Madame bovary

Le Petit Echo de la Mode a été fondé en 1880 par Charles Huon de Penanster, succédant au Petit Journal de la Mode qui n’était tiré qu’a quelquesmilliers d’exemplaire.
Ce magazine témoigne d’une nouvelle forme de presse féminine, familiale et pratique marquée par les débuts de la civilisationindustrielle et le développement de l’instruction sous le Second Empire.
Le tirage du magazine passe de 5000 à 100 000 exemplaires en 1887, aprèsl’insertion d’un roman-feuilleton imprimé sur des pages détachables.
En 1893, l’ajout d’un patron gratuit fait monter le tirage à plus de 200 000exemplaires.
Dès 1900, ce titre atteint un tirage de 300 000 exemplaires.
Après la Libération, le magazine connaît une progression fulgurante :Le Petit Echo de la Mode, redevenu un hebdomadaire en 1947, passe de 1 200 000 exemplaires à 1 500 000 exemplaires à l’automne 1950.
Il doit sonsuccès à son caractère pratique destiné à aider les mères de famille dans leur vie quotidienne mais aussi à des rubriques inédites : courrier du cœur,éducation des enfants, loisirs, aménagement de la maison, santé …
Mais voilà, l’émancipation des femmes fait qu’elles n’ont plus le temps decoudre. L’invasion de la télévision fait qu’elles n’ont plus envie de lire. Face à la crise générale de l’imprimerie de presse, la concurrence, et latélé, les Editions Montsouris capitulent. Le magazine fût acquis par plusieurs éditeurs, mais néanmoins il connait ses dernières parutions en 1893.

Rapport annuel sacd 2009

RappoRt annuel pouR l’exeRcice 2009

www.sacd.fr

Éditorial du président et du directeur général
Nous vous disions, l’année dernière, que nous étions entrés dans une période de turbulence et d’inquiétudes. Le moins que l’on puisse dire, c’est que nous n’en sommes pas encore sortis. Sur fond de crise économique, nous avons terminé cette année 2009 avec une baisse globale de nos perceptionsde 1,8%. Mais, soyons francs, nous avions craint bien pire en milieu d’année, avec un théâtre parisien en baisse, des craintes sur l’avenir de France Télévisions et les principaux télédiffuseurs privés qui voyaient leurs chiffres d’affaires chuter de façon importante. La diversité de nos répertoires, une très bonne tenue du spectacle vivant en province, finalement une hausse notable du chiffred’affaire de France Télévisions (donc de nos perceptions) et la multiplication des nouveaux diffuseurs audiovisuels nous ont permis d’amortir mieux que nous le pensions les aléas de cette année difficile. Quant à nos répartitions elles ont connu cette année une hausse d’un peu plus de 1,5%. La baisse des ressources de nos diffuseurs traditionnels (hors chaînes publiques) se poursuit. C’est une tendancemondiale. Heureusement, les nouveaux entrants sur le marché de la diffusion que sont les opérateurs de télécommunications permettent de compenser la baisse des chaînes commerciales. La TNT est aussi en forte croissance même si, au niveau des droits perçus, les sommes sont encore extrêmement faibles, puisque -prise individuellement- chaque chaîne de la TNT représente une ressource très inférieureaux chaînes historiques. Néanmoins, il est capital que notre Société signe rapidement des contrats avec les nouveaux diffuseurs (y compris sur Internet), accompagne les directeurs de théâtres, producteurs et entrepreneurs de spectacle en général à mieux faire face aux difficultés de l’économie du spectacle vivant, et s’attache à mettre en place avec les pouvoirs publics un cadre juridique nouspermettant de continuer à créer. C’est ce que nous avons tout particulièrement mis en œuvre en 2009. Ainsi, nous avons signé un certain nombre d’accords avec les diffuseurs audiovisuels. Avec France Télévisions, d’abord : depuis toujours, chaque chaine du service public signait avec l’ensemble des sociétés d’auteurs un accord séparé. La loi ayant créé une société unique, il a fallu négocier un accordglobal. Pour la première fois, nous avons négocié séparément : la SACEM d’un côté, la SCAM et la SACD de l’autre. Cet accord s’est fait dans des conditions que nous estimons satisfaisantes. Il va falloir dorénavant réfléchir à nos propres règles de répartitions, puisque France Télévisions versera une somme globale pour tout le groupe. Nous avons aussi amélioré nos accords avec Canal +. De même,nous avons négocié et signé, en commun avec les organisations de producteurs, un ensemble d’obligations d’investissements dans la création pour les chaînes de la TNT, du cable et du satellite. Après avoir conclu un accord avec Orange pour les chaînes Orange Cinéma Séries, les négociations se poursuivent pour les droits d’auteur dus au titre de son activité de distributeur de télévision. Nous avonségalement obtenu qu’Orange investisse dans le développement en finançant, via l’association Beaumarchais-SACD, des bourses d’écriture pour les nouveaux formats. Les premières ont déjà été attribuées. Des négociations sont en cours avec les producteurs et nous espérons conclure prochainement. Avec les producteurs de l’audiovisuel, il s’agit de définir, pour la première fois, un ensemble de règlescontractuelles obligatoires, gérant de façon claire les relations entre auteurs et producteurs, incluant des règles de transparence et un intéressement supplémentaire après l’amortissement des œuvres. En effet, le travail de l’Observatoire Permanent des Contrats de l’Audiovisuel (OPCA) que nous avons créé, a montré de façon irréfutable de telles disparités de droits et d’obligations des auteurs…

Divers systemes mecaniques oscillants.

DIVERS SYSTEMES MECANIQUES OSCILLANTS.
A) PENDULE SIMPLE.
1. Définitions.
Tout corps pesant susceptible de faire des allers-retours, c-a-d d’osciller, autour d’un axe sous l’action de lapesanteur est un pendule pesant.
Le pendule simple est constitué par une masse de très petite dimension qui oscille à une distance constante d’un axe horizontal fixe. Cette distance est appelée« longueur du pendule simple ». En, pratique, on peut suspendre à un fil très léger et inextensible une petite bille métallique.
Le pendule simple est un modèle idéalisé du pendule pesant où l’on considèreque toute la masse est concentrée au centre d’inertie du pendule.
• Lorsque la bille est écartée de la verticale, puis lâchée, le pendule est animé d’un mouvement circulaire d’aller-retourautour de sa position d’équilibre verticale. C’est un système oscillant ou oscillateur.
• Un système mécanique qui effectue un mouvement d’aller et retour de part et d’autre de sa position d’équilibreest dit oscillateur mécanique. Une oscillation est un aller-retour autour de sa position d’équilibre. C’est le mouvement effectué par le pendule entre deux passages consécutifs et dans le même sens,par une position donnée du pendule.
• La période T d’un phénomène périodique est la plus courte durée au bout de laquelle le phénomène se reproduit identique à lui-même. Dans le cas d’un pendule,la période est la durée d’une oscillation. (unité : s).
• Lorsque l’amplitude des oscillations d’un pendule simple est inférieure à 20° environ, la période T est pratiquement indépendante del’amplitude (m du mouvement. (Loi d’isochronisme des petites oscillations)
• La fréquence f d’un phénomène périodique est le nombre de fois où celui-ci se reproduit par seconde. C’est le nombred’oscillations par seconde. (unité : Hz)
• f=1/T
• L’amplitude (m du mouvement est l’élongation maximale angulaire.
2. TP : Etude d’un pendule simple.
• SE : (bille(
•…

Apple

Apple Inc. (NASDAQ: AAPL; NYSE: AAPL; previously Apple Computer, Inc.) is an American multinational corporation that designs and markets consumer electronics, computer software, and personalcomputers. The company’s best-known hardware products include the Macintosh line of computers, the iPod, the iPhone and the iPad. Apple software includes the Mac OS X operating system; the iTunes mediabrowser; the iLife suite of multimedia and creativity software; the iWork suite of productivity software; Aperture, a professional photography package; Final Cut Studio, a suite of professional audio andfilm-industry software products; Logic Studio, a suite of music production tools; the Safari internet browser; and iOS, a mobile operating system. As of August 2010[update], the company operates 301retail stores[3] in ten countries,[4] and an online store where hardware and software products are sold. As of May 2010[update], Apple is one of the largest companies in the world and the most valuabletechnology company in the world, having surpassed Microsoft.[5]

Established on April 1, 1976 in Cupertino, California, and incorporated January 3, 1977,[6] the company was previously named AppleComputer, Inc., for its first 30 years, but removed the word « Computer » on January 9, 2007,[7] to reflect the company’s ongoing expansion into the consumer electronics market in addition to itstraditional focus on personal computers.[8] As of September 2010[update], Apple had 46,600 full time employees and 2,800 temporary full time employees worldwide[2] and had worldwide annual sales of $65.23billion.[2]

For reasons as various as its philosophy of comprehensive aesthetic design to its distinctive advertising campaigns, Apple has established a unique reputation in the consumer electronicsindustry. This includes a customer base that is devoted to the company and its brand, particularly in the United States.[9] Fortune magazine named Apple the most admired company in the United States…

Zola dissertation

1ère partie : les garants de l’impersonnalité

C’est au terme d’enquêtes minutieuses que Zola entreprenait l’écriture de ses romans, et L’Assommoir est nourri d’une observation directe du quartier de La Goutte d’Or à Paris.
L’utilisation constante du discours indirect libre par le narrateur laisse croire à son absence : les propos des personnages semblent continuer au-delà de leurs échanges.Une voix anonyme qui pourrait être celle du peuple semble être la vraie narratrice du roman.
L’attitude du narrateur à l’égard de ses personnages se garde de toute appréciation : nulle connivence, aucune trace d’ironie et peu de condamnation morale. Il est difficile de démêler ce qui dans leur histoire en fait tour à tour des victimes ou des coupables. La vie seule, et une certaine logique dumilieu auquel ils appartiennent, nous laissent tirer les conclusions qui s’imposent.
Il arrive souvent que ce soient les personnages qui tirent eux-mêmes la leçon des faits, sans commentaire explicite du narrateur ; ainsi la remarque du docteur à Gervaise : « Vous aussi vous buvez. Un jour, vous finirez comme ça ».
Ainsi Zola réalise pour L’Assommoir le vœu de Flaubert en tant que narrateur : »être présent partout, visible nulle part ».

2ème partie : les exigences de la création romanesque

Maupassant l’établit clairement dans la préface de Pierre et Jean : le romancier doit nécessairement choisir, faute de pouvoir tout raconter. Il doit aussi retenir des faits multiples de la vie ceux qui seront les plus significatifs. Ainsi, dans L’Assommoir, la chute de Coupeau, le retour deLantier, la pluie qui force Gervaise à entrer dans le bistrot, sont autant de circonstances par lesquelles le romancier donne « un coup de pouce » au réel.
La durée romanesque n’est pas celle de la vie. La compression des événements, nécessaire à la narration comme à la lecture, les transforme en histoires et les vies les plus banales en destins. L’art organise un récit démonstratif où lecaractère fortuit des événements s’efface au profit d’anecdotes signifiantes (symboles prémonitoires, images de mort).
L’instruction des faits laisse transparaître le romancier qui les organise et le procès-verbal devient réquisitoire : les maigres salaires, les logements sordides, l’omniprésence du bistrot, l’incapacité de toute réflexion politique ou esthétique due à une extrême ignorance. Parfois lanarration ne peut se déprendre de remarques navrées sur l’avachissement de Gervaise.
Le style de Zola est loin de correspondre à l’idéal du greffier ! (voir supra) Métaphores animistes (l’alambic), grandissements épiques (le repas de Gervaise), personnages mythifiés (Goujet) donnent au roman une puissance imaginative qui ne doit rien au procès-verbal. Même le langage ouvrier est, à bien deségards, une création littéraire.
Les théories de Zola semblent donc bien en-deçà de la richesse de ses œuvres. Mais l’ambition du naturaliste est-elle pour autant un échec ?

3ème partie : « un coin de la création vu à travers un tempérament »

Zola appréciait la définition du roman proposée par Alphonse Daudet : « un coin de la création vu à travers un tempérament ». Il reconnaissait ainsi ladimension nécessairement subjective de la création romanesque, sans pour autant y voir une entorse aux principes naturalistes :
Il importe en effet de saisir la différence entre le réel et le vrai (Hugo ainsi disait du théâtre qu’il « n’est pas le pays du réel : il y a des arbres de carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l’or de clinquant, du fard sur la pêche,du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous terre. C’est le pays du vrai…» (Tas de pierres, III, 1830-1833). Si Zola s’éloigne de la vérité brute du réél, il réussit néanmoins à être vrai, d’une vérité supérieure qui est celle de l’art. Le procès-verbal du greffier serait informe et, pour tout dire, illisible. Le roman prête son ordre et la chair vivante des personnages à la leçon….

Programme

OBJECTIFS TERMINAUX
-E1 Représentation conventionnelle des systèmes électriques et électroniques.
-E31 Traitement des signaux numériques.
-E53 Conversion électromagnétique.

OBJECTIFSSPECIFIQUES

– Vérifier l’autonomie théorique du système.
– Observer les grandeurs courant et tension.

PRE-REQUIS

L’élève doit déjà connaître :
– Le principe de fonctionnement dumoteur à courant continu.
– Utilisation de l’oscilloscope.

CONDITIONS DE REALISATION

|Durée : 1h50’. |[pic]|
|Matériel : | |
|Un système didactisé.| |
|Un oscilloscope. ||
|Une pince de courant (à effet hall) | |
|Deux multimètres numériques.| |

Attention : Faire vérifier les montages avant la mise sous tension.

Prise en main du système.

Consulter ledossier technique de la béquille. Quel est le rôle du système ?

Qu’est ce qui justifie son installation sur cette moto ?

Quel est le type de moteur utilisé ?

Quelles sont lesconditions pour le béquillage ?

Quelle est la source d’énergie pour le béquillage ? Pour le dé béquillage ?

Faire des essais sur le système et vérifier les conditions.

.Relevés du courant Im et de la tension Um aux bornes du moteur.

Faire un schéma pour représenter le câblage de l’oscilloscope.

Faire le câblage de l’oscilloscope et faire vérifier…

Legend of the fall

Analyse critique – Legends of the Fall

1914, une guerre éclata dans l’empire d’Autriche-Hongrie. Cette guerre allait devenir l’une des plus importantes soit la Première Guerre mondiale. Les États-Unis tardent de déployer ses troupes en sol Européen. Ils le feront le 2 avril 1917 et ce, au côté des Alliés. La population américaine est loin d’être en accord avec ce déploiement. Suite à laguerre, les « années folles » commencèrent. Le film Legends of the Fall est une sorte d’apologie à cette époque. Il démontre le caractère violent de cette guerre et la prospérité qui l’a suivi. Part contre, les « héros » de ce film, ce sont joints aux troupes canadiennes pour être de cette guerre. Deux points du film seront mis en avant-plan afin décrire les événements ou les situations historiquesauxquels ces deux points font références. Puis, une démonstration concernant le fait que ce film puisse être perçu comme une apologie de la liberté et de la famille rurale, en butte aux tracasseries d’un État dont les politiques sont foncièrement mauvaises et dont les représentants sont souvent corrompus et ce, à travers un scénario manichéen débouchant sur un Happy Ending typique d’Hollywood et dontle dénouement brutal devrait contenter le spectateur.

Le premier point cernera la prospérité économique qu’entraîneront cette guerre et l’après-guerre. Dans le film, nous remarquons ce point lorsque l’aîné de la famille Ludlow, Alfred, revient de la guerre et décide d’aller faire fortune. Il ouvrira un commerce de « Cattle & Grain Broker ». Il deviendra un membre actif du Congrès. Sonopinion politique sera prise en considération. Cependant, son « business » et la politique lui causeront des problèmes avec les frères O’Banion, qui sont trafiquants d’alcool irlandais et les « gangsters ». Cet exemple nous entraîne directement à la prospérité qu’a connue les États-Unis. Les grands vainqueurs de cette guerre fut, encore une fois, les gens d’affaires : commerçant, banquiers,industriels font le bilan de leur réussite. Les hommes d’affaires n’ont fait qu’augmenter leur richesse personnelle. L’augmentation de leur richesse continua avec les « années folles ». Les États-Unis sont devenus une puissance agricole et industrielle, commerciale et financière. Malheureusement, même si l’abondance est théoriquement à la portée de tous, pratiquement, le fossé s’élargit de plus en plusentre pauvres et riches. Comme il est possible de le constater dans le film, certains commerçants seront pris à la gorge par des « gangsters » qui veulent absolument avoir le monopole sur certains articles vendus.

Comme second point, la prohibition sera à l’analyse. Ce sujet est abordé de manière évoquant dans ce film. Tristan Ludlow fait la contrebande l’alcool dans le but d’avoir un surplusmonétaire. Son marchandage d’alcool dura quelques années jusqu’au moment où les frères O’Banion l’arrête sur le chemin pour avoir une sérieuse discussion avec lui. Durant cette même discussion, des coups de feu sont tirés dans le but d’effrayer Tristan. Malheureusement, cette scène ne se déroula pas telle que prévu. Une des balles tirées a atteint la femme de Tristan, Isabelle 2, à place du cœur.Au niveau historique, cela correspond à la loi adopté par les parlementaires américains c’est-à-dire la prohibition. Elle fut adoptée le 17 janvier 1920. Elle a été mise en place afin d’interdire la fabrication, la vente et le transport de toutes boissons alcoolisées à l’intérieur du territoire américain. Ceci incluait l’interdit de l’importer ou de l’exporter. Désormais, il n’est aucunementpermis de boire de l’alcool qu’à des fins médicales, une pinte par 10 jours au maximum, ou sacramentelles, dans le cas de la célébration de la messe catholique, par exemple. Toutefois, il est à noter que la production d’alcool domestique n’a pas été interdite par la loi. La prohibition fut l’une des lois les plus contournées. C’est dans ce contexte que les contrebandiers d’alcool commencèrent leur…

Relation hamm et cov

Il s’agit d’un personnage central de la pièce.
1) Il est une pièce majeure du jeu
Il peut être comparé au roi sur un échiquier, il trône dans son fauteuilcomme la pièce maîtresse du jeu qui commande aux autres pièces et notamment à Clov, sa “dame”, qu’il envoie faire ses quatre volontés d’un bout à l’autre del’échiquier. Comme aux échecs, l’espace est un territoire au sein duquel se déterminent des rapports de pouvoir.
Les mouvements se dessinent autour de lui. Il veutrester au centre de la scène. Clov le déplace comme on déplace sur un échiquier mais Hamm le considère comme sa dame “Où es-tu? Reviens!”
Il mène le dialogue: ilpose des questions, donne des ordres.
Il est aveugle comme Tirésias qui pourtant voit clair et il fait également des prophéties.
Il est aussi au cœur de lafamille: il est fils de Nagg et Nell et père adoptif de Clov. Il est la pièce maîtresse du jeu.
2) Il est complexe
Son nom Hamm peut signifier “I am” avec l’élisiondu “I”: cela équivaudrait à la disparition du sujet. Hamm est aussi un diminutif de Hamlet. On peut aussi penser à Cham, fils de Noé et le père Nagg serait Noélui-même.
Il est avant tout un acteur “à moi de jouer”, il parle en soliloque ou en aparté, directement à Clov.
Son âme et son cœur sont multiples : il a été unhomme qui jouissait d’un certain prestige social, il maitrise la langue littéraire, il se plait à étaler son savoir. Mais il est aussi un être vulgaire, brutal.Il peut aussi être cruel, n’ayant aucun respect et pitié de son père, ce “salopard”.
Il exprime une vision de l’humanité: la solitude et l’absence d’espoir.

Vie scolmaire

Un exclu est-il encore un citoyen ?
Exclusion sociale : Relégation ou marginalisation sociale de personnes, ne correspondant pas ou plus au modèle dominant d’une société
Citoyenneté : Elledéfinit un lien juridique et politique entre un individu et une communauté politique : un individu est considéré comme citoyen à partir du moment où lui sont distribués des droits civils et politiquesqui l’intègrent à une communauté politique (notion de reconnaissance de la part des institutions).
Dans la mesure où un individu marginalisé est dans notre société toujours détenteur de droits etde devoirs, on peut se demander s’il demeure un citoyen ordinaire ?
Un citoyen pas comme les autres
Les exemples historiques
Grèce et notion d’ostracisme : un ostracisé n’était plusconsidéré comme un citoyen (plus la possibilité de rester sur le territoire, de prendre part aux votes des lois…)
Moyen Age : exclusion d’une communauté par l’ex communication, qui privait les gens del’appartenance à la dite communauté (et donc aux droits et devoirs qu’elle confère). Excommunication des monarques équivalait à renverser l’autorité politique, puisque les sujets n’étaient plus asservis(plus de serment de fidélité).
Problème de l’exclusion reste la reconnaissance de l’appartenance à une communauté et l’intégration à celle-ci.
EX : Si détenu, en prison, déchéance des droitsciviques et politiques.
Un citoyen est avant tout reconnu et intégré
Aujourd’hui, les exclus sont également des sujets de droit mais le droit et l’usage d’un droit sont différents.
Exemple : Le nonrecours aux droits (Politiques sociales, Accès au RMI, au RSA, à la CMU…) Stigmatisation des personnes par le recours à ces droits sociaux
Deux autres problèmes la reconnaissance au sein de lasociété et l’intégration.
Exemple : Un marginal n’est pas reconnu comme faisant partie d’une communauté, il ne se reconnaît pas lui-même comme faisant partie de celle-ci.
Exemple : Sans papiers,…

La vitesse

Propos sur la vitesse Je crois que la principale erreur de notre temps, c’est de chercher en toute chose la vitesse. Car la vitesse use les machines et abrutit les gens. Suivez-les. Ils se lèvent en courant ; ils se jettent de l’eau sur le corps et du café brûlant dans l’estomac ; ils courent dans la rue ; ils montent dans le tramway comme à l’assaut, et pendant que le moteur ronfle, ils seprécipitent sur le journal et le dévorent comme s’ils voulaient rattraper aussi les événements ; en cinq minutes, ils ont lu six pages… Alors, ils descendent et s’enfuient vers leur travail ; ils vont tout à l’heure surveiller des métiers, taper sur une machine à écrire parce que la plume va trop lentement, hurler au téléphone parce que les lettres arrivent trop tard. Ainsi jusqu’au soir, et encore lelendemain. Il y avait pourtant des choses à voir, toute heure, car les saisons vont leur petit train, comme au temps des rois fainéants. Ce matin, un gai soleil dorait les toits de la ville ; les collines qui ferment les rues étaient enveloppées d’une vapeur bleue ; une giboulée séchait entre les pavés. […] Mais qu’ont-ils donc pu voir, ces hommes-abeilles qui vont droit au but, en ronflantcomme des projectiles ? Alain 1. Les mots ou expressions clefs. Je crois que la principale erreur de notre temps, c’est de chercher en toute chose la vitesse. Car la vitesse use les machines et abrutit les gens. Suivez-les. Ils se lèvent en courant ; ils se jettent de l’eau sur le corps et du café brûlant dans l’estomac ; ils courent dans la rue ; ils montent dans le tramway comme à l’assaut, etpendant que le moteur ronfle, ils se précipitent sur le journal et le dévorent comme s’ils voulaient rattraper aussi les événements ; en cinq minutes, ils ont lu six pages… Alors, ils descendent et s’enfuient vers leur travail ; ils vont tout à l’heure surveiller des métiers, taper sur une machine à écrire parce que la plume va trop lentement, hurler au téléphone parce que les lettres arrivent troptard. Ainsi jusqu’au soir, et encore le lendemain. Il y avait pourtant des choses à voir, toute heure, car les saisons vont leur petit train, comme au temps des rois fainéants. Ce matin, un gai soleil dorait les toits de la ville ; les collines qui ferment les rues étaient enveloppées d’une vapeur bleue ; une giboulée séchait entre les pavés. […] Mais qu’ont-ils donc pu voir, ces hommes-abeillesqui vont droit au but, en ronflant comme des projectiles ? 2. Alain 3. les mots de liaison. Je crois que la principale erreur de notre temps, c’est de chercher en toute chose la vitesse. Car la vitesse use les machines et abrutit les gens. Suivez-les. Ils se lèvent en courant ; ils se jettent de l’eau sur le corps et du café brûlant dans l’estomac ; ils courent dans la rue ; ils montent dans letramway comme à l’assaut, et pendant que le moteur ronfle, ils se précipitent sur le journal et le dévorent comme s’ils voulaient rattraper aussi les événements ; en cinq minutes, ils ont lu six pages… Alors, ils descendent et s’enfuient vers leur travail ; ils vont tout à l’heure surveiller des métiers, taper sur une machine à écrire parce que la plume va trop lentement, hurler au téléphoneparce que les lettres arrivent trop tard. Ainsi jusqu’au soir, et encore le lendemain. Il y avait pourtant des choses à voir, toute heure, car les saisons vont leur petit train, comme au temps des rois fainéants. Ce matin, un gai soleil dorait les toits de la ville ; les collines qui ferment les

rues étaient enveloppées d’une vapeur bleue ; une giboulée séchait entre les pavés. […] Maisqu’ont-ils donc pu voir, ces hommes-abeilles qui vont droit au but, en ronflant comme des projectiles ? Alain car : et : et : s’ : parce que : parce que : ainsi : et encore : pourtant : car : mais : donc : cause addition addition condition cause cause cause addition opposition cause opposition conséquence

4. Résumé le texte en trois phrases. « La grande méprise de notre époque, c’est la recherche de…