Liberté de religion

La liberté de religion désigne le droit subjectif fondamental des personnes de choisir et de pratiquer une religion donnée et l’évaluation du respect de ce droit. Par extension, elle fait référence aux textes de droit, déclarations, pactes, conventions, lois, textes constitutionnels divers qui permettent d’affirmer, défendre, étendre ou limiter ce droit. La liberté de religion est un aspect de laliberté de conscience.

Concernant l’enfant, la déclaration de 25 novembre 1981 de l’ONU stipulait article 5 alinéa 1 : « Les parents ou, le cas échéant, les tuteurs légaux de l’enfant ont le droit d’organiser la vie au sein de la famille conformément à leur religion ou leur conviction et en tenant compte de l’éducation morale conformément à laquelle ils estiment que l’enfant doit être élevé. »et alinéa 5 : « Les pratiques d’une religion ou d’une conviction dans lesquelles un enfant est élevé ne doivent porter préjudice ni à sa santé physique ou mentale ni à son développement complet, compte tenu du paragraphe 3 de l’article premier de la présente Déclaration. »

En France, l’une des commissions parlementaires a publié en 1995 une liste de 173 mouvements jugés sectaires (selon descritères considérés comme vagues et pouvant englober de nombreuses organisations, religieuses ou pas) et proposé des modifications de législation qui ont mené au vote de la loi About-Picard en 2001.
Le gouvernement français a rappelé à diverses reprises que les rapports parlementaires sur les sectes n’avaient aucune valeur juridique. Pourtant, cette liste a porté (et porte toujours) atteinte auxlibertés de religions car :
* elle a dégradé l’image des mouvements listés,
* elle a été utilisée par certaines municipalités en dépit de ces recommandations, ce qui a donné lieu à des procès.
La liste de sectes, très controversée, a été officiellement abandonnée en 2005.
Article détaillé : Commissions d’enquête parlementaires sur les sectes en France.
À noter qu’en Belgique, lapublication d’un rapport similaire en 1997 [10] a provoqué une violente controverse au Parlement, qui a dû renoncer à définir une liste de sectes, et a valu à l’État belge une condamnation en justice en 2005 [11] .
Les commissions d’enquête parlementaires sur les sectes en France sont des commissions d’enquête composées de membres du parlement qui ont pour objectif de faire un état des lieux de l’ampleurdu phénomène sectaire en France.
Les rapports rendus par ces commissions ne constituent néanmoins qu’un élément d’information et de proposition, ils n’emportent pas de valeur juridique, et le gouvernement français a rappelé à diverses reprises qu’ils ne pouvaient justifier aucune mesure discriminatoire à l’encontre des groupes qui s’y trouvent listés.
Le premier rapport officiel datant de 1995 aétabli une liste de sectes, désormais considérée comme caduque ; un second rapport présentant un bilan de la situation financière de ces mouvements a été élaboré en 1999, enfin, un troisième rapport relatif à l’influence des mouvements à caractère sectaire et aux conséquences de leurs pratiques sur la santé physique et mentale des mineurs a été rendu public le 19 décembre 2006.
Ces rapports sebasent sur des informations fournies par les Renseignements généraux et par des associations spécialisées, telles l’UNADFI, qui se voient reconnaître de cette manière un statut quasi-officiel. Ils reprennent même quelques références à des publications spécialisées (souvent pour les estimations du nombre de membres) ainsi que de particuliers.
SECTE
Devant la grande difficulté de définir le conceptde secte, la commission a décidé de reprendre les critères observés par les Renseignements généraux, qu’elle considère comme « un faisceau d’indices, dont chacun pourrait prêter à de longues discussions. » :
* Dangers pour l’individu:
* la déstabilisation mentale ;
* le caractère exorbitant des exigences financières ;
* la rupture induite avec l’environnement…

Préface lorenzaccio

De l’histoire à la scène
6 janvier 1537, assassinat de Alexandre de Médicis par son cousin, Lorenzo de Médicis. Qui était-il ?
Brutus l’Ancien, fondateur dela République ; Brutus le Jeune, assassin de Jules César ; Éphésien Érostrate qui
incendia le temple d’Artémis pour passer à la postérité. Difficile detrancher.
Connu par l’historien Varchi.
Nouvelle de Marguerite de Navarre : il y est présenté comme un héros.
« Scène historique » de George Sand en 1831 : Uneconspiration de 1537.
De la Conspiration à Lorenzaccio
Musset utilise le texte de Sand mais uniquement comme d’un document parmi d’autres. Musset passionnédepuis
longtemps par l’Italie, nombreuses lectures.
C’est en influant ses obsessions personnelles à cette somme de sources qu’il écrit Lorenzaccio.Lorenzaccio, drame romantique
Lorenzaccio est un drame tragique qui met en scène l’Histoire mais pour dire que l’Histoire n’est que le retour
du même.
Parenté avec lasituation française de 1830 : remplacement d’un fantoche par un autre…
Modèle idéal : Shakespeare qui écrit sur le passé et sur les grands problèmes duprésent : quel est le fondement
du pouvoir ?
Musset met en scène un destin individuel/un destin collectif, celui de Florence en 1537 qui est la métaphore de
celuide la France de 1830.
Le discours de Tebaldeo est parodique du Génie du Christianisme que Musset n’appréciait guère.
Seuls deux personnages sont lucides etfont coïncider leurs actes et leurs paroles : le cardinal Cibo et
Lorenzaccio, ce qui importe, c’est de savoir manipuler un peuple habitué à être esclave.

On ne badine pas avec l’amour (commentaire sur le tragique de la fin de l’oeuvre)

Musset, célèbre poète et dramaturge français de l’époque romantique, donne, dans sa non moins célèbre œuvre On ne badine pas avec l’amour, une vision particulière de l’homme, de la femme et de l’amour qui se crée entre ces deux figures. Ainsi, puisque cet ouvrage est essentiellement basé sur l’amour entre les personnages, on retrouve de nombreuses scènes tragiques. Ainsi, nous nous poserons laquestion suivante : En quoi le dénouement de l’œuvre est il tragique ? Nous verrons donc, tout d’abord, en quoi la situation du dénouement peut être qualifiée de tragique, puis, nous observerons en quoi ce dénouement est tragique, du fait de la fatalité mise à l’évidence.

Tout d’abord, on remarque que la situation du dénouement est une situation tragique. Ainsi, dès le début de la scène finale,plusieurs évènements traditionnels de la tragédie se produisent. Tout d’abord Camille perd sa foi envers Dieu. Ce qui semblait diriger sa vie devient l’entrave principale à son amour. Plongée alors dans un paradoxe désespérant, elle accuse Dieu de l’avoir abandonné : « M’avez-vous abandonné ? », et ne peux plus imaginer sa vie à ses côtés : « Je ne puis plus prier ». Ainsi on peut supposer queCamille, ne pouvant plus se tourner vers l’Eglise, a succombé aux belles paroles de Perdican. De plus, les actions de Camille montrent de façon encore plus flagrante sa détresse, comme on le voit au début de la scène finale : « elle se jette au pied de l’autel ». Cette hypothèse d’abandon de la religion par Camille au profit de Perdican, du fait des belles paroles de ce dernier est appuyée par sondialogue qui charmera finalement Camille : « Ô mon Dieu, le bonheur est une perle si rare dans cet océan d’ici là-bas ». On remarque ainsi l’utilisation de métaphores, procédés d’argumentation efficace, auquel Camille succombera : « Oui, nous nous aimons, Perdican », l’aveu de l’amour caché entre les deux personnages de Camille et Perdican montre encore une fois un évènement traditionnel de latragédie. Enfin, la mort de Rosette montre aussi un évènement tragique, car plus que de signer la fin de l’amour éphémère entre Perdican et Camille : « Elle est morte. Adieu Perdican », cet évènement nous montre la mort d’un personnage innocent, n’ayant, à la base, aucun lien entre l’histoire d’amour de Perdican et Camille. Ainsi, Rosette meurt d’une profonde souffrance amoureuse, et illustreefficacement un des évènements traditionnels de le scène tragique: La mort dramatique d’un des personnages principaux de l’œuvre.
Ensuite, on remarque que la souffrance fait partie intégrante de cette scène. On l’observe tout d’abord avec le sentiment de culpabilité de Perdican, lors de la mort de Rosette. En effet, lorsqu’il sent le trépas de cette dernière : « Je ne sais ce que j’éprouve », ilemploie le champ lexical de la mort : « Mes mains sont couvertes de sang […] Je sens un froid mortel», et « ne faites pas de moi un meurtrier » Ainsi, cette plainte de Perdican montrant la participation de ce dernier au « crime involontaire » de Rosette, la souffrance de ce dernier se justifie, car Rosette n’est pas qu’un personnage manipulé aux yeux de Perdican. En effet, l’amour qu’elle éprouvesymbolise l’amour simple, idéalisé par Perdican, et la mort de cet amour le plonge dans un profond désespoir. On observe ce désespoir par les nombreuses apostrophes que Perdican lance à Dieu lors de son monologue : « Je vous en supplie mon Dieu ! […] Ne tuez pas Rosette, Dieu Juste ! […] Ne faites pas cela, ô Dieu ! » Ces nombreuses adresses à Dieu nous montre ainsi un Perdican pathétique, accablé dedouleur, avec un mince espoir de retrouver Rosette vivante, basé sur son acte de repentance désespéré : « Je réparerai ma faute […] ne faites pas cela ». On remarque aussi le caractère angoissé et apeuré de Perdican, caractère inconnu jusqu’à présent, on l’observe notamment lorsque Camille propose de porter secours à Rosette, Perdican la laisse y’aller seule : « Vas y Camille et tâche de la…

Crpe

Chapitre 3 : Des révolutions convergentes, 1780-1820

Ce chapitre analyse les changements à long terme survenus ds les processus économiques et politiques et fera une histoire des événements qui ont eu un impact sur eux.

Ds les années 1756-63, les affrontements survenus en Amérique et en Asie entre Européens hâtent la crise des régimes de type ancien. Ils contribuent à casser le systfinancier et à jeter le doute sur les capacités et donc sur la légitimité de leurs gouvernants

Les contemporains s’interrogent sur la crise mondiale

Ils comprirent que les drames de 1776 et 1789 auraient un impact mondial. Les révolutionnaires jacobins français proclament l’importance de la révolution française, de m^me temps qu’ils s’efforcent de la généraliser à l’ensemble de l’Europe. Lesesclaves noirs des Caraïbes se saisirent des idées de la révolution pour obtenir leur propre émancipation. Ces droits sont considérés comme allant de soi ce qui est remarquable.
Les intellectuels de droite et de gauche étant convaincus que la déclaration des droits de l’homme allaient amener la disparition de tte forme d’autorité morale ou politique.
Bien avant que n’éclate les révolutions en Amériqueet en Europe, les grands empires agraires de la planète, de même que les petits États à la marge, connaissaient déjà des tensions graves dues à des problèmes récurrents d’impôts , de financement de guerre, de légitimité.
Au début du XVIIIe siècle, les Sikhs de l’Inde du Nord annoncent une révolution du dharma c’est à dire de la vertu, ce qui les mot en conflit avec le pouvoir moghol. Les sikhsavaient le sentiment de former une communauté combative et distincte, une 4e voie à côté de l’hindouisme, de la chrétienté et de l’islam. Ds les années 1760, certaines sectes chinoises affirment que l’empereur Qing ne pouvait plus se prévaloir de son mandat céleste puisque la magistrature était corrompue et le peuple opprimé.
L ‘Amérique du Nord et l’Europe ne furent dc pas les seuls à mettre enpratique les dangereuses doctrines nouvelles de cette ère révolutionnaire. Partout dans le monde, l’effondrement des vieilles suprématies et l’arrivée soudaines d’agresseurs étrangers marquèrent une rupture dans l(histoire des populations autochtones. La révolution prit la forme dune invasion par les chrétiens. Les maladies eurasiennes dans certaines îles dont étaient porteurs les marins, lesentrepreneurs causa la disparition de la moitié de la population.
La formation d’États tjs plus puissants constitua l’héritage le plus marquant de l’ère des révolutions. Les évènement survenus entre 1780 et 1820 contribuent à l’émergence d’États Nations modernes, volontaristes et combatifs et le développement des l’ensemble du monde de sociétés « policées industrieuses et commerciales »

Anatomiesommaire de la crise mondiale, 1720-1820

L’existence de conflit est un trait inhérent a ttes les sct humaines, et c ‘est à tort que l’on présente ces dernières comme des syst en équilibre. Il paraît néanmoins légitime de parler de crise à propos des changements survenus entre 1780 et 1820.Le plus surprenant est surtout l’enchevêtrement des turbulences éco et pol à l’échelle planétaire durantcette époque.

La fin d’une longue paix : l’Asie et l’Afrique du Nord

S i les Indes Orientales semblent avoir connu une crise commerciale au XVIIe, pratiquement rien n’atteste que celle-ci ait sérieusement affecté le Sud et l’est de l’Asie. L’Europe avait mis un terme à ses guerres de religion. Le commerce intérieur se développe, les villes prennent de l’importance et nombre de maladies ontperdu de leur dimension épidémique pr ne plus affecter la population que de manière endémique.
L’éco des plantations à esclaves passe à la vitesse supérieure, à mesure que les colonies européenne d’ Amérique se développaient et progressaient.
Les états moyen-orientaux et asiatiques souffraient de ce que Paul Kennedy a appelé une « sur expansion impériale ». Il se trouvaient ds l’obligation de…

Ms project

Microsoft Project

Chapitre 1 : Gestion de projet……………………………………………………………………………………………….1 Introduction……………………………………………………………………………………………………………………..2 Gestion deprojet………………………………………………………………………………………………………………2 Chef de projet et formation de l’équipe de projet………………………………………………………………….2 Équipe du projet……………………………………………………………………………………………………………….3 Rencontres d’équipe…………………………………………………………………………………………………………4 Cycle de vie d’un projet…………………………………………………………………………………………………….5 Identification du projet ……………………………………………………………………………………………………..6 Planification duprojet……………………………………………………………………………………………………….7 Mise en oeuvre informatisée du projet ………………………………………………………………………………..8 Pilotage informatisé du projet…………………………………………………………………………………………….8Terminaison du projet……………………………………………………………………………………………………..10 Résumé …………………………………………………………………………………………………………………………10 Chapitre 2 : Identification et planification du projet………………………………………………………………11 Introduction……………………………………………………………………………………………………………………12 1- Identification d’un projet……………………………………………………………………………………………..12 Problématique…………………………………………………………………………………………………………….12 Description du projet …………………………………………………………………………………………………..12 Identification et analyse des options………………………………………………………………………………13 Estimation des intrants et extrants…………………………………………………………………………………13 Évaluation des risques …………………………………………………………………………………………………13 Stratégie de réalisation…………………………………………………………………………………………………14 2- Dimensions del’environnement……………………………………………………………………………………14 3- Planification du projet …………………………………………………………………………………………………14 Structure de fractionnement de travail……………………………………………………………………………15 Estimation des ressources…………………………………………………………………………………………….17 Préparation de l’échéancier…………………………………………………………………………………………..17 Dépendance entre les tâches …………………………………………………………………………………………18 Préparation de l’échéancier maître…

Droit

Bibliographie :
* Le « classique » : F. Terré, Ph. Simler, Y. Lequette (Dalloz 2009) = Droit des obligations
* Les « outsiders » : Ph. Brun (Litec 2009) / M. Fabre Magnan (Puf 2010 _ Volume 2)

Les courants doctrinaux :
* Positiviste (Kelsen)
* Jusnaturaliste
* Sociologique (J. Carbonnier Flexible Droit)
* Postmoderne, constructiviste (M. Delmas Marty), prospectif,alternatif

Qu’est ce que le droit des obligations ?
Le droit des obligations est la partie du droit civil qui régit les rapports unissant un créancier et un débiteur. Il comprend le droit du contrat (les obligations contractuelles) et le droit de la responsabilité (obligations délictuelles).

I. La notion d’obligation

On utilise le mot obligation dans 3 sens variés. Au sens courant,l’obligation est un devoir, cela peut même être une contrainte. On parle alors d’obligation morale, d’obligation familiale … Au sens boursier, l’obligation est un titre tout comme l’action. Ce sens est le sens le plus technique, il sera retenu en droit financier. Au sens juridique, l’obligation est un lien de droit unissant le créancier au débiteur.
Le droit objectif consacre les droits subjectifsqui sont des prérogatives conférées aux sujets de droit. Les juristes les ont distingués et classés pour faciliter leur apprentissage, il s’agit d’une « summa divisio » c’est-à-dire une distinction à laquelle aucun droit subjectif n’échappe. C’est la distinction entre les droits patrimoniaux et extra-patrimoniaux. Alors que ces derniers n’ont pas de valeur pécuniaire, les droits patrimoniaux sontdes éléments de richesse. Ils font partis du patrimoine de leur titulaire. Les droits patrimoniaux font eux-mêmes l’objet d’une classification dans laquelle on distingue notamment les droits réels et les droits personnels. Les droits réels sont ceux qui unissent une personne titulaire du droit en question à une chose (par exemple, le droit de propriété). Les droits personnels, ou droits de créance,sont ceux qui unissent une personne à une autre. Plus précisément, le droit personnel permet à une personne, le créancier, d’exiger quelque chose d’une autre personne, le débiteur. Ce rapport qui unit ces deux personnes se nomme rapport d’obligation. L’obligation se définie alors comme le lien de droit unissant le créancier au débiteur. Puisqu’elle est un lien, elle peut s’observer des deuxcotés. Ainsi l’obligation aura deux facettes : un aspect passif, si on l’envisage de l’aspect du débiteur qui est titulaire d’une dette, et un aspect actif, si on se place du coté du créancier qui est titulaire d’une créance.

II. Les classifications des obligations

L’intérêt juridique des classifications est que chaque type d’obligation est régit par des règles spécifiques. Il existe troistypes principaux de classifications selon la force, la source et l’objet de l’obligation.
§1 : La classification des obligations selon leur force contraignante

Les obligations mettent à part les obligations naturelles, qu’ils distinguent des obligations civiles. L’obligation civile est celle qui est assortie d’une sanction c’est-à-dire une obligation que le créancier peut contraindre sondébiteur à exécuter en exerçant une action en justice. L’obligation civile est ainsi susceptible d’exécution forcée. L’obligation naturelle est celle que le créancier ne peut pas contraindre son débiteur à exercer. Il s’agit d’une obligation sans sanction juridique. On peut dire qu’il s’agit d’un devoir de conscience. Les obligations naturelles correspondent à des situations assez exceptionnelles carexistent la ou la loi ne consacre aucune obligation civile.

§2 : La classification des obligations selon leur source

La source est l’événement qui donne naissance à l’obligation.
Par exemple : l’emprunteur doit rembourser la somme prêtée. La source de son obligation est le contrat de prêt.
L’automobiliste qui a blessé un piéton doit l’indemniser. La source de son obligation est…

La place de la femme à la télévision italienne

IL POSTO DELLA DONNA ALLA TV ITALIANA |

“ Ci ritroviamo oggi in una società dove le donne devono apparire ma, non troppo parlare” – Michela Marzano filosofa italiana .

Da la presa diSilvio Berlusconi dei canali televisivi come la RAI, le trasmissione italiane alla TV sono pesantemente criticare da la maggiorità di popolo italiano e di mondo. Queste critiche sono dovute delle “ donneoggetto” che si vede nelle trasmissione. In primo tempo, andremo definire il posto della donna alla TV italiana e nella società al momento attuale. In secondo tempo, vedremo i gruppi chi lottanocontro questo posto mediocre della donna nella società.

La donna alla TV italiana è diventata un oggetto sensuale, di fantasma. È sempre delle donne alla plastica perfetta. Queste venale sono reclutateper il loro corpo ma non per la qualità del loro lavoro. La presenza della donna in una trasmissione , da una dimensione sessuale e populista alla trasmissione. L’oggetto della presenza di questedonne, è di divertire da la provocazione e di mettere in ridicolo la donna. Loro sono esibite e paragonate a dei prosciutti ( per esempio: Nina Moric) . Ma la più importante mancanza di questetrasmissione e che sono spesso nel pomeriggio e che i canali sono dei canili populisti dunque accessibile ai bambini ! Allora se i bambini prendano per modello questo modo, questa visione delle donne vaperdurare nel futuro . Dunque , io, penso che questo obbiettivo è per mettere in potenza il mascolino. É una marca di discriminazione !
Ma il vero problema di queste “ donne-oggetto” si trova nel loroanima : é un complesso contro il tempo, una paura della vecchiaia .. sicuramente una paura di vivere ! Allora, come dice Lorella Zanardo nel suo documentario “ il corpo della donna”, il posto della donnanella nostra società è un problema d’identità , d’autenticità . Un grande e importante problema chi si generalisa nel mondo !
Guardiamo i cartooni, per esempio questi delle “ WINS”. È la storia di…

Cours stigmatisation bts sp3s

| Stéréotypes | Préjugés |
Définition | Idée préconçue que l’on se fait d’une catégorie de personnes ou d’un groupe social. Lippman, 1922, premier à introduire ce concept « catégdescriptives simplifiées, par lesquelles nous cherchons à situer autrui » Leyens, 1983, « théories implicites de la personnalité que partage l’ensemble des membres d’un grpe soc » | Opinion négative àl’égard d’un individu ou d’un groupe. Justras, 1981, « prédisposition à réagir défavorablement à l’encontre de pers sur la base de son appartenance à une classe ou une catég » Maisonneuve, 1985,réunit une pluralité de styp |
Origine socio- culturel | Font parti de notre héritage culturel au même titre que les normes, les habitudes |
Origine cognitive | S’explique parla manière dont les individus traitent l’info que leur transmet l’environnement. Cerveau a la capacité de catégoriser, classer les infos, simplification des infos entrantes, styp | |Fonctions | – maintenir et renforcer une identité sociale positive – explicative – anticipatrice – justification – de reconnaissance sociale | – socioaffective |
Caractéristiques |Sont à la base de la catégorisation sociale. Car les caractéristiques d’une catégorie sont basées sur des styp. Leyens, 1983, catégoriser permet de savoir ou de dire beaucoup de choses à partir de peud’éléments Maisonneuve, 1985, – uniformité: semblable dans un groupe déterminé – prégnance: intensité varie d’un individu à l’autre – durabilité, constance – tonalité affective: jamais neutres |3 compossantes: – affective – cognitive – comportementale |
Perceptions, relations intergroupes | – influencent la façon dont nous traitons les infos – orientent notre attention,mémorisation – dirigent notre interprétation – peuvent provoquer des comportements attendus : effet Pygmalion – peuvent entrainer des conflits Sherif, 1958, nécessité de mieux se connaître afin d’éviter…

Sciences criminelles – le terrorisme

Le terrorisme

Etymologiquement, le mot terrorisme trouve son origine dans le mot terreur qui lui-même tire son origine du latin terror qui signifie l’effroi. Le mot terreur correspond à des périodes politiques :
– La Terreur : nom donné à certaines périodes de la Révolution Française. La 1ère étant du 2 au 6 septembre 1772 où 11000 personnes ont été tué.
– La Grande terreur : (5 septembre1793) avec la Convention montagnarde qui avait pour but de faire respecter par la crainte et la guillotine les mesures politiques, militaires, économiques et fiscales jugées nécessaires au triomphe de la Révolution. Cette terreur prend fin avec la chute de Robespierre le 9 thermidor an II.
– La terreur blanche : mouvements violents de réactions contre la révolution qui se déroulèrent dans lemidi jusqu’en 1815.

Aujourd’hui, la notion de terrorisme s’analyse souvent sur la durée. Cette appréciation est aussi fonction des individus. En effet, des actes qui sont qualifiés de terroristes par les uns seront des actes de résistance pour les autres.
Aujourd’hui, il y a plusieurs formes de terrorisme :
– Terrorisme d’Etat (Libye, Israël…)
– Terrorisme intellectuel : toute lapopulation ne peut pas s’exprimer (Chine, Iran…)
– Bio terrorisme : menace terroriste manifestée par l’utilisation de produits chimiques, toxiques voire nucléaires (attaque au gaz Sarain en 1993 dans le métro de Londres)
– Cyber terrorisme.

I – Terrorisme

Définition : Ensemble des actes de violence commis par une organisation pour créer un climat d’insécurité ou renverser le gouvernementétabli
– Acte de guerre illicite dont la finalité est de promouvoir une cause politique, religieuse ou idéologique,
– Art. 421-1 du Code pénal : constituent des actes de terrorisme, lorsqu’elles sont intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur, les infractions suivantes :
o Lesatteintes volontaires à la vie ou à l’intégrité physique
o Les enlèvements et séquestrations
o Les détournements de moyens de transports
o Vols et extorsions
o Destructions et dégradations
o Fabrication, détention, transport et acquisition d’engins explosifs ou d’armes de 1ère et de 4ème catégorie.

On peut considérer que l’on est en présence de terrorisme lorsque 3 critères sontréunis :
– Une violence aveugle : on tue pour tuer
– Un chantage : on va exiger d’un état telle ou telle chose (l’indépendance…)
– Une publicité de l’acte : une revendication souvent en lien avec l’idéologie.

En droit français, d’autres comportements constituent des actes de terrorisme :
– Le fait d’introduire dans l’atmosphère, sur le sol, dans le sous-sol ou dans les eaux unesubstance de nature à mettre en péril la santé de l’homme ou des animaux ou à mettre en péril l’environnement (le bio terrorisme)
– La participation à un groupement formé ou à une entente établie en vue de la préparation caractérisée par un ou plusieurs faits matériels d’un des actes de terrorisme précédemment cités (association de malfaiteurs).

II- La résistance et le terrorisme sontdifférents

– La résistance a comme idéologie la libération du territoire des forces d’occupation.
– Le terrorisme veut imposer un mode de penser, un courant de penser voire un mode de vie
– Les actes de terrorisme visent principalement les populations civiles et la destruction matérielle alors que la résistance essaye de ne viser que les forces d’occupation
– Les actes de résistance,contrairement aux actes terroristes, sont perpétrés dans un état légitime.

III- Dispositif français de prévention et de lutte du terrorisme :

– L’UCLAT (unité de centralisation pour la lutte antiterroriste) : elle a pour mission la coordination des services chargés de la lutte antiterroriste mais surtout la centralisation des informations. Cette cellule est le correspondant privilégié avec les…

Sensation formule 1

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Le 05 Juin 2006 à Toulon

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Signature manuscrite
Azerty Poiuy
DirecteurMarketing «Sensation Formule 1

Version 2

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