Rimbaud

Ce poème est écrit par Arthur Rimbaud en 1870 (cette année marque la fin de l’empire de Napoléon 3)
C’est en 1870, par un conflit entre la France et la Prusse, qu’Arthur Rimbaud écrit « Le dormeurdu val ». La poésie se présente en 4
strophes, deux quatrains, deux tercets, donc constituée de 14 alexandrins.
Ce sonnet présente un jeune soldat mort dans des circonstances inconnues.
Lapremière partie présentera le jeune dormeur dans son monde merveilleux, idéal et parfait.
La deuxième partie accentuera le choc provoquant la dénonciation de la guerre.

Une nature tendre et accueillanteoccupe le premier quatrain. Cette nature est personnifiée : « la montagne  » est « fière » (vers 3)
la « rivière » « chante » (vers 1 ). De plus il y a trois personnifications : « chante » (vers 1), «follement »(vers 2) , « fière »(vers 3) comme
si la nature était en fête. Champs lexical de la nature : montagne, herbes, frais cresson, rivière, soleil, glaïlleuls.
Les plans ont crées des couleurs oùle vert domine (herbes (vers 2 et 7); trou de verdure (vers 1), son lit vert (vers 8).
Les autres couleurs présentes sont des nuances de blanc qui donnent de la lumière.
Rimbaud ne fera parler duDormeur qu’au deuxième quatrain.
La nature, ici, est considérée comme « son lit » ( vers 8). Le « bleu » (vers 6) et le « vert » ( vers 8) sont les couleurs qui dominaient
dans le premier quatrain. Lesadjectifs « frais » (vers 6) et « pâle » (vers 8) n’apportent pas de nuances au coloris bleu et vert.
Avec les différents coloris et la mise en scène du poète on pourrait imaginer un tableau.
Il y a troismétaphores dans le jeu de lumière,  » mousse de rayons  » (vers 4);  » la lumière pleut » (vers 8)
De plus, la nature à comme un instinct maternel : « berce » (vers 11). La nature propose un plan visuel,olfactif, tactile et sonore.

Les deux quatrains se terminent donc sur des notions de lumière. La nature tout entière est mise en valeur par la lumière qui est source
de vie. C’est un…

Bel ami chapitre 8

BEL-AMI
1° partie, chapitre 8
De « il detourna les yeux… » à « …au fond de soi »

Introduction
Georges Duroy s’est rendu dans la « villa jolie » à Cannes où l’a appelée d’urgence MmeForestier bouleversée par l’agonie de son mari. D’abord hanté par le néant le jeune homme s’installe avec Madeleine dans la chambre funèbre pour veiller le corps de défunt. Mais la présence de la jeune femmetransforme l’atmosphère.
Nous verrons que Georges Duroy se montre impressionné et séduit par Madeleine.
Cependant il se met à rêver a la conquête.

I) Duroy impressionné et séduit par Madelaine.a)Le novice impressionné
Pour lui, Mme Forestier est une femme d’esprit supérieur: il admire ses capacités intellectuelles (« Quelle chance il avait eu ce mort, de rencontrer cette compagneintelligente et charmante » l.11). C’est grâce à son talent et à sa riche personnalité, qu’elle a su promouvoir son mari (« Comment avait elle finit par en faire quelqu’un » l.14,15) et recevoir lesfaveurs du compte de Vautrec.
C’est une femme indépendante qui mène sa vie d’une main de fer (= elle décide par elle-même. « Qu’allait elle faire maintenaient » l.19 et « avait-elle des projets » l.21)Cette femme d’action et de pouvoir a d’autres atouts : elle est ravissante.

b)Duroy est séduit
Il admire les qualités physiques de la jeune femme, il contemple ses cheveux et l’effet produit surson visage (« ses cheveux blonds étaient si jolis sur sa figure triste »l.3,4)
La douleur de Madeleine n’est perçue que d’un point de vue esthétiques (cette douleur l’a rend plus belle) et pas avec unpoint de vue « humain ».
Il confond l’amour avec le désir et le plaisir.
Duroy découvre au fond de lui dans son subconscient qu’il est admiré par Madeleine (« il s’aperçut que son inquiétude venaitd’une de ces arrière pensées, confuses, secrètes… » l.24,25)

Très émus par cette belle femme veuve, le jeune homme en arrive par déduction à penser à là conquérir.

II) Duroy rêve de conquérir…

Beckett

Samuel Beckett (Foxrock, Dublin, 13 avril 1906 – Paris, 22 décembre 1989) est unécrivain, poète et dramaturge irlandais d’expression anglaise et française, prix Nobel de littérature.
S’il est l’auteur de romans, tels que Molloy, Malone meurt et l’Innommable et de textes brefs en prose, son nom reste surtout associé au théâtre de l’absurde, dont sa pièceEn attendant Godot (1952) est l’une desplus célèbres illustrations. Son œuvre est austère et minimaliste, ce qui est généralement interprété comme l’expression d’un profond pessimisme devant la condition humaine. Opposer ce pessimisme à l’humour omniprésent chez lui n’aurait guère de sens : il faut plutôt les voir comme étant au service l’un de l’autre, pris dans le cadre plus large d’une immense entreprise dedérision.[réf. souhaitée] Avec le temps, il traite ces thèmes dans un style de plus en plus lapidaire, tendant à rendre sa langue de plus en plus concise et sèche. En 1969, il reçoit avec désarroi le prix Nobel de littérature, qui lui est attribué pour « son œuvre, qui à travers un renouvellement des formes du roman et du théâtre, prend toute son élévation dans la destitution de l’homme moderne »

Samuel Beckett est né le 13avril 1906 : l’événement fut signalé dans la rubrique mondaine d’un journal irlandais (The Irish Times) daté du 16 avril. La demeure familiale, Cooldrinagh, située dans une banlieue aisée de Dublin, Foxrock, était une grande maison entourée d’un jardin, que le père de Beckett, William, avait fait construire en 1903. La maison, le jardin, la campagne environnante où Samuel, un long jeune homme auxtraits arrêtés, un peu embarrassé de son corps, doté d’un œil bleu clair vif, se promenant souvent avec son père, le champ de courses voisin de Leopardstown, la gare de Foxrock sont autant d’éléments qui participent du cadre de nombre de ses romans et pièces de théâtre. Beckett est d’abord élève à la Earlsford House School, dans le centre de Dublin, avant d’entrer à la Portora Royal Schoold’Enniskillen, dans le comté de Fermanagh – lycée qui avait auparavant été fréquenté par Oscar Wilde.
Beckett étudie ensuite le français, l’italien et l’anglais au Trinity College de Dublin, entre 1923 et 1927. Il suit notamment les cours de A.A. Luce, professeur de philosophie et spécialiste de Berkeley. Il obtient son Bachelor of Arts et, après avoir enseigné quelque temps au Campbell College deBelfast, est nommé au poste de lecteur d’anglais à l’École normale supérieure de Paris. C’est là qu’il est présenté à James Joyce par le poète Thomas MacGreevy, un de ses plus proches amis, qui y travaillait aussi. Cette rencontre devait avoir une profonde influence sur Beckett, qui aida notamment James Joyce dans ses recherches pendant la rédaction de Finnegans Wake.
C’est en 1929 que Beckett publieson premier ouvrage, un essai critique intitulé Dante… Bruno. Vico… Joyce., dans lequel il défend la méthode et l’œuvre de Joyce dont certains critiquent le style obscur. Les liens étroits entre les deux hommes se relâchèrent cependant lorsque Samuel repoussa les avances de Lucia, la fille de Joyce. C’est aussi au cours de cette période que la première nouvelle de Beckett, Assumption, futpubliée par l’influente revue littéraire parisienne d’Eugène Jolas, Transition. L’année suivante, il est le lauréat d’un petit prix littéraire pour son poème Whoroscope, composé à la hâte, et inspiré par une biographie de Descartes que Beckett lisait alors.
En 1930, il revient au Trinity College en tant que lecteur et écrit en 1931 un deuxième essai en anglais intitulé Proust. En 1932, pour la revue »This Quarter », il traduit un poème d’André Breton, Le Grand secours meurtrier, paru en France dans le recueil Le Revolver à cheveux blanc et ayant pour thèmes les convulsionnaires de Saint-Médard et Lautréamont1. Il se lasse assez vite de la vie universitaire, et exprime ses désillusions d’une manière originale : il mystifie la Modern Language Society de Dublin en y portant un article érudit…

Fond pimco

— Investors should buy emerging- market debt rather than bonds of developed countries because advanced economies are poised for a period of slower growth, according toPacific Investment Management Co.
Increased taxation, regulation and government intervention in business combined with financial companies’ efforts to reduce risk after thecredit crisis will drive investors from developed economies, Brian Baker, Pimco Asia Ltd.’s chief executive officer, said in Hong Kong yesterday.
“This all leads to a shiftaway from growth being driven by the G3 countries to a more balanced economic world,” Baker said at the FundForum Asia conference. “Investors need to recognize that theinvestment opportunities are not going to necessarily be in the U.S., the U.K and Europe any longer.”
Pimco, which manages the world’s largest bond fund, increased holdings ofemerging-market debt to the most since 2008 last month while reducing its portfolio of developed nations’ non-dollar bonds. Emerging debt at Pimco’s $220 billion Total ReturnFund rose to 6 percent of assets from 5 percent in February, and non-dollar bonds of developed countries declined to 18 percent, the Newport Beach, California-based companysaid on its Web site.
Investors are favoring emerging-market bonds as China, India and Brazil spur the global economic revival. Emerging economies will expand 6 percentthis year after growing 2.1 percent last year, while advanced economies will grow 2.1 percent after shrinking 3.2 percent, according to International Monetary Fund forecasts.Developing-nation debt funds received an unprecedented $1.8 billion in the week to April 16, lifting 2010 inflows to a record, according to research company EPFR Global.

Pauline

Alexandre Dumas, Pauline. Le balcon de ma chambre donnait sur ces jardins enchantés que nous avions vus du lac en nous approchant de Sesto. Au milieu des touffes de citronniers et des massifs delauriers-roses, quelques statues debout sur leurs piédestaux se détachaient aux rayons de la lune, blanches comme des ombres. A force de fixer les yeux sur une d’elles, ma vue se troubla, il me sembla lavoir s’animer et qu’elle me faisait signe de la main en me montrant la terre. Bientôt cette illusion fut si grande que je crus m’entendre appeler ; je portai mes deux mains à mon front, car il mesemblait que je devenais fou. Mon nom, prononcé une seconde fois dune voix plus plaintive, me fit tressaillir, je rentrai dans ma chambre et j’écoutai ; une troisième fois mon nom arriva jusqu’à moi, maisplus faible. La voix venait de l’appartement à coté, c’était Pauline qui m’appelait, je m’élançai dans sa chambre. C’était bien elle? elle, expirante, et qui n’avait pas voulu mourir seule, et qui,voyant que je ne lui répondais pas, était descendue de son lit pour me chercher dans son agonie ; elle était à genoux sur le parquet? Je me précipitais vers elle, voulant la prendre dans mes bras, maiselle me fit signe qu’elle avait quelque chose à me demander? Puis, ne pouvant parler et sentant qu’elle allait mourir, elle saisit la manche de ma chemise l’arracha avec ses mains, mit à découvert lablessure à peine refermée, que trois mois auparavant m’avait faite la balle du comte Horace, et, me montrant du doigt la cicatrice, elle poussa un cri, se renversa en arrière et ferma les yeux. Je laportai sur son lit, et je n’eus que le temps d’approcher mes lèvres des siennes pour recueillir son dernier souffle et ne pas perdre son dernier soupir. La volonté de Pauline fut accomplie ; elledort dans un de ces jardins qui dominent le lac, au milieu du parfum des orangers et sous l’ombrage des myrtes et des lauriers-roses.
Extrait du commentaires :
Pauline : roman d’Alexandre Dumas…

Management

SOMMAIRE : MANAGEMENT
INTRODUCTION!
PARTIE I : Une explication multiforme de la crise!
A.Une crise liée à la ?nanciarisation excessive de l?économie! B.Une crise liée à la nature du capitalisme et à ses propres contradictions! C.Une crise liée à l?absence de repères de rationalité!

3
3
3 3 3

PARTIE II : Une crise à portée réelle et mondiale!
A.Une crise “classique” mais a faillitoucher tout le système! B.Une crise avec une incidence directe sur le chômage! C.Une crise aggravée par la mondialisation!

3
3 4 4

CONCLUSION!

4

CHAPITRE 1 : LES ORGANISATIONS!
I.DÉFINITION!
A.UNE ORGANISATION : Pourquoi ?! a) Un moyen d’agir collectivement b) Un moyen d’atteindre un objectif commun B.UNE ORGANISATION : Comment ?! Exercices a) Définition b) les différentes connotationsdonnées par ce terme Applications

5
5
5 5 5 5 5 6 6 7

II.LES CARACTÉRISTIQUES!
A.Quel mode d?organisation ou de fonctionnement ?! 1) Le degré de spécialisation des tâches 2) Le mode de coordination 3) Le degré de formalisation 4) la répartition du pouvoir de décision B.Quel objectif ?! 1) Objectif lucratif ou non lucratif 2) La production marchande et non marchande 3) Satisfaire lesactionnaires ou d’autres parties prenantes C.La diversité des représentations! 1) Le modèle de MORGAN 2) Intitulé exacte des 8 modèles selon MORGAN

7
7 7 7 8 8 8 8 8 8 9 9 9 9 10 10 11 11 11 12 12 13 14 14

III.CLASSIFICATION!

Vidéo : Michael PORTER – clinton global initiative Vidéo A.Les organisations publiques! B.Les organisations privées à but non lucratif! C.Les organisations privées à butlucratif! 1) Que font les entreprises ? 2) Quelles sont les différentes déclinaisons de ces organisations ? APPLICATION : Les organisations publiques APPLICATION : Les associations Application 1 : Application : Ben & jerry’s

9

CHAPITRE 2 : FINALITÉS DES ORGANISATIONS ET LES DIFFÉRENTES PARTIES PRENANTES!
I.LES DIVERS ASPECTS DE LA FINALITÉ DES ORGANISATIONS!
A.Les trois facettes de la?nalité! B.La mission de l?organisation! C.La vocation de l?organisation!

16
16
16 16 16

II.LES PARTIES PRENANTES!
A.Dé?nition! B.Les différentes parties prenantes! C.La cartographie des parties prenantes! Texte : déclarations Document : La grippe A, cette formidable opportunité Vidéo : france 5 (french connection) POKER d’AS – aéronautique Application : Société CARTON PLUS Application :L’entreprise aujourd’hui Application : TD n°1 Application : CAS VEOLIA

17
17 17 17 18 19 20 20 20 21 22

CHAPITRE 3 : LE MANAGEMENT ET LE RÔLE DU MANAGER! UE 7 MANAGEMENT Sommaire!

25 1/47

SECTION 1 : LES NIVEAUX DU MANAGEMENT! SECTION 2 : LES MANAGERS Rôles et qualités!
1.Qu?est-ce que manager ?! 2.Les rôles d?un manager! A.Définir : B.Diriger : C.Entraîner : D.Développer : E.Déléguer :3.Les missions du manager! 4.La démarche du manager! 5.Les qualités d?un manager! Conclusion Document : Quand les psys de patrons racontent” TEXTE : Les petits chefs piquent une crise

26 26
26 27 27 27 27 27 27 27 28 28 29 30 31

SECTION 3 : LE MANAGER ET L?ÉTHIQUE!
1.Le dé? du manager ?! 2.Pourquoi le problème éthique se pose-t-il aujourd?hui ?! 3.L?éthique : un enjeu réel! a) étymoogie 3)l’éthique concerne la pratique du management dans tous ses aspects c) l’éthique :tension entre le normal et le normatif d) une éthique ou des éthiques ? 4.Où est l?éthique : dans la conséquence ou dans l?intention! Éthique et légalité L’éthique et le profit : c’est là que le bât baisse 5.Les divers aspects des problèmes éthiques dans l?organisation! Démarche de réflexion par rapport à un problèmed’ordre éthique Conclusion

32
32 32 33 33 33 34 34 34 35 35 35 36 36

CHAPITRE 4 : LE MANAGEMENT AUJOURD?HUI!
I.MANAGER AUJOURD?HUI SELON LE TYPE DE STRUCTURE!
A.Manager aujourd?hui dans la grande entreprise! Document : TD n°1 les problèmes de management chez TF1 B.Manager aujourd?hui dans une multinationale! C.Manager aujourd?hui dans une PME! D.Manager aujourd?hui dans une TPE!…

Physio

21/02/10 Physiologie

Contrôle de l’excrétion du Na Intro
Le rein joue un rôle fondamental ds l’excrétion du Sodium c’est lui qui assure les entrées et les sorties
Plus gde sorties de Na dans urines !
Paramètre de contrôle (natriurèse )
Qté exrétée = Na filtrée (dévit de filtration glom * P Na – Na absorbé )
débit de flitratrion glomérulaire :
Plus il est important le liquide passerapidement dans le tubule
Equilibre glomérulo-tubulaire
Ligen de défense contre expréssion de sodium en excrété dans urine
Si variation du débit de flitatrion glom , le tubule absorbe un mm % de Na [Na] ds flitats glomérulaire =142
Si le débits de flitat augmente , la [Na] plasmatique ne varie pas , la filtration est donc plus importante
Ceci ne suffit pas a diminué le passage de Nadans l’anse de henlé mais çà minimise .
Facteurs péri tubulaires font varier la réabsorbtion du Na par le tub’ proxi
Milieu intertistiel = milieu hydrique , donc pression qui joue un rôle dans la réabsorption du Na et donc de l’eau
Quand augmentation de cette pression il a reduction de la réabsorbtion par le tubule proximal
=> Diminution de réabsoprtion à travers jonctions sérrées
=>Effet direct sur C tubulaires altérant mécanisme actif de réabsorption
Cette pression dépend de la pression des capillaires péri tubulaires pcq équilibre /E/ les 2
La pression dans les capillaires péri n’est pas diff’ de ceux des organismes
Pression Oncotique des protéines vers lumière du capillaires
Dc P nette sur la paroi capillaires répercutée dans milieu inter positive de 1à mm/Hg dansce milieu

La pression sanguine dans capillaires péri tubulaires dépends de ce qui se passe en amont
Si on aug la vasoconstriction dans l’artérioleafférentes , diminut de p dans capillaires glomérulaire et péri tubulaires et allongement du tps de parcours du sang ds capillaires glomérulaire et fraction de filtration augmente et en aval : P oncotique augmente car prot plus concentréeExemple Diarrhéee: Perte de Na ou Cl de Na : 3 conséquences pertes de la P générales dc perte de la P péri tubulaires dc P hydrolitique du milieu inter diminue
P oncotique Augmente en particulier du sang qui traverse les capillaires péri tubulaires
Quand on perd du sel et de l’eau = > Vasoconstriction des artérioles aff et eff dc on augm la résistance des artérioles rénales et dc diminution de lapression hydrolitique Le sang va plus lentement ds les artérioles glomérulaire et dc aug la P oncotique
Ceci favorise la réabsorption d’eau et de Na par le tubule proximal

Aldostérone : Méca le plus important
Rôle : Qd tumeur bénigne qui les sécrète => hypertensions artérielles , réabsorption Na
Qd plus aldostérone on a une natriurèse
Va régule la natriurèse dans une large gammed’ingestion de sels ; elle ajuste exactement la natriurèse
Hormone , stéroïdes ( squ. Cholestérol) , secrété par glande corticosurrénale surénale ; agit sur certaines C du tube collecteur
Pénètre dans C et se lie à un rctp nucléaire (prot) et qd liaison => Active , et pénètre dans noyau ,et là va se lier à séquence particulière de promoteur de certains gènes qui seront dc modifiés , et va modif la qtéde prot ds la C .
NaKatpase est déjà touché , l’aldostérone , augmente son expression
Ttes les enzymes du site de Kreps sont activées et fabriquent ATP
Les gènes des prot des canaux sodiques sont activées tjs par l’aldostérone
Na sort de la C , et augmentation d’action par ATP , dc concentration intracellulaire abaissée , donc gradient de concentration entre lum de tubule et plus de canauxsodiques
2 % de Na Filtré

3 facteurs modulent la sécrétion d’aldostérone
-ACTH peptide sécrété par C dans l’antérieur de hypophyse
-Système angiotensine II stimulus puissant de la sécrétion de l’aldostérone
-La kaliémie (le plus important) concentration de K qui entoure les C sécrétées dans l’aldostérone

Qd elle aug , l’aldostérone est stimulée

ANF
Facteur natriurétique…

Azrfzafrzq

Il serait réducteur de n’envisager les besoins des personnes âgées de 85 ans et plus que sous l’angle de la perte d’autonomie. Cette population est et restera constituée de citoyens et consommateursdont les besoins commencent à être pris en compte dans les domaines les plus variés : vestimentaire, services, tourisme, alimentaire, transport …Cependant, la prégnance d’une fragilité voire d’uneperte d’autonomie nécessite d’appréhender également les enjeux du point de vue de la prise en charge et/ou de l’accompagnement de la dépendance.

Partons de la réalité connue à un âge charnière situé àplus de 80 ans, plus proche aujourd’hui de 85 ans, au-delà duquel le niveau d’autonomie chute considérablement au point de nécessiter une prise en charge, a minima, à domicile voire en maison deretraite…Ce mode de prise en charge successif est difficilement transposable à long terme, compte tenu des besoins démographiques.

En effet, comment en trois décennies prendre en charge cinq fois plusd’octogénaires en structures collectives (avec prise en charge de la dépendance) tout en maîtrisant les dépenses de ce secteur ?

Première hypothèse : trouver un nouveau mode de financement …Peut-être par l’émergence d’un 5ème risque (développement de la CNSA ?) qui devrait couvrir une partie des besoins de financement. Problématique ; en une à deux décennies, comment couvrir d’ores et déjà lerisque : sous forme de couverture individuelle, le résultat ne sera perceptible qu’à long terme ; sous forme de couverture collective : par quelles ressources ?
Deuxième hypothèse : les besoinssupposés sont surdimensionnés … Ils ne prennent pas en compte les évolutions médicales, les conséquences du dépistage des maladies neuro-dégénératives et autres évènements futurs non pressentis.Supposons donc, en étant volontairement optimistes, que la multiplication des besoins des personnes en perte d’autonomie ne soit pas proportionnelle à la stricte évolution démographique mais que le…

Partir

L’heure du cru d’Azza Filali
La quête du récit

Azza Filali s’impose de plus en plus dans la scène littéraire maghrébine d’expression française. Auteure de Chroniques d’un Décalage, Monsieur L, le Jardin Ecarlate, le Voyageur Immobile et de tant d’autres nouvelles et romans, Azza Filali revient avec un nouveau né « l’heure du cru ».
« Mes livres ne se ressemblentjamais » dira cette auteure. Ainsi, partant de cette devise, l’auteure nous offre un nouveau roman qui se distingue de ces écrits précédents en livrant au lecteur une intrigue toute autre et une aventure différente dans l’écriture….surtout.
Le narrateur de « L’heure du cru » est un écrivain qui est confronté à la vacuité de la page blanche.il le dit bien « j’étais en panne depuis des mois, lesmots m’avaient quitté. Même l’alcool n’y faisait rien, je buvais tous les soirs puis m’endormais sur le divan face à la télévision ; mes pages demeuraient blanches ». Par ailleurs, la quête du récit pousse le narrateur à s’immiscer dans la vie des autres. Il se met donc à raconter l’histoire de Adel un adolescent qui a chambardé l’ordre conformiste dans la vie de son père, si Mahmoud et de sonprofesseur d’histoire. « À cet instant précis un désir oublié à mettre les mots sur le visage émacié du jeune homme connaitre son nom son histoire. Écrire ! ». Une soif qui ronge le narrateur habité par son texte qu’il entreprend de relire peut être de réécrire.
De ce point de vue, la question qui nous vient à l’esprit : Faut-il nécessairement partir d’une idée à défendre pour écrire ? Dansquelle mesure l’absence de sujet peut donner lieu à une œuvre littéraire foisonnante ? Azza Filali nous dévoile une nouvelle perception du travail de l’écriture. La vie ne devient qu’un prétexte pour mettre les mots, les arranger dans un roman. Elle emploie le terme « jointure » pour qualifier le rapport entre l’absence du sujet et l’œuvre elle-même. L’auteure de « l’heure du cru » soulignecette idée avec discernement «je suis persuadée qu’il doit y avoir une absence pour que la machine se mette en marche (…) ». Le malaise face à la page blanche est intrinsèque à l’écriture. A cet égard, Azza Filali ne crois pas à « la mise en mot d’un sujet tout prêt car tout acte d’écriture n’a pas besoin d’une anecdotique » .Ainsi, la vacuité de la page donne lieu à une œuvre qui cultive lefragmentaire, seul gage de son unité, et qui embrasse la conscience du narrateur observant la vie et la société.
Par un jeu de hasard, l’auteur l’écrivain croise ses protagonistes. Cette rencontre fortuite nous livre le tableau de toute famille tunisienne assujettit à un conformisme implacable et nous transmet le regard que le narrateur porte sur l’éducation et le décalage entre la génération. Cetteobservation de l’autre mène le narrateur à s’écarter de sa propre vie. D’après le personnage de Azza Filali y’a-t-il réellement un parti pris à vouloir représenter la réalité dans les détails les plus particuliers. Y’a-t-il une totale absence du narrateur qui préserve son anonymat derrière la trame du récit ? L’auteure de l’heure du cru récuse cette idée. En effet, «je ne prémédite pas les chosesque j’écris » Azza Filali « a horreur de délivrer des messages » ce qui vaut la peine « c’est l’expression d’un vécu (…) L’heure du cru est une tranche de vie où le narrateur raconte une histoire et se pose des questions ; on n’écrit pas des choses qui nous sommes étrangères » et « j’écris des choses que je sens dans mon texte ». De ce point de vue, le narrateur de l’heure du cru est fortementprésent il existe même « une dialectique entre l’écrivain et ce qu’il écrit ». La représentation authentique et objective de la réalité demeure presque impossible.
Le moi constitue désormais une partie prenante dans le roman d’Azza Filali. En rencontrant si Mahmoud, son fils Adel et le professeur d’histoire, l’auteur repense son rapport au monde. Observer les autres, c’est aussi une manière de…

Transit

0[pic]

[pic]

[pic]

Encadré par : Mme Latifa LABOUAB
Elaboré par : Nihad CHAAOUB
[pic]

Remerciements ……………………………………………………3
Dédicace …………………………………………………………..4
Introduction………………………………………………………..5
Chapitre I : Généralités
A- Présentation de Transit System……………………………….7
Fiche technique de la société………………………………………….7
Activités de lasociété…………………………………………………8
B- Organisation de Transit System………………………………9
Organigramme de Transit System…………………………………….9
Les missions des services……………………………………………10
Chapitre II : Le métier de Transit.
Introduction…………………………………………………..13
Les acteurs du métier de transit………………………………13
Le déclarant en Douane…………………………………………….14
Le transport……………………………………………………………16
les régimes économiques en Douane…………………………16
Tarifs des droits dedouane……………………………………18
Chapitre III : Les Tâches effectuées
Les taches effectuées au cours du stage……………………………………21
Conclusion …………………………………………………………32
Annexes

[pic]

Je tiens à remercier dans un premier temps toute l’équipe pédagogique de ISTA de Bouznika et les intervenants professionnels pour avoir assurer la partie théorique de celle-ci.
Je remercie également Madame LatifaLABOUAB pour l’aide et les conseils concernant la mission évoquée dans ce rapport.
Messieurs Saïd ARAFI, Mohamed IHOURANE et Hamid ZOUIRI pour leur accueil et leur confiance qu’ils m’ont accordé dès mon arrivée dans l’entreprise.
Merci à Fatima EDDAOUDY, ma tutrice, pour m’avoir intégré rapidement au sein de l’entreprise et m’avoir accordé toute sa confiance, pour le temps qu’elle m’aconsacré tout au long de mon stage, sachant répondre à toutes mes interrogations.
Merci à tous ceux qui font la société de Transit System : Aziza Ben Ismail, Abdellah AIT SOUSSI, et Younes ZAMRI, Merci pour leur accueil et leur coopération professionnelle tout au long de mon stage à Tanger.

[pic]

Je dédie ce travail en premier lieu à mes parents à mon oncle qui ont toujours été à mescotés, pour mieux avancer dans mes études, Mlle Meriem KADER qui a su comment m’aider tout au long de ma formation.

[pic]

Dans le cadre de notre formation au sein de l’institut spécialisé de technologie appliquée de Bouznika), nous sommes demandés de passer un stage, dans une entreprise dont l’activité est commerciale mais aussi exportatrice ou ayant une relation avec l’activité import ouexport, dans le but de réaliser un lien entre la pratique et la théorie.
En effet, la période de stage s’avère très nécessaire pour un jeune étudiant qui lui permet de se familiariser avec le monde du travail et de connaître les secrets de celui-ci.
Par ailleurs le motif qui m’a encouragé et ainsi permet d’effectuer un stage au sein d’une société transitaire, est l’importance du transitdans le commerce international et dans l’économie Marocaine et Mondiale vu son impact sur l’échange bilatéral et/ou multilatéral des différents pays.
En effet, mon stage s’est déroulé dans la Société Transit System à Tanger, une société qui vient de faire son implantation dans le marché autrement dit, elle demeure, un bon champ d’observation et d’application ce qui m’a permis de « toucher »aux diverses difficultés que rencontre une entreprise lors de sa création et implantation dans un marché de concurrence pure et parfaite.
Pour rester dans le cadre prescrit du stage, je me suis contentée de donner un aperçu sur la société, une analyse des différentes étapes de dédouanement et on finira avec une conclusion.

[pic]

A- Présentation de Transit System

? Fichetechnique de la société.

• Raison sociale : Transit System
• Forme juridique : S.A.R.L
• Siège social : Tanger
• Capital : 6000000 DHS
• Date de création : le 14/04/2004
• Activité : Transit – Transport National & International – Déménagement – Import / Export.
• N° d’agrément : 1421…