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L’évènement de Tunguska

Nous allons tout d’abord préciser l’endroit où s’est produit l’impact, soit à Tunguska.

Tunguska est une régionisolée se situant au cœur de la Sibérie. Cette région est traversée par la rivière Podkammenaya Tunguska (ou encore Tunguska pierreuse).

L’impacta eu lieu le 30 juin 1908, produisant une très vive lumière. A environ 17 :17 (heure locale), ‘un objet’ s’est écrasé dans la vallée de la rivièreTunguska pierreuse, à, à peu près 60km de la petite ville de Vanavara (où vivent en partie des éleveurs de rennes).

Pouvons-nous alors nousdemander quel était cet objet et quelles furent les conséquences de cet impact ?

La première expédition pour déterminer la nature de ‘l’objet’ neput avoir lieu qu’en 1927. La première hypothèse établie par le scientifique Kulik fut que ‘l’objet aurait été une météorite’. Néanmoins, aucunetrace de cratère n’a été trouvée. De nos jours, les scientifiques hésitent encore entre astéroïde et comète qui sont tout deux des corps célestesdu système solaire, ne différent que par leur taille.

L’écrasement de cette ‘météorite’ a produit une explosion sur 1500km aux environs et adétruit la forêt de Tunguska sur un rayon de 20km. Même si le bilan humain ne s’élève qu’à deux morts, un peu plus de 700 rennes furent tués.

Enconclusion, l’objet céleste qui s’est écrasé à Tunguska, comparable à 50 fois l’explosion d’Hiroshima, reste tout de même un véritable mystère.

Tsunamies

INTRODUCTION

Les societés humaines sont confrontées à des risques qui donnent parfois lieu à des catastrophes, dont la fréquence semble augmenter depuis le milieu du 20 eme siecle .

Le risque, une notion qui évolue. Elle est subjective et confronte l’homme à la nature. Elle exprime la vulnérabilité d’un groupe face à un aléa naturel qu’il ne maitrise pas ou peu. Depuis 1960, on a enregistrétrois fois plus de catastrophes. Les raisons : information plus rapide et généralisée ; phénomènes mieux enregistrés ; plus de personnes concernées (population plus nombreuse, villes plus étendues, bidonvilles et zones fragiles très peuplés). Mais les sociétés sont inégales face aux risques, on remarque que 85% des victimes d’une catastrophe naturelle vivent dans les pays en développement. Lesraisons : prévention absente ou rare, construction inadaptées (bidonvilles).
Alors, que font les sociétés face aux risques ?
Tout d’abord, quels sont les risques naturels majeurs ?
Ensuite, comment l’homme aggrave-t-il ces risques ?
Et enfin, comment les sociétés gèrent-elles ces risques ?

Commençons par les risques géologiques, dans lesquels on trouve les séismes. Les plaques lithosphériquespeuvent soit entrer en collision, soit passer l’une sous l’autre, soit glisser l’une contre l’autre. Les mouvements déterminent une forte compression et une détente brutale qui provoquent des séismes. Ces phénomènes concernent essentiellement les espaces très instables situés sur les lignes de fracture de l’écorce terrestre (Japon, Turquie, Amérique centrale, Californie, sud-est de la France).Ils sont constants et en général imperceptibles par l’homme. Les conséquences peuvent être graves : dégâts matériels et humains, glissements de terrain, tsunami. Viennent ensuite les éruptions volcaniques, souvent liées aux tremblements de terre (ceinture de feu du Pacifique). Lorsque la croûte terrestre se fracture, le magma et les gaz emprisonnés brutalement libérés, jaillissent. Les volcans lesplus dangereux sont ceux dont l’éruption est assortie de phénomènes explosifs.
On termine par les risques climatiques et hydrologiques, dans lesquels on trouve les cyclones. Ils concernent surtout la zone intertropicale, ils combinent vents très violents et pluies diluviennes, et causent en moyenne 20 000 morts par an. On trouve également les inondations, liées à de fortes précipitations (régionsméditerranéennes, Chine, Inde). Mais aussi à la fonte des neiges et des glaces qui grossit brutalement les torrents. Et pour finir, la sècheresse, qui résulte d’un déficit de précipitations sur plusieurs mois voire plusieurs années (Sahel entre 1965 et 1975).

Cependant l’homme prend des risques avec la nature, il amplifie les risques. La déforestation, l’agriculture intensive, l’aménagement destations de ski favorisent le ruissellement, la torrentialité, l’érosion des sols et les inondations. Le tourisme littoral contribue à la dégradation des plages et des dunes. L’homme est responsable des inondations : en supprimant haies et talus, en déboisant en montagnes (pistes de ski), en goudronnant routes et chemins, en développant les espaces urbains, il a supprimé les exutoires pour leseaux de pluie ; en autorisant des constructions dans des zones inondables. L’homme est aussi responsable de la désertification. Une politique délibérée de sédentarisation des populations nomades ou semi-nomades dans la Corne de l’Afrique a conduit à la surexploitation d’un espace fragilisé par des pluies irrégulières (Sahel), à une augmentation de la consommation d’eau, d’herbe et de bois.Conséquences : disparition du couvert végétal et intensification de l’érosion éolienne. De la même façon, la politique agricole menée en URSS par Staline dans les années 1930 s’est traduite, entre autre, par le détournement des eaux du Syr Daria et de l’Amou Daria. Conséquences : recul inexorable de la mer d’Aral et progression du désert en Asie centrale

La gestion des risques est une opération en…

Non lieux

1992 Marc Augé
Les réflexions sur l’anthropologie du proche et du monde contemporain, une discipline en train de se construire, datent de la fin des années 80 et un nombre important de travaux deterrain ont été publiés depuis sur le sujet. En 1992, l’anthropologue Marc Augé publie Non-Lieux, conçu comme une « introduction à une anthropologie de la surmodernité ».
Voies rapides, échangeurs,aéroports, chaînes hôtelières aux chambres interchangeables, grandes surfaces ou stations-service, camps de transit des réfugiés… tous ces « non-lieux » surpeuplés où se croisent en silence ets’ignorent des milliers d’individus, forment des parenthèses anonymes et sans jeu social. Ils constituent, selon Augé, les espaces caractéristiques de ce qu’il nomme la « surmodernité ». Pour lui, l’excèsest la modalité essentielle de la situation de surmodernité : surabondance événementielle et spatiale, individualisation des références. Les repères d’identité collective sont devenus fluctuants et lebesoin de donner un sens au présent apparaît comme la rançon de cet excès. La globalisation rend désormais caduques les oppositions entre ici et ailleurs, entre tradition et modernité.
Pour Augé,« la première difficulté d’une ethnologie de l' »ici », c’est qu’elle a toujours affaire à de l' »ailleurs », sans que le statut de cet ailleurs puisse être constitué en objet singulier et distinct(exotique) »

Marc Augé (né en 1935 à Poitiers) est un ethnologue français.
Il est directeur d’études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS) à Paris. Directeur de recherches à l’ORSTOM (actuelIRD) jusqu’en 1970, puis, directeur d’études à l’EHESS, il a effectué de nombreuses missions en Afrique, principalement en Côte d’Ivoire et au Togo. Depuis le milieu des années 1980, il a diversifiéses champs d’observation, effectuant notamment plusieurs séjours en Amérique latine et essayant d’observer les réalités du monde contemporain dans son environnement le plus immédiat (Paris, la…

Le responsable communication

Le responsable communication gère les communications à l’interne et à l’externe dans le but de promouvoir une entreprise ou un produit.
Pour assurer la communication en externe, il :
* organiseet supervise les opérations auprès des partenaires
* assure la visibilité de l’entreprise lors d’événements
* met en place des actions marketing pour développer l’image de marque
* gèreles relations avec les distributeurs
En interne, le responsable communication :
* définit la politique de communication de l’entreprise
* élabore la stratégie de communication à l’interne* prend en charge la réalisation des supports de communication
* analyse les capacités de communication de l’entreprise
Le responsable communication supervise également les dossiers depresse, la réalisation du journal de l’enseigne destiné aux partenaires et celui pour les clients. C’est aussi lui qui représente l’entreprise devant les médias.
Environnement
Les fonctions et lesconditions de travail du responsable communication varient suivant la taille de l’entreprise et le budget alloué à la communication. Dans une petite structure, le responsable communication joue un rôlepolyvalent.
Les salaires des responsables communication varient fortement. Un débutant perçoit en général une rémunération d’environ 31 k€, un junior environ 47 k€. Un senior peut prétendre à un salairemoyen d’environ 65 k€. Les primes complètent la rémunération.
Profil
Le responsable communication doit réussir à mobiliser des partenaires et à faire adhérer les gens. La maîtrise de l’anglais estindispensable et la connaissance d’une ou plusieurs autres langues étrangères est souhaitée. De plus, ces qualités sont nécessaires pour réussir dans ce métier :
* contact facile
* aisancerelationnelle
* autonomie
* qualités rédactionnelles
* organisation
* rigueur
* disponibilité
Pour accéder à ce poste, un diplôme de niveau bac +3 à bac +5 en communication…

Nouvelles technologie et rapport sociaux

Le virtuel est doté d’un immense potentiel. Nous pouvons peut maintenant communiquer n’importe où et à tout moment. Il n’y a plus d’obstacle, la communication passe a travers le temps et l’espace. Le monde est devenu une vaste autoroute de l’information. Des centaines, voir des milliers, de pages Web s’écrivent chaque jours, chacun peu parler librement, sans contrainte et avec qui le bon luisemble. Ces nouvelles technologies font naitre le progrès dans la société, mais aussi l’incertitude face aux changements des interactions sociales. Les jeunes confondent réalité et virtuel. Les progrès technique arrivent à une vitesse folle, le rythme devient de plus en plus rapide. Dorénavant chaque génération connait plusieurs modifications majeures dans son environnement, mais sa capacitéd’adaptabilité ne change pas pour autant. Il y a quatre millénaires entre l’invention du papyrus et du papier, un millénaire entre le papier et l’imprimerie, un siècle entre le journal et la télévision, mais depuis un quart de siècle, les technologies de communication ne cessent de grandir. D’une part nous aborderons leurs effets dans les rapports sociaux au travail et d’autre part leurs conséquences surla sphère privée.

Les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) et le travail
Les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) – informatique- internet – télécommunication – sont au centre de profondes mutations organisationnelles des systèmes de production du travail, principalement en transformant le traitement et la transmission desinformations.

Les NTIC et le marché de l’emploi
Les NTIC stimulent la croissance économique. Le progrès technologique assure une plus grande efficacité, donc améliore la productivité. Toutefois, cette amélioration de la productivité entraîne aussi certains problèmes. Nombre d’emplois, surtout traditionnels, sont détruits en particulier, les emplois du secteur tertiaire comme les tâches decomptabilité, de secrétariat, de documentation, d’archivage, etc. Les employés de ces secteurs sont remplacés par des machines. L’exécution de certaines tâches est désormais faite par ordinateur.

Pour ce qui est des gens qui perdent leur emplois aux profits des nouvelles technologies, comme l’a fait remarqué Mr. Sadok BEN HADJ HASSINE, Directeur du bureau de l’OIT à Alger, lors d’une conférencesur les LES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET LE MONDE DU TRAVAIL: « il s’agit plutôt d’une « destruction créatrice, ou une destruction-reconstruction, ce qui conduit à une dynamisation du marché de l’emploi, et exige surtout une reconfiguration du système des qualifications professionnelles. » Et comme l’a rappelé Mr.Mohamed Ennaceur, Président de l’Association Tunisienne de Droit Socialet des Relations Professionnelles, lors de cette même conférence : « le devenir professionnel du travailleur est en fonction de la capacité d’adaptation de son offre aux besoins des entreprises pour améliorer continuellement son employabilité. »

Ces idées sont en accord avec la théorie du déversement. Une théorie économique appliquée par Alfred SAUVY dans son ouvrage : « La machine et lechômage » indiquant que des progrès techniques améliorant la productivité engendre un transfert (déversement) des emplois d’un secteur d’activité vers un autre. Aujourd’hui, ce sont surtout les emplois traditionnels qui se transfèrent d’un secteur d’activité à un autre. Parmi les secteurs en pleine expansion, il y a ceux de l’information et de la communication qui connaissent un développement sansprécédent. Il y a d’importants besoin d’informaticiens, de formateurs et d’opérateurs de saisie. En résumé, selon Sauvy, les emplois perdus se déversent dans de nouvelles activités où il y a des gains de pouvoir d’achat. Cela suit la loi de l’offre et la demande.

Mais, de manière évidente, il n’en demeure pas moins que l’arrivée des machines (ordinateur, guichet automatique) crée du chômage….

Cas burton

Cas Burton

Introduction

L’entreprise Burton est le plus grand fabricant de planches à neige au monde et initiatrice des nouvelles tendances.
Le marché international est en constante évolutionsur ce type de produit, nous pouvons donc ajouter comme concurrent la marque Rossignol ou encore Salomon.
Le surf des neiges croit à un taux annuel de 30%.

1. Quels sont les forcesenvironnementales qui ont une incidence sur l’industrie de la planche à neige ?

Les forces environnementales qui ont une incidence sur l’industrie de la planche à neige sont très spécifiques, les conditionsmétéorologiques doivent être telles qu’il y ait de la neige, des températures relativement basses, du verglas ou encore de la pluie.
Burton adapte son matériel au sport d’hiver.

2. Sur le plan dumarketing, qu’est-ce qui différenciait les objectifs de la société Burton ?

Les premiers objectifs de la société Burton est de faire connaître le sport de neige et essentiellement le surf desneiges.
Il a fait en sorte d’autoriser la pratique du surf sur les différentes pistes de ski ;
Les objectifs actuels sont principalement de se démarquer des principaux concurrents en ayant une trèslarge gamme de produits que ceux la soit les planches de surf ou encore différents accessoires pour mettre a l’aise le consommateur et le mettre en valeur.
Les produits proposés vont du débutant auprofessionnel.
Il y a également le but de conserver leur popularité en restant dans une gamme de produit technologique et innovante à forte notoriété.

3. La logistique commerciale.

La logistiquecommerciale serait de rester dans une diversité des gammes de produits concernant le sport d’hiver tout en innovants les produits en testant les nouvelles technologies ainsi qu’en gardant un savoirfaire professionnel.
La vente des produits doit se faire en magasin reconnus tels que des magasins reconnu tels que le site « En Equilibre » ou encore dans des succursales pour répondre à la forte…

La yugoslavie de tito

La Yugoslavie de Tito : Un État socialiste hors du commun?
A) Questions
1) Le Kominform ou Le Bureau d’information est une organisation centralisé du mouvement communiste international de l’époque après la seconde guerre mondiale. Cette organisation est dirigée de Moscou en URSS. Le Kominform accuse la Yugoslavie de ne pas respecter les idéals du communisme dans le fonctionnement del’État. URSS se sent maltraité par le parti communiste yougoslave, qui a été laissée à diriger l’État yugoslave avec une intervention minimale de la part de l’URSS mais qui ne suive pas maintenant la voie communiste correctement selon la vision du Kominform et de l’URSS. La Yugoslavie est reprochée d’avoir abandonné la voie marxiste-léniniste.

2) Premièrement, la Yugslavie est dirigée par un partiunique communiste ce qui est un trait important commun pour tous les démocraties populaires dans les États socialistes (doc.1). Ensuite la Yugoslavie adopte un plan quinguennal sous contrôle de l’Etat et centralise son économie (doc. 2+4). De plus l’économie yugoslave s’orient vers l’industrialisation du pays ce qui est un autre aspect commun pour les États socialistes (doc.3 – 52% – plus qu’unemoitié du produit matériel net est réalisé par l’industrie). Enfin on voit que la Yugoslavie est dirigé par un chef dictateur Tito, qui est le sécretaire général du parti communiste et qui mise en place la démocratie populaire à travers un culte de personnalité forte ce qui est fortement ressemblant aux autres États socialistes, notamment à l’URSS (doc. 5).

3) Premièrement selon l’accusationdu Kominform, les dirigeants de la Yugoslavie abaissent le rôle du parti communiste et s’éloignent de la voie marxiste-léniniste quand ils affirment une position importante des paysans dans l’économie et développement du pays, cela est contre l’idéal de la voie soviétique et sa vision de la lutte pour la rôle dirigeant de la classe ouvrière (doc.1). Cela est lié au fait que l’agriculture reste undomaine important dans l’économie yugoslave et elle n’est pas totalement soumise à la collectivisation 81% du superficie agricole du pays est exploité par le secteur agricole privé, 18% par les fermes de l’État et seulement 1% par des coopératives (doc. 3). Enfin c’est l’autogestion des entreprises qui est une originalité important dans le système économique du pays et qui en faite donne lepouvoir décisionnel partiellement dans les mains des ouvriers, c’est assemblé général des ouvriers qui désigne la direction des entreprises (doc. 5).

4) C’est avant tout le culte de personnalité qui est appliqué dans la direction du pays yugoslave et dans la mise en place de la démocratie populaire. Général Tito qui profite du prestige de sa glorieuse victoire au face des occupants nazi possèdeun grand pouvoir d’influencer les masses. Il est l’homme le plus puissant du pays, le secrétaire général du parti unique communiste et grâce au son pouvoir immense et sa popularité dans la société yugoslave il est permis d’appliquer une dictature.

B) Réponse organisée

La Yugoslavie de Tito : Un État socialiste hors du commun?

La période de la Yougoslavie de Tito est une période de règnedu maréchal Jozif Broz Tito. Cette ère commence en 1945, quand la résistance communiste du maréchal Tito, soutenu par l’URSS libère la majeure partie de la Yougoslavie de l’occupation nazi et fini en 1980 avec sa mort. Après sa victoire en 1945 maréchal Tito forme un gouvernement de coalition avec les communistes aux postes importants et après les élections quand la parti communiste obtient lamajorité des suffrages la Yougoslavie devient un État socialiste avec Tito en tête du parti communiste et alors de l’État. Tito impose la démocratie populaire et fonde un État socialiste dont le fonctionnement est basé sur les principes du communisme, surtout sur l’idéal de former une société sans classe où tous les hommes sont égaux. Pourtant on peut remarquer que la Yugoslavie se distingue…

Les sols et l’eau

? Oméga EXPOSEE DU GROUPE 5 2NDE S/L ? OMEGA
THEME 5: LES SOLS ; GESTIONS DES SOLS ; L’EAU DANS LA NATURE ; LA GESTION DE L EAU. |
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INTRODUCTION : cher camarades nous allons aujourd’hui nous allons vous présenter notre exposée ayant pour thème les sols gestions des sols, l’eau dans la nature et la gestion de .nous allonsparler du sol, des types de sols la texture d’un sol et l’influence qu’a la texture d’un sol et montrer un tableau des types de sols permettant d expliquer la méthode utilise pour effectuer le test du poignée de terre et la méthode du ruban de terre ensuite nous parlerons de la gestion des sols. Dans un second temps nous parlerons de l’eau dans la nature et de la gestion de l’eau.
I. LES SOLSa)Définissons le sol. Le sol représente la couche superficielle, meuble, de la croûte terrestre, résultant de la transformation de la roche mère enrichie par des apports organiques. On différencie le sol de la croûte terrestre par la présence de vie
b)les types de sols
-Sols sableux : Les particules d’un sol sableux sont relativement espacées, ce qui permet à l’eau de s’écouler rapidement. Lessols sableux ont une structure instable, ce qui les rend très sensibles à l’érosion éolienne, de plus comme l’eau s’écoule rapidement, ils sèchent rapidement ce qui favorise l’érosion aérienne.
-Sols limoneux : Bien que tous les sols soient sujets à une éventuelle érosion par l’eau, le limon, le loam limoneux et le loam sont les plus menacés. Sur les pentes longues ou abruptes, l’érosion par l’eaus’intensifie et le ruissellement peut atteindre une vitesse impressionnante.
-Sols argileux : Les sols renfermant une forte proportion d’argile sont propices à l’agriculture en zone aride. La structure superficielle des sols argileux peut se dégrader, formant une croûte. L’encroûtement limite l’infiltration et accroît le ruissellement. Un sol argileux mouillé a tendance à se compacter, ce quifavorise également le ruissellement. Les sols argileux peuvent également être très sensibles à l’érosion éolienne .La sécheresse peut causer la pulvérisation de la couche superficielle des argiles réduire les mottes en particules de la taille de gros grains de sable, très sensibles à l’érosion éolienne.
La texture d’un sol L’influence de la texture d’un sol :: C’est le pourcentage de sable de limond’argile ainsi l’on parle de sol limoneux sableux et d’argileux. La texture d’un sol a une incidence directe sur sa teneur en nutriments, son humidité et sa capacité de drainage. Les sols argileux sont plutôt fertiles, mais sont souvent mouillés et mal drainé. Les sols sableux se drainent facilement, mais ils ont tendance à être secs et infertiles. Les loams conservent l’humidité; ils sontfertiles, friables et faciles à travailler. Un sol loameux contient environ 40 % de sable, 40 % de limon et 20 % d’argile, ainsi qu’une bonne quantité d’humus. Consultez la figure à la fin du tableau des types de sol suivante pour connaître la méthode employé pour effectuer les tests de la poignée de terre et le ruban de terre.

Tableau des types de sols
Les types de sol |
Texture | Sensation autoucher | Poignée de terre (Moule mouillé) | Ruban de terre |
Sable | Matière granuleuse, peu farineuse | Aucun moule | Ne peut pas former de ruban |
Sable loameux | Matière granuleuse, légèrement farineuse | Moule très faible, ne se manipule pas | Ne peut pas former de ruban |
Sable limoneux | Matière quelque peu farineuse | Ne se manipule pas | Ne peut pas former de ruban |
Loam sableux |Matière granuleuse, modérément farineuse | faible moule, se manipule avec soin | Forme à peine un ruban – 1,5 à 2,5 cm (5/8 à 1 po) |
Loam | Matière assez molle et lisse, mais manifestement granuleuse | Bon moule, se manipule facilement | Épais, mais très court – 7,5 Cm (3po) |

II. Gestions des sols :
Bien que généralement simples, elles nécessitent un minimum de technicité, de…

Le rire analyse lexicale

1. « RIRE» : ANALYSE LEXICALE

1. le substantif {( rire»
(source: Alain Rey, Dictionnaire historique de la langue française, 1995)
• Le verbe  » rire » est attesté en français depuis le XIesiècle. Dès son apparition, il signifie « rire », puis « sourire» dans le sens moderne que nous lui connaissons. Le substantif cc rire )} est attesté depuis le XIIIe siècle et traduit l’action de {( rire»,
• La lecture des notices de dictionnaire montre la multiplicité des emplois du verbe et du substantif  » rire »; cela traduit à la fois l’omniprésence du rire dans notre vie, mais aussi le souciqu’a la langue française de le caractériser dans son expression ou dans ses intentions. Ainsi, le verbe construit de nombreuses locutions verbales: {( rire du bout des dents» (ou encore « rire jaune» ou« rire sous cape », c’est-à-dire avec une certaine gêne), « rire dans sa barbe» (c’est-à-dire secrètement), « rire du bout des lèvres », « rire aux éclats », « mourir ou crever de rire » ou encore lerécent {( mort de rire», abrégé aujourd’hui en « MDR ».
• Le substantif construit également quelques expressions. On parle de « rire jaune» (rire forcé), de « rire homérique» (celui prêté par Homèreaux dieux de l’Olympe dans L’Iliade (~-v me siècles avant Jésus-Christ), le rire bruyant et inextinguible des vainqueurs) ou encore « rire sardonique» (qui exprime la méchanceté). On évoque aussi un «rire nerveux ». un «fou rire» et parfois un « rire noir».
• Le rire appara1t aussi dans quelques proverbes comme « rira bien qui rira le dernier », « rire est le propre de l’homme» ou encore «mettre les rieurs de son côté».

2. le thème au programme et son périmètre
• Une des difficultés du thème est de délimiter le périmètre du rire; est-ce le rire physique? l’humour? le comique?
Aproprement parler, le rire est une émotion humaine, qui se manifeste physiquement. Son origine peut être physiologique, psychologique ou conjuguer les deux. Ainsi, on peut analyser:
– ses…

Etudiante

La gestion de la paie et des ressources humaines

Solution paie & RH
* Sage Paie & RH
* Sage Suite RH
* Sage HR Management
* Sage SIRH

Les logiciels de gestion de la paie etde gestion des ressources humaines doivent s’adapter à un contexte légal et social en constante mutation. Confrontés à une prise de décision dans des délais parfois réduits, les responsables paie & RHdoivent être accompagnés par des outils de pilotage et des indicateurs clés afin de faciliter l’administration du personnel et de dynamiser la gestion du capital humain. Libérés de leurs tâchesadministratives et routinières, les DRH peuvent ainsi élaborer des stratégies de développement du capital humain à forte valeur ajoutée, afin d’en faire un avantage concurrentiel durable et d’en maximiserl’employabilité.
Administration du personnel et traitement de la paie avec Sage : efficacité et simplicité au quotidien
Les logiciels de gestion de la paie et d’administration du personnel proposéspar Sage répondent aux besoins des petites, moyennes et grandes entreprises :

* Simplification du traitement de la paie : assistants, modèles de bulletins de paie par type de paie (mensuel,hebdomadaire, cadre, ouvrier, VRP…), accès simplifié aux données et à l’historique des salariés à travers la fiche du personnel.
* Mises à jour automatiques permettant le respect des évolutionslégales (Plan de Paie Sage par rubriques)
* Grande compatibilité des produits avec les autres applications et intégration aux logiciels de comptabilité (évitant une double saisie des écritures de paie.)* Réalisation des déclarations (DADS-U, DUCS, DUE…) aux organismes sociaux, conforme à la réglementation, et envoi automatique sous format EDI via le portail déclaratif Sage directDéclaration,(pas de ressaisie et pas de risque d’erreur).
* Gestion du temps de travail et des activités : fonction calendrier, 35H, Loi TEPA, planification des activités facilitée, saisie simplifiée et…