Tfe sur la mafia ( pas fini)

TFE
Est-ce que la mafia constitue-t-elle un atout au sein du système italien ?
1 ère partie : Ecrit
Table des matières : sommaire
Introduction
1. C’est quoi la mafia/ Qu’est-ce qu’est la mafia
1.1. Définition générale/ étymologie
2. Historique de la mafia
2.1. Origine /Cause de son apparition
2.2. La Sicile de l’antiquité à maintenant

3. Situationactuelle de l’Italie

4. Les différentes mafias italiennes
4.1 Types et localisation (Les différentes mafias en Italie)
4.1.2 Fonctionnement et caractéristiques
4.2 Impact /Apport de la mafia aux villes

5. Les différentes actions et chiffres d’affaires
6.1 Les actions (drogue/violence/extorsion)
6.2 les chiffres d’affaires

6. Fonctionnement système
7.3Fonctionnement politique
7.4 Fonctionnement économique
7.5 Fonctionnement social

7. Comment la mafia fait défauts à ces 3 points
8.6 Mafia-politique
8.7 Mafia-société
8.8 Mafia-économie

8. Solutions/ perspectives
9.9 Les solutions déjà mise en place
9.10 Nouvelles solution envisageables

9. Conclusion
10.11 La conclusion+ réponse a la question

Introduction

J’ai choisi ce sujet car la mafia me passionne. Que ce soient les films ou les histoires de ma grand-mère d’origine sicilienne cela m’a toujours intéressé, mais toujours avec certaines questions sans réponse. En choisissant ce sujet je veux faire découvrir les cotés historiques d’une partie de mes origines qui sont maroco-sicilienne. Le but de cetravail est de faire découvrir plus précisément les mafias italiennes, ce qu’elles font vraiment au delà de la médiatisation qui n’en parle que lorsqu’un meurtre est commis. Mon but est donc de voir si la mafia en Italie contribue au développement du système italien.
La première partie de ce travail évoque les origines et l’apparition de la mafia. Elle présente aussi la situation actuelle du pays.Elle présente en outre les différentes mafias ainsi que ce qui les différencient et si grâce à leur trafic elles répondent à certains besoins de la population.
La deuxième partie montre la façon dont le pays fonctionne pour mieux comprendre les raisons qui font que la mafia arrive à rentrer dans la politique, voler l’économie et oui ou non apporter certaines solutions à la société. Cette mêmepartie, montre en quoi la mafia crée des problèmes à ces 3 points (politique, économique et sociale).
La troisième partie qui est pratique démontre les méthodes frauduleuses utilisées par la mafia. Elle présente en outre les chiffres d’affaire exorbitants empochés. Cette même partie décrit le rôle de la mafia en Italie et grâce à l’interview réalisé, présente des solutions concrètes pourcombattre cette pratique au sein de la société italienne. Ces solutions sont de multiples intervenants (gouvernement, populations et moi..).
Parmi les difficultés rencontrées lors de la réalisation de ce travail, j’évoque la limitation des sources. En effet, mon sujet concerne des organisations criminelles assez secrètes. Celles-ci ne laissent jamais d’info. Ainsi, je me trouvais donc par moment limitéà des sources de repentis et archives de police voire d’historiens.

1. C’est quoi la mafia/ Qu’est-ce qu’est la mafia
1.1 Définition générale/ étymologie
* C’est une association secrète de malfaiteurs servant des intérêts communs privés par des moyens illicites, une violence systémique qui permet un contrôle panoptique de la population ou par le racket. L’organisation de celle-ciressemble fort à l’organisation politique.

* Origine du mot : Plusieurs origines sont possibles, cela viendrait du viol d’une jeune fille d’une part et d’autre part une thèse d’historiens concernant une déformation de termes arabes ou toscans.
1.2. D’après la déformation du terme arabe :

Beaucoup d’historiens supposent qu’elle provient d’un terme arabe.
Le mot pourrait ainsi venir du…

Gouvernance internationnalle

Stratégie des multinationales

Stratégies de gouvernance internationales

?

Sommaire

Introduction 2
I. La notion de la gouvernance 3
A. Historique 3
B. Définitions de la gouvernance 4
II. Types d’orientation de la maison mère vers les filiales 5
A. La multinationale ethnocentrique 5
B. La multinationale polycentrique 5
C.La multinationale régiocentrique 6
D. La multinationale géocentrique 6
III. Les facteurs influençant la relation siège-filiale 7
A. Le rôle de siège dans la conception de stratégie 7
B. Les caractéristiques de la filiale 7
C. L’environnement local 7
Conclusion 9
Bibliographies 10

?

Introduction
La coordination est un enjeu majeur qui se poselorsqu’on s’intéresse au cas des multinationales. L’équilibre entre le contrôle et l’autonomie des filiales est une question à laquelle doivent faire face les multinationales.
En effet, Les problèmes d’organisation d’une F.M.N sont complexes, en raison de sa taille, du nombre de ses filiales, de la diversité des régimes politiques, économiques, juridiques, sociaux et culturels, des pays d’implantation.L’entreprise doit donc adopter une structure qui lui permet de conserver son efficacité et son dynamisme, tout en préservant son unité.
Cet exposé est organisé autour de trois axes :
Le premier axe, aborde La notion de la gouvernance au travers l’historique de l’apparition de cette notion et ses différentes définitions.
Le second axe, sans vouloir être exhaustif, est consacré à l’exposition desprincipaux Types d’orientation de la maison mère vers les filiales.
Le troisième axe, traite Les facteurs influençant la relation siège – filiale.

I. La notion de la gouvernance
A. Historique
La gouvernance a d’abord fait surface dans le monde de l’entreprise (corporate gouvernance) pour ensuite être récupérée par la banque mondiale au début des années 90 qui lui alors accolée lequalitatif de bon pour donner la « bonne gouvernance ».
En effet, à partir des années trente la dissociation entre la direction de l’entreprise et les ayant droits légitimes que représentent les propriétaires (les actionnaires), accompagnée d’un grand démembrement de ces derniers, a entrainé une croissance de pouvoir des dirigeants salariés dans la vie des grandes entreprises américaines. Cette situation,en raison d’une défaillance des systèmes de contrôle chargés de discipliner les principaux dirigeants, aurait provoqué une dégradation de la performance et une spoliation des actionnaires.
Il s’agit donc de proposer un certain nombre d’outils de contrôle et d’incitation des dirigeants susceptibles de rétablir l’équilibre en faveur des différents groupes de stakeholders (actionnaires,créanciers, salariés, etc.), d’aboutir à une répartition de la richesse crées plus équitable afin d’améliorer l’efficacité des firmes. Aujourd’hui, sous le triple effet de la mondialisation, de la globalisation financière et de la circulation accélérée des capitaux, les actionnaires exigent un modèle de gouvernement d’entreprise.
Au début des années 1990 le champ couvert par le terme gouvernance estdevenus très large. En fait, « les experts des grandes agences internationales de l’aide au développement, de la banque mondiale en particulières, ont lancé le mode en 1989. Face à la gestion centralisée ou corrompue constatée dans les pays d’Afrique sub-sahariens, ces spécialistes vont proposer la bonne gouvernance comme réponse. »
Toutefois tout le monde n’est pas d’accord sur les origines de la »gouvernance » : « Certes, le temps où la genèse de la gouvernance était systématiquement remontée au secteur privé avec la corporate gouvernance est dépassé » …
B. Définitions de la gouvernance
La gouvernance est une notion controversée. En effet, Le terme de gouvernance est flou et ses définitions multiples et parfois contradictoires selon les contextes est les finalités. Généralement on…

0001111

1.1.3 Qui sont les seniors ?
La notion de seniors ne fait pas consensus et il n!existe pas de définition universelle.
La littérature spécialisée1 fait d!ailleurs plus souvent référence à des « travailleurs
vieillissants » ou à des « salariés âgés ». Les définitions en usage sont en général
liées aux seuils d!âges inscrits dans des dispositifs légaux ou conventionnels ou aux
pratiquesantérieures des entreprises. L!âge de 55 ans est souvent privilégié, car il
correspond au début d!une nouvelle tranche d!âge statistique, les 55-64 ans, utilisée
pour des comparaisons, notamment internationales. Les seuils traditionnellement
utilisés par des dispositifs de préretraite comme l!âge moyen constaté de cessation
d!activité, ont contribué à définir ceux qui s!en approchent comme seniors. Enplus
des problèmes d!engagement professionnel posés par la proximité du départ, cette
conception interroge aussi les entreprises quant à leur investissement sur le capital
humain représenté par les compétences de leurs collaborateurs.
Les entreprises ont des définitions plurielles des seniors. Trois références sont
généralement utilisées, isolement ou de manière combinée :
– la proximité del!âge de la retraite ou de la fin d!activité qui pose des questions
d!engagement professionnel ;
– l!ancienneté dans une situation de travail qui a pu avoir des effets d!usure sur la
santé, ce qui pose question quant à la capacité de travail ;
– l!expérience qui peut être valorisée comme un gage de compétences, de savoirfaire
ou de comportements professionnels spécifiques.
2.2 Uneemployabilité fondée sur trois dimensions
2.2.1 Une question d!employabilité
Le maintien et le retour en activité professionnelle des seniors reposent sur leur
employabilité. Celle-ci est la résultante de relations dynamiques entre :
– les caractéristiques de l!environnement de travail qui rendent celui-ci plus ou
moins professionnalisant ;
– les capacités des salariés et des conditions de leurdéveloppement, de la manière
dont elles sont mobilisées et des conditions de cette mobilisation.
L!étendue des variables possibles tant du point de vue des caractéristiques de
l!entreprise (conditions d!emploi, conditions de réalisation du travail en lien avec ses
modes de management et de reconnaissance), que du point de vue des
caractéristiques de l!individu (capacité, potentialité, implication)sous-entend
nécessairement des interactions complexes et multiples et par conséquent une
multiplicité de pratiques.
Notre conception de la notion d!employabilité est représentée par le schéma suivant.
C!est, selon nous, dans ces interactions que se joue l!employabilité des salariés (au
sens d!exclusion ou d!intégration) que nous caractérisons par la combinaison de
trois grandes dimensions, àsavoir :
– la santé : les pratiques des entreprises risquent-elles de dégrader ou permettentelles
de préserver la santé des salariés ?
– les compétences : les pratiques contribuent-elles à la dévalorisation des
compétences des salariés ou bien favorisent-elles leur développement ?
– l!engagement professionnel : les pratiques provoquent-elles un comportement de
retrait ou bienfavorisent-elles l!engagement des salariés ?
2.2.2 Trois grandes dimensions à prendre en compte
Cette vision de l!employabilité conjugue donc des enjeux de préservation, voire de
construction de la santé, de management des compétences et de favorisation de
l!engagement professionnel qui peuvent concerner à la fois par les entreprises et les
individus. Approfondissons ces trois dimensions.
2.2.2.1 La santéLes travaux du CREAPT, parmi lesquels ceux de J. Gautier15, d!A. Jolivet16, d!A.
Laville17, d!A.-F. Molinié18, de S. Volkoff19, font référence en matière de relations
entre âge et travail, de vieillissement dans l!emploi. Ils ont notamment permis de
mettre en évidence « l!aptitude du travail à accueillir des salariés vieillissants »20 par
une série de mesures possibles concernant…

Les trusts anglo-saxons

Les trusts anglo-saxons :
Principes et Utilisations

Introduction

1re partie : Les principes du trust anglo-saxons

1. Origines

2. Définition

3. Caractéristiques

4. Types de trust

5. Mise en place du trust dans le monde

2e partie : L’utilisation des trusts

1. La gestion du patrimoine et l’optimisation fiscale

2. La titrisation3. Defeasence

Conclusion

Bibliographie

Introduction

Le trust résulte d’un acte par lequel une personne (le settlor) transfère à une autre personne (le trustee) la propriété d’un bien ou d’un ensemble de biens. Le trust a connu une fortune considérable au cours des deux derniers siècles, trouvant à s’employer dans toutes les situations patrimoniales privées puis dans celles dela vie des affaires du monde anglo-saxon, par exemple pour organiser la fusion de deux entreprises ou permettre un syndicat financier entre banques multinationales.

De nos jours, les trusts anglo-saxons sont originaires de plusieurs montages, qu’ils soient fiscaux ou financiers. Ces différents procédés ont des finalités différentes, comme la gestion du patrimoine ou la création de véhiculesfinanciers permettant d’évacuer la dette.

Parmi les concepts fiscaux inspirés du concept des trusts anglo-saxons, nous retrouvons la planification successorale, l’optimisation fiscale, ou encore la protection des biens.

Avec un marché financier de plus en plus complexe, les intervenants n’ont pas hésité à développer les concepts de la titrisation et de la défaisance, basés sur lesfondements du trust. Bien qu’aujourd’hui ces techniques fassent l’objet de nombreux débats, leurs utilisations par les entreprises ont été nombreuses.

En 1987, le groupe Peugeot Société Anonyme s’est tourné vers un trust pour réaliser un transfert d’actifs et de dettes. C’est une structure de défaisance qui a été chargée de les gérer pendant que l’entreprise se concentrait, sur sonredressement commercial et industriel.

On peut alors s’interroger sur le lien qui existe entre trust et les différents montages financiers et fiscaux. Après avoir défini les origines et les caractéristiques d’un trust anglo-saxon, nous verrons les différents concepts inspirés de ce dernier, à savoir la gestion de patrimoine, la titrisation et la défaisance.

1re partie : Les principes dutrust anglo-saxons

1. Origines

Le mot « trust » en anglais signifie « confiance ». Afin d’appréhender plus facilement cette notion, nous avons souhaité évoquer une pratique remontant à la période des croisades, au XIIe siècle, qui serait à l’origine du Trust que nous connaissons aujourd’hui. À cette époque, en Angleterre, lorsque les chevaliers quittaient pour longtemps, voire,définitivement, leurs terres pour aller livre bataille, ils confiaient leur domaine à un homme de confiance, le Trustee. Celui-ci administrait le domaine selon des instructions préalables (vendre les récoltes, assurer une rente à l’épouse, organiser la transmission héréditaire en évitant le morcellement…). Cela se justifiait par le fait qu’une action en justice ne pouvait être menée que par un mâle adulte.2. Définition

Pour définir cette notion, il est utile de rappeler les deux conceptions de propriété en droit civil et selon la Common Law.

En droit civil (le notre), la pleine propriété se décompose en :
– nue-propriété (avoir un verger)
– usufruit (pouvoir en récolter les fruits)
– abusus (pouvoir détruire les arbres)

Selon la Common Law, la pleine propriété se décomposeen :
– legal ownership (propriété juridique) : pouvoir administrer les biens et en disposer librement.
– equitable ownership (propriété économique) : pouvoir exclusif de prétendre au profit et à l’usage des biens.

Il n’existe pas de définition légale officielle et précise du trust. C’est donc la doctrine et la jurisprudence qui ont tenté de définir cette notion.

Le trust est…

Pleasantville

* Ce qui différencie la vie dans Pleasantville et celle de David et Jennifer :

| La vie actuelle dans notre société | |
| La vie dans Pleasantville (avant la venue de David et Jennier) |
La sexualité | Dans la société d’aujourd’hui la sexualité est un sujet dont on parle ouvertement et que les jeunes découvrent assez tôt. | Dans Pleasantville, la sexualité est un sujet inexistant.Les jeunes n’en ont jamais entendu parler et mêmes les parents semblent ne rien en connaitre, même si cela est incohérent. |
La température | La température d’un bout a l’autre de la planète diffère complètement et change perpétuellement. | La température est toujours constante a Pleasantville, il fait toujours beau, il n’y a jamais de pluie ni d’intempéries. |
L’éducation | L’éducation dansnotre société occupe une place très importante et les matières que l’on y enseigne sont multiples. D’un pays a un autre elle diffère certainement, ce qui ne les empêche pas de s’intéresser a tout ce qui se passe dans le monde. | Par contre, a Pleasantville , l’éducation semble très limitée. Les connaissances s’arrêtent aux frontières de Pleasantville, ce qui fait que le contenu en est très pauvre.|
La vie conjugale | Dans la société d’aujourd’hui les couples se sont modernisés. Nous sommes loin du modèle patriarcal d’autrefois et la femme à tendance à se revendiquer l’égale de l’homme et s’émancipe. | Dans Pleasantville par contre, le modèle des couples reste très traditionnel et dépassé. La femme reste au foyer, s’occupe du ménage, de la cuisine et des enfants, tandis que le père defamille doit subvenir aux besoins de sa famille. |
Les activités | Aujourd’hui les activités que les gens pratiquent sont multiples et diverses, dépendamment des intérêts de chacun et elles peuvent appartenir a différents domaines (sports, loisirs, éducation, professionnel, etc.) | Dans Pleasantville les activités que les gens pratiquent semblent s’arrêter à la fonction qu’ils occupent en tantque personnages, et ce sont toujours les même activités pour tout le monde (Le lac, le restaurant, le bowling, le lycée etc.). |
Le bien et le mal | Dans le monde actuel il n’y a pas de définition claire et nette du bien et du mal. Il n’y a pas de frontière précise entre l’un et l’autre, et certains diront que c’est relatif. On retrouve donc du bien et du mal partout. | A Pleasantville parcontre le mal semble inexistant. Il s’agit d’une ville idéale qui n’est touchée par aucun problème. L’innocence règne et toute perversion est absente. |
La vie économique | Notre société actuelle est très inégalitaire économiquement. On retrouve plusieurs classes économiques et un gouffre peut séparer une classe d’une autre. On retrouve donc des riches, des pauvres et des gens qui se situent entreles deux. | A Pleasantville il ne semble pas y avoir de pauvres ni de misère. Tout le monde est bien loti et personne ne semble éprouver de difficultés financières. |
Le rôle de chacun | Il existe une infinité de profils humains sur Terre et le rôle de chacun ne peut se résumer a une seul facette de leur vie. Chacun a la liberté de choisir le rôle qu’il veut jouer. | A Pleasantville par contreles personnages n’ont pas beaucoup de facettes. Ainsi, le rôle du restaurateur se résume au poste qu’il occupe par exemple. Le rôle de chacun est déterminé par le scénario de la série télévisée, et étant donné qu’il y a des personnages plus importants que d’autres, le scénario peut traiter plus ou moins différemment du rôle qu’ils occupent. |
Le destin de chacun | Dans notre monde le destin dechacun est unique et personne n’est condamné le suivre. Chacun est libre d’écrire sa propre déstinée. | Dans Pleasantville le destin des personnages et prédeterminé et il dépend encore du scénario de la série télévisée. Les personnages vivent dans le déterminisme total. |
La prise de conscience | Aujourd’hui nous sommes conscients de tout ce qui nous entoure. Nous sommes éclairés sur les…

Ntic

LE HANDBALL

INTROduction
Le handball est un sport originaire d’Europe centrale et nordique au début du XXe s. Le handball est devenu une pratique universelle au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Condensé de plusieurs jeux populaires à la main, c’est le plus récent des grands sports collectifs. Le mot handball vient d’Allemagne, où il est resté très populaire, le mot hand veut diremain et ball veut dire ballon. Le handball est un sport collectif où deux équipes de 7 joueurs s’affrontent avec un ballon sur un terrain rectangulaire (dimensions : 20 mètres par 40 mètres) séparé en deux camps. Sport scolaire par excellence en Europe, le handball y est également pratiqué avec un statut professionnel en Allemagne, France et Espagne, notamment. Je vais dans une première partie vousparlez de l’historique du handball, dans une deuxième vous expliquez les principes et les règles, puis dans une dernière partie vous parlez du handball en France.

I- HISTORIQUE

Le handball est considéré comme un sport de conception danoise. Le Danois Holger Nielsen créa les règles du handball moderne en 1898. En 1919, le professeur allemand Carl Schellenz, de l’École normale germaniqued’éducation physique de Leipzig, propose une adaptation du Torball (sorte de « balle au but » pratiqué par les femmes allemandes)[]. Il créa alors le handball à dix-neuf.
La Fédération internationale de handball voit le jour en 1928. Le jeu se pratique alors en extérieur, à 11 contre 11. Le handball est un sport de démonstration aux Jeux de Berlin en 1936. En 1938, deux championnats du monde sontorganisés en Allemagne, et remportés par l’Allemagne : un championnat à onze et un autre à sept, avec quatre équipes européennes (Allemagne, Autriche, Danemark, Suède).La refondation de la Fédération internationale a lieu en 1946.
Dans les années 1950, le handball à onze est progressivement abandonné au profit du handball à sept. Ce sport jadis pratiqué en extérieur trouve refuge dans des gymnases.Le dernier championnat du monde à 11 a lieu en 1966. Le handball est admis au programme olympique masculin en 1972 et les femmes entrent en 1976.

II- PRINCIPES ET RÈGLES DU JEU

Au handball, le principe est de dribbler avec le ballon. Une fois qu’il a le ballon en main, le joueur peut avancer en dribblant d’autant de pas qu’il le souhaite, ne peut effectuer que 5 appuis (3 pas) sansdribbler et ne peut garder le ballon plus de trois secondes s’il reste immobile.
Une rencontre oppose deux équipes et se déroule généralement en deux mi-temps de 30 minutes chacune, séparées par une pause à la mi-temps de 10 minutes. Un temps-mort d’une minute par mi-temps et par équipe est disponible pour les équipes Le jeu se pratique avec un ballon de 58 à 60 cm de circonférence et d’un poidscompris entre 425 et 475 grammes pour les hommes (taille 3) et de 53 à 56 cm de circonférence pour un poids de 325 à 400 grammes pour les femmes (taille 2).Chaque équipe se compose de sept joueurs sur le terrain et de remplaçants (de joueurs de champ ou du gardien) généralement au nombre de cinq. Les joueurs sur le terrain sont : un gardien de but et six joueurs de champ, répartis la plupart du tempsen deux ailiers (droit et gauche), deux arrières (droit et gauche), un demi-centre (ou arrière-central) et un pivot. Le nombre de remplacements est illimité.

Une équipe comprend 12 joueurs. Seuls 7 joueurs (6 joueurs de champ et, obligatoirement, un gardien de but) se trouvent en même temps sur le terrain. Les autres joueurs sont des remplaçants ; ils occupent le banc de touche. Dans la zone dechangement ne peuvent se trouver que les joueurs remplaçants, les joueurs exclus et 4 officiels.
La tenue des joueurs de champ d’une équipe doit se distinguer clairement tant au point de vue de la couleur que des motifs de la tenue de l’adversaire. Le capitaine doit porter autour du bras un brassard de couleur contrastante et d’une largeur d’environ 4 cm. Le gardien de but doit porter une…

Les bons de souscription

Un bon de souscription permet d’acheter un titre déterminé (action, obligation…), aussi appelé support ou sous-jacent, à un prix convenu d’avance, appelé prix d’exercice, et jusqu’à une date donnée, appelée échéance. Les bons de souscription sont souvent émis au cours d’une augmentation de capital, et parfois au cours d’une émission obligataire.

Dans le premier cas, la société attache àchaque action nouvellement émise un bon de souscription « gratuit », qui permettra d’acheter une action d’ici à une date déterminée à un prix convenu. On parle alors d’ABSA (Action à Bon de Souscription d’Action).
Dans le second cas, la société attache à chaque obligation nouvellement émise un bon de souscription « gratuit », qui permettra d’acheter une action (cas de l’OBSA ou Obligation à Bon deSouscription d’Action) ou une obligation (cas de l’OBSO ou Obligation à Bon de Souscription d’ Obligation).

Après l’émission, le sous-jacent et le bon font l’objet d’une cotation séparée.

Le prix des bons de souscription varie en fonction de leur durée de vie, ainsi que des fluctuations du sous-jacent, qu’il amplifie, tant à la hausse qu’à la baisse : c’est l’effet de levier.Caractéristiques

La valorisation d’un bon de souscription
On évalue en général un bon à travers des formules qui donnent un cours théorique, à comparer avec le cours actuel pour savoir si le bon est sous- ou sur-évalué. Il existe pour cela deux méthodes : la méthode actuarielle, et la méthode de Black & Scholes. Il serait long de les détailler ici. Pour rester simple, on peut diviser le prix d’un bonde souscription en deux composantes essentielles : la valeur intrinsèque, et la valeur temps.

La valeur intrinsèque
La valeur intrinsèque (ou valeur immédiate ou réelle) d’un bon correspond à la valeur du bon si aujourd’hui correspondait à la date d’échéance du bon. Elle est égale à la différence entre le prix actuel de l’action et le prix d’exercice.

La valeur temps
La valeur tempsest d’autant plus importante que l’échéance est éloignée, et elle décroît d’autant plus vite que l’échéance est proche, comme le montre le graphique ci-contre.

En général, la perte de valeur temps s’accélère vraiment dans les six mois précédant l’échéance. C’est pourquoi il est préférable d’acheter des bons à longue durée de vie, d’autant qu’à l’échéance, la valeur temps est nulle. Durant cettepériode de 6 mois, la volatilité du bon est élevée, ce qui signifie qu’il est soumis à de fortes variations : l’effet de levier s’accroît en effet avec la diminution de la valeur temps.

L’effet de levier
Principe
Le bon de souscription amplifie toujours les mouvements du sous-jacent grâce à l’effet de levier. Ainsi, pour une faible mise de fonds initiale, l’investisseur peut gagnerautant d’argent sur un bon que s’il avait directement acheté le sous-jacent, ce qui aurait nécessité une mise de fonds plus importante. Ainsi, si le levier est de 5, une hausse de 5% du sous-jacent se traduira par une hausse de 5 x 5% = 25% du bon. L’effet de levier peut se transformer en effet-massue en cas de baisse du sous-jacent. Ici, avec un levier de 5, une baisse de 5% du sous-jacent setraduira par une baisse de 25% du bon.

Le levier se calcule de la manière suivante :

Cette formule reste malgré tout théorique, car, dans la pratique, la valeur temps joue un rôle d’amortisseur des variations du bon. En effet, celle-ci augmente la valeur du bon en s’ajoutant à sa valeur intrinsèque : cela abaisse donc le ratio de la formule ci-dessus, et donc le levier.

Exemple :
Soit lebon de souscription de la société X, dont la parité est de 3 bons pour une action, et dont le cours est de 50 Euros. L’action vaut 815 Euros. Le levier est de (1 x 815) / (3 x 50)= 815 / 150 = 5,43. Ainsi, toute variation de 1% du support se traduira théoriquement par une variation de 5,43% du bon.

Le taux de croissance annuelle nécessaire du sous-jacent

Principe
Le prix du bon de…

Good manager

Good manager:

You need to demonstrate a combination of leadership, managerial, and communication skills

A true leader has to exhibit courage and dedication.Courage in its ability to unify and motivate people balanced appropriately with professionalism, strong values, and humility.
He needs to be able to reach consensus andcreate a shared vision and purpose, and also establishing priorities and proactively setting direction.

Clearly articulating tasks and defining outputs is veryimportant. In addition, a manager needs to exercise the appropriate level of supervision: which means establish clear accountabilities and expectations and push work down tothe correct level in order to create a strong sense of ownership and leverage the skills of the team members. When necessary, coaching team members to help them developnew skills

Be a masterful communicator. A manager has to give each member of the team consistent and constructive feedback, importantly, both positive and negative.Not only once a year when evaluation process is taking place. Such feedback not only provides clear developmental objectives, but also signals to others that themanager values their contributions. Open communication quickly forms the foundation of mutual trust and respect.
States his points with remarkable precision and is expert atremaining objective and recognizing all sides of an argument. And, regardless of the volatility of a situation or the strength of his feelings, he always listens toall positions patiently and effectively controls his demonstration of emotion, thereby gaining the respect of others and lending additional credibility to his positions.

La ville-art

?Aujourd’hui les murs de nos villes sont recouverts par les panneaux publicitaires que beaucoup considèrent comme une pollution visuelle. C’est un univers visuel qui quotidiennement s’impose aux habitants de la ville sans rien leur apporter en contrepartie qu’une vague distraction. « Le temps de cerveau disponible » des passants, pour reprendre une expression du patron d’une grande chaîne detélévision, me semble aujourd’hui très mal utilisé.
Les murs ou les trottoirs, aujourd’hui mal exploités ou inexploités, offrent dans la ville un immense espace d’information, de communication, d’expression, qui pourrait être bien davantage alloué à la culture ou à l’art, avec pour conséquence un bénéfice certain pour les habitants.

Le mouvement Street Art, qui vit un vrai essor ces dernières annéesdans les villes du monde entier, me paraît l’embryon d’une grande révolution potentielle dans la vie quotidienne des citadins de demain.
Aujourd’hui un simple lieu de passage sans âme, demain la rue pourrait s’installer au coeur des activités de notre vie quotidienne comme un lieu d’enrichissement culturel et de partage, un lieu où les possibilités offertes sont multiples.

Apporter de lafraîcheur dans l’espace publicitaire en laissant régulièrement la place à des artistes de s’exprimer librement est une idée attrayante qui n’est plus seulement une fiction depuis les années 1980. Le collectif « Une Nuit » créé autour de l’artiste Jean Faucheur organisait des raids artistiques la nuit en recouvrant les espaces pub de tout un quartier d’oeuvres de street art. Devenue en 2003 « Le Mur »(Modulable, Urbain, Réactif), elle a finalement obtenu de la mairie du quartier un espace de 3m sur 8m sur lequel l’association fait la promotion de l’art contemporain et plus particulièrement de l’art urbain. Toutes les deux semaines un artiste s’y exprime librement.
J’ai suivi et photographié dans l’atelier de Jean Faucheur le processus de création du dernier en date « Titi from Paris ».
Cetteassociation admirable, au succès grandissant, révèle la possibilité d’une utilisation plus culturelle des murs de notre ville.

En plus du divertissement au sens noble qu’apporteraient de belles oeuvres graphiques dérivées du street art, on pourrait par exemple envisager des affiches-journaux quotidiennes qui proposent aux gens des contenus culturels comme des reportages sur le travaild’artistes contemporains ou bien des rétrospectives sur des artistes passés. L’occasion nous étant alors donnée de nous divertir et de nous cultiver entre deux stations dans le métro, au lieu d’être nez à nez avec une énième affiche femme-objet vendant je ne sais quel produit de grande consommation.
Le principe de l’affiche-journal est intéressant de par la nouveauté qu’il apporte dans l’exploitation d’unformat d’aussi grande taille.
L’affiche-journal doit à la fois rassembler plus de contenu qu’un simple message publicitaire et conserver tout de même sa propriété de lecture de loin. Il faut gérer les niveaux de lecture de manière à ce que les titres accrochent les passants et que ces derniers puissent aussi lire le texte courant sans devoir dans un premier temps s’en approcher. Dans un deuxièmetemps un plus petit corps pourrait être réservé pour des articles qui ne seraient lus que par les plus proches ou les plus intéressés.

Cinq minutes d’attente avant l’arrivée du bus ou bien du métro ? Le temps de regarder un des court-métrages d’animation diffusés en continu par les panneaux numériques muraux présents partout dans la ville, — On pourrait même imaginer qu’à l’aide de lunettesparticulières (au statut comparable à notre téléphone portable aujourd’hui) et par une technique informatique ingénieuse, ces écrans projettent à chacun indépendamment le programme qu’il souhaite voir, bien que tous regardent le même écran. — Ou bien le temps d’admirer la naissance de l’oeuvre de cet artiste de rue qui s’attaque au mur de la rue dédié à la création. Ou bien tout simplement…