Descartes

Souvent, le monde animal nous paraît beaucoup plus libre que le monde des Hommes car il y a une absence de contrainte sociale. L’animal fait ce qui lui plait, c’est à dire il suit ses instincts, iln’a pas de barrière morale. Mais pour ce qui est de l’être humain, est-il libre où est-il déterminé

Selon Jean-Paul Sartre, grâce à notre raison, nous sommes parfaitement libres de nos décisions etde notre propre construction intérieure. Au départ je suis, ensuite je suis quelque chose. Et ce quelque chose, je suis seule à pouvoir le composer. Nous sommes donc pleinement responsables de ce quenous voulons et de ce que nous faisons de ce vouloir. « Être libre, c’est choisir. Être libre, c’est même être obligé de choisir, car il n’est pas possible de ne pas choisir si je ne choisis pas jechoisis encore » je choisis de ne pas choisir. Et à chaque geste l’être pose ou ne pose pas, il exerce sa liberté pour déterminer ce qu’il est, ce que il sera et ce qu’il aura été. Cette liberté luisert à réaliser le projet qu’il est. Il est un projet et il dirige ce projet de son être en toute liberté. Cette conscience l’amène à faire des choix et à se construire. Au départ, nous ne sommes doncpas ce que nous voulons mais bien ce que nous faisons pour le devenir.

Même si l’être humain possède une responsabilité complète face aux actes qu’il pose, il n’en demeure pas moins que sa libertédoit se mesurer aux différents éléments qui tracent sa situation dans le monde. Son lieu de naissance, lieu où il habite, son apparence physique, son passé, son environnement, son prochain constituent« sa situation », et c’est uniquement dans cette situation et face à elle que l’homme est libre. Toujours selon Jean-Paul Sartre, la liberté est une liberté en situation dans la mesure où elle consistedans le parti pris d’agir à l’intérieur d’une situation particulière dont je ne suis pas nécessairement responsable au départ. Être libre, c’est assumer pour soi une situation en prenant le parti…

Marketing

La rareté : définition et effets sur le comportement du consommateur
Jeanne LALLEMENT CERMAT – IAE de Tours IUT de La Rochelle La rareté : définition et effets sur le comportement du consommateur Résumé : L’objectif de ce papier est de préciser la notion de rareté en comportement du consommateur. La rareté est une pratique en distribution assez courante. Cependant peu d’articles se sont attachésà clarifier cette notion, ses antécédents et ses effets sur le comportement du consommateur. La première partie propose une définition de la rareté. Les effets de la rareté sur les différents stades du processus de décision sont étudiés. Enfin, des voies de recherche sont proposées.
Mots-clés : rareté, comportement du consommateur

Scarcity: definition and effects on consumer behaviorAbstract: The purpose of this article is to specify the concept of scarcity in the field of consumer behavior. Scarcity is common practice in retail trade. Nevertheless, few articles have attempted to make the notion, its antecedents and effects on the consumer behavior clearer. First, this article focuses on a definition of scarcity. The impact of scarcity on the decisionmaking process is examined. Thenquestions for further research are suggested.
Key words: scarcity, consumer behavior

1

La rareté est une technique courante des enseignes de distribution. Les exemples de promotions basées sur le principe de rareté sont nombreux. A Noël dernier, l’enseigne H&M a créé la rareté avec la collection Lagerfeld. Les magasins ont été pris d’assaut. Le lancement de la Playstation 2 s’est orchestréautour d’une pénurie volontaire orchestrée par la marque. Pendant son mois d’offres promotionnelles, Carrefour vend chaque jour un produit différent à un prix très attractif avec des quantités affichées. Cette stratégie de la rareté pour susciter l’envie est déclinée dans le phénomène des séries limitées. De la voiture à la canette de soda, toutes les marques jouent sur l’offre unique ettemporaire. Même si la rareté est une pratique courante, les recherches académiques traitant du sujet sont peu fréquentes. La rareté est un terme polysémique. La définition littéraire de la rareté, ses applications managériales et les quelques recherches marketing traitant du sujet montrent des points de différence. Qu’est-ce que la rareté ? Quels sont les différents types de rareté ? L’objectif premierde ce papier est de clarifier la notion de rareté en confrontant les points de vue managériaux, sémantiques, économiques et académiques. Enfin, nous approfondirons ses effets sur le comportement du consommateur. Les écrits managériaux reconnaissent que la rareté génère une valeur perçue supérieure, elle motive le consommateur et peut déclencher l’achat. Comment la rareté fait-elle vendre ? Quelssont les mécanismes sous-jacents ? Nous nous intéresserons dans la seconde partie aux effets de la rareté sur les différents stades du processus de décision.

1- DEFINITION DE LA NOTION DE RARETE
Le mot rareté est souvent utilisé et rarement défini. Ce terme en marketing puise ses sources dans de nombreuses applications managériales. Cependant, le peu de littérature académique sur le sujetlaisserait à penser que la rareté est à ce jour plus une notion qu’un concept avec une représentation générale et abstraite consensuelle. Ainsi, nous allons d’abord présenter les différentes techniques du « marketing de la rareté » utilisées par les enseignes de distribution avant de faire le lien avec les autres approches sémantique, économique et académique. Notre objectif est de caractériser larareté, sa nature et ses antécédents. Les applications du « marketing de la rareté » : une rareté relative Le « marketing de la rareté » est en fait un ensemble de techniques utilisées en promotion des ventes visant à promouvoir le produit en le restreignant. « Imposer des restrictions à la promotion (notamment donner des indications sur la rareté et le nombre limité) constitue une information que…

Ne pas ouvrir, vous perdez votre temps

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetuer adipiscing elit. Sed non risus. Suspendisse lectus tortor, dignissim sit amet, adipiscing nec, ultricies sed, dolor. Cras elementum ultrices diam. Maecenasligula massa, varius a, semper congue, euismod non, mi. Proin porttitor, orci nec nonummy molestie, enim est eleifend mi, non fermentum diam nisl sit amet erat. Duis semper. Duis arcu massa, scelerisquevitae, consequat in, pretium a, enim. Pellentesque congue. Ut in risus volutpat libero pharetra tempor. Cras vestibulum bibendum augue. Praesent egestas leo in pede. Praesent blandit odio eu enim.Pellentesque sed dui ut augue blandit sodales. Vestibulum ante ipsum primis in faucibus orci luctus et ultrices posuere cubilia Curae; Aliquam nibh. Mauris ac mauris sed pede pellentesque fermentum.Maecenas adipiscing ante non diam sodales hendrerit. Ut velit mauris, egestas sed, gravida nec, ornare ut, mi. Aenean ut orci vel massa suscipit pulvinar. Nulla sollicitudin. Fusce varius, ligula nontempus aliquam, nunc turpis ullamcorper nibh, in tempus sapien eros vitae ligula. Pellentesque rhoncus nunc et augue. Integer id felis. Curabitur aliquet pellentesque diam. Integer quis metus vitae elitlobortis egestas. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetuer adipiscing elit. Morbi vel erat non mauris convallis vehicula. Nulla et sapien. Integer tortor tellus, aliquam faucibus, convallis id, congueeu, quam. Mauris ullamcorper felis vitae erat. Proin feugiat, augue non elementum posuere, metus purus iaculis lectus, et tristique ligula justo vitae magna. Aliquam convallis sollicitudin purus.Praesent aliquam, enim at fermentum mollis, ligula massa adipiscing nisl, ac euismod nibh nisl eu lectus. Fusce vulputate sem at sapien. Vivamus leo. Aliquam euismod libero eu enim. Nulla nec felis sedleo placerat imperdiet. Aenean suscipit nulla in justo. Suspendisse cursus rutrum augue. Nulla tincidunt tincidunt mi. Curabitur iaculis, lorem vel rhoncus faucibus, felis magna fermentum augue, et…

Lettres de mon moulin

??????? ??? ?????? ????? ?????? ??? ?? ???? ????? ????? ???????. ??????? ???????? ????? ????? ????? ??????? ?? ??????? ??? ??????? ?? ??????? ????????? ??????????? ?? ????????? ??? ??? ????? ??????????? ????? ????? ????? ?????? ??????? ?? ??????? ??? ??????? ????? ????? ???????. ??? ?????????? ?????? ???? ???? ??????? ??????????.

????? ????????? ???? ???????? ???????? ?????? ??????? ????????????????. ???? ???????? ????? ??????? ?????? ?? ???? ??????. ??????? ??? ???????? ???????? ????? ?????? ?????? ??? ??? ??? ??? ?? ??????? ??????? ???? ??? ????? ?????? ???? ?? ???? ?? ????????. ???? ??? ???????????????? ??? ??????? ?????????? ????? ????? ?????? ?????? ??? ?????? ??? ???????? ????? ??????? ???: ??? ?????? ?????? ???? ??? ???????? ???????? ?? ????? ????. ??? ??????? ????????? ?????? ???????????? ?????? ??? ??? ????????.

?? ??????? ? ?????? ????? ?????? ? ???? ???? ?????? ?????? ?? ???? ??????? ??????? ??: 1- ??? ???? ????? ????? ????? ????? ????? ?? ???????? ???? ????? ????? ?? ????????? ?????? ???????? 2- ???? ?? ????? ??????? ?????? ???? ????? ???? ???? ????? ?? ???????? ???? 3- ???? ?? ??? ????? 4- ??? ????? ??????? ????? ????? ?? ??????? ??????? ??????? ?????? ?????? ?? ????? ????????????.

??? ???? ??? ????????? ??????? ??? ????? ?? ???? ?????? ???????? ???? ??????? ???? ?? ????? ????? ?? ?????? ?? ??? ??? ??????? ????. ???? ???????? ?????? ? ?? ?? ??? ????? ? ?? ??? ???????????.

???? ???????. ????? ??????? ????? ?????? ?? ????? ????? ?? ????? ?????? ??? ???????? ?? ???????. ??? ?? ?????? ???? ??? ??????? ???????? ????????? ????????. ?????? ?? ????? ??????? ??? ??? ?? ???????? ???? ????? ??? ??????? ???????? ??????? ???????? ??? ??????? ????? ?? ??? ?????? ??? ???????? ?????? ???? ???? ???? ??????? ???????? ??????? ?????.

???????? ????????? ?????????? ???????. ??????????? ??????? ??????? ?? ?????? ???? ?????? ????? ??????? ??????? ???? ?????? ?? ??????? ????? ????? ?????? ????????? ??? ???????? ????????? ?????. ??? ????? ??????? ?????…

Le travail

SEQUENCE 1. Dom Juan de Molière, ou l’origine d’un mythe

Objets d’étude :
Le théâtre, texte et représentation.
Les réécritures.

Perspectives d’ensemble :
Une pièce qui illustre unpersonnage, le libertin et un comportement : le défi, la transgression.
Le mythe de Don Juan et son évolution.

Œuvre intégrale. Lectures analytiques (édition au choix des élèves):
1. La scène d’exposition,I, 1 : dernière tirade de Sganarelle, « Je n’ai pas grande peine à le comprendre » à « je dirais hautement que tu aurais menti. »
2. L’éloge de l’inconstance, I, 2 : « Quoi ! Tu veux qu’on se lie »à « pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses. »
3. La scène du pauvre, III, 2.
4. Un dénouement baroque, V, 5 et 6.

Activités et documents complémentaires :
• Synthèses :
La structurede la pièce et ses irrégularités
L’aspect baroque et fantastique d’une pièce inclassable
Les relations entre Don Juan et Sganarelle
• Textes complémentaires :
Une ouverture musicale : l’élogedu tabac
L’accueil de la pièce par les dévots : extraits des « Observations sur une comédie de Molière » par le sieur de Rochemont de1665 et des « Sentiments des Pères de l’Eglise sur la comédie etles spectacles » par le prince de Conti de 1666.
• Réflexion sur les mises en scène possibles du personnage et de la pièce :
L’ambiguïté de don Juan à travers différentes incarnations dupersonnage (comparaison de photographies).
L’interprétation de la pièce : comparaison de deux mises en scènes au choix radicalement différent : la version cinématographique de Marcel Bluwal, et la versionscénique d’Armand Delcampe.

Réécritures :
1) La réécriture de la pièce : comparaison du dénouement dans les versions de Tirso de Molina, de Molière et du Don Giovanni de Mozart et Da Ponte.
2)L’évolution du mythe :
La vision hédoniste du séducteur dans l’opéra de Mozart : l’air du catalogue (I, 6), dans la version de Joseph Losey.
L’évolution romantique du mythe de Don Juan : Barbey…

Korea porter

The current issue and full text archive of this journal is available at www.emeraldinsight.com/1361-2026.htm

ACADEMIC PAPER

The diamond approach to the competitiveness of Korea’s apparel industry
Michael Porter and beyond
Byoungho Jin
Oklahoma State University, Oklahoma, USA, and

The diamond approach

195

Hwy-Chang Moon
Seoul National University, Seoul, South Korea
AbstractPurpose – The Korean textiles and apparel-related industry has played a major role in the country’s development; however, this sector’s competitiveness is decreasing due mainly to labor costs. As with the country’s economic development, the new sources of competitive factors need to be strategically developed and cultivated. The purpose of this study is to explore what constitutes a country’scompetitiveness in the global apparel market after losing its labor competitiveness and how a country effectively achieves it. Design/methodology/approach – This study employs two competitiveness models, Porter’s diamond model and a generalized double diamond model, as a theoretical framework. Along with two theoretical models, this study employs extensive literature reviews, examples of successful?rms, and four interviews with ?eld practitioners in the Korean apparel industry. Findings – Beginning with Porter four determinants (factor conditions, demand conditions, related and supporting industries, and ?rm strategy, structure, and rivalry), new sources of competitive advantage factors are suggested for the evolving industry. The generalized double diamond model incorporates internationalactivities, which may occur either within a country or outside a country. Utilizing generalized double diamond model, the future directions and solutions for the industry with the identi?ed new competitive factors were suggested. Originality/value – Based on the models and the identi?cation of new competitive factors, the Korean apparel industry is reviewed, and recommendations are made for itscontinued growth in the global marketplace. Implications pertaining to the creation of a dynamic self-reinforcing diamond system were also suggested. Keywords Competitive advantage, Textile industry, South Korea, Modelling Paper type Research paper

Introduction The textiles and apparel-related industry has played a major role in the development and economic success of South Korea (Korea, hereinafter.).This important industry cluster in Korea has accounted for 41 percent of its total exports during 1970 and nearly 30 percent during the 1980 (Dickerson, 1999; Porter, 1998). Korea represents the ?fth largest exporter of textile and apparel-related goods in the world, followed by China, Italy, the US and Germany (Korea Federation of Textile Industries, 2002). However, its contribution to both theKorean and international competitiveness is

Journal of Fashion Marketing and Management Vol. 10 No. 2, 2006 pp. 195-208 q Emerald Group Publishing Limited 1361-2026 DOI 10.1108/13612020610667504

JFMM 10,2

196

decreasing due to an increase in labor costs. During 2002, while it still maintained major trade surplus and remained as the country’s largest employer, it only accounted for10.1 percent of the exports, as compared to 41 percent during 1970 (Korea Federation of Textile Industries, 2002). In 2000, the hourly wage of Korea was $5.73, as compared to $0.41 in China, nearly 14 times higher than that of China. Due to high labor costs, more clothing companies have sourced clothing for domestic consumption from lower wage countries (Korea Federation of Textile Industries, 2005).Cheap labor serves as a developing country’s competitive tool in global markets. However, as in the Korean case, cheap labor lasts for only a short time. As with the country’s economic development, the new sources of competitive factors need to be strategically developed and cultivated. Therefore, knowing what constitutes new sources of competitive advantage is critically important to set a…

La conscience est la marque meme de l’homme

La conscience est la marque même de l’homme. Elle est ce qui le distingue du règne animal et végétal car si ceux-ci sont, ils ne savent pas qu’ils sont ni ce qu’ils sont. Cette première analyse nous permet d’aborder la conscience en l’assimilant à un savoir. Mais, si la conscience est consciente d’elle même ainsi que du caractère singulier de l’individu dont elle est la conscience, d’où tiretelle ce savoir ? Celui-ci lui est-il inné ou bien est-ce un savoir qu’elle a pour tâche d’acquérir ? Si cette seconde possibilité se révèle exacte, comment alors pouvons-nous penser le rapport entre une conscience qui nous est présente naturellement et un savoir qui lui semble consubstantiel et qui pourtant demande à être l’objet d’une acquisition de notre part ? La conscience ne serait-elle doncqu’une faculté qu’il nous faudrait cependant développer si nous voulons accéder à la réalité de notre être conscient ? Mais, si tel est le cas, de quelle manière doit-on interroger notre conscience ? Quel rapport doit-on entretenir avec elle afin de parvenir à une parfaite connaissance de soi ? Pour Hegel, l’acquisition de la conscience de soi se ferait de deux manières : de l’intérieur à la manièred’une théorie, et de l’extérieur à la manière d’une pratique.
Cependant, comment comprendre le rapport que ces deux manières entretiennent entre elles ? Doit-on y voir deux étapes successives qui, en se complétant, permettraient à l’homme d’accéder à la plus juste saisie de soi possible ; ou bien doit-on y voir une interaction de l’intériorité et de l’extériorité qui ferait que toutes prises deconscience, même celles se portant exclusivement sur le monde extérieur, se dégèleraient au final n’être qu’une expression déguisée de la conscience que l’homme prend de lui-même, quelque soit le domaine vers lequel se porte son attention. En bref, toute position consciente se ramènerait toujours pour l’homme à la conscience que celui-ci peut prendre de lui-même. Etre conscient du monde et êtreconscient de soi seraient dès lors synonymes.
1 – La conscience comme spécificité humaine. (Ligne 1 à 6)

Hegel pose d’emblée ce qui distingue radicalement l’homme de toutes les autres espèces que celles-ci soient végétales ou animales : c’est le fait qu’il soit un être doué originellement de conscience. Celle-ci, qui est une donnée naturelle de l’humanité, ne peut être traitée par l’analysecomme un attribut quelconque. Sa présence ne nous différencie pas accidentellement des autres vivants ; elle nous différencie essentiellement. Pour bien marquer cette spécificité de la conscience, Hegel utilise le couple conceptuel « immédiateté » et « médiateté ». Alors que les autres espèces ont un rapport immédiat au monde et à eux- mêmes, l’homme est ce seul être pour qui tout rapport se trouvenécessairement médiatisé par le fait même d’être conscient. Dès lors, Hegel distingue le vivant, qui est simplement  » en soi « , de l’homme qui est essentiellement un être  » pour soi « .
La difficulté de l’analyse commence à se préciser à partir du moment où Hegel nous dit que l’homme  » a une double existence : il existe d’une part au même titre que les choses de la nature, mais d’autre part, ilexiste aussi pour soi, il se contemple, se représente à lui-même, se pense et n’est esprit que par cette activité qui constitue un être pour soi « . Comment doit-on entendre cette  » double existence  » ? Comment doit-on interpréter le  » d’une part « ,  » d’autre part « ,  » aussi « , ici employés par Hegel ? Doit-on y voir une simple juxtaposition, mais dans ce cas n’est ce pas scinder le sujet humain et luienlever toute unité véritable, ou bien doit-on voir dans cette conception additionnelle la marque plus profonde d’une prise en considération de la nature totale de l’homme, c’est-à-dire à la fois sa nature spirituelle en tant que sujet conscient et sa nature corporelle en tant que vivant inscrit dans un règne naturel dont il ne peut par aucun moyen s’affranchir ?
La réponse à une telle…

Structure et dynamique des mangroves

PROGRAMME DE BOURSES DE LEADERSHIP ET DEVELOPPEMENT DURABLE 2011-2012 FORMULAIRE DE CANDIDATURE Avant de remplir le formulaire de candidature, vous devez OBLIGATOIREMENT avoir déposé une demande d’admission pour l’été 2011 ou l’automne 2011 à l’Université Laval et vous être assuré de 1 respecter les conditions d’admissibilité suivantes : ! Avoir déposé au plus tard le 1 mars 2011, une nouvelledemande d’admission pour l’été 2011 ou l’automne 2011, dans un programme d’études menant à un diplôme à l’Université 2 Laval et ne pas être déjà inscrit à ce programme au moment du dépôt de la candidature ; Être engagé de façon exceptionnelle et soutenue dans une action à caractère social/humanitaire, environnemental, sportif, artistique ou dans des activités scientifiques (valorisant l’excellenceen recherche, peu importe le domaine disciplinaire) au Québec, dans les autres provinces canadiennes ou dans un autre pays, et se démarquer; Être citoyen canadien, résident permanent ou étudiant étranger; S’inscrire à temps complet pour les deux sessions d’attribution (automne 2011 et hiver 2012).
er

!

! !

Nous vous rappelons que vous devez être activement engagé dans la communauté etfaire preuve d’un leadership soutenu et de réalisations exceptionnelles, dans l’un ou l’autre des domaines suivants : leadership social/humanitaire, environnemental, scientifique, sportif ou artistique.

1- Veuillez identifier le type de leadership qui définit le mieux votre action et pour lequel vous
postulez au programme de Bourses de leadership et développement durable 2011-2012. Un seuldomaine doit être coché. Si plus d’un choix est effectué, la demande sera automatiquement rejetée. Leadership social (incluant le volet humanitaire); Leadership sportif; Leadership scientifique (valorisant l’excellence en recherche, peu importe le domaine disciplinaire). Leadership environnemental; Leadership artistique;

2- Renseignements personnels
Numéro d’étudiant (NI) : Prénom : Sexe : Villed’origine : Région d’origine : Date de naissance :
Année

Nom : masculin féminin

Pays d’origine: /
Mois

/
Jour

Courriel :

1 2

Dans le présent document, le genre masculin est utilisé sans discrimination. Au moment de l’offre de bourse, le candidat devra avoir reçu une offre d’admission conditionnelle ou définitive. Les candidats en liste d’attente ne pourront être retenus.

1 Adresse permanente : Adresse : Ville : Province/territoire : Code postal : Pays : Numéro de téléphone : Autre numéro de téléphone : Adresse pendant l’année scolaire : (Si elle est différente de votre adresse permanente). Adresse : Ville : Province/territoire : Code postal : Pays : Numéro de téléphone : Autre numéro de téléphone :

3- Établissement d’études actuellement fréquenté
Vous devezrépondre à toutes les questions ci-dessous relatives à l’établissement que vous fréquentez actuellement, le cas échéant. Études en cours : Nom du programme : Nom de l’établissement : Ville : Vous étudiez à : Demande d’admission pour : Baccalauréat Temps complet Été 2011 Maîtrise Pays : Temps partiel Automne 2011 Doctorat

Programmes d’études pour lesquels vous avez déposé une demande d’admission :2

4- Établissements antérieurs
Énumérez tous les établissements postsecondaires que vous avez fréquentés avant l’établissement actuel, en commençant par le plus récent. Nom de l’établissement 1. 2. 3. 4. 5. Ville et Pays De À (mm/aa) (mm/aa) Diplôme obtenu Date d’obtention du diplôme

5- Prix et bourses d’études
Énumérez toutes les bourses d’études et tous les prix, que vous avez reçusdans le cadre de vos études universitaires. Nom de la bourse 1. 2. 3. 4. 5. 6. Nature de la bourse Année(s) scolaire(s) de réception Montant Montant annuel total

6- Emplois
Énumérez les emplois et les stages rémunérés que vous avez occupés depuis janvier 2007, en commençant par le plus récent. Nombre De À d’heures (mm/aa) (mm/aa) par semaine

Employeur 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Emploi/type de…

Faire ce qu’on veut, est-ce faire ce qui plait ?

Tout ce que je veux ne peut que me plaire. Car, j’agis alors conformément à ma nature. Comment un homme pourrait-il vouloir ce qui lui déplaît. Même le masochiste désire ce qui lui plait àsavoir la douleur et le déplaisir. MAIS, pour être moral ne faut-il pas faire parfois ce qui nous déplaît ? Seule la conscience morale peut me dicter ce que je veux. La volonté bonne (Kant)doit être disjointe du plaisir et de la jouissance.
plaît

Où donc chercherai-je le bien et le mal ? Au dedans de moi, dans ce qui est à moi.» Ne dis jamais des choses extérieuresqu’elles sont bonnes ou mauvaises, utiles ou nuisibles, ni quoi que ce soit en ce genre. » (ÉPICTÈTE – Entretiens) Introduction La plupart des hommes se heurtent aux difficultés de l’existence, ensont troublés, et souvent abattus. Ils sont remplis de soucis, d’inquiétudes, de craintes vis-à-vis de leur avenir. ÉPICTÈTE avec les stoïciens dans un temps où il en était déjà ainsiprêchait une sagesse destinée à porter remède à cette attitude humaine. L’idée principale de ce texte est le résumé même de la morale stoïcienne : savoir supporter sans trouble ce qui ne dépend pasde nous – et assumer sagement ce qui dépend de nous. Articulation de cette pensée: Le premier des deux paragraphes présente le principe même qui vient d’être énoncé. Mais il insiste surl’assurance dans la vie que donne l’attitude stoïcienne. Le second montre de façon plus précise l’activité que l’homme doit déployer pour avoir cette attitude stoïcienne : indifférencevis-à-vis de.
faire

* I) Faire ce que l’on veut est faire ce qui plaît.

a) Nul n’est méchant volontairement.
b) Vouloir, c’est être libre.
c) Toute volonté est volonté morale.

*II) Faire ce que l’on veut n’est pas faire ce qui plaît.

a) Plaire n’est pas le but de la volonté.
b) La vertu n’a pas à plaire.
c) Faire ce que je veux peut être faire ce qui déplaît.

Redaction d un commentaire

Résumés, discussions et commentaires composés

Méthodologie du résumé
L’intérêt de l’épreuve de résumé:

_ démontrer une aptitude à entrer dans le raisonnement de quelqu’un, à en saisir le sens et à en rendre compte objectivement
_ prouver une capacité à respecter des consignes et des contraintes strictes
_ évaluer une capacité de compréhension

Les étapes pour faire un résumé:

_ lirele texte attentivement pour en comprendre le sens global, en déterminer la structure pour dégager les idées essentielles et les idées secondaires
___=> trouver un titre
___=> repérer les connecteurs logiques
_ lire le paratexte (il aide à comprendre et donne le contexte)

De quoi parle le texte ?
Quelle est son intention ?
Quel avis expose-t-il ou réfute-t-il ?

=> on doit être capablede dégager:
____ les phrases énonçant les idées directives qui font progresser le raisonnement
____ les idées secondaires (les exemples) qui sont à supprimer du résumé

But du résumé:

Le lecteur doit pouvoir comprendre le résumé et les idées que l’auteur expose sans avoir à lire le texte de base

La reformulation des mots permet de montrer la compréhension et l’assimilation de la pensée del’auteur.

Les règles de base:

_ éviter de reprendre les mêmes tournures de phrase que l’auteur (mais garder les mots clefs !)
_ regrouper les paragraphes qui parlent de la même chose (pas de résumé de paragraphes les uns à la suite des autres)
_ dresser un plan pour exposer les liens logiques et les étapes du raisonnement
_ le nombre de paragraphes doit être proportionnel au texted’origine
_ enchaînement: utiliser des transitions malgré le souci d’économiser des mots
exemples de conjonctions: ainsi, aussi, mais, cependant, quoique, de même…
_ écriture, style: ne pas mettre de parenthèses (elles indiquent une remarque, un exemple, bref, une idée secondaire… et donc à supprimer !)
éviter les deux points qui débouchent sur une très longue énumération
éviter les phrasesalambiquées (privilégier les phrases courtes)
utiliser des synonymes, un vocabulaire approprié et original
_ orthographe: trois fautes maximum sinon vous serez notés sur 12
_ reformuler les arguments dans leur ordre d’apparition et sans changer le système énonciatif
_ ne pas recourir à un montage de citations (sauf pour les mots clefs)

ATTENTION !
N’oubliez pas d’indiquer le nombre de mots àla fin de votre résumé (sinon vous pouvez être sanctionné). Et ne mentez surtout pas sur le nombre…
remarques:
_c’est-à-dire = 4 mots, l’ = 1 mot…
_ n’écrivez surtout pas « l’auteur pense que, dit que, etc. », vous devez faire comme si vous étiez l’auteur !!(s’il dit « je » vous dites « je », etc.
_ si vous avez appris le vocabulaire du Vuibert, évitez de le mettre dans votre résumé car il fautque votre résumé soit facile à lire et les mots donnés dans le Vuibert sont parfois très spécifiques… gardez donc un vocabulaire abordable, simple.

Autre cours sur le résumé (avec exemples)

Textes à résumer

Textes courts (type Tours, Toulouse,…):

La culture d’entreprise (à résumer en 100 mots)
Le stade de l’embauche (à résumer en 100 mots) + sujet de discussion
Qu’avons-nous faitde leurs 20 ans ? (à résumer en 120 mots)

Texte long (type Lyon):

L’obsession de la santé parfaite (180 mots)

J’ai eu un petit bug: en fait, si vous passez Lyon, vous devez résumer ce texte en 15 lignes (de 15 cm chacune lol… bah oui j’avais mesuré…) Sinon, je crois que c’est pour Besançon qu’il faut le résumer en 180 mots (je n’ai pas passé Besançon alors je ne suis pas sûre).Remarque: si vous passez Tours, vous devez absolument respecter la limite de mots. Pour les autres concours, vous avez généralement une marge de plus ou moins 10% et à Lyon, vous ne devez absolument pas déborder des 15 lignes.

Mes résumés:

Ces résumés ne sont pas une correction officielle mais les résumés que j’avais fait en prépa, pour vous donner des idées de reformulation, de connecteurs…