Les valets

Les valets au théâtre au 17eme 18eme et 19eme siècle

Le valet est un personnage clé de la comédie des 17e et 18e siècles, alors même que son rôle social semble très limité dans la réalité. Levalet nous venge de tout ce que nous n’osons ou ne pouvons pas faire. Par un processus d’identification, le valet offre donc au spectateur aujourd’hui encore une liberté et une revanche symbolique contretout ce qui le rend esclave, en battant son maître, ou en mentant effrontément pour s’en tirer. De plus, le valet a une dimension dramaturgique essentielle, car il agit pour le plaisir de l’action etsymbolise l’illusion comique: il est désintéressé, fait des actes gratuits, il n’est donc finalement que du jeu.
Les valets sont aussi l’outil principal dans le déroulement de l’intrigue. Ainsi, lejardinier du château dans Le mariage de figaro apparaît dans la scène 21 de l’acte 2 pour dévoiler l’évasion de Chérubin par la fenêtre de la chambre de la comtesse. Il apparaît comme un ivrogne bornéet berné par Figaro. La fiancée de Figaro, la servante Suzanne, représente un sujet presque équivalent qui prend le dessus sur Figaro et le comte dans le dernier acte, puisque tous deux sont lesdupes des femmes.
Même si les valets chez Marivaux demeurent souvent des personnages secondaires et sont plutôt «agis» par leurs maîtres qu’ils n’agissent contre eux (ils agissent d’abord parobéissance), il leur arrive de prendre une large part d’initiative. Lisette et Arlequin, dans Le Jeu de l’amour et du hasard développent leur propre intrigue sentimentale à l’occasion de l’échange des identitésavec leurs maîtres.
Les valets de Marivaux, sont parfois moins nobles, mais toujours du côté du comique, ils reprennent certains clichés de la comédie classique: Arlequin, dans L’île des esclaves,est le valet porté sur la boisson, chantant comme un ivrogne, épinglant son maître avec ironie et de manière fort spirituelle pour la plus grande joie du spectateur: «Étourdi par nature, étourdi par…

Lettre du voyant, rimbaud

Lettre du voyant

Introduction
A Paul Demeny : une lettre privée, mais un contexte de communication plus large.
Influences et originalité dans la conception de poète et de la poésie.

Ce texten’était pas prévu à la base pour la publication, c’est une démarche encore embryonnaire et inachevée traduite notamment par la forme elliptique des propositions.
Avant : réflexions sur l’évolution dela poésie. Seule la poésie de la Grèce antique et quelques romantiques trouvent grâce à ses yeux.

I/ « Je est un autre »

..1. Différenciation, dédoublement
– Sur le romantisme : péremptoire : «on a jamais » (on = critiques). Relations critiques et œuvre qui mettent en évidence l’incompréhension des journalistes : ironie et mépris. Rimbaud ne disserte pas, les phrases sont elliptiques. Miseen évidence du décalage pensée/œuvre (« Les romantiques ? »), la création échappe à son auteur…
– « Je est un autre » : postulat péremptoire et surprenant par le paradoxe : « je », subjectivité etintimité, une différenciation étrange. L’individu est traversé par une pensée qui le dépasse, le poète doit s’en faire le relais, et ne pas se focaliser sur sa propre personne. Lettre à Izambard : «votre poésie subjective sera toujours horriblement fadasse ».

..2. Démarche : connaître et cultiver son âme
– Deux illustrations : métaphore musicale : le cuivre, matériau brut (métaphore filée) etson cas particulier (importance du « je ») => le pouvoir de création s’impose et échappe au poète : « je suis né poète, je me suis reconnu poète, ce n’est pas du tout de ma faute » (lettre à Izambard).« s’éveiller, éclore » : manifestation de l’inconnu, comme de son propre mouvement. « j’assiste à ma… » : dédoublement. « je la regarde, je l’écoute » : deux propositions brèves et parallèle :spectateur, extérieur, attention accrue : le poète se met à la disposition de la pensée.
Pensée = action : « un coup d’archet » contre « symphonie » : caractère involontaire de la création. Un long…

Le meilleur des mondes

L’histoire débute à Londres , en l’an 632 de Notre Ford . Dans le monde décrit par l’auteur, l’immense majorité des êtres humains vivent au sein de l’État Mondial – seul un nombre limité de sauvages sont regroupés dans des réserves. Bien que l’enseignement de l’Histoire soit jugée parfaitement inutile dans ce monde, on apprend néanmoins que les sociétés anciennes ont été détruites par un conflitgénéralisé connu sous le nom de « Guerre de Neuf Ans ».

Dans cette société, la reproduction sexuée telle qu’on la conçoit a totalement disparu ; les êtres humains sont tous créés en laboratoire, les fœtus y évoluent dans des flacons, et sont conditionnés durant leur enfance. Les traitements que subissent les embryons au cours de leur développement déterminent leur future position dans lahiérarchie sociale (par exemple : les embryons des castes inférieures reçoivent une dose d’alcool qui entrave leur développement, les réduisant à la taille d’avortons). Cette technique permet de résoudre les problèmes liés aux marchés du travail en produisant un nombre précis de personnes pour chaque fonction de la société. Ces nombres sont déterminés par le service de prédestination.

Une foisenfants, les jeunes humains reçoivent un enseignement hypnopédique qui les conditionne parfaitement durant leur sommeil. Les castes supérieures apprennent ainsi à mépriser sans remords les castes inférieures, et ces dernières apprennent à admirer l’élite de la société.

La société est rigoureusement séparée en cinq castes :

les castes supérieures :
Les Alpha en constituent l’élitedirigeante. Ils sont programmés pour être grands, beaux et intelligents.
Les Bêta forment une caste de travailleurs intelligents, conçus pour occuper des fonctions assez importantes.

les castes inférieures :
Les Gamma constituent la classe moyenne voire populaire.
Les Delta et les Epsilon forment enfin les castes les plus basses ; ils sont faits pour occuper lesfonctions manuelles assez simples. Ils sont programmés pour être petits, laids (les Epsilon sont presque simiesques).

Chacune de ces castes est divisée en deux sous-castes : Plus et Moins. Chacun, en raison de son conditionnement, estime être dans une position idéale dans la société, de sorte que nul n’envie une caste autre que la sienne.

Cette société rend tabou le sujet de la viviparité :l’allusion à la maternité, à la famille ou encore au mariage font rougir de honte aussi bien les jeunes que les adultes. La sexualité y apparaît comme un simple loisir : chaque individu possède simultanément plusieurs partenaires sexuels (entre deux et six par semaine), et la durée de chaque relation est extrêmement limitée (quelques semaines seulement). Les femmes utilisent de nombreux moyens decontraception, appelés « exercices malthusiens », afin de contourner tout risque de reproduction qui échapperait au conditionnement réglementaire.

Chacun des membres de la société est conditionné pour être un bon consommateur et est obligé de participer à la vie sociale. La solitude est une attitude suspecte.

Tout le monde dans l’État mondial utilise du « Soma ». Le Soma est une substanceapparemment sans danger qui peut, à forte dose, plonger celui qui en prend dans un sommeil paradisiaque. Le Soma n’a aucun des inconvénients des drogues que nous connaissons aujourd’hui. Il se consomme sous forme de comprimés distribués au travail en fin de journée. Cette substance est le secret de la cohésion de cette société : grâce à elle, chaque élément de la société est heureux et ne revendiquerien. Les individus de toutes les castes se satisfont de leur statut par le double usage du conditionnement hypnopédique et du Soma.

Les humains qui ne vivent pas dans l’État Mondial sont parqués dans des « Réserves à Sauvages » délimitées par de hautes barrières électrifiées. Elles ont été créées par l’État Mondial à cause des conditions climatiques et géologiques peu favorables : « il n’a…

Les proposition

Les propositions de titres à améliorer pour les articles des journaux et/ou débats audio. Ces propositions peuvent être argumentées avec les documents : informations générales et conclusions dumémorandum.
1. Situation d’une bombe à retardement : la problématique de formation et insertion professionnelle des diplômés en sciences sociales et humaines, des milliards ont été/sont engagés dansleurs formations pour quelle finalité ?
2. Des milliers de diplômés 8384 admis en maîtrise de 2001à 2009 laissés avec leurs tristes sorts : qu’ils n’ont que des diplômés universitaires
3.Pourquoi ce silence de morts des autorités-décideurs sur l’épineux problème d’insertion professionnelle des diplômés en sciences sociales et humaines : seule solution à court terme la majorité des postesdu stage de volontariat APEJ a tété accordée aux dits diplômés en 2010
4. 15 ans après la création de ces sections en 01996 avec l’université de Bamako, la FLASH : quel est le bilan en termesd’avenir professionnel, de formation et d’accompagnement postuniversitaire des milliers de jeunes formés ?
5. Pourquoi l’État autorise la création des universités privées pour les formations postuniversitaires et ne reconnaît quasiment pas leurs diplômes. Il y’a des diplômés avec leurs maigres moyens nécessaires qui ont bénéficié de ces formations avec des diplômes non reconnus par l’Etat.Quelle irresponsabilité et contradiction de l’Etat, en leur autorisant à s’ouvrir et ne pas reconnaître leurs diplômes.
6. Quelles seront les mesures d’accompagnement des autorités-décideurspour faciliter l’insertion professionnelle et les formations post universitaires.
-Quel Ministère/ service étatique dispose d’un référentiel des compétences nécessaires à son bon fonctionnementpour l’atteinte des objectifs visés (pour ne pas exprimer particulièrement les besoins des diplômés en sciences sociales)?
– Quel Ministère/ service étatique a demandé à l’université de…

Ogm les acteurs et les risques

OGM
Définition
OGM ou Organisme Génétiquement Modifié: être vivant (animal, végétal ou micro-organisme) dont l’homme a modifié le patrimoine génétique afin de lui conférer de nouvelles propriétésLes OGM dans le monde
Introduction
Actuellement, les OGM cultivés dans le monde concernent principalement 4 espèces (soja, maïs, coton, colza) et essentiellement deux caractères (tolérance auxherbicides, et résistance aux insectes, ou une combinaison des deux). Le retour d’expérience sur les impacts environnementaux, tant positifs que négatifs, est donc encore limité par rapport aux différentsOGM qui, à l’avenir, sont susceptibles d’être utilisés à grande échelle dans l’environnement.

Principales caractéristiques modifiées des plantes OGM ont pour but : – d’être capable de résisterà un insecte ravageur grâce à un insecticide : pour éviter toute perte de productivité. – d’être capable d’absorber un herbicide sans mourir : dans le but de tout tuer autour de la plante pour qu’ellepuisse croître aisément.
Qu’est ce qu’un OGM ?
Les risques
Parmi les risques que sont susceptibles de présenter les OGM, figurent notamment des risques pour la santé humaine par toxicité ouallergénicité et des risques pour l’environnement comme la déstabilisation de certains écosystèmes. Nous allons traité quelques exemples .
Le risque de contamination
Le risque de l’excès des traitement
Lacause de l’excès !
Exemple d’excès

Un scenario «catastrophe» !

les OGM issus de mutagénèse ou fusion cellulaire se retrouvent actuellement dans nos assiettes sans qu’on ne le sache !
L’argent, parfois, aux détriment de la santé

Les OGM comportent quand meme des avantages car si la technique serais mieux métrisés, les plantes génétiquement modifiées pourraient jouer un rôle majeurdans le domaine médical (obtention de molécules, de vaccins…), agronomique (résistance à la sécheresse, aux maladies…), ou dans la dépollution des sols.
Les acteurs
Les chercheurs / La…

Commentaires

NO MAN’S LAND

C’est une terre nouvelle, illuminait par le soleil,
une terre bleu enrichie d’océans, une terre d’eau
et d’arbres. En ouvrant grand les yeux on aperçoit
un petit villagefleurie avec des petites maisonnettes.
Et un autre petit village avec des maisons moins
accueillante.
C’est une terre ou la vie né, dont les hommes
sont chassé par les femmes.
C’est une terrequi n’est pas encore dans notre
mémoire, qui n’appartient pas encore à la géographie.
C’est un territoire nouveau, qui abrite des jolis
petit animaux qui se cache dans les forêts.
De part etd’autre de cette langue de terre, un peuple,
animés par la beauté et la joie, mais aussi par le
dégoût des hommes. Ce peuple neutralisé par ce
même dégoût, le dégoût de l’esclavage des femmesde leur liberté envers les hommes. Et non loin de
cette terre un autre peuple. Un peuple abritant des
hommes. Des hommes chassaient par ses femmes.
On serait incapable de dire a quand remonte ladernière incursion. Cela fait bien longtemps que
nul n’ose plus s’aventurer pour défier les femmes.
Les jours passent dans la peur. Dans quelques années,
il ne restera que quelques vieillardspour se souvenir
de cette révolte, d’une telle séparation. Ce jour la aurait
dû être un jour comme un autre. Pas de raison de
déroger à se calme plat. C’est le matin de ce jour-la
pourtant quePierre a choisi pour se faufiler hors de
son peuple. Un matin calme et blanc. Il s’est mouillé
le bat de son pantalon en passant la rivière. Et puis,
il s’est mis à marcher – à marcher endirection du
peuple des femmes. D’abord, les hommes ne l’avaient
pas remarqué. Ils devaient être occupés à autre chose,
ou ils ont cru voir un petit animal se faufilait dans la
rivière. Mais assezvite, ils ont du se rendre a l’évidence:
c’était bien un homme qui avait traversé la limite a ne
pas dépasser. Ils branchèrent les haut-parleurs et lui
ont intimé l’ordre de rentrer sur le…

Babeuf sous le directoire

Babeuf et la république des égaux
page 76-77
Il a été connu sous le nom de dracus Babeuf
François Noel Babeuf (1760-1797), au départ il s’occupe du cadastre foncier dans l’Oise, il est trèsproche des lumières, de Rousseau, dès 1789 il va a Paris et s’engage comme correspondant d’un journal anglais, pour lui la DDHC est velléitaire (sans audace, hésitant, etc.) elle instaure une égalitéfictive entre les citoyens. Sous la terreur, il est aussi critique envers Robespierre. En octobre 94, il commence à publier un journal qui s’appelle le tribun ( le porte-parole) du peuple, il veut sonjournal proche des sans-culottes. Or, alors qu’il était opposé à Robespierre, il critique avec virulence la convention thermidorienne, il est emprisonné à Arras et rencontre ceux qui seront ces complicesdans la conjuration des égaux, la prison lui permet de construire un réseau avec ceux qui sont contre la convention thermidorienne : Charles Germain, Philippe , à sa sortie de prison avec ses troiscomplices ils fonde sa société des égaux, qui est une société qui a deux visages : public et clandestin. Publiquement ils réclament des mesures qui instaureraient une égalité éco et sociales totale.Clandestinement, les dirigeant s’engagent dans un projet de coup d’état. Le contexte : la lettre est daté du 9 thermidor en III, 28 juillet 95, en pleine crise éco, en pleine famine, comme elle fracturetoutes les classes urbaines elle favorise le programme des égaux. en ce qui concerne la société des égaux, deux objectifs s’opposent : la ligne de Babeuf qui défend une stratégie de prise de pouvoirprudente, les français ne sont pas encore prêts, il faut faire une politique de propagande. La deuxième ligne défendue par Germain, il propose de faire la révolution maintenant. Le document est unelettre privée, non seulement privée mais surtout secrète. L’état ne doit pas être courant, mais pas non plus ceux membres de la société, car ils ne savent pas qu’ils veulent aller aussi loin. Il y a un…

Le pardon royal de jean le bon

I) Une alliance défavorable au Roi
a)La composition d’un Conseil avec des intérêts cachés
Au XIVème siècle, on est encore loin de la Monarchie Absolue. Le Roi est encore très sensible aux mouvements d’opinion dont l’expression se réduit à un cercle restreint qui gravit autour de la royauté. La politique de Jean le Bon va redistribuer les rôles au Conseil. Ses hauts fonctionnaires sont comme deschefs responsables de leurs services. Il va accroitre leur autorité et engager leur propre responsabilité afin d’éviter les rivalités entre le Parlement, la Chambre des Comptes et la Chambre des requêtes. Le nombre de réunions de ses Conseils varient tout le temps ; il y à une période de forte activité en 1354-1355 ce qui coïncide avec des crises politiques. En 1354, au Grand Conseil du Roisiège 86 conseillers. On ne connait pas leurs noms exacts, cependant quelques grandes figures reviennent assez régulièrement. Le texte nous indique quelques noms de ces membres du Conseil qui, en cette période ont été au premier plan des décisions que le Roi Jean le Bon ait pu prendre.
Ligne 4-5 : » Le cardinal de Boulogne » ; en 1352 c’est l’arrivé de Gui de Boulogne à la Cour. Cela fait 10 ans qu’ilest Clerc. Il a fait une carrière ecclésiastique. Il va recevoir promotion sur promotion qui va le fait devenir archevêque de Lyon à 25 ans et Cardinal à 27ans. C’est un membre influent est un négociateur hors pair. Sa demi-sœur était la seconde épouse de Jean le Bon apparenté par son père à Charles le Mauvais ; en effet le père de Gui de Boulogne épouse Margueritte d’Evreux la tante du Roi deNavarre. En 1353 il est employé par le Pape Innocent VI pour la paix entre la France et le Royaume-Uni. De plus, c’est le principal artisan du Traité de Mantes. Gui de Boulogne est attaché à la famille Navarraise et en 1354 lors du Traité de Mantes où il négocie avec Charles de Navarre il n’agit pas au nom du Pape Innocent mais de sa propre initiative. Plus tard lorsque Charles de Navarre écrivitau Duc de Lancastre comme quoi il avait fait la paix avec son beau-père, il se louait de l’intervention des deux Reines et de Gui de Boulogne.
Ligne 10-11 : » La reine Jeanne, sa tante et la reine blanche, sœur du Roi de Navarre, laquelle Jeanne avait été femme du Roi Charles » ; Charles de Navarre reçoit l’appui de sa famille proche. Sa sœur la Reine Blanche, jeune veuve de Philippe VI de Valois,intervient souvent pour réconcilier Jean le Bon et Charles de Navarre. Blanche, femme que Jean le Bon avait faillit épouser. La reine Jeanne d’Evreux, 3ème femme de Charles Le Bel, dont le dévouement à la cause de son neveu n’aura d’égal que son zèle inlassable pour éviter la Guerre Civile.
Ligne 25 : »Vous avez épousé ma dame sa fille » ; Charles de Navarre depuis son mariage le 1er Mars 1352avec la fille du Roi Jean II, Charles de Navarre c’est rapproché du pouvoir royal. En scellant ce mariage Jean II souhaitait rapprocher les deux familles : Valoises et Navarraises. Mais même si dans un premier temps, Charles de Navarre est très présent aux côtés du Roi celui-ci ne perd en rien son idée de vengeance et de légitimité du trône. Ainsi en épousant Jeanne, alors âgée de 8ans il introduitprogressivement au Conseil des Partisans dévoués à ses intérêts.
Ligne 13 : »monseigneur Regnaut de Trie » ; Seigneur de Moucy et du plessis, d’une branche cadette de la grande famille de Trie ; »
Ligne 9 : »Monseigneur Jacques de Bourbon » ; Connétable de France après la mort de Charles d’Espagne, il participe au Traité de Mantes avec Gui de Boulogne et appui les démarches des deux Reineslorsque celles-ci supplient Jean II de pardonner Charles de Navarre.
Ligne 4 : » Plusieurs autres de son Conseil » ; on ne connaît pas les noms exacts de tous les membres du Conseil du Roi à cette époque, cependant on sait que par exemple le mariage de Jeanne et du roi de Navarre coïncide avec la répartition au Conseil d’un des 3 Barons qui étaient venus au Conseil à la fin de 1347 et dont…

Analyse dracula film-roman en anglais

First of all, let us analyse the name of Dracula itself . The name of the fictionnal character is close to that of the historical character. It is derived from “dragon” (dracul in Romanian), Vlad Tepes’ family having been named Dr?culea by historians. Actually, Vlad Tepes’ father was nicknamed Vlad II Dracul (Vlad II the dragon) because he was part of the order of the dragon. Moreover, Draculmeans “dragon” but also “devil” in Romanian. This ambiguity was kept by Bram Stoker in his novel, to stress the count’s devilish qualities.

I Dracula/Draculas : Iconography for a vampire.
A.A cultural icon
1. When one is asked to describe count Dracula, the answer is often the same : he is represented as a middle aged aristocrat, tall and slim, a pale face and black hair. He is wearing a darksuit and a large black and red cape. Actually, this representation evolved with time. The original Bram Stoker’s Dracula did not look like this at all ! He was an old man (who got younger as the novel went), pretty ugly and repulsive with his tall and thin body, his thick eyebrows, very little hair, a thick moustache, short fingers, hairy hands and bad breath. (I quote Jonathan Harker’s descriptionof the count in the novel : “His face was a strong, a very strong, aquiline, with high bridge of the thin nose and peculiarly arched nostrils, with lofty domed forehead, and hair growing scantily round the temples but profusely elsewhere. His eyebrows were very massive, almost meeting over the nose, and with bushy hair that seemed to curl in its own profusion. The mouth, so far as I could see itunder the heavy moustache, was fixed and rather cruel-looking, with peculiarly sharp white teeth. These protruded over the lips, whose remarkable ruddiness showed astonishing vitality in a man of his years. For the rest, his ears were pale, and at the tops extremely pointed. The chin was broad and strong, and the cheeks firm though thin. The general effect was one of extraordinary pallor. HithertoI had noticed the backs of his hands as they lay on his knees in the firelight, and they had seemed rather white and fine. But seeing them now close to me, I could not but notice that they were rather coarse, broad, with squat fingers. Strange to say, there were hairs in the centre of the palm. The nails were long and fine, and cut to a sharp point. As the Count leaned over me and his handstouched me, I could not repress a shudder. It may have been that his breath was rank, but a horrible feeling of nausea came over me, which, do what I would, I could not conceal.”
The different cinematographic adaptations of Dracula also picture these evolutions.

In fact, in 1922 when Murnau filmed Nosferatu, played by Max Schreck, his main character was hideous, ugly, very straight, rigid andbald, like a dead body with emaciated hands and a straight look. He generated fear and repulsion. Ugly and fearful, he is the one who correponds the most to Stoker’s Dracula’s physical characteristics.

Only nine years passed between Murnau’s Nosferatu and Tod Browning’s Dracula, however, Bela Lugosi gave Dracula an erotic dimension, losing Max Schreck’s power of terror. The face of the vampirechanged and as he used to be represented as ugly and repulsive, he became a good-looking man, nice to look at and, above all, a seducer : the two female characters being strongly attracted by him. For the first time, the vampire had sex-appeal. Nevertheless, he bore the ambivalence attractive-fearful.

In Terence Fisher’s Horror of Dracula, the most gothic version of the original work, ChristopherLee incarnated Dracula as a haughty, imposing nobleman, he was introduced as a perfect gentleman who, with shock rapidity, turned into a ravening animal. When this Dracula was enraged he was an animal, hissing, his eyes turning scarlet red.
The transition of Dracula from monster to cursed, romantic figure really started during the last half of the seventies. « Count Dracula » (1977) starred the…

L’ excision des fillettes.

L’ excision des fillettes.

L’infibulation constitue une mutilation supplémentaire en ajoutant à l’excision la section des grandes lèvres dont les deux moignons sont suturés bord à bord. Un minuscule orifice est laissé pour l’écoulement des règles et des urines.Lors du mariage, la femme  » infibulée  » est incisée avec un instrument tranchant pour que les rapports sexuels soient possibles.L’ouverture effectuée n’est toutefois pas suffisante, loin s’en faut, pour un futur accouchement. L’incision sera donc majorée à la naissance d’un enfant aussitôt après, l’ouverture sera réduite à ses dimensions initiales et ainsi de suite….Le nombre de femmes excisées est estimé à 130 millions dans le monde et tous les ans, près de 2 millions d’autres sont soumises à cette coutume, au rythme d’environ6000 cas par jour, soit 5 petites filles par minute.
Les types de mutilations sexuelles des fillettes :
On distingue 3 formes principales de mutilations sexuelles :
la plus courante est l’excision ou clitoridectomie. Elle consiste en l’ablation partielle ou intégrale du clitoris et des petites lèvres.
la forme la plus grave est l’infibulation, encore appelée « excision pharaonique ». Lors decette opération on procède tout d’abord à l’ablation du clitoris et des petites et grandes lèvres. La vulve est ensuite suturée à l’aide de catgut, de fils de soie ou d’épines. Seul un orifice étroit est ménagé pour l’évacuation de l’urine et l’écoulement du flux menstruel.
La sunna est la forme la moins « grave ». Elle est souvent appelée aussi « excision symbolique ». Elle consiste à couper lamembrane du clitoris, ou à inciser le clitoris, ou bien encore à en couper le capuchon.
Les conséquences de l’excision des fillettes :
La plupart des fillettes excisées sont marquées à vie dans leur chair et dans leur esprit. Nombreuses sont les victimes qui ne savent pas que leurs problèmes physiques et psychiques sont directement liés à l’excision. Elles ne peuvent oublier le traumatisme et ladouleur. Beaucoup de petites filles décèdent des suites du choc, de la douleur insoutenable ou d’une hémorragie.
Nombre d’entre elles souffrent toute leur vie de douleurs chroniques, d’infections internes, de stérilité ou de dysfonctionnements rénaux. Chez les femmes ayant subi une infibulation, l’évacuation de l’urine et l’écoulement du flux menstruel ne se font que difficilement. Lors desaccouchements, l’excision est à l’origine de graves complications, qui coûtent fréquemment la vie à la mère ou à l’enfant. Les rapports sexuels sont pour beaucoup de femmes – pour les hommes aussi d’ailleurs – une véritable torture.

L’excision féminine, une tradition rituelle profondément ancrée dans les mœurs :
La mutilation de l’appareil génital féminin est un rite millénaire. On ignore cependantoù et pourquoi il s’est développé. L’excision représente actuellement pour les fillettes, avec le mariage, la cérémonie la plus importante de leur vie : ce n’est qu’après s’être soumises au rite de l’excision qu’elles deviennent de jeunes femmes et qu’elles sont pleinement acceptées et reconnues dans la communauté. L’excision est un sujet tabou et les petites filles ne savent pas exactement cequi les attend. On leur fait miroiter une grande fête et beaucoup de cadeaux – la plupart ne se doutent pas des souffrances atroces qu’elles vont endurer. L’excision fait partie de la vie de beaucoup de communautés africaines, comme chez nous la communion ou la confirmation. Beaucoup de petites filles attendent avec impatience le jour de leur excision et sont par la suite très fières d’appartenirenfin à la communauté. Les raisons de l’excision diffèrent d’une région et d’une ethnie à l’autre. Beaucoup pensent à tort que l’Islam prescrit l’excision. Les femmes non excisées sont considérées comme impures et incapables de maîtriser leurs pulsions sexuelles. D’autres ethnies croient que le clitoris peut empoisonner l’homme ou l’enfant à la naissance. D’autres encore croient que le clitoris…