Marine

GRET

agridoc

Estimer le coût de revient d’un produit agroalimentaire : la méthode du coût direct simplifié
Date(s) de l’expérience Mise en œuvre Partenaires Financement Zone géographique Mots clés 2000-2004 Gret

Echelle d’action Public(s) cible(s)

Global – Afrique GESTION DE L’ENTREPRISE; PRIX; PRIX DE REVIENT; GESTION FINANCIERE; PRODUCTION ALIMENTAIRE; MARGE; GESTION; COMPTABILITE;PETITE ET MOYENNE ENTREPRISE Global organismes d’appui, petits entreprises

Résumé
Cette fiche décrit une méthode d’estimation du coût de revient simplifié d’un produit d’une petite entreprise agroalimentaire. Celle-ci nécessite que les dépenses et recettes de l’entreprises soient enregistrées et que les rendements et volume de production soient connus. Après avoir abordé rapidement ces deuxpoints, la fiche présente les différents types de charges et le mode de calcul du coût direct simplifié basé sur les charges directes et variables (directement liées à la production et proportionnelles au volume). Des exemples d’utilisation de ce coût dans la gestion de l’entreprise sont fournis ainsi que des éléments de méthode pour calculer le prix de revient complet. La démarche vise à amenerles entrepreneurs à percevoir l’intérêt de tenir une comptabilité, même simple, pour disposer d’outils de décisions tant pour la commercialisation que la gestion financière de leur entreprise. Des exemples et illustrations sont fournies dans la fiche.

Agridoc est un réseau d’information et de documentation financé par le ministère français des Affaires étrangères

Contexte
Depuis quelquesannées, en Afrique, de micro et petites entreprises se développent pour approvisionner les marchés intérieurs urbains voire régionaux. Leurs promoteurs ne disposent pas toujours d’outils simples et de méthodes adaptés pour gérer le développement de leur entreprise. Ils sont notamment souvent réfractaires à la tenue d’une comptabilité, jugée trop complexe et peu utile pour gérer leur activité.L’enregistrement des dépenses et des recettes est davantage perçu comme un contrainte imposée par leurs partenaires (organismes d’appui ou organismes de financement) que comme un moyen de se doter d’outils de prise de décisions et de contrôle. Au-delà des obligations légales qui imposent aux entreprises de tenir une comptabilité, avoir un système comptable au sein de l’entreprise est pourtant un outilindispensable pour piloter son activité. La comptabilité est une technique qui est soumise à des règles strictes à la fois dans ses procédures et dans sa présentation. Néanmoins, il est tout à fait possible à l’entreprise, notamment quand elle est de petite taille, de mettre en place une comptabilité simple, ne sollicitant que périodiquement des comptables agréés pour établir les documents comptableslégaux de fin d’exercice. Un des moyens pour démontrer l’intérêt de la tenue d’une comptabilité est de l’utiliser pour calculer le coût de revient des produits et ensuite de présenter à quoi peuvent servir ces informations dans le contrôle de l’activité et la prise de décision. systématiser sa réflexion, et à limiter le risque de l’action, particulièrement lorsque l’investissementProblématique / Objectifs
Le calcul du prix de revient des produits est un des éléments importants de gestion d’une activité agroalimentaire. Il est notamment utilisé pour déterminer le prix de vente et la stratégie commerciale en tenant compte des prix des produits concurrents et des prix acceptables par les consommateurs du produit (cf fiche liée sur la mise au point d’un produit alimentaire). Il est utileégalement à l’entrepreneur pour contrôler la gestion de son activité et pour connaître le seuil de rentabilité. Beaucoup de petits entrepreneurs n’ont pas de comptabilité ou n’enregistre que les flux monétaires dans un journal de caisse et de banque (enregistrement de toutes les dépenses et recettes). Il s’agit donc de proposer une méthode qui permette avec cette comptabilité simplifiée…

Documents de travail

Les cahiersc o m p é t i t i v i t é
de la

Le monde de l’innovation et de la compétitivité / FinAncement
(PUBLICITE)

Des partenariats public-privé au service de l’immobilier d’entreprise
projets
Les besoins d’équipements et infrastructures sont de plus en plus nombreux, ambitieux, coûteux et complexes à réaliser, en particulier compte-tenu des contraintes croissantes en matière dedépenses publiques. Or cette réalité s’accompagne d’une montée en puissance ces dernières années des besoins de financement de collectivités territoriales (28 milliards d’euros en 2004).
’importance actuelle de la dette publique dans certains Etats occidentaux les amène désormais à utiliser un nouveau procédé contractuel : en France, la loi d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieuredu 29 août 2002 autorise ainsi l’Etat à confier au secteur privé la construction et la maintenance d’immeubles utilisés par la police, la gendarmerie ou la défense nationale. Ce mécanisme contractuel n’est toutefois pas totalement inédit puisqu’il existe en France des exemples de partenariats public-privé (PPP) fort anciens comme la construction du Canal du midi (Edit de 1666), qui a été financé à70% par une personne privée, Riquet de Bonrepos, ou encore les constructions de ville (48 concessions à paiement public ou privé pour Paris). C’est à la suite de l’adoption du code des marchés publics publié le 9 janvier 2004 que le gouvernement a envisagé d’adapter en France le La formule présente l’avantage de favoriser une réalisation rapide des projets sans alourdir de façon excessive lebudget des collectivités territoriales. Ce type de contrat est tout particulièrement utilisé pour la construction d’écoles, d’hôpitaux, de prisons, de gendarmeries. La personne publique doit toutefois réaliser une évaluation préalable pour valider l’opportunité du recours à ce contrat et justifier que ce choix correspond aux critères posés par les textes. Dans le cadre de la préparation del’ordonnance sur les contrats de partenariat en France, huit projets pilotes ont été étudiés par la caisse des dépôts et consignations dont trois projets immobiliers : la construction d’un hôpital à Caen, une Université à Toulouse – Le Mirail, et un musée de l’air et de l’espace au Bourget près de Paris

L

© DR

Les partenariats public-privé favorisent une réalisation rapide lors de la constructiond’une école.

système des PFI (Private Finance Initiative) qui fonctionne en Grande-Bretagne depuis 1992. Ce contrat a été utilisé pour la construction de nombreux hôpitaux et pour la rénovation de l’ensemble des écoles secondaires, et représente une dépense de 60 millions d’euros, soit 15% de l’investissement public selon une étude réalisée par la mission économique de la France à Londres. L’Italie aégalement voté une loi en 2001 qui prévoit une procédure parallèle aux PPP français pour la réalisation de certains grands ouvrages. Elle est aujourd’hui mise en œuvre pour conduire une vingtaine de projets importants dont l’axe routier de la plaine du Pô, ou la sauvegarde de la lagune de Venise.

Les contrats de partenariat présentent des modalités de rémunération originales puisque cesdernières peuvent être liées à la durée du contrat, à des objectifs de performance ou de disponibilité du bien ou du service, ou enUn cadre juridique transparent core intégrer des recettes annexes. L’absence de Associer le secteur privé au secteur public est lien automatique entre la rémunération du parla nouvelle donne du contrat de partenariat putenaire privé et les recettes d’exploitation dublic-privé institué par l’ordonnance du 17 juin bien permet de faire entrer des considérations 2004. Une entreprise privée participe ainsi au fiessentielles pour le service public comme celle nancement et à la réalisation ou à la gestion d’un de la qualité du service. La relation est flexible. équipement public sur une longue durée (20 ou L’ouvrage est construit en maîtrise d’ouvrage 30 ans) selon…

John rockfeller

JOHN DAVISON ROCKEFELLER (1839 – 1937)
« J’ai compris ce jour-là, qu’il est absurde de travailler pour l’argent :
il faut que l’argent travaille pour vous »
« J’ai compris ce jour-là, qu’il estabsurde de travailler pour l’argent :
il faut que l’argent travaille pour vous »

Biographie de John D. Rockefeller
John Davison Rockefeller est né le 8 juillet 1839, à Richford dans l’état de NewYork.
Ses parents, William Avery Rockefeller et Eliza Davison ont eu 6 enfants dont il est le second. D’un père marchand de « médicaments-miracles » sans diplôme et de mère au foyer, il vivait dela production de leur ferme mais aussi de l’activité commerciale de William.
A l’âge de 12 ans après avoir gagné 50$, grâce à son élevage de dindons, qu’il prête à un fermier de son voisinagemoyennant intérêt, il remporte 3,50$. C’est de là que lui vient sa révélation ; d’où sa citation dite en première page. A l’âge de 16 ans, il a commencé à travailler comme comptable pour Hewitt & Tuttle, unemaison de commission à Cleveland. Mécontent de son salaire, il a décidé en 1858, avec un
partenaire Maurice Clark, de démarrer sa propre commission. En 1859, quand il avait 19 ans, il monta sapremière société avec le jeune Anglais ; Clark et Rockefeller. Ils ont réalisé un chiffre d’affaires brut de 450 000 dollars dans la première année d’activité. Clark fait le travail sur le terrain et lagestion contrôlée tandis que Rockefeller travaille au bureau, la comptabilité et les relations avec les banquiers. En 1862, il a commencé une affaire appelée Andrew, Clark & Company, cette entreprisedevient la plus grande raffinerie du monde.
La standard oil et le petrole
C’est en Pennsylvanie, aux Etats-Unis que fut découvert le pétrole en 1859. On doit cette découverte à deux hommes : EdwinDrake et George Bissel, mais le pétrole est utilisé depuis la plus haute antiquité. Il forme des affleurements dans les lieux où il est abondant en sous-sol ; ces affleurements ont été utilisés de…

Facebook

1. Mission de facebook :
Facebook est un réseau social sur Internet permettant à toute personne possédant un compte de créer son profil, d’intéragir avec d’autres utilisateurs et d’y publier des informations, dont elle peut contrôler la visibilité par les autres personnes, possédant ou non un compte. Les informations susceptibles d’être mises à disposition du réseau concernent l’état civil, lesétudes et les centres d’intérêt. Ces informations permettent de retrouver des utilisateurs partageant les mêmes intérêts. Ces derniers peuvent former des groupes et y inviter d’autres personnes. Les interactions entre membres incluent le partage de correspondance et de documents multimédias. L’usage de ce réseau s’étend du simple partage d’informations d’ordre privé (par le biais de photographies,liens, textes, etc) à la constitution de pages et de groupes visant à faire connaitre des institutions, des entreprises ou des causes variées. L’intégralité des informations publiées sur ces deux supports, à l’inverse du profil, peut être consultée par n’importe quel internaute sans qu’il soit nécessaire d’ouvrir un compte.
2. clients de facebook :

Tweedeck :
Facebook, Twitter ou bienencore LinkedIn pour le côté professionnel, ces derniers sont nombreux et switcher de l’un à l’autre peut être perçu comme contraignant. En 2008, Iain Dodsworth, un anglais, a imaginé TweetDeck, une application bureau Adobe AIR destinée initialement aux utilisateurs du site Twitter facilitant son utilisation (en proposant notamment de connecter plusieurs comptes de l’oisillon bleu). Rapidement,TweetDeck s’est vu rajouter Facebook suivi de MySpace, LinkedIn, Foursquare et dernièrement du timide Google Buzz.
La force de TweetDeck réside dans l’interconnexion de ces réseaux sociaux dans un même espace, espace scindé en plusieurs colonnes que l’utilisateur manie à sa guise. On y retrouve l’ensemble des features propres à chaque site telles que le RT (ReTweet) ou encore le fameux « J’aime » deFacebook rendant ainsi discutable l’intérêt de certaines des plateformes à proprement parler. Mais le principal atout de l’application est de pouvoir sélectionner les réseaux sociaux sur lesquels vous souhaitez que votre message apparaisse.
Fishbowl :
La firme de Redmond cherche donc à attirer l’attention sur ces technologies et a présenté pendant la PDC (Professional Developer Conference) unepetite application exploitant Facebook. Il s’agit de FishBowl :
Le logiciel utilise pleinement WPF et dissémine en fait des petits effets et des animations fluides dans toute l’interface. Fishbowl demande donc un compte Facebook et présente les différentes fonctionnalités au sein d’une interface différente. En fait, cette dernière apparait comme plus claire et mieux organisée que le site lui-même,mais des fonctions sont absentes. Par exemple, il n’est pas possible d’utiliser la discussion instantanée avec les contacts, et les applications ne sont pas présentes.
Sobees :
La startup suisse Sobees de François Bochatay a lancé son application Sobees Facebook pour iPad, il a été développé en collaboration avec Easybox.ch, c’est une application complète et simple à utiliser qui récupère toutesles informations provenant de Facebook et les affiche dans une interface style magazine du plus bel effet. L’application va permettre de faire à peu près tout ce qui est possible de faire sur Facebook sur votre ordinateur. Les détails qui n’ont pas l’air trop mal ce sont la possibilité de pouvoir voir toutes les photos des amis sur une seule page et naviguer photo de profil par photo deprofil.L’écran d’arrivée se présente comme une page d’accueil de journal, ou plutôt la version iPad de titres comme USA Today ou NYT, avec quatre sections distinctes regroupant les derniers statuts de vos amis, les dernières photos et vidéos publiées et enfin les liens.
Les autres écrans proposent une navigation parmi les gens, les photos, les évènements du jour et votre profil. Vous pouvez bien sûr…

Gestion rh

|ADM 1015 |
| |
|Gestion des ressources |
|humaines |

|Travail noté 1 – Série A |
|15 points |
|Feuille d’identité|

|Remplissez soigneusement cette feuille d’identité. |
|Rédigez votre travail à la page suivante, à la suite de cette feuille. |
|Sauvegardez votre travail decette façon : ADM1015_TN1_SA_VOTRENOM. |
|Utilisez le Dépôt des travaux pour acheminer votre travail à votre personne tutrice. |

|NOm Savoie |PRÉNOM Josie-Anne |
|numÉro d’Étudiant08365607 |TRIMESTRE A-10 |
|Adresse 1385 rue Cartier Montréal Québec |
| |CODE POSTAL H4L 2N7 |
|TÉLÉPHONE DOMICILE 514-344-3472 |TRAVAIL|
|CELLULAIRE |
|Courriel [email protected] |
|NOM DE LA PERSONNE TUTRICE Vittorio Cassa |
|Date D’ENVOI 9novembre 2010 |
|Réservé à l’usage de la personne tutrice |
|Date DE RÉCEPTION |Date DE RETOUR |
|NOTE|

|Commencez la rédaction de votre travail à la page suivante. |

Expliquez la place de la gestion des ressources humaines dans une organisation.

« La gestion des ressources humaines (GRH) regroupe l’ensemble des pratiques de planification, de direction,d’organisation et contrôle des ressources humaines au sein de l’organisation. Plus précisément, on parle d’activités de planification des ressources humaines, de recrutement, de sélection, d’accueil, de formation, de développement, de gestion des carrières, de rémunération, d’évaluation des performances, de gestion de la santé et de la sécurité, d’organisation du travail, d’administration de la conventioncollective, de gestion de la diversité, etc. »[1]. En somme, à la lumière de cette définition et la liste des activités, la gestion des ressources humaines concerne tous les agents d’une organisation, du plus simple employé au plus haut dirigeant en passant par tous les paliers et diverses divisions. Bien évidemment, tous n’ont pas les mêmes responsabilités. Par exemple, les dirigeants ont laresponsabilité de déterminer les stratégies et les valeurs sur lesquelles seront basées les pratiques en matière de GRH tandis que les cadres auront comme tâches des les faire appliquer. Les syndicats vont, quant à eux, aider leur membre à faire respecter les divers articles de la convention collective qui dictent souvent plusieurs aspects de la GRH tandis que les employés doivent effectuer les tâches…

La remie en cause de l’ancien regime

Sommaire :

I)Les causes de la Révolution française

1)Des facteurs financiers, économiques, sociétaux, politiques, idéologiques ethistoriques
2)La nuit extraordinaire du 4 août 1789 : la chute de l’Ancien Régime

II)Les conséquences de la Révolution française1)Naissance et philosophie respective de la droite et de la gauche et terreur
2)Une révolution sociale, culturelle et politique

En avril 2009,mentionnant qu’il y a des « intellectuels et artistes qui appellent à la révolte », Le Figaro s’alarme : « François Furet semble s’être trompé : la révolution françaisen’est pas terminée. » De la même manière, en décembre 2008, Le Canard Enchaîné avait rapporté une phrase de Nicolas Sarkozy : « Les Français adorent quand je suis avec Carladans le carrosse, mais en même temps ils ont guillotiné le roi. C’est un pays régicide. Au nom d’une mesure symbolique, ils peuvent renverser le pays, regardez ce qui se passeen Grèce ». Plus de 220 ans après, la révolution française inquiète encore. Son spectre est tenace et alors que l’anniversaire du bicentenaire en 1989 avait eu pourobjectif de faire disparaître les ombres qui planaient encore sur la France, il semble qu’aujourd’hui on craigne pire qu’une révolte, une révolution.

Au cours de ce travail,nous étudierons, dans une première partie, les multiples facteurs qui ont amené au renversement d’institutions vieilles de plusieurs siècles, c’est-à-dire l’Ancien Régime. Dansune seconde partie, nous étudierons les nombreuses conséquences produites par ce mouvement ainsi que les dérives et la volonté meurtrière de faire table rase du passé.

Texte italien lv3

TEXTE prochainement
Commento del testo : tematica del testo : le relazioni tra i genetori e i figli
Schema del commento :
Introduzione
I _ Il carettere della Paola
II _ Rapporti tra la Paola ela sua famiglia
Conclusione
Introduzione : Questo testo é il brano di un romanzo di Natalia Ginzburg, una scrittice del novecento. Morte nel 1991, lei é autrice di numerosi romanzi e drammi perteatro (durante la guerre, é stata mandata a confine in Abbruzzo perché suo marito era resistence). Il romanzo Lessico familiare presenta una ragazza innamorata contro il parere/l’opinione dei genitori.Farò un commento in due parti…
I_ Il carettere della Paola
Il personnagio centrale si chiama Paola e la sua vita viene descrita da una narratrice : sua sorella (cf. ligne 8 « moi padre »). Sappiamo cheé studentessa all’ Università di Torino e che é innamorata di uno suo compagno d’università. E molto indipendente di carettere e non fa caso dell’opinione di suo padre. Difatti, lei si é innamoratadi uno studente, proprio perché lui é l’esatto contrario di suo padre (ligne 1, 5-6). Lui é un letterato, conoscitore di Proust e di letteratura francese, e la Paola é affascinata dalla delicatezza edall’intelligenza di questo ragazzo. Quest’attegiamento della Paola scandalizza i suoi genitori. Il padre va in furia ma la Paola continua a frequentare lo studente. Anzi, lei lo fa per apporsi allavolontà del padre. Insomma, la Paola è presentata come una ragazza testarda e indipendente.
I_ Rapporti tra la Paola e la sua famiglia
A . Con il padre
I rapporti tra la Paola e suo padre sono tesi.Lui si oppone ai sentimenti della figlia per due ragioni principali. Prima, perché una ragazza dabbene non deve passegiare con uomini. Poi, perché questo studente non corrisponde ai suoi criteri : peril padre un letterato non é una persona che si può frequentare perché non é una persona seria. In effetti, il padre non frequenta che scienzati e ingeneri. Lui disprezza tutto ciò che riguarda la…

Petrarque

Francesco Pétrarque, poète et humaniste italien est né à Arezzo en 1304 et mort à Arqua, près de Padoue, en 1374. Ce sont ses démêlées avec la faction des Guelfes qui pousse la famille de Pétrarque àfuir Florence pour la Provence. Elle arrive à Avignon en 1311, mais les problèmes de logement sont tels à l’époque où la présence du Pape attire une énorme population, qu’elle ne peut s’y installeret part à Carpentras.

Pétrarque effectue des études de Droit à Montpellier et à Bologne, il s’impreigne alors des textes des auteurs antiques et des poètes contemporains. En 1325, il retourne àAvignon, attiré par la cour papale, abandonne le Droit et entre dans les ordres mineurs.

Il cotoya alors des personnages éminents auprès desquels sa culture faisait impression, car bien qu’ilreprochait aux papes d’avoir quitté Rome, la cour l’attirait. Il vécut à Avignon de nombreuses années.C’est là qu’il rencontre Laure de Noves; il conçoit pour elle un amour violent,mais sans espoir;il luiconsacrera ses meilleurs pensées et l’immortalisera par ses sonnets.Il va se retirer dans sa petite maison près de la fontaine de Vaucluse en 1341 là où habite Laure.La mort de Laure (1348) lui inspireses plus beaux sonnets.Il dit la beauté physique de Laure,la pureté de ses pensées.Il décrit la mélancolie de leurs séparations successives et nous entretient aussi de cette nature où vit sabien-aimée: Vaucluse. Parmi ses nombreuses oeuvres, deux recueils en langue italienne ont suffi pour consacrer leur auteur comme le poète par excellence de la beauté et l’âme féminines.

En 1341, il estcouronné poète des poètes au Capitole, à Rome -Il est à noter que Paris lui avait offert la même distinction, remerciant ainsi celui qui permettait la renaissance des lettres, la redécouverte les textesanciens oubliés et ouvrait la voie aux humanistes-.

En 1347, Cola di Rienzo, qui avait été en exil dans la cité des Papes se fait élire Tribun. Pétrarque, partisan des gouvernements populaires et…

Dt admin

Avec la construction européenne communautaire, qui a débuté à la signature du traité de Paris de la Communauté du charbon et de l’acier, un ordre juridique communautaire s’est constitué aux cotés des ordres juridiques nationaux. Si depuis 1957 le droit communautaire s’applique en France, le juge administratif adopte aujourd’hui une position particulière quant à sa mise en œuvre au sein duterritoire français.
Selon l’article 249 alinéa 3 du traité de Rome, la directive communautaire est un acte normatif pris par les institutions communautaires, « qui lie tout État membre destinataire quant au résultat à atteindre, tout en laissant aux instances nationales la compétence quant à la forme et aux moyens ». En principe, une directive désigne les actes généraux par lesquelsl’administration procède à une autolimitation de son pouvoir discrétionnaire. Une directive peut avoir pour destinataires un État membre, plusieurs États membres ou l’ensemble de ceux-ci. Afin que les principes édictés dans la directive produisent des effets au niveau du citoyen, le législateur national doit adopter un acte de transposition en droit interne, qui adapte la législation nationale au regard desobjectifs définis dans la directive. Le citoyen ne se voit conférer des droits et imposer des obligations qu’une fois l’acte adopté portant transposition de la directive dans le droit national. Les États membres disposent, pour la transposition, d’une marge de manœuvre leur permettant de tenir compte des spécificités nationales.
L’interrogation soulevée par ces normes communautaires concerneleur valeur juridique dans le droit interne des Etats membres. En effet, leur applicabilité et leur invocabilité font l’objet encore aujourd’hui de nombreuses divergences entres les Etats. En principe, l’application des directives renvoie à leur mode d’exécution sur le territoire national, alors que leur invocabilité se réfère aux recours des justiciables à leur égard.
Toutefois, se pose unequestion fondamentale : quelle est la portée de ces règles en droit interne ? Comment sont-elles appliquées et comment peut-on les invoquer sur le territoire national ? La jurisprudence témoigne d’un désaccord dans l’applicabilité et l’invocabilité des directives en droit interne. Si le juge administratif reconnaît une certaine autorité aux directives qui s’imposent aux Etats membres (I), la Courde justice des communautés européennes refuse certaines approches du juge administratif en reconnaissant aux directives une applicabilité directe dans certains cas (II).

I. La reconnaissance de l’autorité des directives communautaires par le juge administratif

Tout d’abord, le contenu des directives doit être transposé par les États membres. La directive est un instrument qui permetd’établir une norme au niveau communautaire, mais en préservant la souveraineté des États membres. Elle correspond à la recommandation CECA. La directive est prévue par l’actuel article 249 alinéa 3 du TCE. La directive n’oblige qu’à atteindre un résultat. Certaines directives sont tellement précises que se pose la question de la distinction entre un résultat et les moyens pour l’atteindre. Il y a eu en lamatière différentes approches. Durant une première période, la rédaction des directives était libre ; alors que durant la seconde approche, la directive va redevenir moins détaillée, compte tenu de la jurisprudence posée par l’arrêt Cassis de Dijon du 20 février 1979 : le principe de reconnaissance mutuelle rend inutile de tout réglementer au niveau communautaire. Enfin, dans une troisièmepériode, les directives vont laisser aux États membres des options. Actuellement, les directives reviennent à une rédaction extrêmement détaillée.
Le choix de la forme et des moyens est laissé aux instances nationales. Le cas échéant, les États membres peuvent estimer que la transposition est inutile car leur droit positif est déjà similaire au droit posé par une directive donnée. La directive…

Liberalisme

Chapitre 1 : les fondements théoriques
du LIBERALISME
Les grandes écoles de pensée
1. Classiques
18e 19e. Smith Say Ricardo Mill. Vision libérale de l’économie
2. Néoclassiques
1870 à nos jours. Walras Pareto Marshall Pigou Arrow Debreu. Coordination des comportements individuels par les marchés.
3. Monétaristes
1950 à nos jours. Friedman Von Hayek. Monnaie déterminante. Desnéoclassiques aussi.
4. Nouveaux classiques
1970 à 1980. Lucas Barro Wallace. Théorie des anticipations rationnelles : agents connaissent mécanismes et anticipent effets des décisions (politiques macro inefficaces, par conséquent).

Les marchés sont efficaces
Marché est lieu de rencontre entre offreurs et demande$=urs. Assure coordination des agents indépendants. Efficace veut dire réalisant équilibreéconomique satisfaisant.
1. Fonctionnement des marchés
Offre est quantité (de biens, de travail ou de fonds) qu’on veut bien vendre pour un certain prix. Demande est quantité qu’on veut bien acheter pour un certain prix. Si offre trop grande, baisse du prix. Pour les libéraux, parfaite flexibilité des prix (pas de déséquilibre durable : variation des prix, ajustement des salaires ou mouvement destaux d’intérêts). Les politiques économiques bloquent cette libre négociation.
2. Avantages d’un marché concurrentiel
Eliminer automatiquement tout déséquilibre. Si situation de pénurie (excès de demande et donc épuisement de l’offre), d’excès d’offre (surproduction ou chômage), il faut pouvoir agir sur les prix. Smith et sa main invisible du marché, tandis que la panification de l’Etat faitsubsister les déséquilibres. Si marché concurrentiel, on a pas de coûteux et long processus d’acquisition de l’info sur ces derniers puisque instantanément reflétés dans les prix. Permet de réduire les coûts de production (concurrence fait chuter les profits et donc économies d’échelle).
Les déséquilibres sont temporaires
Si réduction des coûts unitaires (matières premières, innovation),développement de l’offre. Offre (et demande) peut donc changer en permanence, mais comment retour permanent à l’équilibre ?
1. Problème des débouchés
Loi des débouchés : pas de surproduction car offre créée sa propre demande. En effet, produit (offre globale : valeur des biens offerts sur les différents marchés) source de revenu. Soit consommation soit investissement (demande globale. Ces revenus sontdépensés). Critiques : même si au total égal, par produit pas forcément (surproductions de secteurs) / une partie pas dépensée mais épargnée. En investissement mais aussi thésaurisation, d’où dépenses inférieures / même si pas de thésaurisation, comment sait on que C et I sera égal à C et S / achats à des producteurs étrangers devant être compensés par débouchés extérieurs.
Adaptation aux déséquilibres(Say c’est toujours bon car) : prix parfaitement flexibles / monnaie pas un bien en soi (que pour dépenses, en plaçant le reste) / répartition C S par rapport à C I : équilibre en jouant sur les TI / déséquilibre extérieur éliminé par flexibilité des prix et taux de change.
2. Plein emploi est assuré
Fonctionnement du marché du travail : production a toujours des débouchés, seul élément pouvantlimiter la demande de travail est son coût (rapport quantité de produits ou productivité marginale / salaire nominal – inscrit sur la fiche de paie – divisé par le prix. A capital constant, productivité diminue à mesure qu’on engage. Tant que productivité est supérieure au salaire, on embauche car profits augmentent. Si équilibre, si on augmente les salaires on fait chuter la demande de travail.Même si l’économie ne va pas bien, pas de chômage durable car alors réduction de la demande suivie d’une diminution du salaire (concurrence entre travailleurs), jusqu’à ce que l’offre rejoigne la demande. Anticipations rationnelle : même pas à court terme, vu qu’on sait ce qui va se passer. Interprétation libérale du chômage : car réglementations (syndicats, législations sur salaire minimum)…