Verlaine

Paul Marie Verlaine est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896.

Paul Verlaine est avant tout le poète des clairs-obscurs. L’emploi de rythmes impairs,d’assonances, de paysages en demi-teintes le confirment, rapprochant même, par exemple, l’univers des Romances sans paroles des plus belles réussites impressionnistes. C’est lui qui a lancé la notion de «poètes maudits ».
La famille de Verlaine appartient à la petite bourgeoisie : son père, comme celui de Rimbaud, est capitaine dans l’armée. Sa mère a vécu à Fampoux et a gardé longtemps sur lacheminée familiale les bocaux avec les fœtus de ses fausses-couches[1].

Paul Verlaine est né à Metz rue de la Haute-Pierre près des jardins de l’esplanade et du tribunal. Il est baptisé en l’EgliseNotre-Dame de Metz. Les Verlaine quittent la ville en 1851.

Installé avec sa mère au 26 rue Lécluse à la suite du décès de son père[2], il fréquente les cafés et salons littéraires parisiens puis, en1866, collabore au premier Parnasse contemporain et publie les Poèmes saturniens (où figure en particulier Chanson d’automne, que Radio Londres rendra célèbre). On y sent l’influence de Baudelaire,cependant que s’y annonce déjà l’« effort vers l’Expression, vers la Sensation rendue »[3] qui caractérise sa meilleure poésie. En 1869, les Fêtes galantes, des fantaisies évoquant le XVIIIe siècle deWatteau, confirment cette orientation. En 1870, il épouse Mathilde Mauté, à laquelle il vient de dédicacer La Bonne Chanson.

La France déclare la guerre à la Prusse, Paris est assiégé, le Second EmpireFrançais s’effondre et le nouvel Empire allemand est proclamé au Château de Versailles.

L’année suivante, Verlaine prend fait et cause pour la Commune de Paris, réprimée dans un bain de sang parle gouvernement d’Adolphe Thiers, installé à Versailles. Verlaine quitte Paris avec sa femme par crainte des représailles, et ce n’est que peu de temps après son retour à Paris, alors que le jeune…

Communication revision de 1ère

LE COMPORTEMENT DES INDIVIDUS | |
|Les facteurs socioculturels du comportement |
|Notions clé |Famille, institutions, organisations, groupes d’appartenance, groupes de référence (structures de socialisation). |
| |Cultures, normes, valeurs, modes de vie (cultures).|
|Contenus |Les facteurs socioculturels constituent l’ensemble des éléments extérieurs à un individu qui sont susceptibles |
| |d’influencer son comportement. |
|L’analyse de la demande : facteurs explicatifs del’achat, processus d’achat. |
|L’argumentation commerciale.* |
|Les facteurs psychologiques du comportement |
|Notions clé|Personnalité. |
| |Différences interindividuelles. |
| |Principaux traits de personnalité (introversion/extraversion ; autonomie/soumission ; stabilité/instabilité ; |
||logique/affectif). |
| |Émotion. |
|Contenus |La personnalité est le profil global d’un individu. C’est le résultat d’éléments innés et d’élémentsacquis dans |
| |l’environnement socioculturel. |
| |Le caractère peut être défini comme l’extériorisation de la personnalité. |
| |L’identité désigne la façon dont la personne elle-même se définit et sereconnaît. |
| | |
| |Les émotions, réactions psychiques (joie, colère, tristesse, peur, dégoût, surprise) modifient la perception de |
| |l’environnement. L’expression des émotions traduitune volonté d’entrer ou non en relation interindividuelle. |
|L’analyse de la demande : facteurs explicatifs de l’achat, processus d’achat. |
|L’argumentation commerciale. |
|Sensation et perception|
|Notions clé |Universalité et relativité des processus de sensation. |
| |Processus de perception : attention, interprétation, compréhension, mémorisation. |
||Biais de la perception : situationnels, individuels et sociaux (stéréotypes, préjugés). |
|Contenus |La sensation est basée sur les informations captées par les 5 sens. Comme tous les individus n’ont pas les mêmes |
| |capacités sensorielles, le processus de sensation a un caractère relatif. |
|…

17Es.: contexte d’écriture des tragédies de racine

Le XVIIe siècle : quelques éléments pour contextualiser.

Le siècle de Louis XIII et Louis XIV se situe après une période très troublée, qui a connu de grands bouleversements à bien des niveaux :- Le 16e siècle a été marqué par les guerres de religion, qui ont déchiré la France entre Pro-testants et Catholiques (le paroxysme : la St Barthélemy, en 1572 ; Dumas a écrit un roman his-toriquesur la question : La reine Margot)) et donné lieu à des massacres sanglants. Bien que l’Edit de Nantes ait conduit à plus de tolérance (1590), les horreurs du siècle précédent restent très présentesdans les esprits, d’autant que le règne de Henri IV s’est achevé tragiquement. Le 17e siècle aussi est politiquement instable : il est marqué par des révoltes de protestants (comme à La Rochelle, cf A.Dumas, Les trois mousquetaires), et le soulèvement d’une partie de la noblesse après la mort de Louis XIII (La Fronde : 1648-1652), alors que Louis XIV était trop jeune pour régner (cf encore Dumas,Vingt ans après).

– Dans le cadre de la lutte contre l’ « hérésie », dès le 16e siècle l’Eglise catholique met en place une riposte (la Contre-Réforme). Le protestantisme se répand en Europe(Angleterre , Hol-lande notamment), menaçant son pouvoir. Les Protestants relisent les textes sacrés et accordent bcp moins d’importance aux intermédiaires que sont les prêtres. Le plus important : ilsveulent une religion épurée, notamment de ses débauches, de son avidité (l’Eglise catholique = une im-mense puissance politique, et surtout une très grande richesse). Cela ne peut que déplaire à Rome … Enréaction à cette nouvelle religion austère et stricte, Rome veut faire étalage de sa puissance et de sa richesse, grâce aux arts. Le 16e siècle voit ainsi la naissance d’un courant artistique , dansles premiers temps au service de la religion : le Baroque (d’abord en Italie).

– Le 17e est aussi marqué par un bouleversement des idées : jusque-là, l’homme était au centre du monde. Les…

Jeux urbains

Jeux urbains… action!

Un portable, tu en as peut-être un, et un GPS, tu connais, bien sûr! Mais as-tu déjà entendu parler des jeux de ville qui combinent GSM et GPS? Ambiance et action garanties! Reportage sur ce nouveau style de jeu en ville.
Entre réel et virtuel
Tu joues peut-être régulièrement à des jeux d’ordinateur avec tes amis internautes. Mais tout ça, c’est du virtuel, rien debien réel là-dedans… Tu aimerais vivre de nouvelles aventures? Alors, les nouveaux de jeux de ville te plairont certainement. Ils combinent la réalité et la virtualité. Avec ces jeux, pas question de rester assis derrière ton ordinateur! Tu devras bouger et même parfois courir de toutes tes forces si tu veux gagner! Comment ça marche? Il faut par exemple chercher un bandit évadé*, un trésor biencaché ou bien jouer le rôle d’un manager qui doit s’occuper d’une entreprise virtuelle! Et tout se passe dans un décor réel: les rues du centre d’une vraie ville! Pour ces jeux, ton instrument de travail est un GSM avec un GPS intégré. De la haute technologie donc. Grâce au récepteur GPS intégré, on connaît la position de chaque joueur. Tous les portables sont équipés d’un logiciel de jeu avec unecarte de la zone du jeu. Ainsi, tu sais exactement où tu te trouves et tu peux facilement retrouver un objet virtuel, regarder un indice ou placer une bombe par exemple. Le temps est aussi très réel: une durée de 2 à 3 heures. Et les autres éléments virtuels alors? Ce sont les objets que tu devras collecter sur ton chemin: un couteau, une voiture ou encore de l’argent…
Le GPS interactif
Danstoutes les grandes villes européennes, on peut jouer à ces jeux urbains (‘urban games’). En Belgique, c’est surtout en Flandre qu’on les propose. A Gand par exemple, on voit régulièrement des jeunes – ou des moins jeunes! – qui se déplacent en petites équipes avec un portable qui leur indique le chemin. On joue seul ou en équipes de 2 à 4 personnes. Pour chaque jeu, tu pars à l’aventure avec un seulportable en main. Grâce au téléphone, tu restes en contact permanent avec le serveur de jeu qui dirige le jeu. Ainsi, tout devient interactif. Tu es constamment en ligne. Ça veut dire que les autres participants peuvent te voir évoluer sur l’écran de leur GSM. Et toi aussi, tu vois la position des autres équipes. Tout ce que tu fais, peut avoir des conséquences directes pour les autres équipes. Lejeu dure environ 2 heures. Il faut compter une demi-heure pour les explications au début, et une vingtaine de minutes pour le débriefing à la fin. Un total de trois heures de plaisir donc! Tu vois tout sur ton écran, même si les autres se trouvent à plus de 200 mètres de toi!
Attrape-moi, si tu peux!
Le premier jeu urbain qui a été lancé s’appelait ‘The Target’, en français: ‘Attrape-moi, si tupeux!’ Dans ce jeu, un gangster dangereux s’est échappé. La police essaie de le retrouver avec 3 équipes. Le gangster attaque des banques parce que son but est de trouver 1 000 000 d’euros et de quitter la ville avec cet argent: s’il y réussit, c’est lui qui a gagné! Avant de commettre ces attaques, le bandit doit récupérer des objets (virtuels) en ville: une bombe, une corde, une échelle*… Maisévidemment toi, tu vois où il se trouve sur ton écran! Donc, la chasse peut commencer! De quel côté seras-tu dans ce jeu: gangster ou police?
Si tu préfères la chasse au trésor, ‘Le trésor du Moine*’ est un bon jeu pour toi. Dans ce jeu de piste*, les participants doivent trouver des pièces en or qu’un moine a cachées. Tu recevras des descriptions cryptées que tu devras déchiffrer* pourrécupérer les pièces en or. Evidemment, il y en a d’autres qui cherchent ce trésor, une bande de voleurs par exemple. Il faudra donc trouver une épée* ou un cheval pour te protéger. Tu pourras les mettre dans ton camp de base où ils seront en sécurité. Tu as aussi la possibilité de négocier* avec les autres pour avoir encore plus d’objets. Un vrai travail d’équipe donc!

D’autres aventures urbaines…

Le rire – moyen détourne pour faire de la politique – plan

Le rire – moyen détourné pour faire de la politique

INTRODUCTION

I. LA DÉRISION – UN JEU INHERENT AU POUVOIR – HISTORIQUE

1. Antiquité

• En Grèce, ex. : Aristophane, père de lacomédie politique

• Dans le monde latin, ex. : Plaute, l’auteur comique latin par excellence ; César, l’objet de nombreuses railleries

2. Du Moyen Age à la Renaissance

• Les fous duroi et les bouffons , ex. : Triboulet – au service de Louis XII et de François 1er

• Evolution de leur rôle au XVIème siècle, ex. :Guillaume Marchand (dit Maitre Guillaume).

3. Au XVIIèmesiècle

• Critique politique déguisée en critique des moeurs, ex. : Molière – « Bourgeois gentilhomme » et « Tartuffe »

4. Au XVIIIème siècle

• La subversion contre l’absolutisme, ex. :« L’Ingénu » de Voltaire; « Le Ridicule », film de Patrice Leconte, 1996

5. Au XIXème siècle

• Liberté de la presse, développement de caricature et satire politique, ex. : « Le Grelot »,« Tribulet », « Le Rire », « La Caricature », « La revue comique à l’usage des gens sérieux »

6. Au XXème siècle

• La presse : la caricature et la satire, ex. : « Le Canard enchainé », « CharlieHebdo » ; témoignages des caricaturistes : Pessin, Ranson, Alex et Philippe Deslestre

• La télévision, ex . : « La boite à sel » ; Robert Rocca et Jacques Grello ; Henri Tisot – imitateur degénéral De Gaulle ; la candidature de Coluche ;

« Les Guignols de l’info » Sarkozy a ouvert la voie à Obama http://www.youtube.com/watch?v=Cu1aRj2jMw4&feature=related ;

II. LE POUVOIR DE LADÉRISION POLITIQUE

1. Nécessité sociale et phénomène culturel

• Le rire culturel, relatif, qui permet de « réconnaitre les siens » , ex. : une parabole qui circulait en ex-URSS en 1980• Fonction éducative: « Canard enchainé » et «Les Guignols »

2. Banalisation de la dérision

• Dérision encouragée, ex. : F. Mitterrand au sujet de sa marionnette au « Bébête…

La shoah et témoignage

Theys Angie Madame Cabolet
6TTr SEIPES Wavre

La Shoah

* La Shoah – mot hébreu signifiant « catastrophe » – désigne spécifiquement l’organisation par l’Etat, par le régime naziet ses collaborateurs, de la persécution et de l’extermination systématique, et bureaucratique, d’environ six millions de Juifs.

* « Holocauste » est un terme d’une acceptation plus large. D’originegrecque, Holocauste signifie « sacrifice par le feu ». Les nazis, qui arrivèrent au pouvoir en janvier 1933, avaient développé une idéologie raciale qui voyait dans les Allemands les représentantsd’une « race supérieure » et dans les Juifs, des êtres « inférieurs », « indignes de vivre ». Pendant la Shoah, les nazis s’en prirent aussi à d’autres groupes parce qu’ils les considéraient comme étant »racialement inférieurs ».

* Historique de la Shoah :

En 1933, la population juive d’Europe dépassait les neuf millions de personnes. La plupart des Juifs européens vivaient dans des pays que leTroisième Reich occupa ou contrôla pendant la Seconde Guerre mondiale. En 1945, près de deux Juifs européens sur trois avaient été exterminés dans le cadre de la « Solution finale ». A mesure que la tyrannienazie s’étendait en Europe, les nazis persécutèrent et assassinèrent des millions d’autres personnes. Pendant les premières années du régime nazi, les homosexuels et d’autres personnes, dont lecomportement était jugé socialement inacceptable, furent également persécutés. Beaucoup moururent suite à leur incarcération ou aux mauvais traitements.
Dès 1933, les nazis créèrent des camps deconcentration. Pendant les années de guerre, les nazis et leurs collaborateurs créèrent des ghettos, des camps de transit et des camps de travail forcé.
Pendant les derniers mois de la guerre, les gardiens SS…

Lettre de motivation alternance dcg

Nom Prenom
Adresse
Tel:
Mail:

Lyon, le 24 Mars 2010

Objet: Demande d’alternance via un contrat de professionnalisation.
P/J: Un C.V.Madame, Monsieur,

Vous travaillez au sein d’un établissement disposant d’une forte image de marque et qui est très présent sur le marché local.

Après deux annéesde DUT « Gestion des Entreprises et des Administrations » option Finance Comptabilité dont le but a été de m’initier aux techniques générales de gestion, j’ai choiside m’orienter vers un Diplôme de Comptabilité Générale afin d’acquérir les compétences du métier de comptable et, par la suite, de l’expertise comptable.

Eneffet, dotée de rigueur, dynamisme et de détermination, j’ai pour ambition professionnelle d’intégrer les métiers de l’audit comptable. La prise d’initiative et le sensdes responsabilités sont des qualités que j’ai apprise au sein de mes études supérieures et dont j’aimerai vous faire part.

Je souhaite ainsi réaliser mon DCGen partenariat avec votre société par le biais de l’alternance, méthode d’apprentissage intéressante qui permet l’acquisition progressive d’une expérience en plusd’une connaissance technique.

Je pense que par ce partenariat entre l’IAE de Lyon et votre cabinet d’expertise comptable peut mener à une réussite professionnellebénéfique pour moi et votre établissement.
C’est pourquoi je sollicité, Monsieur le Directeur, la possibilité de vous exposer mes motivations de collaboration avec votreentreprise.

Dans l’attente de notre futur entretien, je vous prie de croire, Madame, Monsieur, en mes sentiments les meilleurs.

Lætitia

Sartre ( liberté et responsabilité )

Tout homme aspire à être ou à devenir libre. On désir tous , dès notre plus jeune âge , à échapper à toute contrainte , sinon à toute obligation.
Nous allons étudier un extrait du texte de Sartre (Liberté et responsabilité) sur le thème de la liberté morale .
La liberté au sens morale suppose la responsabilité de ses actes et la possibilité de choisir entre le bien et le mal.
Ce texte est untexte polémique car Sartre expose une thèse qui va a l’encontre de l’opinion publique et qui à pour problème de quoi sommes nous responsable.
Pour Sartre , l’homme est libre , il a donc toujours le choix de ses actes , rien ne peux nous être imposé.
Sommes nous vraiment toujours responsable et libre de nos actes ?
L’enjeu de ce texte est donc de savoir si la thèse de Sartre n’est pas tropextrême et c’est ce que nous allons essayé de nuancé en étudiant ses 3 moments.
Dans un premier moment , il nous présente sa thèse au travers d’un exemple sur le choix d’aller à la guerre et les solutions qui s’offre à nous si on n’y refuse. ( ligne 1 à 8 (jusqu’à famille))
Puis , dans un second moment , il nous fait culpabiliser sur le fait que si l’on accepte d’aller à la guerre on a donc unepart de responsabilité dans tout ce qui sera commis durant celle – ci .( ligne 8 à 17 (elle existe ))
Enfin , dans son dernier moment , il montre , pour ceux qui douterait encore de sa thèse que tout ne dépend que de nous , et que nous ne pouvons avoir aucune excuse de nos actes. ( ligne 17 à fin )

Étudions alors ce premier moment ou Sartre expose sa thèse.
Sartre , commence ce passage par « cette guerre est ma guerre » ce qui nous questionne alors sur le sens de ses paroles. Car normalement on à du recul vis à vis d’une guerre , mais , lui prend vraiment part à la guerre , car il pense que si on y va , c’est qu’on la choisi : « je la mérite ».
On la mérite car « je pouvais m’y soustraire par le suicide ou la désertion » , on à donc le choix de nos actes, si l’on ne veut pas faire ceque l’on nous demande on a toujours une solution de repli.
Mais les solutions de Sartre sont tout de même extrême , car le suicide ou l’exil sont des solutions qui vont tout d’abord à l’encontre de l’opinion publique , et puis car la guerre donne tout de même une possibilité de s’en sortir vivant contrairement au suicide.
De plus Sartre va à l’encontre de toutes personnes pratiquantes.
Eneffet , chez les chrétiens ont dit  »tu ne tueras point »le suicide est gravement contraire à la justice , à l’espérance et à la charité , c’est considéré comme un meurtre , c ‘est pareil pour les protestants , catholiques , islam … Donc pour tout les pratiquants la thèse de Sartre ne peut être appliqué.
Pour Sartre , vu que l’homme est libre et responsable , il ( l’homme ) peut alors toujours penseraux échappatoires lorsqu’on a une décision à prendre « toujours nous être présents lorsqu’il s’agit d’envisager une situation », même si les solutions peuvent aller à l’encontre de l’opinion publique , de l’éthique , ou de la morale , puisqu’en effet « je l’ai choisit ».
J’ai donc préféré la guerre au suicide ou l’exil , pour ne pas être la honte de ma famille , et être toujours respecté ,quitte à mourir il faut mieux mourir digne.
De plus certaines personnes ne sont pas assez courageuse pour se donner la mort « par veulerie , par lâcheté devant l’opinion publique [ … ] l’estime de mes proches , l’honneur de ma famille etc. »
Pour Sartre on a donc toujours le choix mais pour l’opinion publique d’autres facteurs sont pris en compte ce qui ne rend pas si simple le choix.

Dans sondeuxième moment , Sartre nous montre la responsabilité de l’homme.
L’homme est donc libre , « il s’agit d’un choix » , vu qu’il la choisit il n’a pas à se plaindre , tout ne dépend que de lui seul .
« A la guerre il n’y a pas de victimes innocentes » , pour Sartre , seuls les civils qui n’ont rien demandés sont innocents ( enfants , ceux qui ont dit non etc.. ), les soldats morts ne sont pas…

Commentaire d’arret jacques vabres

SEANCE N° 2
LA HIERARCHIE DES NORMES

? Ch. Mixte 24 mai 1975 : arrêt « Jacques Vabre »

I. Analyse

A. Les faits

1°) Les faits matériels

Le 25 mars 1957 : Le Traité de Rome instituant la CEE est promulgué.

Du 5 janvier 1967 au 5 juillet 1971 : La société Jacques Vabre importe des Pays-Bas du café soluble afin de le vendre en France. Le dédouanement de ces marchandisesest opéré par la société Weigel, commissionnaire en douane.

A l’occasion de chaque importation : la société Weigel paie à l’administration des douanes la taxe intérieure de consommation prévue par la position EX. 2012 du tableau A de l’article 265 du Code des Douanes (taxe perçue par l’Etat français).

2°) Les faits judiciaires

A une date inconnue : les sociétés « Cafés Jacques Vabre » etWeigel, demanderesses, assignent l’administration des douanes, défenderesse, en restitution du montant des taxes perçues(pour la société Weigel) et en indemnisation du préjudice subi de la privation des fonds versés au titre de la dite taxe (Société J. Vabre) devant un tribunal de première instance (ou devant le tribunal d’instance du premier arrondissement de Paris)

A une date inconnue (ou le8 janvier 1971) : Le tribunal de première instance (ou le tribunal d’instance du premier arrondissement de Paris) rend un jugement inconnu (ou fait droit à la demande des sociétés).

A une date inconnue : la partie mécontente ( administration des douanes) interjette appel devant une CA inconnue (ou devant la Cade Paris)

A une date inconnue (ou le 7 juillet 1973) : la CA (de Paris) fait droità la demande des sociétés (ou rend un arrêt confirmatif)

A une date inconnue : l’administration des douanes forme un pourvoi en cassation.

Le 24 mai 1975 : la Cour de cassation réunie en chambre mixte rejette le pourvoi

B. Les prétentions des parties

|Sociétés « Cafés Jacques Vabre » et « Weigel » : demanderesses |Administration des douanes : défenderesse|
|Nous demandons le remboursement des taxes litigieuses perçues pour |Je refuse le remboursement des taxes litigieuses perçues pour le |
|le compte des douanes françaises ainsi que l’indemnisation du |compte des douanes françaises ainsi que l’indemnisation du préjudice|
|préjudice subi du fait de la privation des fonds versés au titre de |subi du fait de la privation des fondsversés au titre de ces taxes |
|ces taxes | |
|Parce qu’il ne faut pas appliquer l’article 256 du code des douanes |Parce qu’il faut appliquer l’article 256 du code des douanes même |
|qui est contraire à l’article 95 du traité de Rome et donc |s’il estcontraire à l’article 95 du traité de Rome |
|inconstitutionnel | |
|Parce que, selon l’article 55 de la Constitution, le juge civil |Parce que même en vertu de l’article 55 de la Constitution, le juge |
|peut écarter l’application d’une loi contraire à un Traité|civil ne peut pas écarter l’application d’une loi contraire à un |
|International |Traité International |

C. Le problème de Droit

L’article 55 de la Constitution autorise t’il le juge civil à écarter l’application d’une loi en considérant qu’elle est contraire à un Traitéinternational?

D. La solution de droit

« Mais attendu que le Traité du 25 mars 1957…d’où il suit que le moyen est mal fondé ».

II. Commentaire

A. Comprendre la solution

1°) En elle-même

a. Par des définitions

Constitution :
– sens matériel : ensemble des règles écrites ou coutumières qui déterminent la forme d’un Etat, la dévolution et l’exercice du pouvoir….

Stage groupe hospitalier mutualiste

SOMMAIRE

INTRODUCTION 2
A. LE GROUPE HOSPITALIER MUTUALISTE 3
I – HISTORIQUE 3
1- La clinique des Eaux Claires 4
2- La clinique d’Alembert 4
3- L’Institut Daniel Hollard 4
4- Les centres externes………………………………………………………………3
II – FONCTIONNEMENT DU GROUPE HOSPITALIER MUTUALISTE 5
III – ANALYSE SWOT 6
B. LE SERVICE DE COMPTABILITE 7
I – PRESENTATION DUSERVICE 7
II – LES DIFFERENTES TACHES EFFECTUEES 8
1- Enregistrement de règlements de factures 8
2- Récupération des caisses dans les établissements 8
3- Rappels de factures et contentieux 9
4- Rapprochement bancaire – compte de résultat et bilan 9
CONCLUSION 11

ANNEXE 1 – ORGANIGRAMME DE L’ETABLISSEMENT
ANNEXE 2 – EXEMPLE D’UNE FACTURE CLIENT
ANNEXE 3 – EXEMPLE D’UN ENREGISTREMENTDE PERTE

INTRODUCTION

Dans mon cursus d’études, je dois effectuer un stage d’étonnement en milieu professionnel.

J’ai donc choisi de faire ce stage au sein du Groupe Hospitalier Mutualiste de Grenoble (GHM), dans le service de comptabilité.

Durant ces deux premiers semestres, je suis resté très attiré par les chiffres, les calculs. J’ai donc cherché un stage en lien direct avec cela: la comptabilité. J’ai choisi ce terrain de stage afin de mieux comprendre et mettre en pratique les notions vues en cours durant cette année scolaire et de percevoir plus concrètement la comptabilité au sein d’une entreprise.

Mes attentes de ce stage étaient d’apporter un sens concret à mon enseignement afin de mieux appréhender la comptabilité, de comprendre le fonctionnement d’un servicede comptabilité et conforter ma décision d’orientation dans la section « finances – comptabilité ».

Ce rapport se présentera en deux parties :

– La première partie présentera de façon générale la Groupe Hospitalier Mutualiste de Grenoble avec son historique, son fonctionnement et une analyse SWOT.

– La deuxième partie sera consacrée plus particulièrement au service de comptabilitéavec la présentation du service, les diverses tâches qui m’ont été confiées et une interview de mon maître de stage.

A. LE GROUPE HOSPITALIER MUTUALISTE

I – HISTORIQUE

Le groupe hospitalier mutualiste de Grenoble (GHM) est un centre de soins. Il se situe en plein cœur de Grenoble.

Le Groupe Hospitalier Mutualiste de Grenoble regroupe depuis le 1er janvier 2009, troisétablissements sur le même site :

– la Clinique des Eaux Claires, située 8 rue Docteur Calmette,
– la Clinique d’Alembert, située 124 rue d’Alembert (ancienne clinique des Bains);
– l’Institut Daniel Hollard situé 21 rue Docteur Hermitte,

Il regroupe aussi quatre centres externes mutualistes :
– Deux cabinets dentaires, un à Grenoble, l’autre à Meylan.
– Un laboratoire d’analyse médicaleinstallé sur le site des Eaux Claires.
– Un centre de consultation gynécologique, situé à Meylan.
– Un centre de planification installé sur le site des Eaux Claires.

1- La clinique des Eaux Claires

La clinique des Eaux Claires a été créée en 1960 par la Mutualité Française. Son activité était une activité de médecine, de chirurgie et d’obstétrique. C’est un établissement à but nonlucratif.

2- La clinique d’Alembert

Initialement, dénommée clinique des Bains (située rue Thiers), elle rejoint le groupe en 1999. Elle changera de nom en 2006 pour devenir clinique d’Alembert lors de sa reconstruction sur le site de la rue d’Alembert. Elle avait été initialement créée en 1902 par la congrégation des sœurs de Notre Dame de la Croix.
Cet établissement est également à but nonlucratif avec cependant des médecins qui exercent à titre libéral.

3- L’Institut Daniel Hollard

L’Institut Daniel Hollard est le dernier né. Il a été inauguré le 20 octobre 2008. Cet institut regroupe toutes les activités de cancérologie de l’ancien Institut Privé de Cancérologie qui avait son activité répartie sur deux sites : un sur la clinique d’Alembert pour ce qui concernait le service…