exister. L’illusion peut dont être perçu comme un remède sédatif, guérisseur me protégeant du pathos. Finalement parce que l’Hommeest un être soumis à l’insatiabilité de ses désirs, l’illusion lui est consubstantielle. Mais telle que Freud la définit, son ontologie est ambivalente. Si elle peut parfois se réconcilier avec la réalité elle peut à la fois prendre définitivement ses distances avec elle. La voila transformé idée délirante. Se laisser porter par son illusion est donc une entreprise dangereuse et risquée.Deuxième partie
Croire à ses illusions c’est crée un déséquilibre dans son psychisme. C’est donner raison au principe de plaisir qui l’emportera sur le principe de réalité. Ma quête du bonheur sera entravée par mes désirs et empêchera à ma raison d’y ajouté tout sens de la mesure. La réalité ne peut qu’en être abusée : elle devient ma réalité. Mon existence se voit emmuréé dans l’obscur château de…

Rapport

Exposition

« Sobriété et irrégularité
dans la céramique japonaise »

Musée départemental Georges de La Tour
31 octobre 2010 – 20 mars 2011

A travers cette exposition, le Muséedépartemental Georges de La Tour souhaite faire découvrir une esthétique profondément japonaise située à l’opposé des notions de perfection, de grandeur et de symétrie.

L’exposition donne en effet àvoir au public des objets reflétant un goût subtil pour la simplicité extrême des formes et les objets imparfaits, très éloignés des somptueuses porcelaines d’Imari et des resplendissants grèspolychromes de Satsuma, qui ont longtemps eu la faveur des collectionneurs occidentaux.

Le parcours commence par des céramiques médiévales dont la beauté rugueuse, due au hasard des accidents decuisson, a attiré l’attention des grands maîtres de la cérémonie du thé du XVIème siècle. Il se poursuit par des bols paysans coréens, dont l’esthétique a beaucoup influencé les productionsjaponaises postérieures.

Parmi les temps forts de l’exposition, le public découvre les céramiques originales de la période Momoyama (1573-1603), âge d’or de la création japonaise, ainsi que desœuvres d’artisans de notre époque, si habiles dans leur maîtrise des techniques que le gouvernement japonais leur a attribué le titre suprême de « Trésors Nationaux Vivants ».

L’exposition réserveune part importante à la céramique de la dynastie Raku, héritière directe des idéaux esthétiques « wabi-sabi » prônés par les maîtres de thé de l’ancien Japon. C’est cette famille de céramistesqui a inspiré la technique si pratiquée aujourd’hui en occident et connue sous le nom commun de « raku ».

Le Musée départemental Georges de La Tour réunit, avec l’aide de grands musées et decollectionneurs privés, des pièces qui expriment au mieux les idéaux de sobriété et d’irrégularité dans la céramique japonaise, notions indispensables pour la compréhension de l’art de ce…

Hhhqsq

DEMARCHE A SUIVRE
Construction du DD : épuration des synonymes et polysèmes Définition des entités (regrouper les données en sous-ensembles présentant une cohérence interne et une autonomie les uns vis-à-vis des autres) et de leurs identifiants Définition des propriétés : tenir compte des 4FN Mise en place des relation : * les dépendances fonctionnelles (père et fils)(CIF) * les autres relations(regarder les dimensions) MCD final : regarder après si on peut retirer des pattes ou pas ? Exercice n°1 – Planification des cours organisés par une « auto-école » Dans une auto-école, on a les données suivantes : Nom de l’élève Nom du moniteur Numéro d’immatriculation du véhicule Le modèle du véhicule (Clio, Corsa, 305, Punto, Xantia, etc.) La durée prévue d’une leçon La marque du véhicule(Renault, Mercedes, etc.)

Les Règles de gestion sont : RG1 : une leçon planifiée pour une durée donnée, elle concerne un élève, un modèle de véhicule, un moniteur pour une date et une heure prévue RG2 : un élève peut à chaque leçon avoir un moniteur différent RG3 : les débuts des leçons sont alignés sur des tranches préétablies (8h9h ; 10h-11h ; etc.)

Solution :
DD :
Nom de l’élève Nom dumoniteur Numéro d’immatriculation Modèle du véhicule Marque du véhicule Durée de la leçon Date et heure de la leçon (RG1) Tranche horaire (Date et heure) (RG2) synonymie avec Date et heure de la leçon (RG1). On va garder Tranche horaire

ENTITES ET IDENTIFIANTS : Elève Id_élève Moniteur Id_moniteur Véhicule Numéro d’immatriculation 1

« Leçon » n’a que de sens que si élève, modèle du véhicule,moniteur existe. Donc va plutôt se trouver comme relation. (RG1) ENTITES ET PROPRIETES : ELEVE (Id_élève) Nom de l’élève Nom du moniteur

MONITEUR (Id_moniteur)

VEHICULE (Num_immatriculation) Marque du véhicule –/-> Modèle du véhicule (3FN : car dès que l’on connaît le modèle du véhicule, on connaît sa marque) Création d’une l’entité MODELE DU VEHICULE (Modèle)

MISE EN PLACE DES RELATIONS :1// Les CIF : un modèle de véhicule n’appartient qu’à 1 et 1 seule marque de véhicule 2// Les autres relations : La durée de la leçon dépend de Elève, Moniteur, Modèle du véhicule (RG1) et de la tranche horaire (RG2 : un élève peut avoir plusieurs leçons), on va créer l’entité TRANCHE HORAIRE (Date, heure) MCD FINAL : Solution 1 Durée = donnée calculée en fonction de la tranche horaire : Ok dansDD mais pas MCD ELEVE – Id_Elève – Nom élève 1,n Planification de la leçon – Durée 1,n 1,n Appartient 1,1 VEHICULE -Num_immatriculation – Marque 1,n TRANCHE HORAIRE – Date-Heure 1,n – Id_Moniteur – Nom Moniteur MONITEUR

MODELE – Modèle

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Solution 2 : préférable On a ici un identifiant pour leçon : Numéro de leçon. De plus on a plusieurs relations à 2 pattes plutôt qu’une seule à 4 pattes.Date devient propriété de LECON et ne se trouve plus dans TRANCHE-HORAIRE. 1,1 1,n 1,1 1,n ELEVE – Id_Elève – Nom élève 1,n MODELE – Modèle Appartient 1,1 1,n VEHICULE -Num_immatriculation – Marque 1,n TRANCHE HORAIRE – Tranche horaire Passée sur le Passe une LECON – N° Leçon – Date 1,1 1,1 Dans la Avec MONITEUR – Id_Moniteur – Nom Moniteur

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Exercice n°2 – Création de cocktails Lesdonnées : Nom du Cocktail (Daiquiri, Bloody Mary, etc.) Nom de l’ingrédient entrant dans la composition (Rhum, citron, sucre, etc.) Numéro de la variante du Cocktail (Variante 1, variante 2, etc.) La quantité de l’ingrédient dans le Cocktail d’une telle variante L’unité de mesure de la quantité de l’ingrédient dans le cocktail (gramme, centilitre, cuillère, etc.)

Les Règles de gestion sont : RG1 : lenom du Cocktail est toujours sans ambiguïté possible pour le connaisseur. RG2 : dans une variante d’un Cocktail, les quantités d’ingrédients peuvent changer, voir les ingrédients eux-mêmes.

On doit pouvoir répondre facilement aux questions suivantes : Dans un tel Cocktail, quelles sont toutes les variantes ? Qu’y a-t-il dans chaque variante du Cocktail ? Dans quel cocktail utilise-t-on un…

Machiavel

Nicolas MACHIAVEL (1515)

Le Prince
Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: [email protected] Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: « Les classiques des sciences sociales » Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Unecollection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l’Université du Québec à Chicoutimi Site web: http://bibliotheque.uqac.uquebec.ca/index.htm

Nicolas Machiavel (1515) Le Prince

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Cette édition électronique a été réalisée par Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie à partir de :

Nicolas MACHIAVEL (1515),

Le Prince
Une éditionélectronique réalisée à partir du texte de Machiavel, Le Prince publié en 1515. Machiavel naît et meurt à Florence (1469 – 1527). Traduction française de Jean-Vincent Périès (1825). Paris, Le monde en 10-18, Union Générale d’Éditions, 1962, 190 pages. Police de caractères utilisée : Pour le texte: Times, 12 points. Pour les citations : Times 10 points. Pour les notes de bas de page : Times, 10 points.Polices de caractères utilisée : Pour le texte: Times, 12 points. Pour les citations : Times 10 points. Pour les notes de bas de page : Times, 10 points. Édition électronique réalisée avec le traitement de textes Microsoft Word 2001 pour Macintosh. Mise en page sur papier format LETTRE (US letter), 8.5’’ x 11’’) Édition complétée le 24 février 2002 à Chicoutimi, Québec. Édition revue et corrigée le 14avril 2003.

Nicolas Machiavel (1515) Le Prince

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Table des matières
Le Prince
Chap. I. Chap. II. Chap. III. Chap. IV. Chap. V. Chap. VI. Chap. VII. Chap. VIII. Chap. IX. Chap. X. Chap. XI. Chap. XII. Chap. XIII. Chap. XIV. Chap. XV. Chap. XVI. Chap. XVII. Chap. XVIII. Chap. XIX. Chap. XX. Chap. XXI. Chap. XXII. Chap. XXIII. Chap. XXIV. Chap. XXV. Chap. XXVI. Combien il y a de sortes deprincipautés, et par quels moyens on peut les acquérir. Des principautés héréditaires. Des principautés mixtes Pourquoi les États de Darius, conquis par Alexandre, ne se révoltèrent point contre les successeurs du conquérant après sa mort. Comment on doit gouverner les États ou principautés qui, avant la conquête, vivaient sous leurs propres lois. Des principautés nouvelles acquises par les armeset par l’habileté de l’acquéreur Des principautés nouvelles qu’on acquiert par les armes d’autrui et par la fortune. De ceux qui sont devenus princes par des scélératesses. De la principauté civile. Comment, dans toute espèce de principauté, on doit mesurer ses forces. Des principautés ecclésiastiques Combien il y a de sortes de milices et de troupes mercenaires. Des troupes auxiliaires, mixteset propres. Des fonctions qui appartiennent au prince, par rapport à la milice. Des choses pour lesquelles tous les hommes, et surtout les princes, sont loués ou blâmés. De la libéralité et de l’avarice. De la cruauté et de la clémence, et s’il vaut mieux être aimé que craint. Comment les princes doivent tenir leur parole. Qu’il faut éviter d’être méprisé et haï. Si les forteresses, et plusieursautres choses que font souvent les princes, leur sont utiles ou nuisibles. Comment doit se conduire un prince pour acquérir de la réputation. Des secrétaires des princes. Comment on doit fuir les flatteurs. Pourquoi les princes d’Italie ont perdu leurs États. Combien, dans les choses humaines, la fortune a de pouvoir, et comment on peut y résister. Exhortation à délivrer l’Italie des barbares. Nicolas Machiavel (1515) Le Prince

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Machiavel naît et meurt à Florence (1469 – 1527). Si on lit le Prince avec attention, ou verra que Machiavel, en se fondant site des considérations d’intérêt, de sécurité, et surtout de puissance militaire, incite le Prince à créer les conditions de la république où il faut lutter contre les puissants, protéger les humbles, armer le peuple et non…

Le petit chaperon rouge

Le petit chaperon rouge
Un jour, la mère d’une petite fille surnommée le petit chaperon rouge,lui donna un gâteau et du beurrepour l’amener à sa
grand- mère qui était très malade . On l’appelait le petit chaperon rouge car elle portait une jolie caperouge. Avant qu’elle ne parte sa mère lui ordonna de passer par la route et non par le bois afin ne pas rencontrer le loup. Le petitchaperon rouge s’en alla et bien qu’elle avait promis de ne pas passer par le bois elle y passa quand même. Dans la foret elleécoutait les oiseaux et cueillait des fleurs puis à un moment elle vit le loup et sans avoir peur elle discuta avec lui. Le loup demandace que faisait la petite fille,elle lui répondit qu’elle allait voir sa grand mère, alors le loup lui proposa de faire la courseavec elle et elle accepta. Le petit chaperon rouge prit tous son temps pendant que le loup courrait très très vite. En arrivant chezla grand mère le loup la dévora , se coucha dans son lit. La petite fille arriva à son tour et posa pleins de question à sa grandmère, qui n’était autre que le loup déguisé, il la dévora elle aussi et s’ endormi. Un chasseur qui passait par la se demandapourquoi la grand-mère ronflait aussi fort, il découvrit que c’était le loup, il le tua et fit sortir la grand-mère et sa petite fille.

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Cours d’audit interne et contrôle Master1

COURS D’AUDIT INTERNE ET CONTROLE Master1
Réf.03/2010

Les différentes formes d’audit
1. Selon l’objectif de la mission :
1.1. L’audit financier,l’audit légal :
Son objectif est de vérifier et de certifier que les comptes annuels ou consolidés donnent une image fidèle. Il fait partie de l’audit légal (que la loi confie aux commissaires auxcomptes). D’autres expressions sont utilisées telles que : audit comptable et financier, audit financier, audit des états financiers ou simplement audit.

1.2. Les audits des états financiers :
L’auditfinancier désigne les missions qui prennent directement appui sur les états financiers de l’entreprise pour étudier les comptes annuels ou consolidés. Son objectif est de vérifier tout ou partie desprocessus comptables (comptes annuels, états financiers, documents comptables…etc.).

1.3. L’audit de la gestion :
Sa finalité est de porter un jugement critique sur une opération de gestion ou lesperformances d’une ou plusieurs personnes. Il a pour objectif d’apporter les preuves d’une fraude, d’une malversation ou d’un gâchis. Il diffère de l’audit financier en ce sens que ce dernier a pourobjet la vérification de la bonne transcription en langage comptable des opérations de l’entreprise, tandis que le premier a pour objet de juger la pertinence de ces opérations et la qualité desdirigeants.

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Cours d’audit interne et contrôle Master1

1.4. L’audit opérationnel:
L’audit opérationnel comprend toutes les missions qui visent à améliorer les performances de l’entreprise. Ilanalyse les risques et les déficiences existants dans le but de donner un conseil, de faire des recommandations, de mettre en place des procédures ou de proposer de nouvelles stratégies.

2. Selonl’intervenant :
L’auditeur peut être interne ou externe à l’entreprise :

2.1. L’audit interne :
L’audit interne est exercé par un salarié de l’entité auditée. Certes appartenant à l’effectif de…

Freud

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|Première leçon- Origine de la psychanalyse. Observation du Dr Bauer. Les traumatismes psychiques. Les hystériques souffrent de réminiscences. |
|Le traitement cathartique. L’hystérie de conversion .|
| Nul doute que la modification psychique manifestée pendant les absences (d’Anna O.) était une conséquence de l’excitation produite par ces |
|formations fantaisistes d’une vive tonalité affective. |
| Les symptômes morbides disparurent lorsque, sousl’hypnose, la malade se rappela avec extériorisation affective à quelle occasion ces |
|symptômes s’étaient produits pour la première fois. |
| Dans presque chaque cas, Breuer constata que les symptômes étaient, pour ainsi dire, comme des résidus d’expériences émotives que, pour cette|
|raison,nous avons appelées plus tard traumatismes psychiques ; leur caractère particulier s’apparentait à la scène traumatique qui les avaient|
|provoqués. Selon l’expression consacrée, les symptômes étaient déterminés par les scènes dont ils formaient les résidus mnésiques, et il |
|n’était plus nécessaire de voir en eux des effets arbitraires et énigmatiques de la névrose. Cependant,contrairement à ce que l’on attendait, |
|ce n’était pas toujours d’un seul événement que le symptôme résultait, mais la plupart du temps, de multiples traumatismes souvent analogues et|
|répétés. |
|Visitez les forums de Philagora |
|soutien gratuit |
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|—|
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| Nous pouvons grosso modo résumer tout ce qui précède dans la formule suivante : les hystériques souffrent de réminiscences. Leurs symptômes |
|sont les résidus et les symboles de certains événements traumatiques. |
| Cette fixation de la vie mentale aux traumatismes pathogènes est un des caractères les plusimportants et, pratiquement, les plus |
|significatifs de la névrose |
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|Insistons d’abord sur ce point que la malade de Breuer,dans toutes les situations pathogènes, devait réprimer une forte émotion, au lieu de la|
|laisser s’épancher par les voies affectives habituelles, paroles et actes. |
| On fut ainsi conduit à admettre que le patient, tombé malade de l’émotion déclenchée par une circonstance pathogène, n’a pu l’exprimer |
|normalement, et…

Le prince de machiavel

Comment prendre le pouvoir et le conserver ? Telle est pour Machiavel, la grande question politique, c’est-à-dire celle de la stabilité de l’Etat.

Il nous signale, au début de cette extrait de texte, qu’il y a deux manières de mener ce combat politique, l’une par les lois, l’autre par la force : la première est propre aux hommes, la seconde est propre aux bêtes ; mais comme la première biensouvent ne suffit pas, il faut recourir à la seconde. L’homme, étant un être représentatif de l’espèce vivante la plus évoluée, possède l’aptitude à respecter un ordre légal et à avoir des sentiments moraux, tandis que la bête est un être passionnel qui n’obéit qu’a la force et a son instinct. Machiavel pense donc que pour gouverner il faut donc « savoir bien user de la bête et de l’homme » (ligne1). En effet, il nous précise à l’aide d’une métaphore ce qu’est « user de la bête ». Par le mot « bête » il entend un être hybride, qui est de se montrer tantôt lion, tantôt renard, faire usage tantôt de la force, tantôt de la ruse. Puisque le lion symbolise la force brutale et le renard représente l’intelligence et la ruse. Car comme Machiavel l’explique aux lignes 3 et 4, par cettereprésentation imagée, il nous suggère que le Prince, outre la nécessité d’avoir de bonnes armes, doit savoir ruser.

Tout d’abord, Machiavel est amené a condamner toute politique fondées sur un projet moral. Il ne dit pas que les gouvernants doivent faire le mal, mentir, opprimer etc.… mais que dans leurs jugements et leurs actes, ils ne doivent pas tenir compte de convictions morales. En effet à la ligne8, Machiavel part du principe que « les hommes sont méchants » ils sont donc incapables de tenir parole, par conséquent le Prince peut donc, en faire autant puisque les hommes sont mauvais. Que vaut moralement cet argument ? On voit là, l’amoralisme du prince: il n’est pas à proprement parler immoral, mais il est au-dessus de la morale. La morale ordinaire ne vaut pas pour lui. Le devoir duPrince qui est d’assurer la stabilité de l’état, se place au-dessus de toute morale. Des crimes qui pourraient trouver leur explication dans la cruauté, l’ambition ou le désir de commander ne seraient en réalité dictés que par la nécessité. En effet, ce qui est nuisible aux Prince, selon Machiavel, ne doit point être accompli, par simple nécessité.
Puis, aux lignes 10 et 11, selon Machiavel,l’histoire a montré que les Princes qui n’ont jamais tenu compte de leur foi et de leur parole ont plus de chance de réussir dans leurs entreprises que ceux qui se sont uniquement fondés sur la loyauté car ils ont su par ruse circonvenir l’esprit des hommes .Il s’agira pour le Prince, étant donné qu’il ne peut pas modifier la volonté du peuple, d’intervenir sur sa vision du monde. En d’autres termes, ildoit participer au paraître en conformant son image à l’idéal du peuple. Cette attitude revient, pour le Prince, à paraître tel qu’il n’est pas et à se montrer tel que le peuple veut qu’il soit. Cette cécité révélée des hommes nous montre que le peuple est dans l’impossibilité de discerner l’écart qui existe entre l’être et le paraître, entre la réalité et l’illusion. Par conséquent, il estprisonnier des ténèbres de l’apparence et de l’illusion. C’est donc cultiver l’apparence au mépris de la réalité. Machiavel invente le principe de base de toute campagne électorale: paraître. La première vertu du Prince est de n’être prisonnier d’aucun principe hormis celui de réussir.
Cependant, selon Machiavel, aux lignes 16 à 21, un Prince, surtout quand il est « nouveau », ne peut pas toutbonnement observer toutes ces conditions par lesquelles on est destiné « homme de bien ». Il est souvent contraint, pour maintenir ses Etats, d’agir contre sa parole, « contre la charité, contre l’humanité ». Ne pouvant donc pas satisfaire la demande du peuple, pour sauvegarder sa crédibilité, et sa réputation, la sagesse politique lui recommande de ruser pour surmonter l’énorme difficulté que lui…