Le ku klux klan

Le Ku Klux Klan (appelé souvent par son sigle KKK ou également le Klan), fondé le 24 décembre 1865, est une organisation raciste blanche protestante des Etats-Unis. Elle est classée à l’extrêmedroite sur l’échiquier politique américain, mais n’a cependant jamais été un parti politique, mais plutôt une organisation de défense des intérêts et des préjugés des éléments traditionalisteset xénophobes de certains blancs protestants, les « White Anglo-Saxon Protestant (WASP) en tant que communauté « ethnico-religieuse ».
Ce sont six jeunes officiers sudistes (J. Calvin Jones, Frank O. McCord,Richard R. Reed, John B. Kennedy, John C. Lester, James R. Crowe) qui sont à l’origine du KKK.
Ils l’ont créé par la suite de la défaite des troupes confédérées sudistes contre les unionistes nordistes àla fin de la guerre de Sécession.
Le Ku Klux Klan est associé avec d’autres mouvements de l’extrême-droite américaine tels que Aryan Nations, WASP, The Order, ou Posse Comitatus.
Le Ku Klux Klanprône schématiquement la suprématie de la race blanche sur les autres races — Noirs (descendants des anciens esclaves), Asiatiques (immigrés chinois et japonais), Hispaniques(Mexicains, Cubains, Portoricains et d’autres peuples issus d’Amérique latine), Européens orientaux (Russes, Yougoslaves, Ukrainiens, etc.) —, ainsi que généralement l’antisémitisme, l’anticatholicisme romain (ici sont surtoutvisés, à l’origine du moins, les immigrés d’obédience catholique : Polonais, Italiens, Irlandais et Français) et l’homophobie.
Il s’éteint un moment puis renaît durant la Première Guerre mondiale(1915),mais sous la forme d’une association légale et culturelle, qui est ouverte à tous les américains blancs, protestants, et conservateurs. C’est Williams J. Simmons qui le relance. Puis il disparaitofficiellement en 1944.
Après la Seconde Guerre mondiale, de nombreuses tentatives ont été faites pour relancer une troisième fois le Ku Klux Klan. Mais personne n’y arrivera.
Il existe…

L’os

Romantisme
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Si un baiser est un grain de sable, je t’offrirais une plage entière…
{text:soft-page-break} II – Le Romantisme en littérature.
A – Ecrivains Français
a) Lespré – romantiques.
Jean Jacques Rousseau : 1712 à 1778
Denis Diderot : 1713 à 1784
b) Les grands romantiques
Chateaubriand : 1768 à 1848
Desbordes Valmore : 1786 à1859
Alphonse de Lamartine : 1790 à 1869
Alfred de Vigny : 1793 à 1863
Balzac : 1799 à 1850
Victor Hugo : 1802 à 1885
Alexandre Dumas : 1802 à 1870Alfred de Musset : 1810 à 1857
Théophile Gautier : 1811 à 1862
Charles Michelet : 1822 à 1898
{text:list-item}
Chamfleury : 1821 à 1889
Edmond de Goncourt : 1822 à1896
B – Les oeuvres selon les genres
a) La poésie
« Les Méditations » (1820) de Alphonse de Lamartine.
« Les Chimères » (1854) de Gérard de Nervale.
« Les Feuillesd’automne » (1831) de Victor Hugo.
b) Le théâtre
« Hernani » (1830) de Victor Hugo.
« Lorenzaccio » (1834) de Alfred de Musset.
« Chetterton » (1835) de Alfred de Vigny.{text:list-header}
« La confession d’un enfant du siècle » (1840) de Alfred de Musset.
« Notre Dame de Paris » (1831) de Victor Hugo.
« Le Comte de Monte – Cristo » (1844) deAlexandre Dumas.
d) Autres genre
« Quasimodo et Esméralda » (1833) de Jehan Duseigneur
« Françoise de Rimini » (1933) de Etex
« L’enfant à la grappe » (1845) de Davidd’Angers
C – Ecrivains européens
a) Allemand
Schiller de 1759 à 1805 à écrit « Cassandre » (1802)
Goethe de 1749 à 1832 à écrit « Les souffrances du jeune Werther » (1774)b) Anglais
Lord Byron de 1788 à 1824 à écrit « La prophétie de Dante » (1821)
Shelley de 1792 à 1822 à écrit « Zastrozzi » (1808)
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Angel de Saavedra de…

Transformation des liens familliaux: de nouveaux contextes familiaux

La famille est sans doute la plus vieille structure collective des sociétés humaines. De 1960 à nos jours, on note un éclatement du cadre familial, qui donnera naissance à de nouveaux modèles de famille existant parallèlement aux modèles traditionnels. Famille recomposées, monoparentales… Quelle en sont les causes ? Quelles répercutions l’apparition de ces nouveaux contextes peut avoir surnotre société et ses citoyens ?

I.LES CAUSES DE TRANSFORMATION DES MODELES FAMILIAUX
Depuis les années 70, les schémas familiaux connaissent de nombreux changements.
En effet, l’apparition de familles monoparentales, recomposées… a donné naissance à de nouveaux liens familiaux. Nous allons tout d’abord étudier les causes de ces changements.
Avec la Révolution le principe d’autorité aux seinsdes familles est remis en cause. Napoléon met alors en place le Code Civil de 1804 dans lequel la puissance paternelle est réaffirmée, afin de ré instituer l’ordre au sein des familles.
Le principe d’autorité parental n’existe pas, la mère n’a qu’une autorité morale.
Tandis que le père à cette époque dirigeait la famille, l’autorité paternelle était alors incontestable. Le père pouvait allerjusqu’à faire emprisonner son fils.
En 1889, la loi atténue ses droits excessifs en instaurant la déchéance paternelle si l’enfant est en danger.
Mais c’est durant les Trente Glorieuses, que les modes de vie des ménages français évoluent considérablement.
La société change ainsi que les modes de vie, les comportements, il y a de nouvelles conceptions de l’enfant, mais aussi l’émancipation dela femme, qui se met à travailler et participe ainsi au développement de la famille. Cette dernière s’affirme face au père et sa place sociale prend peu à peu plus d’importance. La loi doit prendre en compte ses nouvelles réalités.
D’où la Déclaration des Droits de l’homme de 1948 et le Protocole à la
Convention Européenne des droits de l’homme qui proclament le droit de la famille à la libertéde choix dans l’éducation de leur enfant? Loi du 4 juin 1970 sur l’autorité parentale. « La puissance paternelle » est alors remplacée par l’autorité parentale, l’éducation de l’enfant est partagée.
Mais l’Etat ne s’est pas contenté de s’adapter à l’évolution des mœurs. Il a accompagné, voire même encouragé ces transformations tout en tâchant de protéger les Français face aux nouveaux « risquesfamiliaux ». Il a su s’adapter et prendre des distances avec le modèle de référence de la famille « classique ». La plupart des reformes de ces dernières décennies répondent à la demande d’autonomie et à la libéralisation des mœurs.
C’est la Convention Internationale des droits de l’enfant du 20 novembre 1989 qui inspirera la plupart des réformes concernant la famille.
En à peine 100 ans, laFrance est passé d’un modèle familial presque unique à une multitude de configurations familiales possibles. Les transformations sociales, culturelles, morales, économiques et scientifiques font évoluer la société française tout au long du XXe siècle et expliquent cette mutation extraordinaire des liens familiaux. L’Etat a également joué un rôle non négligeable dans cette évolution.
Depuis1990, les couples avec enfants sont un peu moins nombreux. En revanche, les familles monoparentales augmentent fortement (+22 %) : 13 % des enfants de moins de 15 ans sont élevés dans une famille de ce type.

II.NOUVEAUX MODELES DE FAMILLES

Les plus importants nouveaux modèles de familles sont les familles monoparentales, recomposées et homoparentales, en sachant que l’augmentation de famillesdivorcées entrainera forcément une augmentation du nombre de familles monoparentales ou recomposées.
Avant de parler des nouveaux modèles de famille, il faut savoir que le schéma dit « classique » d’une famille est composé d’un père, d’une mère et des enfants et est appelé nucléaire. Le concept de famille nucléaire est, en tant que modèle sociologique dominant, relativement récent, datant du…

Histoire

La grèce ancienne est marquée par de nombreux poète, appelé aèdes, qui a travers différents chants ou poème dessinent l’idéal de vie a suivre. Homère est un de ses aèdes qui jallone la Grèce antique. Poète aveugle, il est l’auteur de deux épopées majeures de la Grèce antique, l’Illiade et l’Odyssée. Cette dernière oeuvre se compose d’une vingtaine de chants différents, racontant les suites de laguerre de Troie. Pendant dix ans, Ulysse cherche a retourner chez lui, à Ithaque. Mais il se voit retardé par de nombreuses péripécies, dont bon nombre sont les fruits de la volontée divine, des dieux très présent dans le récit homérique. Aussi, a-t-on un extrait du chant VI, Ulysse, suite a sa fuite de l’île d’Ogygie et une bataille contre la colère de Poséidon, arrive au radeau sur l’île desPhéaciens où il y rentre Nausicaa et sa cité, tout cela grace à la volontée divine. On peut alors se demander comment Homère montre-t-il aux grecques son monde grec de se récit? Nous verrons qu’il peint une image idyllique de la cité grecque, puis qu’il donne grande importance au monde des dieux.

Homère, dans cet extrait, nous montre la cité des phaéciens, qui contraste en elle même avec le héro,Ulysse. Ce dernier a réussit a arrivé sur cette île aux prix de dures batailles contre les volontées divines.Il quitte un monde marqué par les maux et par une certaines vétustée, en atteste son moyen de transport de fortune quand il arrive sur l’île. De plus, Ulysse est également celui qui défit les dieux et leurs volontées, les dernières en date étant celle du dieu de la mer Poséidon. Ce dernierpoint marque le seul point commun notable entre Ulysse et les phaéciens, les dieux. Les phaéciens, quan à eux, sont présentés d’une manière contraire de celle du héro. Ainsi, l’atmosphère de cette île n’est-elle que bonheur, simplicité et paix.
Les phaéciens sont un peuple de pécheurs et de marchands d’où la mention de ports « de chaque côté de la ville »(l.41), ou la présence de matériel de pêchecomme des « cordages » (l.44) ou des « rames » (l.45). De plus, ce peuple est de toute apparences pacifique et peu soucieux des potentiels ennemis puisqu’il ne se soucient « ni d’arcs, ni de carquois » (l.45) mais plutôt de pêche. C’est une cité basée sur le travail non seulement sur les mers mais également sur les terres, ce qui nous est évoqué ligne 39 avec ces « terres » où travaillent ses hommes. Onnote également que les phaéciens usent de quelques techniques pour faciliter leur actions comme la demestication de bêtes et la présence de chariots. Mais le travail ne constitut pas la seule activitée mise en valeur ici, le jeu l’est aussi, comme jouer a la balle.En parrallèle à ses activitées apparait une grande richesse de la cité.
Les habitants de l’île d’Ogygie sont semble-t-il très riche.Aussi ils ne manquent pas de nourriture, c’est le cas de Nausicaa et de ses servantes qui sont satiètes (l.1). L’abondance est donc maîtresse dans cette île où même les servantes semblent ne manquer de rien, comme le montre leur « mantilles » (l.2). Ulysse lui même est succeptible de jouir de ses richesses puisqu’il ne manquera de rien (l.33), que se soit de vêtements ou même d’une escorte pourrentrer chez lui ce qui prouve la richesse intérieur de ce peuple qui permet à l’étranger égaré de rentrer chez lui sans contre partie si ce n’est le mérite. De plus, on a également connaissance de la demeure du chef de la cité qui semble très luxueuse puisque « facilement reconnaissable » (l.53). Ce qui nous amène à la cité de se chef.
La cité n’est de toute évidence pas directement au contact de lamer, mais ce contact se fait par des chemins étroits menant aux ports. Le cadre semble même idyllique lorsque Nausicaa nous décrit l’enclos de son père, qui semble être en plein milieu des Champs Ellysée (l.50). La cité se compose de plusieurs habitations qui ne sont ici que suggérées mais aussi d’une agora située autour d’un temple dédié au dieu Poséidon (ce qui est ici assez ironique vu le…

Romeo und julia auf dem dorfe

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Exposé littérature:
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Romeo und Julia auf dem Dorfe
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(page 38, ligne 31 -> page 40, ligne 27)

Einleitung
I – Kinderpaar oder fertig zur Heirat? (début -> 39,29 „gekommen sind“)
II – Kinder- oder Erwachsenenspiele? (39,29 „denkst dunoch“ -> fin)
Schluss

Einleitung

Unsere Passage liegt im Zentrum des Buches und der Geschichte. Kurz bevor haben Sali und Vrenchen den Geiger getroffen, der mit ihnen über ihre Liebe und die Geschichte von ihren Eltern gesprochen hat. Sie wissen noch nicht, dass später ein Drama ankommen wird, und dass ihre Familiengeschichten sie voneinander spreizen werden. Diese Passage ist also ein Mittelfür den Erzähler, die beide von der Kindheit zum Erwachsensalter zu bringen. So lässt sich diese Passage in zwei Teile gliedern: cf. Titres. Was bringt diese Fragen? Das werden wir jetzt sehen.

I – Kinderpaar oder fertig zur Heirat?

• Kurz bevor diese Passage, als der Geiger verschwand, waren unsere beide Lieber ganz ruhig. Sie wurden von seiner Ankunft fast erschreckt (S. 37, Z.18-21: „DasPärchen blieb stehen … vor seinen Augen“), und deshalb sagten sie nichts mehr, während er sein Monolog tat.
• Vrenchen bricht aber danach diese Ruhe, als sie „hell auflacht“ (38, 33). Sie macht sich lustig über den Geiger, weil er eine „schreckbare Nase“ (S.37, Z.27) hat, was erlaubt Sali, von ihrer Schönheit zu sprechen (S.39, Z.6). Im Gegensatz zu dieser Schönheit, nennt er sie kurz danach„Hexe“, und spricht von „Teufelskunst“ (S. 39, Z.10 und 11). Es gibt also einen Hinweis zur Hexenjagd, und wir wissen, dass die Hexenverfolgung von dem 14. bis den 18. Jahrhundert stattfand, was fast kurz bevor der Epoche unseres Textes ist. Wir wissen auch, dass die Hexen als hässlich beschrieben werden, was steht ganz im Gegensatz zu dieser Schönheit, von der Sali spricht. Zu dieser Provokationantwortet sie „lieber Gott“, als wollte sie sich versagen. Es ist nämlich unmöglich, dass eine Frau, die einen Pakt mit dem Teufel gemacht hat, an Gott glauben könne.
• Über dieses Lachen gibt es noch zu sagen. Seite 39, Zeile 6 bis 10, zum Beispiel: Vrenchens Lachen wird mit dem Gesang einer Nachtigall verglichen. Und was ist der Nachtigall? Ein Zeichen der Romantik, was bringt mich zum richtigesThema meines erstes Teils: die Heirat.
• Fahren wir mit diesem Lachen fort: S.39, Z.13 bis 16. Vrenchen sagt, sie hätte vor lange nicht so ehrlich gelacht. Sein Lachen zeigt also sein Glück zu lieben: sie hat jetzt einen Grund zu lachen, während sie unglücklich war, bevor sie ihn wiederfände. Hier ist also ein altes Bild: das wiedergefundenes Lieben, die Hälfte, ohne die man nichts ist. Eine altegriechische Geschichte erzählt uns, dass am Anfang der Welt die Menschen Zwittern waren. Sie hatten also vier Arme, vier Beine, zwei Kopfe, und die beide Geschlechtsorgane. Diese Zwittern wurden von den Göttern in zwei Teile getrennt: natürlich der Mann und die Frau. Danach wurde der Mensch dazu gezwungen, seine Hälfte, also seine verwandte Seele, wiederzufinden. Ohne das könnte niemand glücklichsein. Das findet man hier: Vrenchen hat nicht wirklich gelacht, seit sie Sali nicht gesehen hatte, und jetzt ist sie wieder froh.
• Was passiert oft, wenn zwei Leute sich lieben? Sie heiraten. Und was sagt Vrenchen? Z. 39, Z. 16 bis 18: „immer und ewig anlachen“, „immer und ewig sehen“. Hier klingeln die Wörter wie einen Heiratsantrag. („- Möchten Sie, Vrenchen, mit mir immer und ewig lachen, michimmer und ewig sehen, auf Gedeih und Verderb? – Ja!“). Das wird mit der folgenden Frage unterstützt (S.39, Z. 18-19): sie fragt Sali, ob er sie also auch liebt! (Und Sie, Sali…). Die Frage verstärkt den Eindruck eines Heiratsantrags.
• Dann (S.39, Z.19) benutzt Sali eine poetische Formulierung, was noch mal die Romantik dieses Moment zeigt. Kurz danach sagt er „ergeben“ und „treuherzig“….

Como cansa descansar

¡* *Como cansa descansar* *!
El documento es un articulo del periodico espanol cambio 16 cuya autora es Carmen rico-godoy, una periodista y escritora de gran exito en Espana, y cuyo titulo es ¡ como cansa descansar !
El texto trata de una familia que se compone del matrimonio, del hijo mayor, la abuela y la quinceañera que veranea al campo donde vive muchas desventuras…
En una primeraparte,estudiaremos la llegada de la familia en el campo incluyendo la anecdota de Carmen concerniente las vacaciones de los españoles para explicar la opinion dividida de la familia a proposito del destino de la linea 1 hasta la linea 13.
En una segunda parte,nos interesaremos sobre el hecho que la naturaleza se vuelva contra la familia con los accidentes que se producen y las otrasdificultades que sufre la familia de la linea 14 hasta la linea 21.
En una ultima parte,veremos el cambio de lugar de la familia que vuelve en un medio ambiente conocido de la linea 23 hasta el final.

Primeramente,nos interesaremos por el titulo del articulo para comprender el sentido de los acontecimientos. Podemos ver un oximorón entre «cansa» y «descansar».En efecto,una persona que estadescansando no puede esta cansada.Pues,el tono del texto es humoristico.
Existe tambien un segundo tono en este texto a traves de la anecdota de Carmen concerniente las vacaciones de los españoles.En primer lugar,según la autora hay dos tipos de turismo: el turismo de masa como lo muestra la linea 2 « las atiborradas playas» que la mayoria de los turistas españoles frecuentan y un turismo que se componede lugares apacibles como lo muestra la misma linea «un lugar placido y tranquilo» donde van algunas españoles.Pues,los españoles prefieren ir a las playas atiborradas en vez de un lugar placido.Podemos deducir que el segundo tono del texto es ironico.Las palabras «candidos» y «optimistas» en la linea 1 refuerzan nuestra idea precedente.
Veremos que todas estàs cosas corresponden a la familiaen cuestion a lo largo del texto y màs precisamente en las partes siguientes.
Por el momento,lo interesante de esta parte es que la llegada de la familia al campo cree una opinion dividida.En efecto,el padre eligio este lugar por su tranquilidad y su ambiente como lo muestra la linea 4 «una casita en plena montaña»,la linea 6 «el aire puro».Ademàs,Insiste sobre la naturaleza que es maravillosacomo lo muestra la linea 5 «un rio cristalino»
al contrario,al hijo no le gusta el lugar porque le da miedo el silencio como lo muestra la linea 3 «¿que mal rollo en esto?» «no hay ni dios aqui» y sobre todo la linea 8 hasta la linea 9 «esto es campo-campo,como en las peliculas,a mi la verdad,es que ME DA PAVOR,papa»
porque se aburre sin sus amigos.
La madre se opone a su marido porquesolo le importan las comodidades modernos de la casa como lo muestra la linea 10 «y¿para lavar la ropa?»que no he visto yo ninguna lavadora automatica en la casa».
Pues,como la familia esta acostrumbada a la ciudad y que esta separada de sus costumbres,no sabe arreglarselas sola y la falta de experiencia de una naturaleza màs o menos querida jugaràla una mala pasada…
Hemos visto porqué estafamilia representa la mayoria de los turistas españoles que dependen de nuestra sociedad de consumo y que conocen un unico medio ambiente.Ahora,vamos a ver como las desventuras de la familia en un medio desconocido demuestran el caractér humoristico del texto.

{text:soft-page-break} Las desventuras de la familia se encuentran en el campo léxico de la medicina como nos muestra la linea 15 «sehizo bolsa» o en la linea 14 «en estado de precoma» que refleja bien la falta de experiencia de la familia de la naturaleza.
Ademàs,la linea 17 «al padre consumado nadador de piscina se lo lleva la corriente,encallando violamente en un monton de zarzas» refuerza nuestra idea precedente y nos presenta el caracter humoristico del texto porque el padre confunde la piscina con el rio,lo que es…

La protection sociale permet-elle de lutter efficacement contre l’exclusion ?

Badaroux le 11/02/10

Alexandra
T ES2

Devoir Maison D’ Economie N° 3

Sujet : Après avoir mis en évidence les inégalités économiques, vous montrerez que des inégalités multiples ont tendance à se creuser.

I . Travail Préparatoire.

1) Depuis les années 80, les inégalités se sont accruescar la crise économique a engendré une précarisation de l’emploi et du niveau de vie, une montée du chômage et de l’individualisme. Il y a aussi des écarts de revenus croissants entre personnes appartenant à la classe moyenne ce qui prouve que celle-ci reste très hétérogène ( écart de 10 points entre les cadres et les professions intermédiaires par rapport à la consommation.)
De plus, larépartition de certains biens d’équipement innovants reste très centrée sur les personnes appartenant à des groupes sociaux aisés ce qui représente une forme d’inégalité sociale.
Les disparités se ressentent également dans le domaine de la culture car malgré les progrès de la scolarisation et de la massification de l’école, certaines catégories sociaux professionnelles comme les cadres et lesprofessions intellectuelles supérieures sont plus avantagées que les artisans, commerçants car leur accès à la culture est plus développé.

2) La moyennisation se caractérise par une diminution des clivages sociaux et un gonflement des groupes sociaux intermédiaires ou moyens. Ce phénomène s’est beaucoup développé durant la période des « 30 Glorieuses » ou l’économie était très prospère. Lamoyennisation se rattache très souvent au sociologue Alexis de Tocqueville.

3) D’après l’INSEE, en France en 1992 le patrimoine des 25% de la population ayant les plus hauts revenus ( 4ème quartile ) est 17.5 fois plus élevé que le patrimoine des 25% de la population ayant les revenus les plus bas ( 1er quartile) .

D’après l’INSEE, en France, en 2004, les 25% de la population ayantles revenus les plus élevés avaient un patrimoine 24.7 fois plus élevé que les 25% de la population ayant les revenus les plus faibles.

Daprès l’INSEE, en France, en 2004, les personnes appartenant au 4ème quartile avaient un patrimoine moyen de 258 622 euros.

4) Les liens entre revenus et patrimoine sont inhérents car il existe une forte corrélation entre les deux.En effet, plus les revenus sont élevés plus le patrimoine est important : les personnes faisant parti du 4ème quartile ont un patrimoine en conséquence de leurs revenus et inversement , les individus appartenant au 1er quartile ont un patrimoine moindre.
De plus, le patrimoine dépend des revenus car il représente la somme des revenus accumulés par un individu au cours de sa vie. Enfin lesrevenus et le patrimoine sont liés car ce dernier se caractérise par l’ensemble des biens immobiliers et mobiliers que possède un individu à un moment donné. Ses revenus lui permettent donc de se constituer un patrimoine plus ou moins important.

5) L’emploi est au cœur des inégalités économique car celui-ci est indubitablement lié au salaire et donc à la capacité de l’individu à consommer et àpratiquer des loisirs culturels (plus ou moins grande selon les salaires.)
En 2001, il y a eu beaucoup plus de travailleurs pauvres recensés par l’INSEE, l’emploi précaire s’est aussi développé et le taux de chômage a augmenté de 38% entre 1970 et 2002.

6) Un travailleur pauvre est emblématique d’une nouvelle pauvreté car ce terme combine deux termes qui ne vont pas de paire. Eneffet, auparavant les personnes pauvres n’avaient pas d’emploi et donc aucun salaire pour subvenir à leurs besoins. Cependant de nos jours certaines personnes cumulent 2 emplois, dépassent les 35 heures et vivent quand même sous le seuil de pauvreté. Le nombre de travailleurs pauvres et des emplois précaires à beaucoup augmenté depuis la crise de des années 1980. Ceci prouve qu’il existe une…

Disserte

COMMENTAIRE COMPOSE : Robert Desnos, « j’ai tant rêvé de toi… » jusqu’à « …le cadran solaire de ta vie », Corps et Biens, 1930.
Texte étudié :

J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité.Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m’est chère ?

J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués, en étreignant ton ombre, à secroiser sur ma poitrine ne se plieraient pas au contour de ton corps, peut-être.

Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis des jours et des années, je deviendrais uneombre sans doute.

Ô balances sentimentales.

J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps sans doute que je m’éveille. Je dors debout, le corps exposéà toutes les apparences de la vie et del’amour et toi, la seule qui compte aujourd’hui pour moi, je pourrais moins toucher ton front et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venus.

J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé,couché avec ton fantôme qu’il ne me reste plus peut-être, et pourtant, qu’àêtre fantôme parmi les fantômes et plus ombre cent fois que l’ombre qui se promène et se promènera allégrement sur le cadransolaire de ta vie.

Commentaire composé :

Introduction :

Au cœur des nuits, les amants rêvent de celles qu’ils aiment, et s’ils sont poètes, ils recueillent leurs rêves dans leurs vers. Depuisles origines de la poésie lyrique amoureuse, le rêve de la femme aimée constitue un topos récurrent. Le rêve aiguise le désir, offre à l’amant un espace où réaliser l’union impossible, mais, pourapaisant qu’il soit, reste secondaire par rapport à la conquête de la femme aimée. Dans son recueil Corps et Biens, publié en 1930, Robert Desnos reprend ce topos du rêve de la femme aimée, dans un poèmeen prose intitulé « A la mystérieuse : j’ai tant rêvé de toi ». La thématique du rêve et du sommeil est particulièrement chère à Desnos, comme d’ailleurs à tous les surréalistes : il partage avec…

Clair de lune

Les orientales :
Clair de Lune :
Lecture analytique :
Nous avons abordé la poésie à travers quelques textes de deux poètes du XIV Victor Hugo et Charles Baudelaire. Dans la strophe une nous remarquons « Enfin libre » au vers 2, ce qui nous soumet l’idée que la fenêtre n’était pas toujours libres. Nous sommes en présence de rimes riches et embrassées. A travers cette strophe l’auteur décrit lasituation. Dans la strophe deux, les points de suspension au vers six coupent le vers. Il y a une interruption, une rupture dans le texte. Au vers sept le poète nous parle « des eaux de Cos ». L’île grecque de Cos était proche de l’Asie mineure. Dans la strophe trois, au vers 11 l’auteur nous parle de « djinn » (esprit ; génie ; mythologiques orientale), où sa voix est qualifiée de « voie grêle »,une voix désagréable. Dans la strophe quatre, Victor Hugo nous parle du « sérail des femmes » (arène ; lieux clos, enfermé dans les palais Arabe) au vers 13. Nous pouvons remarquer qu’à la strophe cinq, au vers 20, le vers est le même que le vers 1 qui ouvre le poème. Tout au long du poème nous observons des rimes embrassées, des rimes riches se succèdent aux rimes suffisantes.
eme

siècle :Plan : Quelle est l’intention du poète ? Pourquoi ce titre ?
I°- Description un décor tranquille et paisible : 1°) Présence de Lorient. 2°) Monde marin. 3°) Atmosphère nocturne paisible. 4°) Sollicitations de sens (vue ; ouïe).

II°- Rupture crescendo dramatique et tragique : 1°) Bruit inquiétant qui entraine des interrogations (Réponse négative, puis affirmative) => mise en scène d’uneattente.
1

2°) Violence suggérée. 3°) Crescendo de l’horizontale au vertical, vers le fond de la mer. III°- Le thème de l’enfermement : 1°) Illustré par un poème clos = forme ; lexique ; anaphores. 2°) Poème symbolique : dénonciation du poète. I°- La présence de l’Orient est marquée dès le début par le titre du recueil qui est : « Les Orientales ». L’Orient est présent tout le long du texte àtravers le champ lexical de l’Orient : « La sultane » ; « tartare » ; « djinn » ; « sérail » ; « Archipel grec » ; « vaisseau turc » ; « Cos ». Le monde marin est lui aussi récurrent grâce au champ lexical de la mer : « Les flots » ; « îlots » (=> rime suffisante) ; « vaisseau » ; « archipel » ; « cormorans ». La sérénité est présentée à travers les mots : « clair de lune » ; « lune » ; « sereine » ;« jouer » ; « fenêtre ouverte » (et libre) ; « échappe à la guitare » ; « flot d’argent » nous fait ressentir une atmosphère nocturne paisible. (Au vers cinq, nous pouvons observer une métonymie.) Ou vers six grâce aux points de suspension, et à la coupure qu’ils forment dans le vers, mettent en valeur le fait qu’ « Elle écoute ». Toute la description repose alors sur les sens, ici la vue et l’ouïe(« elle écoute » ; « On verrait ») II°- Le bruit inquiétant lié au verbe écouter (« Elle écoute ») est mis en valeur par « … » qui marque un arrêt, une rupture dans le vers. A travers le chiasme du vers « Elle écoute… Un bruit sourd frappe les sourds échos. » et la répétition du mot « sourd » qui rime avec le mot « lourd » (rime interne) du vers suivant, le poète met en attente le lecteur qui sepose la question, mais qu’est ce que ce bruit ? (idée d’apesanteur). Le chiasme, l’assonance et l’allitération en « ourd » connotent l’inquiétude. La succession de questions-réponses tout au long du texte met le lecteur en attente. Le parallélisme entre questions-réponses construit chaque fois de la même manière, deux vers, même construction, tout au long du texte, met le lecteur en attente. Auvers 13, à la quatrième strophe, le poète pose une question plus générale : « qui trouble ainsi les flots près du sérail des femmes ? » qui renforce l’inquiétude du lecteur grâce au mot « trouble ». À travers les deux vers suivant qui énumèrent des réponses négatives commençant par « Ni » le lecteur est une fois de plus sous l’effet du suspense grâce à l’anaphore en « ni » et au rythme binaire…

Stage

Communication : La gestion de l’affluence

Tous les gestionnaires se trouvent confrontés á un dilemme:

– Attirer le máximum de clients au sein de leur espace commercial

– Éviter l’impact négatif engendrés par la foule

Certes un lieu trés fréquenté jouit d’une notable reputation (en terme de dynamisme, de rotation des stocks… ). Cela peut jouer en la faveur de l’espacecomercial s’il s’agit d’un terrain de sport ou d’un restaurant. Mais la foule engendre aussi des problèmes de communication, de circulation, de repèrage, d’attention, de concentration qui peuvent géner, stresser voire faire fuir une certaine clientèle. De plus, cela genere aussi des problemes d’ordre manageriaux en terme de gestión des files d’attente, d’epuisement des stocks, d’indisponibilité descommerciaux…

L’un des facteurs d’ambiance les plus delicats a gerer demeure l’affluence. Dqns un premier temps nous aborderons les études réalisées sur l’impact de la densité sur l’individu ensuite nous proposerons une panoplie d’actions en vue de gérer rationnellement la communication dans un espace commercial dense.

I études scientifiques en situation de grande affluence:

Durant ladécennie 70, les mouvements ecologiques antiurbanistes ont désigné les concentrations urbaines comme sources de tous les maux (criminalité, délinquance, suicide…). Les études réalisées sur les animaux mettaient en exergue des dysfonctionnements physiologiques, psychologiques et sociaux engendrées par des situations de de forte densité.

|—- les recherches de Calhoun en 1962 mettaient en reliefl’incidence négative de la surpopulation chez les animaux (rats …) en |
|laboratoire. Bien que les ressources en eau et en nourriture soient adaptées à la taille de la population, les rats en situation de |
|forte densité, manifestaient une désorganisation comportementale et des dysfonctionnements majeurs: forte mortalité (surtout infantile),|
|cannibalisme, harassement sexuel, changementdes comportements sociaux (abandon de nids, agressivité…). La population connait une |
|décroissance parfois jusqu’â disparaitre. Pourtant toutes les conditions favorables aux animaux étaient assurées hormis le facteur |
|densité. |
|Nombre de recherchesultérieures aux travaux de Calhoun, confirmeront les résultats: augmentation de l’agressivité, dégradation des |
|capacités d’apprentissage, augmentation de la pression sanguine… |

Ainsi, quand on synthétise les résultats de l’ensemble des recherches portant sur le comportement dans la foule, on remarque que quels que soientles lieux d’expérimentation (laboratoire, prison, cité universitaire, grandes agglomérations, espaces commerciaux…) et quelles que soient les méthodologies de recherche (enquêtes, observations, techniques projectives…) les études se valident mutuellement et se complètent. Elles ont permis d’identifier les réactions individuelles dans la foule et un ensemble de variables qui les amplifient ou lesatténuent.

1 les reactions provoquees par la foule:

Les recherches en communication, en marketing et en psychologie sur le comportement dans la foule mettent en relief des réactions physiologiques affectives et comportementales.

a) L’impact physiologique: la plupart des recherches en laboratoire mettaient en évidence le fait que des expositions de très courte durée à des situations deforte densité, étaient associées à une augmentation de la sudation, de l’activité cardio vasculaire et hormonale (Epstein, woolfolk et lehrer, 1981). Ces études laissent à penser que lorsque la densité devient substantielle, les clients sont moins apathiques (insensible ou indifférent). Au dela d’un certain seuil, cela genere un etat de stress.

b) Les impression de foule:

|Si les…