Disserte

Lois:

2008-47.1 – L’accès à l’emploi des personnes handicapées en 2007 (17 novembre 2008)
2008-46.1 – L’obligation d’emploi de personnes handicapées: une nouvelle loi à partir de 2006 (12novembre 2008)
Les chiffres clés de la DOETH (8 octobre 2008)En 2005, 252 000 personnes handicapées étaient employées dans les 101 000 établissements de 20 salariés et plus assujettis à l’obligationd’emploi des travailleurs handicapés.
Éléments de bilan de la loi d’obligation d’emploi des travailleurs handicapés du 10 juillet 1987 (8 octobre 2008)
2008-28.1 – La loi d’obligation d’emploides travailleurs handicapés du 10 juillet 1987: éléments de bilan (2 juillet 2008)
2007-01.1 – L’emploi des travailleurs handicapés dans les établissements de 20 salariés et plus: Bilan de l’année2004 (2 janvier 2007)
2006-17.2 – L’emploi des travailleurs handicapés dans les établissements de 20 salariés et plus: bilan de l’année 2003 (24 avril 2006)
Allocation aux adultes handicapés(AAH) (14 novembre 2005)
Insertion des travailleurs handicapés 2002 (21 septembre 2005)
2005-35.1 – Les contrats Initiative Emploi en 2004: forte progression des entrées (31 août 2005)2005-30.1 – La loi d’obligation d’emploi de travailleurs handicapés: bilan de l’année 2002 (31 août 2005)
2003-50.2 – Les entrées en CIE en 2002. (1er décembre 2003)
2003-41.3 – L’emploi despersonnes handicapées ou ayant des problèmes de santé de longue durée: premiers résultats de l’enquête complémentaire à l’enquête emploi de mars 2002. (10 octobre 2003)
2002-47.1 – Les travailleurshandicapés en 2000: Des embauches en augmentation grâce à une bonne tenue de l’emploi. (1er novembre 2002)
2001-44.3 – L’emploi et le chômage des personnes handicapées en 1999. (1er novembre 2001)2000-33.1 – Les Contrats Initiative Emploi en 1999 (3 août 2000)
2000-28.1 – En 1998, croissance des embauches de travailleurs handicapés, mais stabilité de leur taux d’emploi (1er juillet…

Stage crpe

SCIENCE DE LA FORMATION

COMPTE RENDU DE STAGE

Iufm 2009/2010.

SOMMAIRE :

1. Présentation de l’école.
1-1 Présentation et organisation de la classe.

2. Problématique.
2-1Observation de la classe.
2-2 Interprétation.

3. Conclusion.

1. Présentation de l’école.

J’ai effectué mon stage à l’école publique de
Cette petite école située en milieu rural peut êtreprésentée de la manière suivante :

• 64 élèves répartis sur tous les niveaux (petite section ? CM2).
Dont : 24 élèves en cycle 1 ; 20 élèves en cycle 2 et 20 élèves en cycle3.

• 3 professeurs desécoles, un enseignant par cycle.

• 1 ATSEM.

• 1 EVS.

• 2 personnes en charge de la cantine scolaire.

1-1 Présentation et organisation de la classe.

Pour mon observation, j’ai choisi laclasse regroupant tous les élèves de cycle 3. On retrouve alors dans cette classe, 3 élèves de CM2, 8 élèves de CM1 et 9 élèves de CE2. Le professeur des écoles en charge de cette classe est également ledirecteur de l’école.
Les élèves sont répartis par niveaux, cependant les différents espaces les séparant sont infimes, ce qui permet aux élèves d’interagir. L’enseignant peut ainsi s’adresser à tousles élèves en même temps.

2. Problématique.

Face à cette classe, ce qui m’a le plus marqué, ce sont les différentes interactions entre élèves, l’autonomie développée par le professeurchez ses élèves et l’incroyable aisance de l’enseignant pour intervenir d’un niveau à un autre.
Je me suis donc intéressé aux interactions entre élèves et j’ai souhaité traiter la problématique suivante:

Dans une classe à plusieurs niveaux, les interactions entre élèves permettent-elles d’améliorer l’apprentissage et d’aider les élèves des classes inférieures ?

2-1 Observation de la classe.• Travail en commun :

J’ai pu observer dans cette classe, un grand nombre d’exercices réalisés en commun avec les 3 niveaux. En début de séance, l’enseignant commençait souvent par une…

Conseil du roi – bely

Lucien Bély – Dictionnaire de l’Ancien Régime Article : Conseils du Roi

Pendant l’Ancien Régime, les rois gouvernèrent « par Grand Conseil » : ils s’entouraient de personnages choisis pour les aider à conduire les affaires du royaume – le terme de Grand conseil englobe également la convocation des états généraux et des assemblées de notable.

Le choix des officiers du Conseil du Roi étaitlaissé à l’entière discrétion du souverain, même s’agissant des conseillers-nés (càd les princes ou les ducs et pairs). A partir du XVIe siècle, ceux-ci ne siègent plus que par la seule volonté du Roi. Cette liberté de recrutement était plus ou moins étendue selon le caractère, l’âge du Roi ou encore les circonstances politiques. Le rôle du conseiller du Roi à ces conseils ne se limite pas à unesimple aide en matière de décision, mais implique une véritable participation à la gestion des affaires du royaume.

De sa référence perpétuelle à la personne du Roi, le Conseil tirait une unité et une indivisibilité inaltérable, en dépit des différences que les temps et les usages avaient provoquées. La variété et la spécialisation des affaires amenèrent une spécialisation des sessions, quiformèrent par étape des Conseils aux attributions propres. Une constante demeure cependant : la coexistence de deux types de conseils, les conseils de gouvernement et les conseils d’administration et de contentieux.

Il exista toujours auprès du souverain, un groupe généralement réduit, assemblée restreinte informelle, qui prit le nom du Conseil des affaires sous François Ier, puis Conseil étroit,Conseil secret, ou Cabinet sous Louis XIII. En 1643, il est baptisé Conseil d’en haut (parce qu’il se tenait au premier étage des résidences royales) et ses membres portaient alors le nom de « ministre d’Etat ». La composition varia beaucoup selon le caractère du Roi – mais toutes les affaires traitées relevaient de la politique générale de la monarchie : il s’agit du là) du véritable conseil degouvernement.

Les différents conseils – la naissance des ministères

Le conseil ordinaire fut dans un premier temps appelé Grand Conseil, avant que ce terme ne désigne plus que les attributions judiciaires du Conseil, puis il s’en détacha au XVe siècle – et devint en 1578, le Conseil d’Etat. Faisant figure au début du XVIe de conseil de gouvernement, il perdit peu à peu ce caractère pour secontenter d’intervenir dans le seul domaine administratif. Les attributions laissées dans un premier temps au Grand Conseil, furent récupérées au début du XVIe par le Conseil du Roi, au nom de la justice retenue que le souverain n’avait jamais abandonnée mais qu’il prit l’habitude d’exercer en son Conseil.

Par règlement, en 1563, Charles IX réserva une séance du Conseil pour l’examen des questions definances qui depuis longtemps faisaient l’objet des soins du Conseil royal où les questions de politique, de guerre ou de diplomatie étaient évoquées. En 1615, cette concertation portait le nom du Conseil pour la direction des finances, et reprit en 1630 l’appellation de Conseil des finances – dans la pratique, on parlait du Conseil de Direction ou Grande Direction. Il s’agissait d’y définir lapolitique financière et fiscale de la monarchie, puis par règlement, on étendit en 1630 ses compétences à tout ce qui relevait des recettes et dépenses (tâche auparavant réservée au Conseil d’Etat et des finances).

Louis XIII expérimenta la création de nouvelles séances : le Conseil des dépêches (les affaires dans les provinces). Pendant la Régence (régence d’Anne d’Autriche et de Mazarin,1643-1661), apparurent le Conseil de guerre, puis le Conseil de conscience (affaires religieuses et discipline ecclésiastique).

Louis XIV clarifia le rôle respectif de chacun des conseils.

Le Conseil d’en Haut subit d’importante transformation : Louis XIV décida qu’on y entrerait plus de droit – ainsi, les membres de la famille royale, les princes du sang, les ducs et pairs sont écartés. Le…

Le libraire

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Dissertation sur Le libraire |
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Cristian Samir Bodnari |
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La Grande Noirceur a été une des plus difficiles périodes pour la littérature québécoise, car L’Église a eu beaucoup d’influence dans la politique et dans la société et elle a censuré des livres qui étaient contre la fois chrétienne. Cette période a duré de 1930 à 1959 et le mouvement des écrivains contre elles’appelait La Révolution Tranquille. À la fin de cette époque, Gérard Bessette a fait publie son roman, Le Libraire, qui a été publie en France en 1960 pour éviter la censure qu’existait au Québec. L’écrivain a eu des problèmes a publie son livre à Paris aussi parce que l’éditeur parisienne a refusé, mais Gérard Bessette lui a offert plusieurs exemplaires pour le publie (Richardson, 24). Ce roman est uneœuvre à première personne, où l’auteur utilise le je-narrateur et le lecteur connait les personnages à travers des autres personnages (Stewart, 35). L’action de ce livre se passe à Saint-Joachin, une ville typique québécoise, où Jodoin arrive pour chercher d’emploi et ce roman est le journal du Jodoin, qui le lui écrit chaque dimanche, car il n’a rien à faire. Il va nous raconte qu’il a été employéa la libraire par Monsieur Chicoine. Le conflit de ce roman sera généré par le fait que Monsieur Chicoine fait Jodoin vendre de livres interdis par l’église sans que personne à Saint-Joachin ne le sait. On doit aussi identifier qui est le vrai libraire dans ce livre. Pour ca, on présentera Monsieur Chicoine dans le rôle de libraire et puis on présentera Jodoin comme le libraire et, à la fin, ondéterminera qui est le libraire (Bessette).
Monsieur Chicoine est le propriétaire de la libraire du Saint-Joachin. On ne sait beaucoup de son histoire, mais on a deux portraits différents de lui. Un est fait par Jodoin, qui lui présente comme un homme réaliste et comme un patron qui est intéressé par sa librairie, mais qui parle trop et qui veut seulement faire d’argent : « Il a terminé enm’expliquant pourquoi il se voyait forcer de débiter les livres du capharnaüm de 75% à 100% plus cher que les autres » (Bessette, 45). Jodoin s’enfiche de lui et il ne le respecte pas « Il pouvait toujours, comme on dit, se gratter le cul » (Bessette, 59). Ce portrait est en contraste avec le portrait fait par Rose. Elle décrit Chicoine comme un vilain qui utilise les gens pour faire ses mauvaistravaux. : « une vipère qui manigançait ses cochonneries en cachette » (Bessette, 113) Du roman, on peut observer que Monsieur Chicoine est le libraire original parce qu’il avait toutes ces livres mis à l’Index avant que Jodoin arriverait à Saint-Joachin. Il était déjà dans commerce et il voulait une personne qui l’aide, pour ça il recrute Jodoin qui pense que Chicoine veut seulement vendre les livreset que ses discours de la liberté individuelle sont seulement pour lui impressionner : « il a invoque la liberté de pensée, le droit à l’information, l’infantilisme de notre peuple, la constipation de notre censeurs » (Bessette, 45). Monsieur Chicoine, comme libraire, veut que de nombreux gens aient accès à la littérature universelle sans être censure par l’église. À la fin du roman, quandMonsieur Le Curé est proche de lui dénoncer, il veut sauvegarder les livres interdites pour continuer les vendre à l’avenir. Ça montre son dévouement à la cause et qu’il peut prendre de risque pour faire son métier, de libraire, bien qu’il joue un jeu piteux : « Je suis un homme fini, monsieur Jodoin! » (Bessette, 127).
Jodoin est l’auteur de ce journal et nous, les lecteurs, le voient à travers sesparoles. Il est un personnage qui est contre tout ça que les habitants de Saint-Joachin représentent. Il est contre l’église parce qu’il ne va pas là les dimanches, il préfère rester seul à la maison. In n’aime pas la censure et il pense que son patron est un fou.
« Ensuite, il devient libraire et gagne sa vie grâce à la vente des livres. La vente de L’Essai sur le s moeurs , défendue par…

Zola

> Le registre pathétique
Il tire son sens du mot grec pathos, signifiant « passion, souffrance », et cherche à provoquer l’émotion du lecteur en recourant à des thèmes liés à la souffrance, commela mort, la maladie, la séparation, la douleur. On peut le reconnaître par : • Les champs lexicaux de la souffrance et de la mort. • Les métaphores et les comparaisons qui renforcent l’expression dessentiments. • Les hyperboles et oppositions qui intensifient l’émotion. • Les ellipses narratives qui laissent deviner l’horreur de la situation. • La ponctuation expressive : questions oratoires,exclamations… > Le registre tragique
Il est lié au genre théâtral de la tragédie, mais on peut également le rencontrer dans le roman ou la poésie. Proche du registre pathétique, il met en scène dessituations où l’homme est écrasé par une instance supérieure à lui (Dieu, l’État, la morale…). On peut le reconnaître par : • Un niveau de langage soutenu. • Les champs lexicaux de la fatalité, dudevoir, de la faute… • Les allusions à l’autorité de Dieu. > Le registre comique
Le registre comique est associé au genre de la comédie. On distingue différentes formes de comique : le comique de mots(jeux de mots, calembour, polysémie, jeu sur les sonorités) ; le comique de répétition (le dialogue de sourds, répétitions d’expressions, de situations) ; le comique de caractère ou de geste (on peutalors être attentif à la rapidité du rythme) ; le jeu sur les niveaux de langage (attribuer à un personnage un niveau de langage décalé par rapport à son origine sociale). > Le registre ironiqueL’ironie consiste à exprimer le contraire de ce que l’on veut dire et repose sur l’implicite. Il convient alors au lecteur de s’interroger sur la réelle intention du locuteur par : • Les antithèses :opposition entre 2 idées. • Les oxymores qui réunissent dans une même expression 2 termes réellement opposés. • Les antiphrases qui expriment une idée par son contraire. > Le registre lyrique…

Charles ives

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Charles Ives
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Fondations d’une intégrité artistique

Histoire approfondie de la musique
Conservatoire Royal de Mons
2010-2011
Charles Ives : Fondations d’une intégrité artistique

« There is a great Man living in this Country—acomposer. He has solved the problem of how to preserve one’s self and to learn. He responds to negligence by contempt. He is not forced to accept praise or blame. His name is Ives. »

Arnold Schoenberg, in a note found after his death in 1951

* Introduction
1. Eléments Biographiques
2. Formation et influences
* Un père musicien
* Aspect affectif
* Ouverture d’esprit* Musique populaire
* Ives organiste
* Etudiant à Yale
* Lectures transcendentalistes
3. Son œuvre
* Anticipation artistique
* Quarts de tons
* Polytonalité
* Clusters
* Dodécaphonisme
* Citations
* Diversité
* Exemple des 114 songs
* Reconnaissance
* Pulitzer
* Créations
*Emules

* Conclusion

* Bibliographie
* Introduction
Charles Ives est souvent considéré comme le « Father of American Music » et il aurait certainement été d’accord avec ce point de vue. Il a voulu son œuvre comme étant purement américaine, directement issue de son environnement direct, sans technique, style ou méthode importés d’Europe.
« I found that I could work morenaturally and with more concentration if I didn’t hear much music, especially unfamiliar music. To make a long story short, I went to very few concerts. I suppose everyone is built differently and works differently. It just so happened that I felt I could work better and liked to work more, if I kept to my own music and let other people keep to theirs »
Ives n’avait en réalité que peu de respect pourles compositeurs américains qui étudiaient en Europe. Pour qu’un américain écrive de la musique américaine, Ives trouvait qu’ « a day in a ‘Kansas wheat field’ will do more for him than three years in Rome »
Cependant en bien des points, on peut le rapprocher de certaines traditions européennes, nous allons ici essayer de décrypter les raisons de ces ressemblances.
J’ai choisi ce sujet enraison de mon admiration pour Ives qui a pour moi montré les plus grandes qualités au cours de sa vie. De plus, il a fourni une certaine quantité de documents qui sont aujourd’hui disponibles en copies libres sur internet. Je me suis principalement basé sur ces écrits (et plus particulièrement son « Essay before a sonata ») pour réaliser ce travail, ce qui m’a permis dans une certaine mesure d’éviterde passer par des sources intermédiaires.
Dans ce même esprit d’authenticité des informations, je n’ai pas traduit les diverses citations, laissant ainsi Ives s’exprimer dans sa langue maternelle.

1. Eléments Biographiques

Charles Edward Ives est né le 20 octobre 1874 à Danbury dans le Connecticut.
Il est issu d’une famille de juristes, de prédicateurs et de banquiers de la NouvelleAngleterre.
Il suit des cours d’orgue, de piano et devient organiste à l’âge de 14 ans. Il découvre et compose alors différents hymnes et chants religieux.
Il étudie à Danbury puis à New Haven et entre à Yale.
En 1898, après avoir obtenu son diplôme, il accepte un travail où il est payé 5$ par semaine dans une compagnie d’assurance de New York tout en continuant ses activités d’organiste.
En1907, il subit une première attaque cardiaque et fonde sa propre compagnie d’assurances avec un ami. Un an plus tard, il se marie avec Harmony Twitchell. La nuit, en fin de semaine et durant ses vacances, il forge alors son style expérimental et intransigeant en s’isolant délibérément des principaux courants de la mode musicale. On considère que sa période la plus créative commence à ce moment…

Calcul de cout

APPLICATION 1 : Transport et Calcul de coût

Exercice 1 : SUPERECO

M. DUVAL apprend que l’un des hypermarchés du groupe SUPERECO, situé à Poitiers, va augmenter ses approvisionnements.
Titulaire du permis E(C) et de l’attestation de capacité à l’exercice de la profession de transporteur public routier de marchandises, et désirant créer son entreprise de transport, M. DUVAL se positionne surune offre dont les caractéristiques sont les suivantes :
– le marché porte sur une quantité hebdomadaire de 180 palettes à livrer en nombre égal du lundi au vendredi.
– l’heure de livraison, impérative, est fixée à 11 h.
– les envois concernent des barils de lessive en poudre qui sont conditionnés sur palettes (non consignées) de dimension 100 x 100 et d’un poids unitaire d’unetonne. Les palettes ne sont pas gerbables.
Les véhicules sont à charger à la plate-forme de Cognac, commune où compte s’installer M. DUVAL, située à 180 km de Poitiers.
Afin de s’assurer un trajet de retour, M. DUVAL a prospecté auprès de divers chargeurs. Il pourrait recharger en milieu de journée à Beaumont la Tricherie, commune située à 20 km de Poitiers, dont la localisation nécessite dere-transiter par Poitiers pour rejoindre Cognac. Le fret de retour serait composé de palettes de papier destinées à une imprimerie de Cognac également distante de 180 km de Poitiers.

Les conditions de chargement et de déchargement sont fixées comme suit :

Pour l’hypermarché : chargement et déchargement assurés par les agents de quai.
Le conducteur assiste à ces opérations d’une durée de 45 mnchacune.

Pour le papier : le chargement doit avoir lieu avant la pause déjeuner (1h) du conducteur sur place.

Durée du chargement, en présence du conducteur : 45mn.

Déchargement à l’imprimerie par les salariés de celle-ci, dès l’arrivée du véhicule : durée 45 mn. Après le déchargement en présence du conducteur, celui-ci reconduit son véhicule au siège de l’entreprise en fin de journée.

M.DUVAL estime qu’un matériel standard (tracteur + semi-remorque) serait le mieux adapté à ces trafics

Contrainte de poids/volume :
– Volume de chargement dans la semi : Longueur utile = 13,20m-Largeur utile = 2,45m
– Poids de chargement maximum dans la semi : 19 tonnes

Compte tenu de la proximité de la plate-forme et de l’imprimerie, les trajets entre le « futur » siège del’entreprise de M. DUVAL et ces 2 sites seraient d’une durée de 15 mn pour la plate-forme (distante de 15 km) et 5 mn pour l’imprimerie (distante de 5 km).
Avant de prendre sa décision, M. DUVAL souhaite procéder à l’analyse de ces offres en termes:
– de moyens
– de faisabilité
– de rentabilité

QUESTION 1 :
Déterminer le nombre de véhicules nécessaires à la réalisation dumarché d’approvisionnement de l’hypermarché. Construire le schéma du réseau logistique associé à l’activité de l’entreprise DUVAL.

QUESTION 2 :
Compte tenu des impératifs horaires et réglementaires, en sachant que la vitesse moyenne des véhicules sur la relation aller-retour est estimée à 70 km/h, présenter le planning journalier d’un conducteur qui y serait affecté (tableau fin de document).Préciser la durée du temps de conduite journalière[1] et la durée totale de temps de service (maximum 10 heures par jours) de ce conducteur.

QUESTION 3 :
Les livraisons de l’hypermarché SUPERECO sont à assurer chaque semaine de l’année. En revanche, l’imprimerie ferme 5 semaines pendant lesquelles, au retour, le véhicule rejoint directement l’entreprise (trajet retour = 180 km).

Pour évaluer lecoût de la rotation sur l’année, M. DUVAL dispose des coûts de référence du CNR et de la convention collective nationale des transports.

A partir des données issues de ces sources et des hypothèses ci-dessous, calculer le coût de revient prévisionnel de la relation aller retour sur l’année.

Données CNR

Coût de véhicule (valeur à neuf) :
– Tracteur : 68 000 €
– Semi…

Dissertation en vous appuyant sur les œuvres que vous connaissez, vous direz ce que peut apporter la lecture de romans

En vous appuyant sur les œuvres que vous connaissez, vous direz ce que peut apporter la lecture de romans

Introduction :

Le roman permet l’évasion, la rencontre du lecteur avec des personnages parfois pittoresques, parfois affublés d’une incroyable banalité, mais quoi qu’il advienne la lecture de leurs aventures ne laisse pas indifférent, suscitant passion, empathie ou frustration.
Lalecture d’un roman est relativement longue et basée sur une intrigue imaginaire ainsi que sur l’évolution et la psychologie de différents personnages. Pourquoi le roman et pourquoi pas un autre genre littéraire ? Dans une première partie nous verrons que le roman est un genre de divertissement, ensuite dans une seconde partie nous allons voir que le roman est un excellent moyen de nous ouvrir sur lemonde en nous apprenant de nouvelles choses.

• Le roman, un divertissement.

Le roman est d’abord là pour divertir, comme tout art. Dans certains livres, nous lecteurs arrivons à refléter notre propre personne dans un personnage fictif, nous nous voyons à travers tel ou tels personnages. Quand le narrateur parle à la première personne (narrateur personnage), il arrive à nous transmettre sespropres émotions, ses sentiments et même ce qu’il ressent quant il écrit le passage en question, tout cela par le biais de certains mots et notamment par les formulations de phrase qu’il emploie. Exemple : Jean-Jacques Rousseau ? Les Rêveries du promeneur solitaire : à travers cet ouvrage, l’auteur présente une vision philosophique du bonheur, proche de la contemplation, de l’état ataraxique, àtravers un isolement relatif, une vie paisible, et surtout, une relation fusionnelle avec la nature. Ces Rêveries cherchent à produire chez le lecteur un sentiment d’empathie, qui permettrait à travers l’auteur de mieux se saisir lui-même.
Comme énoncé dans l’introduction, le roman permet l’évasion du monde qui nous entoure. Certaines personnes préfèreront des romans d’aventure car ils aimerontsentir de l’action quand ils lisent, tout sa en multipliant les péripéties, dans lequel le lecteur, plutôt masculin et jeune, s’identifie à des héros, en général positifs. Exemple : Jules Verne ? Le Tour du monde en 80 jours : Le roman raconte la course autour du monde d’un gentleman anglais, Phileas Fogg, qui a fait le pari d’y parvenir en 80 jours. Il est accompagné par Jean Passepartout, sonserviteur français. L’ensemble du roman est un habile mélange entre récit de voyage (traditionnel pour Jules Verne) et données scientifiques comme celle utilisée pour le rebondissement de la chute du roman. D’autres préfèreront des romans avec un peu moins d’action comme les romans d’amour ou les drames romantiques, histoire de se laissé emporté sur une magnifique histoire sentimentale. Exemple : BorisVian ? L’écume des jours : C’est une histoire d’amour très belle, roman qualifié d’envoûtant et surréaliste, Le roman est centré sur le personnage de Colin, qui possède une fortune suffisante pour vivre convenablement sans travailler pour les autres et un jour il va tomber amoureux. Le roman historique est également source d’intérêt : Alexandre Dumas ? Les Trois Mousquetaires : Le roman raconte lesaventures d’un Gascon désargenté de 18 ans, d’Artagnan, monté à Paris faire carrière afin de devenir mousquetaire. Et d’autres préfèrent encore les romans merveilleux, sociaux… Exemple : Hoffmann ? les Elixirs du diable ou Eugène Sue ? les Mystères de Paris.

• Le roman est un moyen de nous ouvrir sur le monde

Le roman est une fiction qui, au delà du divertissement, peut donné à réfléchirsur le réel. Le roman nous apprend non seulement des valeurs que l’auteur cherche à nous transmettre à travers ses mots pour la vie de tous les jours mais également de la culture générale. La lecture nous instruit en même temps qu’elle nous divertit. Que cela soit un roman fantastique, merveilleux, d’amour ou d’histoire nous aimons plongées dans un autre monde. Il est vrai, que face à certains…

Intro

SOMMAIRE

• INTRODUCTION

• I – QU’EST-CE QUE LA CORAIL ?

• II – L’INFLUENCE DE L’HOMME SUR LES CORAUX

• III – LES ACTIONS DE L’HOMME POUR REPARER LES CORAUX

• CONCLUSION

• VOCABULAIRES

• SOURCESINTRODUCTION

Depuis environ 800 millions d’années, on découvre la vie animale dans les océans. Quand viennent les années 1830, un dénommé Charles Darwin aparcouru les mers en émettant une hypothèse qui était : « Tous les récifs coralliens océaniques sont soutenus par des montagnes volcaniques ». Après les avoir étudiés, il a pu la démontrer d’après ses nombreuses expériences avec les coraux.
Dans cet exposé, nous allons expliquer ce qu’est le corail, l’influence de l’homme sur celui-ci et enfin, les actions de l’homme pour les sauver.

I –QU’EST-CE QUE LE CORAIL ?

Le corail est une association de trois éléments, il est à la fois un animal par le polype, un végétal avec les zooxanthelles présent sur le polype et minéral avec le squelettecalcaire. Cependant, on le considère comme étant un organisme marin. Son squelette minéral calcaire interne appelé aussi calice, fixe le pied de l’animal au substrat. Ce dernier est recouvert par le polype dont les tentacules par six ou huit sont dirigées vers le haut pour capter la nourriture : le zooplancton constitué de petites proies comme les larves de crustacés et les œufs de poisson. Il existedeux sortes de corail, ceux que l’on nomme « corail solitaire » et qui sont constituées d’un polype ou ceux dit « corail colonial » qui sont constitué de plusieurs polypes rattachés les uns au autres par les thèques.
Les coraux possèdent en général des micro-algues dans leurs tissus appelés zooxanthelles. On appelle l’association de l’animal qui est le polype et du végétal la symbiose. Lescoraux possédant ses micro-algues sont appelés coraux hermatypiques et ceux qui ne possèdent pas de zooxanthelles sont appelés coraux ahermatypiques.
La forme de ces micro-algues symbiotique est plus ou moins sphérique, à l’intérieur des tissus on peut trouver un à quatre/ cinq millions de zooxanthelles par centimètre carré. La densité de ces micro-algues varie en fonction des espèces de corail eten fonction des conditions climatiques. Par exemple, un enrichissement en nitrate dans le milieu marin entraine une élévation de la densité des zooxanthelles dans les tissus. Les zooxanthelles utilisent l’énergie solaire pour transformer le CO2 de l’atmosphère qui se solubilise dans l’eau en énergie utilisable par le polype sous forme de matière organique (la photosynthèse).Une partie de cette énergie organique sera utilisée soit directement pour la croissance des tissus du polype lui-même soit transférée aux polypes qui vont précipiter les ions Ca2+ avec les ions CO32- présent dans l’eau de mer. Cette précipitation donne des micro cristaux de carbonate de calciumCaCO3, le calcaire, qui vont être ajoutés au « calice » (squelette du corail). C’est cette succession de couches qui permet la croissance du corail hermatypique qui est plus rapide que celle des coraux ahermatypiques car grâce aux micro-algues il fabrique plus de calcaire qui vont s’ajouter au calice et ainsi les coraux seront plus proche de la surface donc plus proche de la lumière qui est l’une…