La nuit de maupassant

Séance 2 La nuit de Maupassant

Voca
sinistre : macabre, Qui apporte, qui donne la mort; que la mort accompagne.
Fardeau : charge pesante à porter
Impétueux : vif, avec grande forceInvincible : qui ne peut être combattu, réprimé
Braconnier : Celui qui se livre au braconnage, qui s’empare furtivement du gibier ou du poisson d’autrui
Onduler : faire des vagues
becs de gaz : lampadairesde l’époque, marchaient au gaz
factice : faux, artificiel
phosphorescents : qui brillent dans le noir
nacré : couleur de la nacre
fiacres : voiture de l’époque avec un cocher et tiré par un chevallanterne : lampe à huile qu’on portait
rôdeur : celui qui rôde, qui erre
porte cochère : Grande porte à deux battants, qui permet le passage des voitures
tinter : sonner

Guy de Maupassant,1850 -1893
Lié à Gustave Flaubert et à Émile Zola, il a marqué la littérature française par ses six romans, dont Une Vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, mais surtout par sesnouvelles (plus de 300), parfois intitulées contes, comme Boule de Suif en 1880, les Contes de la bécasse en 1883 ou le Horla en 1887. Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, laprésence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Guy de Maupassant se limite à une décennie – de 1880 à1890 – avant qu’il sombre peu à peu dans la folie et meure à quarante-deux ans. Reconnu de son vivant, Guy de Maupassant conserve un renom de premier plan, renouvelé encore par les nombreusesadaptations filmées de ses œuvres[3].

I/ Caractérisation du texte :

Est-ce une histoire ? Qu’est-ce que ça raconte ? Personne ? Point de vue ? Sentiments du lecteur ? Registre ?
1- genre du texte :une nouvelle : un personnage/ histoire très simplifiée/ court/ pas de chute
type de texte : plutôt descriptif mais il y a aussi de la narration : décrit sa balade
2- Enonciation :…

La consommation

INTRO :

Les objets envahissent l’environnement de l’homme. Nous vivons à leur rythme, nous les voyons naître, vivre et mourir. Leur abondance est étouffante, ils s’amoncellent et se déclinent en panoplies, en collections. Le temps où un objet s’achetait seul est révolu : l’achat d’un objet oriente automatiquement notre désir vers un autre. Les drugstores fleurissent partout dans les paysriches, leur aspect chaleureux et l’exploration ludique qu’ils rendent possible attirent de plus en plus de consommateurs déçus des grandes surfaces

1. LES MOTIVATIONS

Idéologiquement, la consommation est motivée par la recherche du bonheur et du bien-être. Dans nos sociétés riches et depuis les différentes révolutions, le bonheur vient de l’égalité, et de nos jours, cette égalité doit êtremesurable, et est fonction du confort des individus. Pour les idéalistes, la croissance génère une société d’abondance et assure donc l’égalité car tous profitent de la production. A l’opposé, certains pensent que la croissance est source d’inégalités et que le système ne survit qu’en produisant richesse et pauvreté. Ainsi seuls quelques personnes en profitent, et en consommant elle réussissent àdémontrer leur valeur et à signifier leur place dans la hiérarchie sociale.
La valeur de l’individu se prouve de moins en moins par la richesse, car les inégalités s’amenuisent. Ainsi, le savoir, la culture, le pouvoir et les structures de responsabilités et de décision sont, bien qu’étant encore liés à la richesse, les principaux déterminants sociaux de la valeur : on se distingue désormais plus parla manière de consommer que par la quantité consommée. Par exemple, de nos jours, la différenciation de prestige ne s’affiche plus de manière ostentatoire, mais justement par le dépouillement, la discrétion et la sous-consommation. Alors que les classes moyennes consomment de manière ostentatoire pour se valoriser et se différencier, la bourgeoisie se lance dans la sous-consommation également pourse différencier : l’homme riche qui conduit une Citroën 2CV n’éblouit pas, mais il se distingue subtilement des autres car cette forme de consommation induit tout un système de différenciation et de connotations uniquement compris par un certain groupe.
De nos jours, la consommation peut donc prendre deux formes. La première est un moyen de classification et de différenciation : non seulement lesobjets permettent de se différencier, mais ils définissent également la valeur et le statut dans la hiérarchie sociale (on prend en compte le type d’objets consommés). La deuxième forme est la différenciation par un langage compris par les membres d’un groupe, la manière de consommer s’inscrit dans un code de communication (j’appartiens à tel groupe, j’ai telles idées, j’ai telles pratiques…).Dans les deux cas, les objets ne sont pas utilisés en soi mais comme des signes, soit pour montrer son appartenance à un groupe, soit pour se démarquer de son groupe en faisant référence à un groupe de statut supérieur. C’est la différence que l’on fait entre fonction objective (ce pour quoi l’objet a été créé) et fonctionnalité (ce pourquoi l’objet est utilisé). La jouissance et la satisfactionn’apparaissent alors plus comme finalité. La jouissance signifierait que l’on consomme pour soi, or ce n’est jamais le cas.
La société de consommation a en effet créé deux modèles et la publicité y fait souvent référence pour inciter à la consommation de « différenciation ». Le premier modèle est la féminité fonctionnelle : les femmes doivent faire attention à elles, se surveiller, ce modèle estorienté vers la complaisance personnelle et les femmes doivent se plaire pour mieux plaire. Le deuxième modèle est la virilité fonctionnelle : les hommes doivent faire attention à l’image qu’ils renvoient d’eux, ils doivent être exigeants, ne négliger aucun détail et choisir les bons produits, l’honneur est en jeu.
L’existence de ces modèles peut faire germer une question : d’une certaine…

Document

Dans notre société qui est basée sur la réussite et la performance , les individus font preuves de plus en plus d’individualisme. D’ailleurs, il y a quelques années une personne, au nom de VincentLacroix, à agit de manière égoïste et individualiste, plus précisément, le 25 août 2005, des milliers d’investisseurs apprennent avec consternation que leurs épargnes placées chez Norbourg se sontvolatilisées. Selon l’article de Denis Arcand, du journal la presse: « M. Lacroix est accusé de 51 infractions à la Loi sur les valeurs mobilières dans le sillage du scandale Norbourg, où 9000investisseurs ont perdu jusqu’à 130M$. » En fait, Vincent Lacroix a menti à ses clients et a déshonoré l’image de Norbourg. Ses client ont perdu confiance en lui et le voit maintenant comme un escroc et unmenteur. Ce qui nous amène à réfléchir à la question, est-ce que la vérité est accessible à l‘être humain? À mon avis, chaque individus de notre société détienne la vérité. Dans les prochains paragraphes,la thèse que je défendrai est qu’il faut accorder de l’importance à l’approche rationnelle.

Clarification:
Tout d’abord, essayons de comprendre ce que l’on veut dire par la vérité. Selon leLarousse ce terme signifie : « Idée, proposition qui emporte l’assentiment général ou s’accorde avec le sentiment que quelqu’un a de la réalité ». De plus, pour améliorer la compréhension de se qui suivra,il faut aussi définir le terme de l’être humain qui est sujet à interprétation. Un humain consiste à contenir soit des mensonges ou tout simplement de la pur vérité. Selon Socrate, il faut seconnaitre soi-même et penser par soi-même: « la vérité constitue le seul guide acceptable de l’action si elle est libérée des faux savoirs et conduit vers la vérité par un incessant questionnement ».Argument 1

D’emblée, selon l’approche rationaliste de Socrate. En effet, la vérité est accessible pour chacun des individus de notre société, car l’être humain à le sens de la justice, du devoir et…

Freud

Camille Hamelin

Dissertation finale
PEUT-ON EN FINIR AVEC LES PRÉJUGÉS?

Travail remis à
M.Philippe Girard
Dans le cadre du cours
L’être humain

8 mai 2010
Cegep régional de Lanaudièreà l’Assomption
Département des Sciences Nature

Dans une société ou les inégalités sociales restent inévitables, l’homme tend à appartenir à un groupe, à une mode quelconque. Ce sentimentd’appartenance est rassurant et l’amène à se référer à une idéologie préétablie. Ceci soulève de gros problèmes sociaux, notamment par rapport au physique, à la politique, à la religion, à l’éducation. Denos jour, il est facile pour l’homme, ayant des croyances et des goûts différents qu’un autre, de porter des préjugés . Les préjugés sont des opinions ou des croyances adoptés sans avoir uneconnaissance suffisante sur le sujet. Il est donc mal vu d’avoir des préjugés, c’est pourquoi, on se pose la question suivant : Peut-on en finir avec les préjugés? Il y a bien longtemps que les préjugés sontun enjeux social important, Freud a travers sa théorie de la psychanalyse nous donne son avis sur ces. Descartes pour sa part, veut se débarrasser de tous préjugés à travers ses Méditations.Sigmund Freud, médecin spécialisé en neurologie, est connu grâce a l’élaboration de sa théorie sur les origines de plusieurs maladies mentales; la psychanalyse. Selon Freud, le comportement humain est lerésultat de trois instances, le ça, le moi et le surmoi. Les composantes de notre personnalité sont engendrés par l’inconscient et inévitablement formés dès l’enfance. Ainsi, toujours selon Freud,les préjugés sont ancrés dans la tête de l’humain dès le plus jeune âge. Il est très difficile de s’en défaire.

René Descartes, philosophe du XVII siècle, est le fondateur du rationalisme moderne.Le rationalisme est une philosophie qui pose la raison comme source de toute connaissance vraie. Il défini l’être humain comme étant un être de raison, dont le corps est inutile pour penser. Pour…

Les illuminatis

ILLUMINATI
Au service du Nouvel Ordre Mondial

RECONSTRUIRE LE TEMPLE ET FAIRE DE JERUSALEM LA CAPITALE DE LA TERRE UNIFIEE

S A T A N I S T E S

 » […] Il prononcera des paroles contre le Trés-Haut, il opprimera les saints du Trés Haut, et il espérera changer les temps
et la loi; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d’un temps  » ( Daniel7/25 ).

Le secret sur la société de la Terre est appelé le Culte des Illuminati, ou Moriah.

Le Nouvel Ordre Mondial, est sous l’influence et la direction du Mouvement New Age
(Nouvel Age) directement inspiré par l’occultisme des nazis et du régime de Hitler.
Les Illuminati sont un groupe qui pratique une forme de croyance connue comme  » L’ILLUMINATION  » (« enlightenment »). Ils apprennentà leurs disciples que leurs racines remontent aux anciennes religions mystérieuses de BABYLONE, de l’EGYPTE ainsi que du DRUIDISME CELTIQUE. Ils ont pris ce qu’ils considèrent « le meilleur » de chacun, les pratiques fondamentales, et les ont regroupé ensemble dans une discipline fortement occulte. Plusieurs groupes au niveau local vénèrent d’anciennes divinités comme « EL », « BAAL » et « ASHTARTE » demême que « ISIS », « OSIRIS » et « SETH »… Ces personnes enseignent et pratiquent le mal, parfois le bien, mais les forces du bien n’ont pas le pouvoir.

Les Illuminati sont les descendants de NIMROD, le roi constructeur de BABEL. NIMROD, sa femme SEMIRAMIS et son fils TAMMUZ sont la première divine trinité du SOLEIL, celle qui inspira les EGYPTIENS avec OSIRIS (Asar) le père, ISIS (Hathor) la mère etHORUS (Ra) le fils. La même trinité qui inspire toujours notre monde. Oeil d’Horus, disques solaires, Aigle / faucons / Phénix, ailes volantes, soleil, lions, serpents, Vénus, Baphomet, etc., toute la symbolique des aciennes religions de babylone et d’égypte, et le retour de dieu JHWH / ATON sur terre, dans une KABBALE contrôlée par la CIA. Une nouvelle BABYLONE après un CHAOS, et cela afin depréparer la nouvelle Ere ASTROLOGIQUE qui sera L’ÂGE DU VERSEAU, et cela sur les ruines de notre société, de sa finance et de ses religions solaires, dans un Empire Romain moderne et contrôlé … Mais par qui?

Il est fréquent que nous retrouvions dans les mythologies sumériennes, babyloniennes, et autres, des personnages dont l’histoire est semblable et seul le nom diffère. Le personnage MOLOCH /NEMROD / TAMMUZ était connu pour avoir fondé Babylone lorsqu’il portait le nom de Nemrod, ainsi que pour avoir construit des cités telles que Ninive où de nombreuses tablettes sumériennes ont été retrouvées.

Voir : La religion CananéenneLes méthodes et les objectifs des ILLUMINATI, sont identiques à ceux de l’ordre des SKULL & BONES, et les liens directs avec la franc-maçonnerie mondiale des« hauts grades ». Il consiste à construire insensiblement une république universelle et démocratique dont la reine sera la raison et le conseil suprême, l’assemblée des sages et cela dans un nouveau monde dont la base sera une nouvelle religion le « NEW-ÂGE ».

Voir ; Âge du Verseau

Les Religions sont une invention pour le troupeau. Depuis la conspiration d’ ATON le savoir est perdu pour lamasse. Ils ne veulent pas de l’HOMME LIBRE car le but est toujours l’esclavage de l’Homme par une Elite, peu importe le système, l’histoire est ainsi. L’ISLAM a été créé par ROME et cela servira à la grande persécution à venir pour le NOUVEL ORDRE qui sera une société électronique sans coeur, sans nature, sans rêves et même peut-être sans femmes si les MATRICES sont inventées. Des documentsmontrent clairement comment les ILLUMINATI et les JESUITES de ROME ont fait tuer à ce jour, des milliers de personnes, afin de mettre en place leur plan final.

Voir : Les Jésuites |

COSMOS ET CHAOS |

BLANC ET NOIR / BIEN ET MAL / COSMOS & CHAOS

Plusieurs forces s’affrontent pour la domination du monde dans une guerre de Magik !
L’origine de tous les dogmes sont issue de la…

Nana

VISITE A BESANÇON Depuis longtemps, le désir de concrétiser le lien entre les adhérents de la grande région Nord-Est était dans les esprits. L’idée a pris corps, les 23 et 24 octobre 2007, avec un déplacement à Besançon dans le cadre des manifestations dédiées au tricentenaire de la mort de Vauban. Seize lorrains, trois bourguignons et trois francs-comtois partagèrent un programme attrayant etvarié, par un temps froid mais ensoleillé. Mardi 23 octobre La matinée fut consacrée à la visite du Musée du Temps, abrité dans le magnifique Palais Granvelle, composé notamment d’une cour carrée avec arcades en « anses de panier », toits en tuiles vernissées multicolores… C’est un véritable joyau de la Renaissance française, édifié entre 1534 et 1540 par Nicolas Perrenot, seigneur de Granvelle etchancelier de l’empereur du Saint Empire romain germanique, Charles Quint, également roi d’Espagne. Curieusement la Franche-Comté se réclamera plus volontiers de l’Espagne que du Saint Empire !!! Les différents éléments constitutifs de cette architecture font référence aux Palazzi italiens du XVe siècle. L’appellation « Palais », pour cette demeure, souligne cette origine malgré l’existence deplusieurs caractères architecturaux propres à la fin du Moyen Age. Ce n’est qu’au cours de la dernière décennie que le Palais Granvelle s’est métamorphosé en Musée du Temps, mariant avec bonheur les structures originelles restaurées et mises en lumière – et les aménagements opérationnels modernes. Cet ensemble concourt à la mise en valeur de remarquables collections d’horloges, de pendules (dont unmagnifique pendule de Foucault), montres et autres « garde-temps » de toutes époques alliant l’art et la technologie. Cette exposition a aussi une vocation pédagogique en permettant d’accéder à l’intimité des mécanismes de mesures et des principes physiques de base qui les gouvernent. A titre exceptionnel, dans le cadre du Tricentenaire de la mort de Vauban, le Palais Granvelle abrite égalementl’exposition intitulée « L’arpenteur du Roi, Vauban et Besançon ». Cette exposition remarquable se décline en trois tableaux : Louis XIV, un roi conquérant et Vauban un de ses serviteurs ; Vauban, ingénieur militaire, œuvre à Besançon et Vauban, toujours présent, oublié puis réinventé.

Statue de Vauban à la citadelle de Besançon. Photo Pierre DUC

A cette occasion, nous découvrons des collectionsdu CNAM, du Louvre, du musée des Arts Décoratifs de Paris, du musée de Rouen, de collections privées et municipales, tableaux, dessins, tapisseries, maquettes… Depuis l’antiquité, en passant par la conquête romaine et jusqu’à la domination espagnole, le site géographique très particulier de Besançon, enlacé dans un large méandre du Doubs, verrouillé par un éperon rocheux élevé et très escarpé, seprête particulièrement à une vocation de place forte. Après la deuxième conquête de Louis XIV en 1674, Vauban, qui en avait préparé le siège, élève les fortifications de la ville dans un double but : retourner le site frontière contre l’empire et contrôler une population qui n’est pas entièrement acquise au royaume de France. VAUBAN et BESANÇON forment un couple dont l’histoire est plus que jamaisd’actualité avec la candidature de l’œuvre de Vauban au patrimoine mondial de l’UNESCO. La décision sera connue en 2008 suite à l’expertise des 14 sites qui composent le réseau des œuvres majeures de Vauban, sous la présidence de la ville de Besançon. L’après-midi, après un savoureux et convivial déjeuner, les participants sont acheminés à la Citadelle qui domine toute la ville.

Construiteentre 1668 et 1688, chef-d’œuvre majeur de Vauban, elle s’étend sur environ onze hectares et surplombe de plus de cent mètres la vieille ville. On admire successivement le Front Saint-Etienne, le Front royal construit par les Espagnols, un puits de 132 mètres de profondeur, creusé dans le rocher et la chapelle Saint-Etienne du XVIIe siècle. Le chemin de ronde, flanqué des tours du Roi et de la…

Droit

DROIT
CHAPITRE 8 : LA MODIFICATION DE LA RELATION DE TRAVAIL.

Les changements dans l’environnement professionnel, économique ou juridique peuvent remettent en causes les conditions detravail.

Le droit distingue trois hypothèses :

– Le simple changement dans les conditions de travail.

– La modification du contrat de travail.

– Le transfert d’entreprise.

I- LAMODIFICATION DES ELEMENTS DU CONTRAT.

Application (document 1, 2, 3 et 4)

A. LE CHANGEMENT DANS LES CONDITIONS DE TRAVAIL.

Un employeur peut imposer à ses salariés, un changement dont lesconditions de travail prévu initialement au contrat.

Il faut distinguer deux hypothèses :

– Les modifications peut importantes du contrat de travail prise dans le cadre du pouvoir de direction del’employeur (ex : horaires de travail…) s’impose aux salariés. Le contrat se poursuit alors dans les nouvelles conditions. Le refus du salarié constitue une faute qui peut justifier un licenciement.

– Lecontrat peut également contenir des clauses spécifiques qui précisent que le salarié devra accepter certains changements. Dans ce cas le salarié est tenu d’accepter la modification.

B. LAMODIFICATION DU CONTRAT.

En l’absence de clauses particulière, la jurisprudence considère que l’employeur ne peut pas imposer un changement dans les conditions de travail dès lors que ce changementest important et qu’il porte sur un élément essentiel du contrat (la rémunération, la durée du travail, les tâches effectuées, le lieu de travail).

Le changement ne peut pas non plus être imposé sile salarié, a fait clairement préciser dans le contrat que tel ou tel conditions constituait pour lui un élément essentiel de son engagement.

Un tel changement dans les conditions nécessite unemodification du contrat qui doit être acceptée expressément par le salarié. Ce dernier doit disposer d’un délai d’un mois pour faire connaître sa décision (passé ce délai, le salarié est réputé avoir…

Le pouvoir reglementaire

Immunisation fœto-maternelle dans le système Rhésus
Physiopathologie
Le groupe Rhésus est déterminé par la présence du facteur D (Rh+: dD ou DD) ou son absence (Rh-:dd). L’immunisation de lamère Rh- est déclenchée par la présence prolongée d’hématies Rh+ dans son sang.
Les anticorps anti-D (IgG) peuvent franchir la barrière placentaire dès 20 SA.
Circonstances
• Transfusionhétéro-groupe Rhésus par erreur.
• La grossesse : le passage d’hématies fœtales vers la mère se fait au moment de l’accouchement surtout, en cas de FCS et si traumatisme sur l’utérus, intervention,amniocentèse, métrorragies, IVG…
Conséquences
• Lors de la grossesse précédente : sensibilisation de l’organisme maternel contre un antigène fœtal.
• Lors de la grossesse suivante : lesanticorps maternels anti-D traversent le placenta et entrainent une hémolyse qui s’aggrave au fur et à mesure de la grossesse.
Diagnostic
• Sur recherche systématique des agglutininesirrégulières en cours de grossesse : une obligation légale
• Pas de signes cliniques sauf hydramnios dans les formes sévères.
| Mécanismes |conséquences |
| Mère Rh- | Fœtus Rh+|
| Transfusion Rh+ | |
| Hématies Rh+| Hématies Rh+ |
| Agglutinines Anti-D |Hématies Rh+ |
| | Anémie hémolytique |
|…

Environnement

Management
1ère
Chapitre 1 :
Les objectifs et les contraintes de l’action collective

I. De l’action collective…

1.1 Pourquoi agir collectivement ?

Toute action n’est pas forcémentcollective. Certaines relèvent d’un objectif individuel (un artiste qui crée une œuvre). Mais, pour mener à bien une action collective, il est souvent nécessaire que plusieurs individus s’associentet constituent un groupe. Les membres de ce groupe partagent alors un objectif commun (construire un bâtiment)
Si les buts recherchés sont généralement multiples, ils peuvent être hiérarchisés selonleur objectif : on distingue ainsi l’objectif principal (gagner un 400 mètres haies pour un coureur) d’un objectif secondaire (que sa famille soit fière de lui). On distingue les objectifs lucratifslorsque le profit est le but principal (vendre un maximum de produits) et les objectifs non lucratifs (aider des familles à se loger).

1.2 Comment agir collectivement ?
Toute action collectiveprésente les mêmes difficultés : il faut définir les tâches puis les coordonner, tenir compte des contraintes et prendre des décisions.
A. Définir le travail de chacun
Dresser l’inventaire des tâchesà exécuter, afin de les répartir entre les différents participants.
La division des tâches va permettre la spécialisation des individus.
B. Coordonner les individus
La coordination consiste àmettre en cohérence les individus et les actes à réaliser.
C. Tenir compte des contraintes
On distingue les contraintes de temps, de résultat et de ressources, (humaines, financières et matérielles.)D. Prendre des décisions
C’est effectuer des choix à partir d’informations. Les décisions peuvent être prises soit par tous ceux qui participent à l’action collective, soit par une minorité.II. … à l’organisation

2.1 Pourquoi y a-t-il une organisation ?
Une organisation est un groupe d’individus qui présente la particularité d’être structuré. Lorsqu’il s’organise, le groupe…

Politiques publiques pdf

Politiques Publiques
Introduction
I/ L’ANALYSE DES POLITIQUES PUBLIQUES
1. Origine et développement de la discipline
Elle est issue de différentes réflexions sur l’Etat, mais aussi de l’existence de savoir pratique sur le fonctionnement de l’Etat et de l’administration qui apparaissent au XVIIème et XVIIIème s. en France et en Allemagne. a) Des sciences « camérales » à l’analyse despolitiques publiques : Différents objectifs : -faire l’état du droit applicable -Descriptions des administrations (savoir descriptif) -Volonté de développer l’administration pour en avoir une bonne gestion, et améliorer le fonctionnement de la bureaucratie. Ex. Au 17ème et 18ème s. les traités de police (organisation rationnelle du gouvernement) sont le résultat de ces études. Mais d’autres résultats,comme les sciences camérales (=analyse de la structure collégiale de l’administration au 17 et 18ème s.) qui se développe en Allemagne. Au 19ème ces savoirs se structurent et deviennent la science administrative avec pour objectif : -De décrire l’administration -D’améliorer les pratiques administratives (l’Etat doit réaliser le bien-être de la société, et doit se doter de bons moyens pour ça). b)Une sociologie de l’action publique Fin 19ème s., la science administrative décline au profit du droit administratif : la connaissance de l’administration devient juridique et tourne autour de la jurisprudence. De +, développement de la sociologie dont l’Etat devient un objet d’analyse. Le vrai démarrage des Politiques Publiques (PP) se fait aux EU au début du 20ème s., car l’Etat fédéral y estcritiqué : ses compétences se sont beaucoup accrues au 19ème s. D’où le besoin d’analyse et de connaissance dans le but d’une bonne administration, c’est à dire : -une administration efficace, adapter pour régler les problèmes sociaux -responsive : tourner vers le bien-être des citoyens. Se développe alors une discipline appelée « Administration Public » sous l’influence de W.Wilson (futurprésident). Sous Kennedy, 2ème phase : importance de l’apparition des PP pour une raison objective : arrivée d’experts dans l’administration fédérale de Kennedy (il est le premier à convoquer des sociologues, des urbanistes… pour l’aider à régler les « derniers » problèmes principaux de la société US). On assiste bien à une volonté de rationaliser l’action de l’Etat, de développer une expertise quipermette aux décideurs de répondre à façon efficace et adéquate à un problème qui se pose. Ce mouvement survivra à JFK, comme l’indique le projet « big society » de Johnson.

2002

1

La volonté de rationalisation passe par la création d’outils de réflexion et de décision : le Planning and Programming Budgeting System (PPBS). C’est un programme de planification budgétaire chargé de définir lesobjectifs de l’action publique, d’établir des rapports coûts/ bénéfices dans les actions employées. Ex : utilisé lors de la guerre du ViêtNam pour rationaliser les opérations des hommes sur le terrain, d’un point de vue financier. L’analyse des PP aide les gouvernements dans leur décision. Ex : dans certaines villes US, à l’époque, des décisions différentes étaient prises selon les quartiers, puiscelle qui paraissait la plus efficace était étendue à toute la ville. Ce qui est caractéristique de cette époque, c’est le climat optimiste, d’extension des capacités de l’Etat (même aux EU) : l’Etat est conçu comme l’organe rationnel, qui régule. L’analyse des PP, c donc d’abord de l’expertise. Dans les 70’s, l’analyse des PP apparaît comme elle est conçue aujourd’hui, comme une discipline dessciences politiques, et le basculement est dû à 3 séries de facteurs : -raisons pratiques : dispositif de mise en place dans les 60’s sont coûteux et ne donne pas réellement satisfaction (ex : le PPBS)+ critique de la planification à la française (trop coûteux et pas assez efficace). De +, les chocs pétroliers empêchent l’utilisation de ces outils, car les conséquences de la crise sont assez…